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  1. Nouvelle gare à St-Constant Nouvelle gare à Saint-Constant Par Véronique Prince | TVA Nouvelles L'Agence métropolitaine de transport débloque 7,8 millions de dollars pour construire une gare permanente de train de banlieue à Saint-Constant, sur la rive-sud de Montréal. Depuis 2009, un projet pilote permettait aux usagers de monter à bord des wagons sur la rue Saint-Pierre, mais la gare se limitait à deux abris, un quai d'embarquement en bois et un stationnement incitatif d'une cinquantaine de places. L'entente tripartite, signée la semaine dernière entre la ville de Saint-Constant, l'AMT et le ministère des Transports, prévoit la reconstruction d'un centre d'achats pour en faire un complexe multiservice auquel sera annexée la nouvelle gare intérieure. Les travaux vont débuter au printemps. «La valeur foncière que ce projet-là va générer est d'environ 400 millions de dollars », affirme le maire de Saint-Constant, Gilles Pépin. De plus, grâce au développement urbain qu'une seule gare permanente peut générer, le maire pense que les revenus des taxes s'élèveront à 3,5 millions de dollars d'ici quatre ans. « Au total, c'est un projet de pratiquement un milliard de dollars », ajoute-t-il. 75% du financement provient du ministère des Transports qui participera au réaménagement de la rue Saint-Pierre, afin d'y intégrer une voie réservée pour le transport en commun, ainsi qu'une piste cyclable. La gare comprendra également trois cents nouvelles places de stationnement. «La ligne de Candiac, en fonction depuis 2009, connaît une hausse d'achalandage de près de 30%. C'est considérable», dit Martine Rouette, la porte-parole. L'AMT considère qu'une gare permanente à Saint-Constant est un bon investissement puisqu'elle a vu sa capacité augmenter de quarante pour cent sur la ligne Delson-Candiac depuis l'arrivée des nouvelles voitures multiniveaux. http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/reg...01-162536.html
  2. Le Centre Saint-Pierre réalisera, au cours de la prochaine année, des études de préfaisabilité Une étude de marché a déjà été réalisée pour le volet hôtelier du projet de requalification Steeve Duguay/Métro L'église Saint-Pierre Apôtre JENNIFER GUTHRIE MÉTRO Publié: 13 décembre 2010 15:55 Mis à jour: 13 décembre 2010 16:33 L’îlot Saint-Pierre-Apôtre, situé dans le quadrilatère formé des rues Panet, de la Visitation, Sainte-Rose et du boulevard René-Lévesque, pourrait connaître une deuxième vie. Le Centre St-Pierre, qui forme l’îlot avec l’église Saint-Pierre Apôtre et le presbytère de la rue de la Visitation, réalisera au cours de la prochaine année des études de préfaisabilité qui, si elles s’avèrent concluantes, pourraient mener à un projet de requalification évalué à près de 30 M$. «Les Oblats, qui sont propriétaires de l’îlot Saint-Pierre, nous ont dit, il y a deux ans, qu’ils ne pourraient plus continuer de s’occuper des bâtiments et qu’ils voulaient se départir de l’ensemble du quadrilatère, a expliqué le DG du Centre St-Pierre, Raymond Levac. Ils nous ont mandatés pour trouver une vocation aux bâtiments pour que ce soit rentable et que le projet poursuive la mission sociale, culturelle et spirituelle des Oblats.» Le projet hôtelier, qui prendrait forme dans le presbytère, est, pour le moment, le plus avancé. Une étude de marché a déjà été réalisée et sera analysée au début de l’année 2011 par un comité de travail qui réunit, entre autres, le Fonds FTQ, le Chantier de l’économie sociale et la Caisse d’économie solidaire. «L’étude est positive, a affirmé M. Levac. Il faudra voir si les bailleurs de fonds considèrent aussi qu’elle est concluante.» Une étude de marché sera également réalisée pour le Centre St-Pierre afin de déterminer s’il y a lieu d’augmenter sa capacité d’accueil. Le stationnement du centre pourrait quant à lui devenir sous-terrain, ce qui permettrait l’aménagement d’un jardin en surface. Enfin, l’église Saint-Pierre Apôtre fera l’objet d’études acoustiques afin de déterminer si elle peut accueillir davantage d’événements culturels et de concerts. Le sous-sol de l’église pourrait également être aménagé afin de loger des artistes. Le comité exécutif de la Ville de Montréal a approuvé, la semaine dernière, une aide financière de 127 500 $ au Centre St-Pierre afin de lui permettre de mener à bien ses études. Échéanciers Selon le calendrier envisagé par le Centre St-Pierre, un projet complet devrait être présenté à la fin de l’année 2012. Le transfert de propriété devrait aussi être complété en 2012. Les Oblats souhaitent vendre leurs bâtiments pour une somme symbolique à un organisme sans but lucratif mis sur pied par le Centre St-Pierre. Les premiers travaux devraient suivre en 2013-2014. http://www.journalmetro.com/linfo/article/718391--une-transformation-de-30-m-pour-l-ilot-saint-pierre-apotre
