Aller au contenu

ToxiK

Membre premium
  • Compteur de contenus

    6 319
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    22

Tout ce qui a été posté par ToxiK

  1. L'article dénonce le modèle "privé" de la Caisse, les "caprices" des lobbys et la rentabilité économique, mais ne mentionne pas que les NIMBY et une administration municipale complaisante ont eu raison du REM de l'Est, et que les villes de la Rive-Sud semblent avoir fait dérailler les REM sur Taschereau parce qu'elles voulaient protéger la beauté de ce boulevard... En gros, une opinion dans Le Devoir blâme la droite, mais pas la gauche... C'est sûr que quand c'est quelqu'un d'autre qui paye, on peut faire la fine bouche pour chaque élément dérangeant dans un projet (on peut le voir, l'entendre, quelqu'un d'autre que Moi va faire des profits avec, ça n'embauche pas assez d'employés syndiqués, ça n'enlève pas assez de place aux voitures, On ne veut pas de stationnements dans des villes voisines, on préfère des pistes cyclables...). On ne fait pas d'omelettes sans casser des œufs, on ne fait pas de projets de TEC sans déranger des NIMBY. J'espère que la nouvelle agence aura une vision de rentabilité (dans le sens qu'elle sera responsable des coûts de construction et des coûts d'opérations des projets, comme ça elle choisira le meilleur système globalement), et qu'elle aura le pouvoir de passer outre les caprices des villes et le chialage des NIMBY. Oui, il faut écouter leurs doléances et essayer de réduire au minimum les nuisances, mais si on décide d'y aller, il faut le faire. On peut négocier sur le Comment, mais pas sur le Quoi, et ne triplera pas le coût d'un projet pour l'enfouir sur un trajet où il sera plus qu'adéquat surélevé, et on ne réduira pas son impact en faisant un tramway quand un autre système (moins populaires pour des raisons énumérées plus haut) est décrié par certains, mais est quand même plus efficace.
  2. Oui, mais grâce au 20-20-20, 60% des nouveaux logements sont abordables, ça doit bien faire baisser les prix, non ? Je ne suis pas très fort en maths, 60% de 0 nouveaux logements, ça fait combien ???
  3. Ca ne donne pas grand chose d'avoir un plan sérieux si les NIMBY ont le dernier mot et qu'ils ne veulent rien. C'est comme avoir le meilleur plan pour un voyage en voiture (le cauchemar de Projet Montréal...), avoir les meilleurs cartes, avoir tout bien empaqueter et avoir fait le plein d'essence (encore, l'horreur...), mais que le chauffeur, lui, décide qu'il ne veut pas partir et se sauve avec les clés...
  4. Pas encore... #imperatricevalerie
  5. Parce que si on laisse les studios sur le territoire de Projet Montréal, les seules scènes de poursuites qu'on pourra y faire seront en vélo... Dans le prochain Transformers filmé à Montréal, Optimus Prime se transformera en BMX... 🤖🚲
  6. Laval Des studios de cinéma sur une terre cultivable PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE Le terrain voué à devenir la Cité du cinéma appartient à la Ville de Laval et a été cultivé jusqu’en 2022. La Ville de Laval déroule le tapis rouge pour permettre la construction de l’un des plus grands complexes de studios de cinéma en Amérique du Nord sur un terrain qui était jusqu’à tout récemment en culture. Publié à 0h57 Mis à jour à 5h00 DAPHNÉ CAMERONLA PRESSE CE QU’IL FAUT SAVOIR Le conseil municipal de Laval doit se prononcer ce mardi soir sur une modification de son schéma d’aménagement pour permettre la construction d’un grand complexe de studios de cinéma. Des groupes citoyens et environnementaux se portent à la défense de la vocation agricole de ce terrain en « zone blanche », mais cultivé jusqu’en 2022. Le maire Stéphane Boyer souligne que les consultations citoyennes l’ont amené à réfléchir à une meilleure protection du territoire agricole au-delà de ce projet. Bien que le terrain ne soit pas officiellement en territoire agricole protégé, deux visions s’affrontent à Laval. Des groupes de citoyens et des environnementalistes souhaitent que la tradition agricole du terrain soit maintenue, tandis que le maire et le promoteur rêvent de faire de Laval une plaque tournante du cinéma. Le conseil municipal de