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swansongtoo

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Tout ce qui a été posté par swansongtoo

  1. Man that's not going to age well ...
  2. With pro sports suspending activities the nightly recaps on TSN, Sportsnet, ESPN are going to be interesting to watch. If Europe follows not sure how they can keep those segments alive in the short term.
  3. Disons que c’est timide pour ce coin du cv.
  4. Autre article dans La Presse. Pas certain si Valerie joue a ça base mais que derrières les portes fermer les groupes se parlent sérieusement ou carrément il y a un manque de volonté de voir un retour MLB mais me semble qu'elle a toujours un peu les bâtons dans les roues. You don't get the sense she's a partner in this. Maybe it's me. https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/202003/09/01-5263939-baseball-bronfman-devra-etre-creatif-sil-veut-convaincre-la-ville.php Baseball: Bronfman devra être «créatif» s’il veut convaincre la Ville PHOTO YVES TREMBLAY, ARCHIVES LES YEUX DU CIEL Le bassin Peel, à Montréal Dans le dossier du retour du baseball, la mairesse de Montréal Valérie Plante renvoie la balle à Stephan Bronfman : celui-ci devra être « créatif » et présenter un « projet tangible » s’il veut convaincre la Ville de Montréal d’approuver son projet de stade de baseball au bassin Peel, a indiqué la mairesse Plante lundi. Publié le 09 mars 2020 à 20h43 VINCENT BROUSSEAU-POULIOT LA PRESSE L’administration Plante, qui a rendu public lundi un rapport de l’Office de consultation publique de Montréal sur le quartier du bassin Peel, entend développer le quartier en conservant une « mixité sociale, économique et culturelle ». Traduction : il n’y a aura pas que des tours à condos de 30 étages et un stade de baseball. PHOTO PATRICK SANFAÇON, ARCHIVES LA PRESSE Valérie Plante La proposition de Stephen Bronfman cadre-t-elle avec cet objectif de mixité sociale et économique ? La mairesse Valérie Plante veut laisser la chance au coureur. « Un projet comme un stade va devoir répondre de façon très forte à ces préoccupations de conserver la mixité, ça va être un défi, ce n’est pas impossible, c’est un défi, dit-elle. Le secteur a tellement de potentiel. Je peux voir comment ce serait intéressant pour une équipe de baseball, mais ça pourrait être intéressant aussi pour d’autres types d’usage. On pourrait peut-être combiner les deux, mais on devra être créatif. » Avant tout, le groupe de Stephen Bronfman doit ouvrir son jeu et montrer un projet plus complet. La mairesse Plante a indiqué lundi n’avoir pas d’autre information que les grandes lignes présentées par M. Bronfman devant l’Office de consultation publique de Montréal (OCPM). À titre d’exemple, le groupe de M. Bronfman n’a pas précisé le coût du stade ni comment il serait financé. « Il faut qu’ils nous montrent quelque chose absolument, sinon on jase, mais on jase de quoi ? », a dit la mairesse Plante lundi en point de presse. Le groupe de M. Bronfman « étudiera soigneusement » le rapport de l’OCPM sur le quartier du bassin Peel (le quartier Bridge-Bonaventure), a-t-il indiqué lundi par voie de communiqué. Le groupe de M. Bronfman n’a pas fait d’autres commentaires. PHOTO ANDRÉ PICHETTE, ARCHIVES LA PRESSE Stephen Bronfman Le rapport de l’OCPM recommande à la Ville de Montréal de faire une deuxième consultation sur le projet de stade de baseball au bassin Peel, estimant qu’il « serait irresponsable de statuer sur ce projet [de stade de baseball] sur la base des informations parcellaires dont elle dispose. » La mairesse Plante est d’accord avec l’analyse de l’OCPM dans son rapport. « Il n’y a pas de plan, pas d’ébauche, rien, dit-elle. Je n’ai rien vu. Je n’ai pas de projet tangible, c’est très difficile pour moi de me prononcer [sur le projet de stade]. On s’attend à voir des études d’impact et financières. Encore une fois, un stade, c’est majeur. » « Pour pouvoir dire que c’est un bon projet, il aurait fallu une vraie image, plus que l’image qu’on a vue dans le Journal de Montréal, dit Dominique Ollivier, présidente de l’OCPM, en entrevue à La Presse. Il faudrait qu’on ait quelques études qui nous disent quel serait l’impact sur la circulation, le bruit, ça va quoi le pourcentage de résidentiel pour financer le stade. Ils voulaient avoir des tours d’habitation qui pourraient aider à financer. De quoi parle-t-on ? On n’a aucune idée. » L’OCPM estime aussi que le projet du groupe de Stephen Bronfman est « très controversé ». Selon un questionnaire en ligne de l’OCPM, 51 % des répondants sont contre le projet. « Beaucoup de gens veulent ce projet, et beaucoup de gens ne veulent pas ce projet », a résumé la mairesse Valérie Plante. Le chef de l’opposition officielle à