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Né entre les rapides

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Tout ce qui a été posté par Né entre les rapides

  1. Sur ce point, c'est déjà largement "commencé" dans plusieurs secteurs, tandis que sur le territoire de la Ville de Montréal, à l'exception évidente du centre-ville et de Griffintown, on limite encore beaucoup les hauteurs permises (pas des unifamiliales, mais des plexes de trois-quatre étages --typiquement pour de bonnes raisons, comme le respect du cadre bâti). Dans les secteurs "neufs", où la considération du cadre bâti (existant) est moins pertinente, je vois plus de nouvelles constructions en hauteur au centre de Laval et à Brossard par exemple, qu'à RDP ou PAT. Et je ne peux pas non plus ne pas remarquer que la quête de densité à Montréal n'a pas empêché l'éclosion d'un vaste ensemble de maisons unifamiliales "de prestige" dans l'ouest de l'arrondissement Saint-Laurent (voir la rue Jean-Gascon et ses environs): difficile de voir la différence avec le secteur "L" de Brossard ou du sud-est du quartier Sainte-Dorothée à Laval (ou au moins on trouve une rue de maisons en rangée et trois tours). Dans la région de Montréal, les terrains disponibles pour de nouvelles unifamiliales se trouvent principalement dans la deuxième couronne, souvent au-delà des limites de la CMM.
  2. La "ligne Mascouche", ou "Train de l'Est" est certainement une déception, elle a coûté cher pour sa faible fréquentation. Cependant, je ne sais pas trop à qui attribuer la faute, y compris pour sa conception et son trajet, notamment sur la Rive-Nord où il a fallu construire un contournement d'une usine dangereuse et une nouvelle voie ferrée. Elle n'est pas non plus à l'usage exclusif des habitants de la Rive-Nord: elle compte sept stations sur l'Île de Montréal, et trois en banlieue. Elle avait été réclamée autant par les Montréalais de l'Est que les banlieusards du nord-est, et à son ouverture tout le monde (?) lui avait prédit un franc succès (peut-être en forçant un peu pour susciter plus d'enthousiasme). En ce qui a trait aux futurs projets dans l'est/nord-est, il vaut la peine de faire une comparaison de population, même si on ne doit pas présumer d'une égale propension à utiliser le TEC: - Arrondissement RDP-PAT: 106,000 - Ville de Montréal-Est: 4,000 - Parties des arrondissements d'Anjou et de Mercier-Hochelaga-Maisonneuse à l'est de l'A-25: x - Arrondissement de Montréal-Nord (même si son territoire est entièrement situé à l'ouest de l'A-25): 84,000 - MRC de l'Assomption: 126,000 - MRC Les Moulins: 158,000 Dans tous les cas, il serait intéressant de connaître les principales destinations régulières des habitants de ces secteurs; je ne pense pas que la population totale soit un indice suffisant en soi pour déterminer les priorités en matière d'accroissement/amélioration du TEC.
  3. En effet. Mirabel fait partie de la CMM et de la RMR de Montréal. Cependant, tant dans le cas de Mirable que des autres banlieues, il est important de connaître les principales destinations régulières (par exemple pour le travail) des résidents). La destination "Montréal" ne dit pas tout; il faut pouvoir distinguer entre le centre des affaires, les autres pôles desservis par le métro et les trains, et les parcs industriels à l'extérieur de ces circuits, notamment dans l'Ouest-de-l'Île mais aussi dans l'Est de Montréal. Le train de banlieue peut attirer ceux qui se dirigent au centre-ville; le REM pourra aussi attirer ceux qui vont dans l'Ouest-de-l'Île (si le service de bus entre les stations et leurs destinations est adéquat). Dans les plans actuels, il n'y aura pas de correspondance directe entre le train de Saint-Jérôme et l'antenne du REM qui servira l'Ouest.
  4. République de bleuets? Je n'ai découvert qu'une seule fois où cette expression a été utilisée; c'était il y a cinq ans, cinq mois et 27 jours. Ton message va-t-il dans le même sens? Si c'est le cas, c'est sérieux.