Laval se réunira, ce mardi soir à 17 h 30, en séance extraordinaire afin de voter pour modifier son schéma d’aménagement. Un changement de zonage permettra l’érection de sept studios, dont un de 60 000 pieds carrés, ce qui en ferait le plus gros en Amérique du Nord. Le terrain de 2,2 millions de pieds carrés situé dans le quartier Saint-François appartient présentement à la Ville. Si le changement de zonage est entériné comme prévu, Laval compte ensuite vendre le terrain pour la somme de 32,1 millions à l’homme d’affaires Michel Trudel, ancien dirigeant des studios MELS. PHOTO RÉMI LEMÉE, ARCHIVES LA PRESSE Michel Trudel, en 2008 Figure très connue du monde cinématographique, Michel Trudel a attiré pendant des décennies de grandes productions hollywoodiennes au Québec. Le projet baptisé « Cité du cinéma » ou « Trudel Studios » serait situé face à l’avenue Marcel-Villeneuve, dans l’est de l’île. Il prévoit aussi des loges d’artistes, des ateliers de fabrication de costumes, des ateliers de production de décors et des entrepôts. « Incohérent » Cette décision va dans le sens contraire de ce que le maire Stéphane Boyer a défendu la semaine dernière devant la consultation nationale visant à moderniser la Loi sur la protection du territoire agricole, déplore Carole-Anne Lapierre, porte-parole de l’Alliance SaluTERRE, regroupement qui vise à protéger les terres agricoles. Le maire Boyer a dit vouloir augmenter la superficie des terres cultivées à Laval et même agrandir le territoire agricole protégé dans l’île1. « Ça nous a surpris parce que pour nous, c’est incohérent avec la décision qui va être annoncée que la Ville veut aller de l’avant avec le projet de la Cité du cinéma, tout ça sur une terre cultivable », regrette celle qui est aussi analyste chez Équiterre. PHOTO ROBERT SKINNER, LA PRESSE Carole-Anne Lapierre, porte-parole de l’Alliance SaluTERRE Bien que le terrain ne soit pas situé en « zone verte », une portion était cultivée jusqu’en 2022 par deux entreprises agricoles en alternance. Du maïs, du soya, des brocolis et des choux y ont poussé pendant des décennies. Au moment du dépôt du projet, les fermes ne possédaient toutefois pas de bail avec la Ville pour exploiter ces terres. « Le sol vivant, c’est quelque chose d’irremplaçable », explique Mme Lapierre. Une fois que la terre est bétonnée, elle est perdue à jamais. Donc même si ce lot-là, ça a l’air petit et que ça n’a pas l’air grave, nous, le message qu’on voudrait passer, c’est qu’il est encore temps de faire le bon choix et que chaque terre compte. Parce que la perte de terre agricole, c’est rarement à coup de centaines de milliers d’hectares à la fois, c’est toujours quelques dizaines d’hectares par-ci, par-là, que l’on grignote. Carole-Anne Lapierre, porte-parole de l’Alliance SaluTERRE Le terrain actuel est zoné à 40 % industriel et à 60 % résidentiel. On prévoyait y bâtir un écoquartier. Si tout se passe comme prévu, le zonage deviendra 100 % industriel. « Le maintien de ces terres est un pilier fondamental pour garantir notre autonomie alimentaire dans un contexte de changements climatiques croissants », estime Jonathan Tremblay, co-porte-parole de la Coalition Mobilisations Citoyennes Environnementales de Laval. « C’est un très beau projet au mauvais endroit », croit pour sa part le chef de l’opposition à l’hôtel de ville, Claude Larochelle. « On n’a vraiment pas l’impression que le service du développement économique a fait sa job de vraiment trouver d’autres alternatives pour M. Trudel. Mais évidemment que les autres alternatives, ça ne sera pas un terrain de la Ville qu’on va tout zoner correct et vous vendre ça à un prix que tout le monde aimerait avoir », ajoute-t-il. Le maire Boyer croit au projet Cet investissement pourrait atteindre 200 millions, venir créer entre 250 et 500 emplois et générer des revenus de taxes de 3 millions annuellement, estime la Ville de Laval. « Oui, c’est un terrain qui peut être cultivé et qui a déjà été cultivé comme bien des terrains à Laval, mais c’est un terrain qui est voué au développement résidentiel et industriel, et c’est le seul terrain qui peut accueillir le projet », a répliqué le maire