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  1. Corporation immobilière Jadco Inc Mandat : Période couverte par le mandat :du 2020-12-16 au 2021-06-30 Contrepartie reçue ou à recevoir :moins de 10 000 $ Objet des activités : Proposition législative ou réglementaire, résolution, orientation, programme ou plan d'action Renseignements utiles : Démarches auprès de titulaires de charges publiques en vue d'obtenir des dérogations par diverses résolutions du Conseil d'arrondissement Le Sud-Ouest pour l'approbation d'un projet particulier de développement visant la construction d'un édifice à vocation résidentielle pour étudiants sur les terrains, situés entre la rue de l'Inspecteur, la rue St-Paul-Ouest, la rue St-Maurice et le Viaduc du CN; le tout en vertu du règlement RCA04 22003: Règlement sur les projets particuliers de construction, de modification ou d'occupation d'un immeuble. Les dérogations visent à permettre l'érection d'un édifice résidentiel dont la hauteur serait de 20 à 29 étages (la hauteur au zonage (Règlement 01-280) actuellement autorisé est de 16 mètres). Le projet ferait l'objet de l'application des contributions visant le nouveau règlement sur la Métropole Mixte. En vertu du plan d'urbanisme en vigueur, il est possible d'obtenir une dérogation par une démarche de demande de projet particulier afin d'autoriser l'usage résidentiel. Toutefois, cette demande, si elle est acceptée par l'arrondissement, requiert une modification au Plan d'urbanisme de la Ville de Montréal; lequel limite la hauteur maximale à 25 mètres (8 ou 9 étages possibles). Institutions visées :Montréal
  2. Jamais vu aussi belle!
  3. Le parc B au coin d'Ottawa et Peel devrait être le premier des trois parcs à être complété. Contrairement aux deux autres, celui-ci n'a pas de bassin de rétention. Projet MR-63 :
  4. « En prévision, la direction planifie déjà une énième phase d'expansion. L'école est de toute façon en déficit de locaux de 500 000 pieds carrés, selon les estimations de l'établissement. Ça passera entre autres par la rénovation du complexe Dow, dans le quadrant sud-est de l'intersection des rues Peel et Notre-Dame Ouest. » Voir les fiches 11, 12, 13 et 14 (pages 65 à 80) de ce document pour plus d'info sur les bâtiments : http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/docs/page/arr_so_fr/media/documents/etude_patrimoine_griffintown_bati.pdf : - 984-990 Notre-Dame Ouest : Bureaux de la National Breweries - Rue Montfort : Entrepôt frigorifique - 1000 Notre-Dame Ouest/485 Peel : Brasserie - 333 Peel/1050-1052 William : Garage
  5. ÎLOT 11 I 1040, RUE WELLINGTON LOCATIF: 300 APPARTEMENTS RENTAL: 300 APARTMENTS COMMERCIAL: 95 000 p.c. / COMMERCIAL: 95,000 sq.ft. EN OPÉRATION: À DÉTERMINER / IN OPERATION: TBD ÉTAPE DU PROJET: PRÉLIMINAIRE PROJECT STAGE: PRELIMINARY
  6. Les projets pleuvent sur Montréal c'est incroyable. J'ai même de la difficulté à suivre les fils et à garder le forum organisé !
  7. Looks like we need to update the thread title Le SE7T Phase III ne vision intégrée, urbaine, s’ harmonisant avec l’essence du Quartier Griffintown de par son architecture, son design et son aménagement paysager, le tout dans un souci de développement durable. Comportant 129 unités bénéficiant de finis modernes et pérennes, de clarté et de vues imprenables, Le Se7t Phase 3 couronne par sa prestance et son allure l’ensemble du projet et le campe dans sa finalité ultime, celle d’une intégration architecturale et sociale en symbiose avec son quartier. 3 Phases réunies par une allée centrale piétonnière paysagée et verdoyante, accessible par deux rues, oasis de verdure et de sérénité. Hall d’entrée au design contemporain; salle de Gym munie d’équipements à la fine pointe; Salle multi fonctionnelle de design éclectique dans laquelle socialiser et travailler ne font qu’un; piscine dans le jardin, aucun détail n’a été épargné pour vous permettre, dans le confort de votre appartement, de profiter des services de la phase 3. Le SE7T Phase 3 un projet vibrant dans un quartier vibrant avec, en prime, les avantages des prestations qu’offrent la Phase 1, tels que deux restaurants (RYU, Ayla), salle de spinning et de yoga (Elment) dont la réputation et l’excellence ne sont plus à faire.
