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Économie du Québec ​​


Normand Hamel

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PIB de janvier

Québec : l’économie commence l’année en lion

L’économie québécoise a entamé l’année 2022 en lion, malgré les mesures sanitaires en vigueur en janvier. Après une augmentation de 0,2 % en décembre, le Produit intérieur brut du Québec a augmenté de 0,7 % en janvier, indique mardi Statistique Canada.

Un premier trimestre vigoureux

Cette augmentation de 0,7 % affichée en janvier est supérieure aux attentes des économistes, qui s’attendaient à un ralentissement de l’économie québécoise. Le résultat de janvier est tout à fait exceptionnel, estime Hélène Bégin, économiste principale de Desjardins. « La forte croissance économique en janvier assure plutôt un premier trimestre vigoureux », a-t-elle commenté.

Au Canada, en janvier, le PIB a crû au rythme sensiblement moindre de 0,2 %.

Une croissance annuelle de 4,9 % 

Entre janvier 2021 et janvier 2022, la croissance économique du Québec s’établit à 4,9 %, selon l’Institut de la statistique du Québec. Au Canada, pour la même période, le PIB est en hausse de 3,5 %.

Depuis un an, l’économie du Québec est stimulée par le commerce de détail (+16,5 %), la fabrication (+5,5 %), le commerce de gros (+10,7 %), les services d’enseignement (+8,2 %), les services professionnels (+6,3 %) et les soins de santé (+4,8 %).

https://www.lapresse.ca/affaires/economie/2022-04-26/pib-de-janvier/quebec-l-economie-commence-l-annee-en-lion.php

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Il y a 6 heures, Normand Hamel a dit :

PIB de janvier

Québec : l’économie commence l’année en lion

L’économie québécoise a entamé l’année 2022 en lion, malgré les mesures sanitaires en vigueur en janvier. Après une augmentation de 0,2 % en décembre, le Produit intérieur brut du Québec a augmenté de 0,7 % en janvier, indique mardi Statistique Canada.

Un premier trimestre vigoureux

Cette augmentation de 0,7 % affichée en janvier est supérieure aux attentes des économistes, qui s’attendaient à un ralentissement de l’économie québécoise. Le résultat de janvier est tout à fait exceptionnel, estime Hélène Bégin, économiste principale de Desjardins. « La forte croissance économique en janvier assure plutôt un premier trimestre vigoureux », a-t-elle commenté.

Au Canada, en janvier, le PIB a crû au rythme sensiblement moindre de 0,2 %.

Une croissance annuelle de 4,9 % 

Entre janvier 2021 et janvier 2022, la croissance économique du Québec s’établit à 4,9 %, selon l’Institut de la statistique du Québec. Au Canada, pour la même période, le PIB est en hausse de 3,5 %.

Depuis un an, l’économie du Québec est stimulée par le commerce de détail (+16,5 %), la fabrication (+5,5 %), le commerce de gros (+10,7 %), les services d’enseignement (+8,2 %), les services professionnels (+6,3 %) et les soins de santé (+4,8 %).

https://www.lapresse.ca/affaires/economie/2022-04-26/pib-de-janvier/quebec-l-economie-commence-l-annee-en-lion.php

J'ai l'Impression que nous sommes tellement habitué d'avoir de bonnes nouvelles économique au Québec, depuis quelques temps, que la xième annonce d'une bonne performance ne provoque même plus de réaction. Comme si cela faisait désormais parti de la normalité. C'est peut-être une bonne chose en fait car cela veut dire que nous atteignons une certaine maturité économique pour ne pas dire une confiance que nous n'avions pas il y a 10 ans à peine.

Mais je ne peux m'empêcher de remarquer que si les nouvelles étaient plutôt mauvaises, alors je n'ai aucun doute que les commentaires négatifs sur le gouvernement, sur le Québec, voir sur la langue seraient légion !  Comme quoi une série de bonne nouvelle économique peut faire ''disparaitre'' certains oiseaux de malheurs. 

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il y a 4 minutes, steve_36 a dit :

J'ai l'Impression que nous sommes tellement habitué d'avoir de bonnes nouvelles économique au Québec, depuis quelques temps, que la xième annonce d'une bonne performance ne provoque même plus de réaction. Comme si cela faisait désormais parti de la normalité. C'est peut-être une bonne chose en fait car cela veut dire que nous atteignons une certaine maturité économique pour ne pas dire une confiance que nous n'avions pas il y a 10 ans à peine.

Mais je ne peux m'empêcher de remarquer que si les nouvelles étaient plutôt mauvaises, alors je n'ai aucun doute que les commentaires négatifs sur le gouvernement, sur le Québec, voir sur la langue seraient légion !  Comme quoi une série de bonne nouvelle économique peut faire ''disparaitre'' certains oiseaux de malheurs. 