Boyer en entrevue avec La Presse. Un sondage Léger réalisé auprès de 502 répondants en octobre 2022 révèle que 58 % des citoyens sont pour le projet, 26 % sont contre et 15 % ont refusé de répondre ou sont indécis. « Ce dossier-là a grandement contribué à notre réflexion sur les zones agricoles bien au-delà de ce terrain-là », a-t-il ajouté. PHOTO HUGO-SÉBASTIEN AUBERT, ARCHIVES LA PRESSE Stéphane Boyer, maire de Laval C’est pourquoi, dit-il, à la prochaine séance ordinaire du conseil municipal, le 6 février, le conseil adoptera une motion pour demander au gouvernement du Québec « d’appuyer la Ville de Laval dans sa volonté de valoriser et optimiser l’utilisation de son territoire agricole, incluant la possibilité d’agrandir la zone agricole permanente ». « Je trouve ça intéressant, en fait, le dialogue que ç’a permis depuis deux ans. » Il promet de réinvestir la moitié de la somme de la vente du terrain – soit 16 millions – dans le quartier Saint-François. Terres squattées ? Appelé à réagir, le promoteur Michel Trudel réplique que les terres ont été cultivées sans entente formelle. « Elle a été volée pour cultiver. On va dire les vrais mots », dit-il. « Ils ne les ont pas mis en prison pour [avoir] planté des patates, mais là, la Ville dit : ‟OK, c’est assez, on veut notre terrain”, c’est tout. » « Ils m’auraient trouvé le même terrain, mais à une autre place, ça ne change rien pour moi, […] il fallait que le terrain soit correct, qu’il n’y ait pas de zone brune, qu’il n’y ait pas de zone humide, pas de ouaouarons et de crocodiles et tout ce que tu voudras parce qu’ils virent tous fous avec leurs bibittes. C’est un terrain qui est clean, qui est prêt à construire », ajoute-t-il. Serge Mathieu, propriétaire de l’une des deux fermes qui a cultivé la parcelle, n’est pas contre le projet. Ça fait peut-être 20 ans qu’on cultive là. On ne savait même pas c’était à qui le terrain, donc on n’avait pas d’entente avec personne. Serge Mathieu, agriculteur Que pense-t-il des groupes et citoyens qui se sont mobilisés ? « Toute du monde qui ne connaissent rien », a-t-il indiqué. Comme les « gens de la ville » qui veulent « conserver les grenouilles ». La deuxième entreprise, les Productions Margiric, n’a pas répondu à La Presse. « Il faut trancher » « Je ne sais pas pourquoi les citoyens veulent tout le temps nous embarquer là-dedans », ajoute de son côté le président de l’Union des producteurs agricoles de Laval, Gilles Lacroix. « Si les citoyens veulent se draper dans la défense du patrimoine, bien qu’ils nous aident à garder notre 28 % [de terres agricoles protégées à Laval], qu’ils nous aident à le développer, qu’ils viennent acheter nos produits pour qu’on soit capables de vivre. » D’après un rapport de consultation qui sera présenté ce mardi soir au conseil municipal, Laval indique avoir reçu, par écrit, 167 « interventions favorables » au projet et 32 « interventions défavorables ». « Dans la vie, il faut faire des choix, il faut trancher, et je pense qu’on est capables de permettre ce projet-là, de faire du développement économique. C’est un beau projet, ce n’est pas une bétonnière, ce n’est pas un entrepôt Amazon, c’est une nouvelle industrie qu’on vient créer sur la Rive-Nord », dit le maire Boyer. https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/2024-01-30/laval/des-studios-de-cinema-sur-une-terre-cultivable.php
  7. Si c'est dans le Devoir, c'est sure que Valérie Plante va le lire... Ça va lui donner des idées...
  8. Too many NIMBYs have way too much power (except when they oppose bicycle lanes in Montréal, of course...). And mayors that don't have to pay for projects demand luxury features that we can't afford (especially if we want to build more transit projects to more places). In the end, the mayors will blame the CAQ and call them "anti-transit" and play the victim card to get more money for their pet projects (or for oysters)...
  9. Ou la combinaison Centre Vidéotron et Nordiques...
  10. À voir l'intérêt de Johan pour ce projet, si l'appel d'offre est retiré il va en faire une crise de panique et va aller se terrer avec Rocco et on ne le verra plus pendant un mois... 🚆
  11. ToxiK