  5. C'est fou comme le monde est petit! --Une phrase qu'on entend souvent, tellement elle est vraie. Cela fait de toi quelqu'un qui a une relation privilégiée avec le REM!
  6. Depuis un certain temps, j'étais intringué par le nom de la compagnie, Rizzani de Eccher, inscrit sur les deux lanceurs. Eh bien oui! Elle est établie à Udine, dans la région autonome italienne de Frioul-Vénétie Julienne où, outre l'italien qui est la langue officielle, le frioulan, le slovène et l'allemand sont reconnus comme langues minoritaires.
  7. (ci-dessus un autre extrait de l'article cité par acpnc) Cette "invitation", qu'on entend régulièrement depuis quelques années, a manifestement été moins suivie dernièrement, pour la raison que l'on connait. Quelque chose devra changer pour qu'on puisse y revenir pleinement, et je ne sais pas quand ce sera possible (je pense notamment aux normes de distanciation).
  8. WOW! Quel beau texte digne d'un roman d'horreur! Les couloirs trop larges, trop blancs... comme dans In the white room with black curtains near the station... (Cream, 1968). Même ton cygne dans son dernier chant fait un signe qui ne ment pas... Il n'y a pas plus artistique dans le genre. (ce commentaire, le mien, peut faire partie de ma collection personnelle de Pensées de la nuit; le tien irait bien aussi dans ta propre collection --oh pardon, que de présomption de ma part!) Ce qui est certain, puisqu'on discute d'immobilier commercial, c'est que la rénovation n'apparaît pas très réussie.
  9. Je n'irai pas jusqu'à prétendre le contraire, mais je prendrai la peine d'examiner succintement les trois périodes négatives que tu identifies. Avant d'y arriver, je noterai que, par implication, tu juges plus favorablement les autres périodes, soit 1960-67, 1973-76, 1984-89, et bien sûr de 1997 à nos jours. - 1968-72: Ce fut d'abord une sorte d'effet post-partum faisant suite à l'exhubérance des activités de construction dans les années précédant EXPO 67, y compris, outre celle-ci, le métro et des autoroutes urbaines. Je me souviens que mes parents, qui avaient acheté une nouvelle maison en plein boom en 1966, avaient eu beaucoup de difficulté à conclure la vente de la précédente, à un prix dérisoire vers 1968 ou peu après. Cette déprime avait surtout affecté Montréal (et sa région), car dans la Ville de Québec notamment, 1968 avait sonné le départ du "C'est à notre tour". Puis en 1970, la Crise d'Octobre avait cristallisé le profond malaise affectant alors le Québec. - 1977-83: Cela débute avec la victoire du Parti Québécois aux élections de novembre 1976, suivie de l'édiction de la Loi 101, de la crainte du séparatisme et de l'accélération de l'exode des sièges sociaux canadiens vers Toronto. Mais un autre événement important caractérise cette période: la hausse drastique du taux directeur par la Federal Reserve Bank plongea l'économie mondiale en récession; le Québec fut durement touché. Parallèlement, la défaite du oui au référendum de 1980 n'empêcha pas le PQ de remporter les élections de 1981 (Claude Ryan était alors chef du PLQ). - 1990-96: Débute avec l'échec de l'accord du Lac Meech, et séparément, de l'introduction de la TPS. Dans le but de contrer les effets inflationistes de cette taxe, la Banque du Canada avait haussé son taux directeur, provoquant ce qu'on a appellé une récession "Made in Canada"; le déficit budgétaire atteignit un sommet; aux élections fédérales de 1993, le PLC pris le pouvoir et le Bloc Québécois nouvellement formé remporta la majorité des sièges au Québec. Puis aux élections provinciales de 1994, le PQ repris le pouvoir, et tint un second référendum en 1995, qu'il perdit encore, mais cette fois de justesse. Jacques Parizeau donna sa démission le lendemain. Lucien Bouchard le remplaça en janvier 1996 --mettant fin à la période considérée ici. Manifestement, ces trois périodes ont renfermé plus que leur part de moments troublés, sinon difficiles. Ce que je maintiens, c'est que malgré tout, le Québec a continué durant celles-ci à construire la base de la prospérité que nous connaissons aujourd'hui. Nous nous sommes bien positionnés pour profiter de l'essor de l'économie du savoir, nous nous largement sommes délestés des "secteurs mous", nous avons (jusqu'en 2019) atteint l'équilibre budgétaire, faisant contraste avec la performance de l'Ontario sous ce rapport: tout compte fait, la confiance est revenue, à un niveau peut-être même supérieur à celui qui prévalait au début de la Révolution Tranquille, quand des faiblesses séculaires persistaient encore. Ceci dit, le défi demeure constant. Rien n'est jamais acquis pour toujours.