L'oiseau va revenir et il s'appelle inflation. N'oubliez pas que la maturité économique du Québec arrive toujours en FIN de cycle. Watch and learn.

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il y a 33 minutes, steve_36 a dit :

J'ai l'Impression que nous sommes tellement habitué d'avoir de bonnes nouvelles économique au Québec, depuis quelques temps, que la xième annonce d'une bonne performance ne provoque même plus de réaction. Comme si cela faisait désormais parti de la normalité. C'est peut-être une bonne chose en fait car cela veut dire que nous atteignons une certaine maturité économique pour ne pas dire une confiance que nous n'avions pas il y a 10 ans à peine.

Il s'agit d'une tendance lourde qui remonte à peu près au tournant du millénaire, c'est à dire depuis environ 20 ans. Mais au début c'était plutôt timide. Cependant nous avons quand même bien fait lors de la récession de 2002, et encore beaucoup mieux lors de la récession de 2009, et sans doute que nous passerons facilement au travers de celle qui s'annonce potentiellement pour l'année prochaine si elle n'est pas trop grave.

C'est que le Québec est en rattrapage perpétuel car notre économie a été malmenée lors des troubles politiques des 40 dernières années du XXe siècle. On accusait un assez gros retard de développement par rapport à la croissance naturelle de notre économie. Or on ne peut pas rattraper 40 ans en 20 ans. Il nous faudra donc un autre vingt ans selon moi pour rattraper l'Ontario. Mais au train où vont ls choses cela pourrait survenir bien avant. Surtout que nous avons un premier ministre qui en fait une obsession.

Je prévoyais une baisse des impôts pour la quatrième année du mandat du gouvernement actuel. Mais comme nous avons eu une pandémie qui a duré deux ans, en supposant qu'elle soit terminée, cela n'est selon moi que partie remise. Très certainement au cours du prochain mandat, à moins bien entendu qu'une récession majeure nous frappe.

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3 hours ago, steve_36 said:

J'ai l'Impression que nous sommes tellement habitué d'avoir de bonnes nouvelles économique au Québec, depuis quelques temps, que la xième annonce d'une bonne performance ne provoque même plus de réaction. Comme si cela faisait désormais parti de la normalité. C'est peut-être une bonne chose en fait car cela veut dire que nous atteignons une certaine maturité économique pour ne pas dire une confiance que nous n'avions pas il y a 10 ans à peine.

Mais je ne peux m'empêcher de remarquer que si les nouvelles étaient plutôt mauvaises, alors je n'ai aucun doute que les commentaires négatifs sur le gouvernement, sur le Québec, voir sur la langue seraient légion !  Comme quoi une série de bonne nouvelle économique peut faire ''disparaitre'' certains oiseaux de malheurs. 

Ce n'est pas que le Quebec qui affiche une bonne croissance économique. Les autres provinces aussi ont une forte croissance économique. 

Meme que nous sommes pas les premiers. 

https://thoughtleadership.rbc.com/provincial-economies-face-new-challenges-as-pandemic-threat-fades/

Taux de chomage en baisse, croissance économique en bonne hausse Dans la plupart des pays de l'OCDE. 

On ne vit pas une situation unique. 

 

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Il y a 9 heures, andre md a dit :

Ce n'est pas que le Quebec qui affiche une bonne croissance économique. Les autres provinces aussi ont une forte croissance économique. Meme que nous sommes pas les premiers.

Il faut faire attention de quoi l'on parle. Le billet de la Royal Bank parle de projections de croissance pour l'année 2022 tandis que la nouvelle que je rapportais plus tôt parle de la croissance enregistrée du PIB au mois de janvier 2022.

Aussi il faut comprendre que dans le contexte de la pandémie l'économie du Québec a moins de rattrapage à faire que les autres provinces car son économie a récupéré plus rapidement en 2021 avec une croissance plus hâtive qu'ailleurs (voir citation de La Presse du 23 septembre dernier).

Royal Bank (March 2022)

We nonetheless expect all provincial economies to continue to grow in 2022, albeit at a slower pace than in 2021

We have Alberta (+5.8%) and Saskatchewan (+5.7%) topping our growth rankings for 2022, followed by British Columbia (+4.3%) and Ontario (+4.2%). The Atlantic region rank at the lower end, in part reflecting the greater maturity of their expansions.

La Presse (2021-09-23)

"Après avoir récupéré plus rapidement de la pandémie, l’économie du Québec a maintenu son avance au deuxième trimestre avec un taux de croissance supérieur à celui du Canada."

On peut ajouter à cela que les provinces de l'ouest bénéficient du prix élevé du pétrole et cela ne reflète donc pas la croissance de leurs économies autant que la croissance des prix du pétrole.