    Fillière batteries

    Tu viens de déménager au pays des licornes...
  12. ToxiK

    Fillière batteries

    Il y en a encore qui pensent que le "but" d'Alain Côté était bon... 🏒⛳
  13. ToxiK

    Fillière batteries

    à 8h56 ce matin, le Québec était à 8 999 992 habitants *. On est viable avec une telle population, de la même façon qu'on était viables avec 8 millions, et 7 millions d'habitants. La croissance à tout prix n'est pas le seule modèle viable. Si on ne peut pas trouver des gens qui veulent vivre en français, on peut accepter une baisse de la croissance de la population, voire une baisse nette de la population. Oui, ça veut dire une baisse du PIB total, mais pas nécessairement une baisse du PIB par habitant. On pourrait à avoir à sacrifier des industries, alors choisissons les moins rentables et les plus polluantes. * https://www150.statcan.gc.ca/n1/pub/71-607-x/71-607-x2018005-eng.htm
  14. ToxiK

    Fillière batteries

    Après ça on blâme les promoteurs pour des projets qui échouent...
  15. ToxiK

    Fillière batteries

    Mario Dumont aussi donne son opinion: https://www.journaldemontreal.com/2024/01/24/la-reputation-du-quebec-parmi-les-investisseurs-du-monde
  16. ToxiK