  10. Je vois que tu situes le début du revirement québécois autour de 1995-96. Comme par hasard, cela correspond à la défaite du camp du "oui" au référendum de 1995 et le remplacement de Jacques Parizeau par Lucien Bouchard comme Premier Ministre du Québec au début de 1996. Il est vrai que sous ce dernier le souci de rétablir l'équilibre budgétaire a soudainement acquis une place proéminente dans les objectifs du gouvernement, et que le succès subséquemment atteint sous ce rapport a contribué à renforcer la confiance dans l'économie québécoise. Je pense cependant que des ingrédients essentiels pour la renaissance économique avaient été injectés bien avant 1995, en particulier l'importance accordée à l'éducation, depuis 1960. Il faudrait passer en revue les hauts et les bas de l'économie québécoise entre 1960 et 1996, puis jusqu'à nos jours, pour se faire une juste idée de la grande transformation qui s'est opérée. Les décideurs québécois, en fait la population québécoise en générale, n'ont pas attendu "d'atteindre le fond avant de penser à remonter". On avait pleinement conscience qu'il fallait relever le niveau d'éducation, moderniser les infrastructures, remplacer les "sectours mous" malmenés par la concurrence étrangère, exercer un plus grand contrôle sur les leviers financiers, etc. Tout cela ne pouvait pas se faire en un jour. Il y a eu des moments difficiles, eg. la déprime post Expo 67, l'exode de sièges sociaux canadiens, l'inflation suivie de la politique monétaire très restrictive sous Volkers/Reagan, etc. Malgré tout, pendant tout ce temps, on construisait l'avenir. Vint le temps où il fut possible d'atteindre le "déficit zéro" puis de réaliser des surplus budgétaires. Nous étions bien mieux positionnés qu'auparavant pour entrer dans la "nouvelle économie du savoir". Le boom de la construction que nous avons vécu récemment en est la conséquence, pas la cause.
  11. Malgré moi, je m'en rappelle aussi. A cette époque, Montréal était encore la métropole du Canada, et la course au prestige entre la montréalaise Banque Royale et la torontoise Banque de Commerce fusionnée en 1961 avec la Banque Impériale, se produisait dans les cieux de Montréal. La tournure subséquente (Toronto surpassant Montréal) est un événement que je préfère oublier, comme un mauvais souvenir, même s'il perdure aujourd'hui. La fameuse antenne était un rappel de ce moment passé. C'est intéressant de voir que deux personnes (toi et moi en l'occurence) peuvent avoir un sentiment opposé vis-à-vis le même symbole; l'un prend plaisir à se souvenir de la gloire passée, l'autre déplore la gloire perdue.
  12. Oui, sauf que je ne sais pas s'ils ont commencé à semer les graines d'une renaissance (ce que le Québec avait fait, malgré les moments difficiles). Une renaissance économique ne surgit pas par magie.