  8. Nom : YOO Montréal Hauteur en étages : 20 Hauteur en mètres : Coût du projet : Emplacement : 1130 rue Ottawa, au coin de Young Nombre d'unités : 91 Grandeur des unités : 750 à 5000 pi² Prix : de 350 000 $ (750 pi²) à 1 million (1750 pi²), environ 2 millions pour un demi-étage (3000 pi²) et environ 6 millions pour l'appartement-terrasse qui occupe un étage complet Promoteur : YOO (John Hitchcox) / Constructions Chapam (Maxime Lachance) Architecte : Phillipe Starck / YOO Studio (Marcel Wanders, Kelly Hoppen, Steve Leung, Mark Davison et Jade Jagger) Entrepreneur général : Lancement du projet : Juin 2014 Début de construction: Hiver 2015 Livraison : Fin 2016 Site internet : www.yoomontreal.com / www.yoo.com Facebook : www.facebook.com/yoomontreal
  9. Autre nouveau projet dans Griffintown juste a l'est du William donc sur St. Martin juste au sud de Notre Dame. It's an industrial building right now and haven't seen details about if this is going away or will be renovated. http://www.se7t.ca/?lang=fr http://www.se7t.ca/?lang=en
  10. Édifice Rodier Rénovation de l'édifice pour en faire le premier site destiné à l'entrepreneuriat culturel et créatif à Montréal
  11. 408, rue des Seigneurs Il va remplir le terrain vague au coin des rue des Seigneurs et Payette
  12. îlot St-Ann (phase 5) Le 5 décembre 2017, le Conseil d'arrondissement a approuvé la construction d'une nouvelle phase locative de District Griffin sur le parc. Le bâtiment aura donc 2 volumes aux revêtements distincts. Très intéressant à mon avis. Les architectes ne sont pas Lemay, une autre bonne nouvelle (vive la variété). Pour les matériaux : La brique du basilaire : La brique des 6 étages supérieurs : La brique du 2e volume :
  13. Bureau des ventes en construction (entre le Noca et le bureau des ventes des condo des Bass)
  14. Nouveau projet de condos à Griffintown, aucun détail sur l'emplacement ou le nombre d'étages mais selon le croquis fait a la main sur leur Facebook c'est un dizaine d'étages. On peut s'inscrire sur leur liste VIP Amati Condominiums
  15. Jean-Christophe Laurence La Presse Dans quelques semaines, on connaîtra le nom des architectes qui réaliseront le nouveau Planétarium, dont l'ouverture est prévue pour mars 2012. Le moment semble bien choisi pour s'interroger sur le sort qu'on réservera à l'ancien Planétarium, qui s'élève depuis 1966 au 1000, rue Saint-Jacques. Si tout se passe comme prévu, le bâtiment devrait poursuivre ses activités jusqu'en septembre 2011. Après? On n'en sait trop rien. Et c'est justement ce qui inquiète Dinu Bumbaru, de l'organisme Héritage Montréal, qui considère le bâtiment comme un emblème patrimonial montréalais en raison de sa forme peu banale et de sa résonance historique. «Le maire a déjà laissé entendre que ce serait un bel endroit pour un projet immobilier, lance M. Bumbaru. Alors oui, c'est une question qui nous préoccupe.» Démolira? Démolira pas? À la Ville, on affirme que la réflexion est entamée, mais pas encore terminée. «Dire qu'on veut le détruire voudrait dire qu'on a déjà fait un choix, souligne Bernard Larin, attaché de presse au comité exécutif de la Ville. Pour l'instant, toutes les possibilités sont sur la table et on est en train d'étudier ça.» Que faire avec le Planétarium Dow, comme il s'appelait à l'époque? Comment recycler cet étrange objet architectural, moitié iglou, moitié spoutnik? Du plus farfelu au plus sérieux, architectes, designers, journalistes, urbanistes et spécialistes du patrimoine lancent quelques idées... Dinu Bumbaru Directeur des politiques, Héritage Montréal «Il faut faire preuve d'imagination. Personnellement, je le confierais à la Société des arts technologiques (SAT). Qu'on en fasse un salon de l'image. Un lieu consacré aux étoiles montantes des arts visuels, de l'art électronique - musique, infographie, création numérique. C'est un espace tellement exceptionnel qu'il ne faudrait absolument pas le banaliser. Les gens ne réalisent pas à quel point des endroits comme ça sont rares. Et celui-ci a son caractère propre. Il a été construit à l'époque d'Expo 67 et du métro. Pour nous, c'est un témoin de la volonté montréalaise de se situer dans la modernité.» Luc Noppen Historien d'architecture, professeur au département d'études urbaines et touristiques de l'UQAM «Spontanément, j'en ferais volontiers un grand amphithéâtre pour l'École de technologie supérieure (ETS), qui est juste à côté. L'autre option serait de démolir. Il y a de la construction immobilière qui va continuer à se faire dans le secteur. Mais ce serait dommage. C'est un édifice public avec une forme particulière. Si on a des quartiers qui ne sont faits que de parallélépipèdes destinés à abriter des