Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'd’état'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Projets immobiliers
    • Propositions
    • En Construction
    • Complétés
    • Transports en commun
    • Infrastructures
    • Lieux de culture, sport et divertissement
  • Discussions générales
    • Urbanisme, architecture et technologies urbaines
    • Photographie urbaine
    • Discussions générales
    • Divertissement, Bouffe et Culture
    • L'actualité
    • Hors Sujet
  • Aviation MTLYUL
    • YUL Discussions générales
    • Spotting à YUL
  • Ici et ailleurs
    • Ville de Québec et le reste du Québec
    • Toronto et le reste du Canada
    • États-Unis d'Amérique
    • Projets ailleurs dans le monde.

Blogs

  • Blog MTLURB

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Location


Intérêts


Occupation


Type d’habitation

3 résultats trouvés

  1. Pas d’austérité chez Hydro-Québec Pendant que le gouvernement Couillard propose un gel salarial à ses 540 000 fonctionnaires pour les deux prochaines années, les employés d’Hydro-Québec verront leurs chèques de paie bondir de 7,2 %. Dès le 1er janvier, les salaires de 15 000 travailleurs d’Hydro-Québec seront notamment bonifiés de 4,2 %. En 2016, c’est une hausse de 3 % qui attend les employés de la société d’État. En tout, au cours des quatre prochaines années, les salaires des employés d’Hydro-Québec progresseront de 12,45 %. Ces impressionnantes hausses ont été consenties lors du renouvellement de la dernière convention collective ratifiée il y a un an, en décembre 2013, avec sept des huit syndicats de la société d’État. Pour justifier de telles hausses, Hydro-Québec dit avoir mis fin au controversé régime annuel de primes à la performance offert à ses employés depuis une dizaine d’années. Ce régime de primes était décrié parce qu’Hydro-Québec détient le monopole de la vente d’électricité au Québec et que les objectifs de ce régime étaient trop faciles à réaliser. En 2013 (pour l’année 2012), ce régime a distribué 88 millions $ aux travailleurs d’Hydro-Québec. Pour compenser la fin de ces généreux bonis, la société d’État a toutefois décidé d’ajuster les échelles salariales de ses travailleurs syndiqués à compter du 1er janvier 2015. Prime de 84 M$ Pour l’année 2014 qui se termine, Hydro-Québec dit avoir «gelé» les salaires de ses travailleurs et ne versera pas la fameuse prime au rendement. Or, les travailleurs d’Hydro-Québec ont touché en avril 2014 (pour la dernière fois) la prime dite de rémunération incitative pour la performance financière de la société d’État réalisée en 2013, a appris Le Journal. Cette prime de 84 millions $ équivaut à tout près de 4000 $ par employé ou jusqu’à 4,5 % de leur salaire annuel, soit 1,5 % lorsque les objectifs financiers sont atteints et jusqu’à 3 % en se fondant sur les indicateurs de rendement de l’entreprise. Hydro-Québec persiste à dire que ses travailleurs syndiqués subiront néanmoins un «gel de rémunération» l’an prochain. «Pour 2015, une portion de la rémunération incitative a effectivement été intégrée aux échelles salariales, d’où l’augmentation de 4,2 %», a indiqué hier un porte-parole d’Hydro-Québec, Patrice Lavoie. Les cadres aussi Les travailleurs non syndiqués d’Hydro-Québec ne sont pas en reste. Eux qui ont vu leurs salaires progresser de 1,75 % en 2014, auront droit à une hausse de 2 % en 2015. http://www.journaldemontreal.com/2014/12/17/pas-dausterite-chez-hydro-quebec
  2. Située dans la Tour de la Bourse L'AMA à Montréal jusqu'en 2021 Agence QMI Jean-Philippe Arcand 08/05/2009 15h31 - Mise à jour 08/05/2009 15h40 L’Agence mondiale antidopage (AMA), établie à Montréal depuis 2001, restera dans la Métropole pour encore près de 20 ans. L’AMA a annoncé aujourd'hui, de concert avec le gouvernement fédéral et provincial, de même que l’organisme Montréal International, la prolongation de dix ans de son bail 2001-2011. Ainsi, les bureaux de l’Agence demeureront dans la Tour de la Bourse au moins jusqu’au 31 décembre 2021. «Nous avons ainsi l’assurance que nous pourrons nous concentrer sur la lutte contre le dopage pour les prochaines années, a déclaré le président de l’AMA, John Fahey. Je suis fier de dire que Montréal sera notre maison pour encore longtemps.» Leader mondial Le ministre d’État aux Sports, Gary Lunn, considère que cette annonce «fera en sorte que le Canada continuera d’être un leader contre le dopage et permettra aux athlètes de compétitionner sur un même pied d’égalité.» M. Lunn, dont on a d’ailleurs souligné le 52e anniversaire, en a profité pour manifester son désir de faire des Jeux olympiques d’hiver de Vancouver, qui auront lieu l’an prochain, «un modèle qui établira les standards dans la lutte anti-dopage.» Problème Son confrère Denis Lebel, ministre d’État de l’Agence de développement économique pour les régions du Québec, s’est quant à lui dit particulièrement touché par la question du dopage, étant lui-même un grand sportif. «Cela constitue un réel danger, surtout pour les jeunes sportif», a-t-il dit. De son côté, le ministre québécois des Relations internationales, Pierre Arcand, a parlé du dopage comme d’un «problème de santé publique» qui prend de plus en plus d’ampleur, rappelant que «certains sports ont monté une telle culture du dopage qu’on se pose maintenant des questions sur les records et les statistiques.» «Chez certains athlètes, on constate même une qualité et une espérance de vie réduite», a-t-il ajouté. L’Agence mondiale antidopage compte 45 employés représentant 30 nations différentes.
  3. Le projet est évalué à 1,9 G$. Depuis plusieurs jours, les médias avaient annoncé que la Société d’État irait de l’avant avec cette centrale située à Bécancour. Pour en lire plus...
×
×
  • Créer...