  13. Très bien. La CDPQ a signifié son intérêt. C'est un début, mais ça ne dit pas tout, et ça ne règle pas tout. Je ne m'attarderai pas au tracé envisagé pour une phase 2. Ce qui me préoccupe d'abord, ce sont les conditions de financement. Comme pour la phase 1 en cours de réalisation, il faudra négocier une entente spécifiant la répartition des investissements et les modalités de distribution des revenus. (Pour plus de détails, référez vous à l'entente existante). Il me semble probable que dans une future entente portant sur la phase 2, la CDPQ-i voudra également s'assurer que le rendement sur son investissement soit à la hauteur de ses exigences. A l'instar de l'entente pour la phase 1, cela impliquerait a) une participation directe des gouvernements à l'investissement, et b) une formule de répartition des revenus découlant de l'exploitation. Ce qui reste à déterminer, c'est dans quelle mesure l'opportunité d'affaires pour la phase 2 est comparable à celle de la phase 1. Cela s'applique tant au niveau de l'investissement requis qu'aux revenus d'exploitation. Pour la phase 1, le REM profite d'infrastructures existantes comme la travée centrale dédiée sur le nouveau pont Samuel-de-Champlain, le tunnel du Mont-Royal et la voie ferrée de l'ancienne ligne Deux-Montagnes. Concernant les revenus d'exploitation, il faut se rappeller que la mise en service de la phase 1 garantit au REM un montant minimum par km-passager parcouru, ce qui alourdira la charge financière supportée par l'ARTM (et donc les contributeurs au budget de cette dernière). Je suis naturellement incapable de prédire l'issue des négociations entre la CDPQ-i et le(s) gouvernement(s). Je ne serais toutefois pas surpris s'il fallait que le(s) gouvernement(s) consente(nt) à assumer une plus grande part de l'investissement requis et à faire d'autres concessions, pour que la CDPQ-i accepte d'aller de l'avant.
  14. Il faut, oui, mais le moment venu, c'est-à-dire quand le besoin pour "un projet d'envergure" se manifestera concrètement. Comme tu l'écrits toi-même, une tour à bureau pour un ministère n'a aucune chance que ça arrive de si tôt. Alors quoi? --Si le site avait intéressé un promoteur privé, on l'aurait su. Sinon, que reste t-il comme alternative? J'attends tes suggestions.
  15. L'antenne n'avait plus d'utilité. En vertu du principe "Form follows function", et considérant que la fonction (de l'antenne) s'était évanouie, n'est-ce pas logique de la démanteler? La seule raison qui aurait pu justifier sa préservation était une fonction symbolique -- comme la bouteille de lait géante Guaranteed Pure Milk, mais je ne crois pas que l'antenne de la Tour CIBC était à la hauteur de cette prétention.
  16. Considérez le cas de l'autre station de correspondance entre les deux principales lignes de métro (orange et verte) --Lionel Groulx. Les environs sont "jolis", c'est auss à proximité du croisement de deux artères importantes (Atwater et Saint-Jacques), et pourtant ce n'est jamais devenu un pôle d'activités d'envergure régionale. Certes les environs de la station Berri-UQUAM sont physiquement plus rapprochés du coeur de l'action, mais sa transformation fut essentiellement le fait d'investissements publics majeurs. Des investissements privés suivent, mais j'ai l'impression que c'est dû davantage à la proximité des institutions publiques qu'à celle de la station de métro. Malgré tout, le site de l'ÎIot Voyageur Sud sera toujours stratégique. Le moment venu, il pourrait bien être développé selon le modèle du Carré Saint-Laurent, rendu possible parce que le Gouvernement du Québec en est le principal locataire. Ce qu'on a actuellement est un usage temporaire --ce qui est bien mieux qu'un bâtiment laissé abandonné. On ne cherche pas à rivaliser avec le quartier des affaires, mais on peut continuer à revaloriser les lieux.