appartements, ça devient un peu monotone.» Frédéric Metz Professeur de design, UQAM «Le bâtiment a une forme saugrenue, mais en même temps discrète. Il témoigne d'une époque où on faisait des choses un peu différentes. En ce sens, je trouve important de le sauvegarder. Maintenant, qu'en faire? J'ai trois options. Je mettrais l'institut Braille, vu qu'il fait tout noir. Ou alors un musée de la bière, parce qu'il avait été financé par la brasserie Dow. Sinon, je dirais un cirque de puces. Ou de chiens. Ou de nains. Ou de poneys. Un petit cirque pour être à l'opposé du Cirque du Soleil. Vous me trouvez farfelu? Le principe, c'est qu'il manque de fantaisie à Montréal...» Richard Lafontaine Architecte et membre de DOCOMOMO-Québec (Documentation and Conversation of Modern Movement) «Si on pense développement durable, il serait absurde de le démolir pour entasser encore plus de déchets de construction pour rien, alors qu'on pourrait se forcer pour lui trouver un autre usage. Il faut de l'imagination, mais je crois que le bâtiment est capable d'en prendre en matière de transformation. C'est la qualité des édifices modernes. Alors moi je dis qu'on conserve le bâtiment et son système de projection. Pour qui fait de la projection expérimentale, c'est une salle idéale.» Yves Beauchamp Directeur de l'École de technologie supérieure «L'option de récupérer le Planétarium, on la considère depuis longtemps. Tout le monde le sait. La seule chose, c'est qu'on ne paiera pas pour ça. Par contre, si on voulait bien nous le donner, on s'en occuperait. Ce serait un espace vert très intéressant pour notre communauté. Le bâtiment comme tel pourrait être utilisé comme incubateur pour les entreprises issues du travail de nos étudiants, de nos chercheurs. Ce serait une très belle vitrine pour l'école. Le grand avantage, si la Ville nous le donnait, c'est que, en notre qualité d'institution universitaire, nos en-lieux de taxes seraient payés par le provincial.» Philippe Lamarre Coéditeur du magazine Urbania «Aller au Planétarium, c'est comme être dans le coco de Jean Drapeau. Alors moi, j'en ferais un musée de tous les grands projets avortés de Montréal. On verrait le téléphérique reliant le mont Royal à l'île Sainte-Hélène, le restaurant sur le sommet de la croix du mont Royal, le métro jusqu'à Dorval, toutes ces choses-là... Imaginez un genre de Cyclorama, comme à Sainte-Anne-de-Beaupré. Sauf qu'au lieu de voir Jérusalem, ce serait les visions du maire Drapeau!» Daniel Gill Professeur, Institut d'urbanisme de l'Université de Montréal «Le Planétarium est situé dans une espèce de no man's land. Ça rend difficile d'y faire une activité qui pourrait être rentable. S'il était au centre-ville, on pourrait dire qu'il y a un potentiel, parce qu'il y aurait un achalandage. «On pourrait investir dans un équipement culturel qui changerait tout le quartier et qui entraînerait du développement. Mais il faudrait mettre des gros sous. Il faut penser les investissements publics en fonction de la mondialisation. Voir comment ils peuvent devenir attractifs pour les nomades de la planète. En investissant 200 ou 250 millions, on pourrait générer quelque chose.» * * * De la bière aux étoiles La petite histoire du Planétarium «dow» Construit en 1966, le Planétarium «Dow» a été entièrement financé par la brasserie Dow (d'où son nom) avant d'être offert à la Ville de Montréal. Il a été conçu par la firme d'architectes David, Barott&Boulva, qui a également collaboré au projet d'Habitat 67. Outre son design moderne et assez unique, l'endroit s'est longtemps distingué par son système de projection dernier cri, le «planétaire», de fabrication allemande, une «bibitte» à 2 têtes, 7 moteurs et 150 projecteurs qui aurait coûté un demi-million de dollars en 1965. Au moment de sa construction, il n'existait pas plus de 30 planétariums dans le monde. Une douzaine ont été construits depuis au Canada. Fait à noter: trois autres projets de planétariums avaient précédé celui de la brasserie Dow. Dès 1939, le directeur de l'Université McGill avait proposé la construction d'un planétarium dans le parc Maisonneuve... à quelques mètres de celui qui doit être construit en 2012. > Source: Conseil du patrimoine de Montréal
  16. Un nouveau projet de Construction Quorum. Très peu de détail sur leur site web autre que cette image et le fait que ce sera dans Griffintown. Illustrations fournies par le Groupe Quorum http://www.constructionsquorum.com/9-condos-griffintown-projet-william.html http://www.mongriffintown.com/