Comme le signale l'article qui a engendré cette discussion:

Entre janvier 2021 et janvier 2022, la croissance économique du Québec s’établit à 4,9 %, selon l’Institut de la statistique du Québec. Au Canada, pour la même période, le PIB est en hausse de 3,5 %.

Dans le billet de la Royal Bank on trouve un tableau qui nous montre les intentions d'investissement pour l'année 2022 et on constate que le Québec est devant toutes les autres provinces à l'exception de la Saskatchewan, province pétrolière.

Capital investment.png

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Il y a 9 heures, andre md a dit :

Ce n'est pas que le Quebec qui affiche une bonne croissance économique. Les autres provinces aussi ont une forte croissance économique. 

Meme que nous sommes pas les premiers. 

https://thoughtleadership.rbc.com/provincial-economies-face-new-challenges-as-pandemic-threat-fades/

Taux de chomage en baisse, croissance économique en bonne hausse Dans la plupart des pays de l'OCDE. 

On ne vit pas une situation unique. 

 

À l'échelle du monde, certains sont optimistes, d'autres moins, et d'autres encore, carrément pessimistes.  Je suis disposé à admettre que les perspectives économiques canadiennes peuvent être meilleures, mais je ne crois pas que l'assombrissement des perspectives mondiales serait sans effet sur le Canada.     

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il y a 7 minutes, Né entre les rapides a dit :

je ne crois pas que l'assombrissement des perspectives mondiales serait sans effet sur le Canada.

Personnellement, ce que je crains le plus pour le Canada à court et à moyen terme c'est la hausse des taux d'intérêt qui pourrait considérablement ralentir le secteur immobilier. Par contre pour l'année 2022 il n'y a pas de soucie à cet égard compte tenu du nombre élevé des mises en chantier en cours.

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Un « Uber de l’espace » fait ici

 

PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE

Reaction Dynamics, une entreprise de St-Jean-sur-Richelieu, s’apprête à lancer la première fusée canadienne en orbite grâce à un partenariat avec une entreprise des Maritimes.

Une entreprise de Saint-Jean-sur-Richelieu se prépare à lancer la première fusée canadienne en orbite. Il s’agirait aussi de la toute première fusée à être lancée dans l’espace à partir du Canada grâce à un partenariat avec une entreprise des Maritimes.

Publié à 6h30

https://www.lapresse.ca/affaires/2022-05-04/un-uber-de-l-espace-fait-ici.php

Richard Dufour La Presse

Reaction Dynamics, que ses ambitions positionnent éventuellement en concurrence avec des entreprises comme SpaceX (du milliardaire Elon Musk) et Rocket Lab (dont la valeur avoisine les 3,5 milliards au NASDAQ), doit révéler mercredi une entente avec Maritime Launch Services, un site de lancement en Nouvelle-Écosse.

Cet accord permet à Reaction Dynamics de devenir un fournisseur de fusées pour des clients souhaitant envoyer de petits satellites (poids moyen de 170 kg) dans l’espace à « faible coût ».

Un premier vol test est prévu en fin d’année et un vol de démonstration sous-orbital de la fusée Aurora suivra en milieu d’année l’an prochain pour permettre de valider la technologie de l’entreprise québécoise. Ce vol de démonstration en 2023 se dessine pour être le tout premier lancement effectué sur le site de Maritime Launch en Nouvelle-Écosse.

Fondée il y a cinq ans, Reaction Dynamics est un fabricant de fusées offrant des services de lancement de satellites. « Notre objectif est d’être un FedEx ou un Uber pour nos clients », lance Bachar Elzein, fondateur, PDG et directeur technique de Reaction Dynamics.

« On veut que les satellites puissent se rendre à des orbites et altitudes bien précises », ajoute le Montréalais qui aura 33 ans la semaine prochaine.

 

PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE

Bachar Elzein, fondateur, PDG et directeur technique de Reaction Dynamics

On utilise un système de propulsion environnementalement supérieur à celui de nos concurrents, mais surtout plus abordable et cela est dû à la simplicité du système de propulsion qu’on a développé.

Bachar Elzein, fondateur, PDG et directeur technique de Reaction Dynamics

« On veut prouver qu’il fonctionne en vol et non seulement au sol. »

Fusées plus « vertes »

Si Reaction Dynamics réussit son pari, l’entreprise pourrait perturber le marché du lancement en orbite.

Bachar Elzein vise un premier vol orbital « approximativement deux ans » après avoir effectué le vol de démonstration. « On vise donc 2024 », dit cet ex-étudiant de Polytechnique Montréal.