  17. D'accord. On aura d'ailleurs l'occasion de valider cette hypothèse quand la phase un du REM sera mise en service. D'importants bassins de population bénéficieront d'une amélioration majeure de la desserte en TEC. Toutefois, pour ces secteurs comme pour d'autres qui pourraient être choisis pour des implantations futures (REM, métro ou autre), il ne faut pas s'attendre à ce que cela entraîne la quasi-disparition des déplacements en automobile: ce n'est pas seulement une question de qualité du service et d'attitude; cela dépend aussi beaucoup des destinations quotidiennes -- qui ne sont pas toutes au centre-ville ou dans des secteurs également desservis par du TEC lourd. Que ce soit sur l'Île de Montréal ou en banlieue, mais surtout dans cette dernière, une proportion importante des gens ont pour destination des lieux de travail ou de prestation de services géographiquement dispersés ou, alternativement, suffisamment rapprochés de leurs résidences, pour que l'automobile (ou le vélo!) demeure le mode de transport le plus efficace.
  18. Les analyses et les discussions portant sur diverses alternatives de trajets sont nécessaires, mais il faudra bien un jour se pencher sur la question du financement. Dans la mesure où la CDPQ-i serait impliquée, des formules similaires à celle adoptée pour le REM phase un seraient envisageables. Les répercussions sur la structure tarifaire devront à nouveau être examinées. Notez que les répercussions de la mise en service du REM phase un ne se sont pas encore manifestées. Mon message se veut une mise en garde contre la tentation naturelle de prendre pour acquis que les seuls enjeux sont de nature logistique et urbanistique-- comme si on se disputait sur la meilleure façon de vendre la peau de l'ours, avant même de l'avoir tué... Quand cette question du financement apparaîtra finalement au grand jour, cela influencera inévitablement les choix qui se présenteront.
  19. Avant même la tenue de cette consultation, j'estime que des décisions très significatives et dont l'impact sera durable, ont déjà été prises: on a choisi de prioriser l'emploi, quitte à subir une inflation monétaire plus importante. Comment cela? -- En permettant au gouvernement fédéral d'encourir un déficit budgétaire record, par le biais de l'achat massif de la dette publique par la Banque du Canada (plutôt qu'en provenance des épargnants canadiens ou étrangers). Je noterai aussi que si le Canada avait été le seul pays à procéder de la sorte, l'impact se serait manifesté instantanément par une dévaluation du CAD. Le fait que le taux de change ne se soit pas détérioré au cours des quatre derniers moins est consistent (avec un "e": synonyme de cohérent) avec le fait que nos principaux partenaires économiques ont choisi une voie similaire. Maintenant, si par hasard "les Canadiens" indiquaient lors de la consultation qu'ils préfèrent que la Banque du Canada poursuive une politique monétaire visant à maintenir un faible taux d'inflation, cet objectif ne serait pas tellement plus atteignable pour autant. Les taux d'intérêt élevés qui seraient nécessaires pour juguler la demande seraient catastrophiques pour les débiteurs (publics et privés). De plus, le prix des importations (dont de nombreuses composantes entrent dans la production domestique ou la consommation finale) monterait quand même. Je considère que le portrait actuel (inflation très modérée) n'est pas un bon prédicteur de l'avenir à moyen terme.
  20. On devrait savoir que "boutique" est aussi un mot anglais, ayant le même sens qu'en français. Dans le cas de l'exemple que tu donnes, j'avoue que l'ajout du mot "boutique" est ridicule: si cela suffit à affirmer le "caractère français" de Montréal, je démissionne.
  21. C'est tout un hasard que ce projet très préliminaire soit dévoilé au moment précis où la question des expropriations "prévues" pour le prolongement de la ligne bleue fait les manchettes. Je ne dis pas que ce projet par CF est souhaitable ou pas; je m'interroge seulement sur le timing de l'annonce, conjuguée avec la demande peu de temps avant de la mairesse de Montréal adressée au Gouvernement du Québec d'édicter une Loi spéciale ayant pour but d'accélérer le processus menant à la construction de la ligne.
  22. Tu es bien parti pour obtenir le titre de chercheur émérite!
  23. Pour l'ours, le chat et le phoque, il faudra m'expliquer, je ne vois pas le rapport. Et les deux canoéistes n'ont pas exactement le profil des coureurs des bois qui sont à l'origine de la fortune de Montréal. Une image enfantine dont je ne saisis pas l'à-propos: aidez-moi!
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