  17. Futur projet immobilier à venir sur l'emplacement de l'usine Thermetco Cohabitation impossible Journal Métro by Justine Gravel Depuis trois ans, les quelque 80 résidents d’une coopérative de la rue Basin, dans Griffintown, multiplient les demandes auprès de l’arrondissement pour régler les problèmes de bruit et d’émanations de fumée causés par l’usine de traitement thermique voisine, Thermetco, mais la situation demeure inchangée. Leurs problèmes seront bientôt derrières eux puisque l’usine déménagera à Châteauguay d’ici septembre 2018. Jour et nuit, la fumée émise par la cheminée installée sur le toit de l’usine se dirige directement vers les fenêtres des façades nord et sud de la coopérative de neuf étages, selon la direction du vent. «On a emménagé en novembre 2014. On avait les fenêtres fermées. Donc, on pensait que l’odeur provenait des échangeurs d’air. Mais à partir d’avril, quand on a ouvert les fenêtres, on a commencé à faire des démarches auprès de la direction de l’environnement parce que ça n’avait pas de bon sens», indique un résident de la coopérative, Alain Goyette. Ce dernier a commencé à voir sa santé se détériorer depuis qu’il a emménagé et selon lui, il y a une corrélation directe à faire. «Mon médecin m’a dit que mes narines, mes oreilles, mes yeux et mes cordes vocales sont pleins de particules de poussières et que ça allait de pire en pire. J’ai aussi souvent des maux de tête et des diarrhées», soutient-il. Aux dires du directeur général de l’usine, Jean-Sébastien Lemire, personne n’a prouvé que la fumée était nuisible pour la santé. Selon une analyse réalisée en 2015 par la firme GA Techno Environnement (GATE) à la demande de M. Lemire, les odeurs viennent principalement du séchage dans les fours des pièces trempées d’huile. Toutefois, l’échantillon étudié est en toute conformité avec les standards internationaux. La direction de l’environnement de la Ville de Montréal a tout de même fait plusieurs recommandations à l’usine afin de diminuer les émanations et les effets néfastes pouvant en résulter, ce qui n’a pas réglé le problème. Des avertissements ont été remis, mais aucun constat d’infraction. M. Goyette a demandé à ce qu’une analyse soit faite par la direction de l’environnement, ce qui a été réalisé en juin. Les résultats n’ont toutefois pas encore été divulgués et la Ville n’a pas voulu commenter la situation. Bruit «Quand les résidents ont emménagé, le premier problème a été celui du bruit. Pour le résoudre, on a cessé la livraison la nuit et on a investi 120 000$ en panneaux acoustiques», soutient M. Lemire. Toutefois, le problème demeure. «Ça fait trois ans que je dors les fenêtres fermées. En plus, on ne peut même pas avoir d’air conditionné selon le règlement de l’arrondissement», a déploré Brigitte Dumas, une autre résidente de la coopérative, lors du dernier conseil d’arrondissement. (Photo: Patrick Sicotte) M. Lemire admet que l’enveloppe extérieure de l’usine fait en sorte qu’il y a une résonnance qui dépasse le niveau de décibels que la Ville autorise. «À moins de refaire la façade au complet, on ne peut pas régler ce problème», indique-t-il. Changement de vocation L’arrondissement a donné son feu vert à la construction de la coopérative en 2014, à moins de 30 mètres de l’usine, installée sur la rue William depuis 1982. Aucune analyse n’a été faite pour mesurer la possible nuisance des vapeurs sur la santé des résidents. À l’époque, les futurs résidents de la coopérative ne savaient pas que c’était une compagnie de métallurgie. «Personne n’a fait de recherches. On croyait que c’était correct puisque l’arrondissement avait donné son autorisation. On nous a installé des détecteurs d’ammoniac et on nous a avisés que l’usine quitterait le quartier d’ici les deux prochaines années, ce qui n’était pas vrai», indique M. Goyette. M. Lemire n’avait effectivement pas prévu de déménager il y a trois ans. Toutefois, ayant réalisé que rien ne fonctionnait après avoir investi des sommes considérables pour améliorer la situation, il a décidé de mettre l’usine en vente. Thermetco déménagera dans le quartier industriel de Châteauguay et cèdera sa place à un projet immobilier, bien que la vente ne soit pas encore officiellement signée. «On n’a pas été en mesure de régler la situation. Il faut être réaliste, une usine de notre genre n’a plus sa place dans ce quartier qui a complètement changé de vocation», conclut-il, précisant qu’il comprend les résidents d’être épuisés, mais qu’il ne peut rien faire d’autre pour le moment. Les installations commenceront à bouger à compter de décembre, mais la cessation des activités de l’usine n’est prévue que pour l’automne prochain. M. Goyette espère que la cohabitation s’améliorera d’ici là.
  18. La seule image que j'ai trouvé, c'est un printscreen de La Presse+ :
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