Reaction Dynamics soutient que ses fusées émettront, selon les test actuels, 50 % moins de tonnes de CO2 équivalent que la compétition. Si l’impact des lancements demeure marginal aujourd’hui, il pourrait rapidement devenir critique de préserver l’environnement tout en assurant des lancements fréquents, compte tenu de la croissance prévue de l’industrie. Avec sa technologie, l’entreprise se positionne comme l’un des pionniers de l’accès durable à l’espace.

Inscrite en Bourse depuis la semaine dernière, Maritime Launch installera la rampe de lancement près de son siège social de Canso, en Nouvelle-Écosse, une petite ville située au sud de l’île du Cap-Breton donnant directement sur l’océan Atlantique.

L’industrie est en pleine croissance, souligne le grand patron de Maritime Launch, Steve Matier. « Plusieurs développeurs canadiens de satellites aimeraient profiter de capacités de lancement au pays, incluant le gouvernement. Tout ça fait partie de la collaboration avec Reaction Dynamics », dit-il en entrevue.

L’industrie dans son ensemble est déjà évaluée à 400 milliards. Le Canada a l’opportunité de prendre une part de ce marché.

Steve Matier, grand patron de Maritime Launch

Bachar Elzein dit avoir en poche des lettres d’intérêt d’une valeur s’approchant du demi-milliard de dollars de la part d’une douzaine de clients du Canada, des États-Unis et d’Europe intéressés à effectuer des lancements avec une fusée de Reaction Dynamics.

« Beaucoup de ces clients font de l’imagerie et de la télédétection, et la mise en orbite de satellites leur permettra de générer des données », dit-il.

Bachar Elzein dit aussi avoir des discussions avec des opérateurs de télécommunications.

Il évalue le marché potentiel de Reaction Dynamics à quelque 10 000 satellites d’ici les 7 prochaines années. « Et ce chiffre grossit chaque semaine », dit l’entrepreneur aux racines libanaises.

Bachar Elzein est reconnaissant d’avoir jusqu’ici notamment pu compter sur l’appui d’investisseurs privés, d’Investissement Québec et de l’Agence spatiale canadienne.

Il ne veut pas révéler combien l’entreprise a pu recevoir en financement depuis sa fondation, mais à titre d’exemple, dit-il, « une entreprise qui arrive au point où elle est capable de développer et qualifier des moteurs-fusées orbitaux, ça prend habituellement entre 50 et 100 millions. On a réussi à faire ça pour 10 fois moins. »

Sur le point de clôturer une ronde de financement, Reaction Dynamics compte aujourd’hui sur un effectif d’une trentaine d’employés. Le PDG espère que l’entreprise aura une centaine d’employés d’ici deux ans et un effectif de 2000 employés d’ici 5 à 6 ans.

« Le marché est là. Beaucoup des clients à qui l’on parle souhaitent lancer un satellite relativement rapidement. Il y a immensément de demande pour ce qu’on fait. Pour qu’on puisse garder cette opportunité-là et capturer ce marché le plus rapidement possible, il faut progresser vite. »

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Voici une observation "peut-être" 😆 biaisée de ma part, mais la voici quand même.  Je trouve que le thème Économie du Québec attire des nouvelles trop disparates, notamment des nouvelles qui ont trait à des entreprises spécifiques  (expansion, nouveaux contrats, acquisitions, etc.).  Ces nouvelles sont souvent importantes, et méritent certainement d'être publiées et commentées.  La question n'est pas là; le problème, à mes yeux, c'est que ça communique une impression générale d'optimisme, indépendamment de la performance globale de l'économie.  Bon an mal an, il y a toujours  quelques bonnes nouvelles qui font la manchette; ce serait la même chose a contrario si les médias s'acharnaient à ne publier que les mauvaises nouvelles (fermetures etc.).  Je pense que ni les unes ni les autres ne suffisent pour fournir un portrait fidèle de la réalité économique.  

Ce n'est pas spécialement sur le forum MTLURB que ça se produit.  Dans les médias généraux, ceux qui sont les plus consultés, les nouvelles dites "économiques"  font aussi ce mélange des genres.  Je préférerais qu'on les présente séparément  -- une rubrique pour les nouvelles du monde des affaires, et une autre pour l'état de l'économie.  Il y a seulement quelques cas  -- des projets majeurs pouvant avoir un impact significatif sur (au moins) une économie régionale, voire même provinciale/nationale, qui mériteraient d'être discutés sur les deux tableaux.  

Pour ce message, j'ai été inspiré par mon écoute régulière d'une émission d'information de France, où le dernier reportage du jour se termine presque invariablement par une "bonne nouvelle", si peu importante soit-elle, comme s'il suffisait d'un peu de gâteau pour nous réconcilier avec toutes les affres et autres inquiétudes rapportées juste avant.  

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