  3. Publié le 02 janvier 2010 à 12h32 | Mis à jour à 12h35 La Tour Eiffel, monument préféré au monde La Tour Eiffel est le monument préféré des voyageurs, devant Saint-Pierre de Rome et le Taj Mahal, selon un sondage publié le 23 décembre. La dame de fer parisienne a été citée comme monument préféré par 16% des voyageurs interrogés, loin devant ses concurrents, la basilique Saint-Pierre de Rome, au Vatican, à Rome (9%) et le Taj Mahal, en Inde (8%). Le Golden Gate Bridge, l'Empire State Building et la Statue de la Liberté, aux États-Unis, arrivent respectivement en 4e, 5e et 6e place, avec 7% des voix. L'Opéra de Sydney, la Sagrada Familia à Barcelone, l'Acropole, à Athènes, et le Christ Rédempteur de Rio de Janeiro complètent le classement, dont est absent Big Ben, à Londres. Le sondage d'Hotels.com montre que les Espagnols sont les plus susceptibles d'organiser leurs voyages en fonction des monuments à voir, 83% d'entre eux déclarant qu'ils avaient prévu un voyage dans une ville pour y voir les bâtiments célèbres. Viennent ensuite les Italiens, avec 80% de sondés affirmant avoir effectué un voyage pour un monument. «Cela montre qu'une ville est véritablement définie, dans l'esprit des touristes, par ses édifices célèbres», déclare Alison Couper, d'Hotels.com. «L'attrait des monuments célèbres est si fort que de nombreuses personnes voyagent spécialement pour aller les voir. Ces bâtiments ont vraiment du poids dans notre imagination.» Classement des dix premiers monuments au monde Données Hotels.com 1. Tour Eiffel, Paris (16%) 2 . Basilique Saint-Pierre de Rome (9%) 3. Taj Mahal, Agra (8%) 4. Golden Gate Bridge, San Francisco (7%) 5. Empire State Building, New York (7%) 6. Statue de la Liberté, New York (7%) 7. Opéra de Sydney (7%) 8. Sagrada Familia, Barcelone (7%) 9. Acropole, Athènes (6%) 10. Christ Rédempteur, Rio de Janeiro (4%) Hotels.com a interrogé 10 000 voyageurs sur cinq continents.
  4. Le faste fait au Québec 26 septembre 2008 - 06h00 La Presse Collaboration spéciale Clément Sabourin La France a ses tailleurs Chanel, l'Italie ses sacs Gucci, le Royaume-Uni ses chemisiers Burberry et les États-Unis ses bijoux Tiffany mais le Québec a-t-il des produits de luxe dignes de ce nom? «Il n'y a plus de luxe au Québec!» lance Francine Séguin. Professeure de stratégie à HEC Montréal, elle a longuement étudié l'industrie du luxe, au Québec et dans le monde. Selon elle, le Québec ne possède plus d'industrie de luxe. Tout au plus des griffes haut de gamme. Au fil des ans, la fourrure, la joaillerie et la haute couture, les traditionnels porte-étendards du luxe québécois, ont disparu. La pression de l'opinion publique a eu raison des manteaux et des chapkas en fourrure, confectionnés à partir des peaux de castor et de renard. Birks, le fleuron de la joaillerie fondé en 1879 à Montréal, a été fusionné à l'américain Mayors en 2005. Et, dit Mme Séguin, la province ne dispose plus de grands couturiers dont les créations sont reconnues et distribuées dans le monde entier, tels Léo Chevalier et Michel Robichaud, qui habilla entre autres Elizabeth Taylor. «Ce qui reste, ce sont des designers de mode. Ils sont excellents, mais ils font très peu de sur-mesure et plutôt des productions à petite ou moyenne échelles. Ce n'est pas de la haute couture», dit la spécialiste du luxe. Selon elle, seul le travail de la styliste Marie Saint-Pierre se rapproche du "vrai" luxe. Avec plus de 20 ans de carrière, la Québécoise bénéficie d'une certaine notoriété internationale. Ses créations sont confectionnées dans l'île de Montréal, par 25 employés qui travaillent de manière artisanale. Le prix d'une robe de jour varie entre 600$ et 800$, celui d'une robe de soir entre 800$ et 2000$. Toutes sont produites en quantité très limitée. Parfois, ce sont même des oeuvres uniques. «On s'adresse à une clientèle pointue on ne fait pas juste des images», dit Mme Saint-Pierre, faisant référence aux énormes campagnes de pub menées par des marques comme Dolce et Gabbana ou Gucci. À force de devenir populaires et de produire des vêtements en quantités industrielles, souvent dans des pays émergents, ces anciens fleurons du luxe ont perdu de leur prestige. Car la rareté est l'un des principaux éléments qui déterminent si un produit est à classer dans le haut de gamme ou dans le luxe. C'est notamment pour cette raison qu'on ne peut pas considérer les porte-monnaie et sacs de la marque m0851 comme des produits de luxe: ces maroquineries ne sont pas des pièces limitées. Vendue dans les quartiers chic de New York, Paris, Anvers et Taiwan, cette marque montréalaise est en constante croissance, mais n'est "pas assez chère" pour être considérée comme du luxe, dit son fondateur Frédéric Mamarbachi. Même chose pour la marque québécoise Harricana. Le prix de vente de ces produits (3000$ pour un manteau) fait dire à Mme Séguin qu'il s'agit davantage de haut de gamme que de luxe, «bien qu'il s'agisse d'un concept brillant». La designer Mariouche Gagnée a imaginé toute une série de tuques, bottes et manteaux faits à partir du recyclage de fourrures et de tissus de griffes de luxe. «Ce sont presque toujours des pièces uniques», dit Mme Gagné. Pour la styliste Marie Saint-Pierre, le Québec aurait donc une place à prendre dans le luxe en fabriquant "des produits plus marginaux, plus difficiles à trouver", qui refléteraient le travail de créateurs dont l'inspiration se situe à la rencontre de l'Amérique du Nord et de l'Europe. Montréal se doit d'emprunter une telle voie s'il veut rester dans le club des métropoles internationales de premier ordre, ajoute-t-elle, car "l'économie s'en va vers là".
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