    Fillière batteries

    ⬆️ Une chronique de Yasmine Abdelfadel sur le sujet: https://www.journaldemontreal.com/2024/01/24/sabotage-des-arbres-ces-criminels-qui-se-disent-militants
  17. Bravo de t'être très bien intégré au Québec. Ceci dit, ce ne sont pas tous les immigrants qui le font, ou même qui le veulent (Michael Rousseau...). Je ne retrouve pas les statistiques mais je crois que malgré que les francophones représente environ 80 % de la population, une proportion plus proche de 50 % des immigrants préfèrent s'intégrer à la population anglophone. Dans ces conditions là, oui l'inmmigration contribue à angliciser le Québec. C'est encore plus vrai dans la région de Montréal ou la très grande majorité des immigrants aboutissent et ou la proportion de francophones est plus basse. On revient à la situation d'avant les années 60 et avant quand c'était difficile de se faire servir en français à Montréal. Il y a beaucoup de forces contre le français au Québec. Le mammouth américain au sud, les entreprises qui préfèreraient tout faire en anglais sur le continent, certaines factions du RDC qui n'adoreraient rien de plus que de confirmer leur victoire de 1759 et qui espèrent qu'en devenant à majorité anglophone, le Québec ne ferait qu'approuver telle ou telle politique désirée par le Canada anglais, peu importe que ce soit avantageux ou non pour le Québec. Balarama Holness le disait, ce n'est qu'une question de temps pour que la démographie ne change à Montréal et au Québec pour que les Québécois francophone n'aient plus beaucoup de pouvoir sur ce qui se passe au Québec (encore moins au niveau fédéral). Il faut que les immigrants qui viennent au Québec viennent au Québec, pas simplement dans le Bas-Canada ou aux États-Unis junior. Et au Québec, on a des valeurs non négociables comme la laïcité, l'égalité homme femme et le français. Les immigrants doivent savoir dans quoi ils s'embarquent quand ils immigrent au Québec, si ça ne leurs va pas, le Québec n'est peut-être l'endroit pas pour eux. C'est pas mal la différence entre l'interculturalisme québécois et le multiculturalisme canadien; au Québec, les nouveaux arrivants s'adaptent à leur société d'acceuil, au Canada-anglais, c'est la société d'accueil qui doit s'adapter aux immigrants. La CAQ veut quand même accueillir entre 50 000 et 60 000 immigrants permanents (je crois qu'en prime ça exclue les étudiants, les travailleurs temporaires et les réfugiés). Et ce, après des années records. Pas si mal pour un parti supposément xénophobe, non?
  18. On a quand même plus d'ouvriers sur les chantiers que ce qu'on aurait si les règles avaient de l'allure. Un grand nombre de ces ouvriers ne font rien car ils attendent de pouvoir faire leur partie de la job. S'il n'y avait pas cette attente syndicale, il y aurait davantage de travail par employé de fait, soit une augmentation nette de la productivité. Et si on avait ce genre de productivité par employé, ça serait peut-être plus intéressant pour les employeurs d'en avoir plus parce que les employés supplémentaires travailleraient réellement plutôt que d'attendre l'accord de leur syndicat pour travailler.
  19. Je n'ai pas dis qu'eux autres en particulier coûtaient plus cher, juste qu'ils ne représentent pas nécessairement la majorité des travailleurs immigrants. On parle de quoi, 500 000 travailleurs temporaires, un grand nombre d'entre eux dans le secteur agricole, probablement à un salaire proche du minimum. Ils rapportent beaucoup à leur employeur, mais a-t-on encore les moyens d'avoir des emplois à ce salaire au Québec dans notre structure économique actuelle? Dans les années 40 et 50, Duplessis devait donner nos ressources pour aller chercher des emplois miniers pour qu'on puisse se développer une expertise. Dans les années 70, Bourassa devait aller chercher des emplois manufacturiers à tout prix puisque l'urgence à l'époque était le chômage. De nos jours, pour augmenter la tarte fiscale, on doit aller chercher des salaires plus élevés (on ne peut plus réalistement augmenter les taux d'imposition, n'en déplaise à Québec Solidaire...). La filière batterie va dans ce sens, mais il faudra probablement sacrifier des pans à plus faible valeur ajoutée de l'économie. Oui, les réfugiés coûtent cher, il va falloir faire quelque-chose à ce niveau. Demander un visa de la part des visiteurs mexicains devrait aider, mais il faudra que les autres provinces fassent aussi leur part. Le Québec n'a pas à recevoir (et à s'occuper de) 40 à 45 % des demandeurs d'asile. Ce n'est pas politiquement correct de le dire... quand on est Québécois. Le reste de Canada commence à se plaindre, donc il y a peut-être un problème. Le Québec se plaint, c'est qu'on est racistes...
  20. On peut le faire en changeant les règlements qui exigent qu'il y ait quelque-chose comme 7 employés de professions différentes présents pour poser une poignée de porte ou pour changer une ampoule électrique... La CAQ travaille sur un projet de loi dans ce sens, au grand dam des syndicats.
  21. C'est ce que je dis depuis le début, il faut augmenter la productivité. De meilleurs moyens de production veut souvent dire moins d'employés pour faire le même résultat. Voici un article parlant de meilleurs moyens de production pour les restaurants: https://www.cbc.ca/news/business/automation-restaurant-industry-1.7089291
  22. Tant mieux, mais ce n'est pas le cas de tous les immigrants, et c'est encore plus vrai quand ils font venir leur famille. Trop souvent, les immigrants temporaires (et parfois les permanents) servent de cheap labor, ce qui exerce une pression à la baisse sur les salaires, tout en causant une pression à la hausse sur les logements. À partir d'un certain point, un employé coûte plus cher à l'État que ce qu'il rapporte. C'est une chose si ces personnes sont nées au Québec (donc pour lesquelles on a une responsabilité), mais c'est une autre histoire quand on va chercher des gens ailleurs pour occuper des postes pour lesquels les employeurs ne veulent ou ne peuvent pas payer davantage et pour qui on devra compenser les bas salaires avec des subventions et des services sociaux. Le Québec n'est plus à l'époque où il fallait créer des emplois à tout prix, peu importe le salaire. Il faut créer des emplois à plus forte valeur ajoutée avec des salaires plus élevés, ce qui occasionnera plus de revenus par travailleur pour l'État (et moins de subventions et aide au revenus pour les plus pauvres) qui pourront être réinvestis dans les services publics ou dans des baisses d'impôts.
  23. Dis pas ça à Valérie Plante, elle va les faire déporter...
  24. ToxiK

    Fillière batteries

    Je pense que les gens qui ont fait ça ne sont pas tant des amoureux des arbres que des détesteurs du capitalisme et du développement. Beaucoup de pseudo-environnementalistes sont en fait des anticapitalistes qui se servent de la très légitime cause environnementale pour la détourner vers leurs propres objectifs idéologiques.
×
×
  • Créer...