l’hôtel de ville de Montréal, Lionel Perez, estime qu’il y a un « un potentiel inouï » de développement économique dans le secteur du bassin Peel qu’il ne faut pas freiner. « C’est surprenant de la part de l’OCPM, après avoir recueilli l’information de toutes les différentes parties, qu’elle ne se prononce pas sur cet enjeu-là. […] Pour nous, la consultation c’était justement pour explorer ce potentiel », a dit M. Perez, chef du parti Ensemble Montréal. Un rapport à lire « très attentivement » pour M. Bronfman La mairesse Plante invite le groupe de M. Bronfman et les autres groupes intéressés à développer le secteur du bassin Peel à lire « très attentivement » le rapport de l’OCPM. « Ce que je souhaite surtout, c’est que le Groupe de Montréal [de M. Bronfman] prenne le rapport de l’OCPM, qu’il [le] regarde attentivement [comme] tout autre promoteur. Tout est écrit là-dedans sur ce qui ferait un projet gagnant », dit la mairesse Plante. Sous cet aspect, le rapport de l’OCPM cache une bonne nouvelle pour M. Bronfman et les autres promoteurs immobiliers intéressés à développer le secteur. Pour la construction résidentielle, l’OCPM recommande un développement à la fois à échelle humaine (ex : des immeubles de deux à huit étages) et à forte densité (ex : des tours de 30 étages comme à Griffintown). Les tours résidentielles de 30 étages ne seraient pas nécessairement exclues d’un tel type de quartier — à condition de le faire intelligemment en matière d’urbanisme. La présidente de l’OCPM suggère aux promoteurs intéressés de regarder ce que certains promoteurs new-yorkais ont fait autour de Central Park. « Il y a des concepts super intéressants, des façades végétalisées, beaucoup de verdure, des basilaires, construire les tours en retrait avec seulement trois ou quatre étages au niveau de la rue », dit Dominque Ollivier. Claridge, la société d’investissement de M. Bronfman, aimerait faire un important développement immobilier autour de son projet de stade au bassin Peel. Claridge fait alliance avec un autre développeur immobilier, Devimco, à cet effet. La mairesse Plante prudente sur l’équipe à temps partagé PHOTO CHRIS O’MEARA, ARCHIVES AP Le Tropicana Field des Rays de Tampa Bay Depuis un an, le groupe de Stephen Bronfman veut obtenir une équipe du baseball majeur à temps partagé entre Montréal et Tampa Bay, plutôt que d’avoir une équipe à temps complet à Montréal. Ce serait une première pour une équipe de sport professionnel en Amérique du Nord. Pour la mairesse de Montréal Valérie Plante, la question d’une équipe à temps partagé n’est pas aussi importante que le concept du stade lui-même, et surtout comment il s’arrime au reste du quartier. « Au final, ce qui m’intéresse, à temps partiel ou pas, […] il faut que ça s’intègre dans un milieu de vie, dit-elle. Ça ne peut pas être un ovni dans un champ de patates comme aux États-Unis. Il faut que ça soit porteur, intégré, que ça réponde aux besoins, entre autres [en matière de] milieu de vie, d’échelle humaine, de pôle de travail. Pourquoi pas [une équipe à temps partagé]… » Valérie Plante continue de penser que le retour d’une équipe du baseball majeur à Montréal est « une belle et bonne idée ». « En même temps, le nerf de la guerre est l’argent, comment on le paye [le stade] », dit Valérie Plante, qui ne veut pas investir l’argent des Montréalais sans obtenir leur accord par référendum. Le terrain de 800 000 pieds au bassin Peel convoité par le groupe de M. Bronfman appartient au gouvernement fédéral (la Société immobilière du Canada), mais la Ville de Montréal détient un droit de veto advenant la vente du terrain. Un acheteur qui voudra développer le terrain devra aussi s’entendre avec la Ville de Montréal pour faire changer le zonage. En pratique, le futur promoteur de ce terrain est condamné à s’entendre avec la Ville de Montréal. « Je comprends que les intérêts d’un groupe pour construire un stade, mais ma responsabilité comme mairesse est de développer un grand territoire pour l’entièreté de la population montréalaise », dit la mairesse Plante. Sans préciser son échéancier, l’administration Plante a indiqué qu’elle voulait « commencer à discuter » avec la Société immobilière du Canada afin de connaître ses intentions pour vendre le terrain. L’administration Plante aimerait présenter éventuellement un plan d’aménagement sommaire pour l’ensemble du quartier du bassin Peel.
  5. In the first picture interesting to see that right behind the Holiday Inn is a tall grey building that sits where Concordia Arts Building is today. I assume longer term the city expects this lot to be built on.
  6. Bin c'est je trouve du gros bon sens quand il parle que c’est tout à fait raisonnable et normale de bâtir en hauteur. Encore parler du manque d’échelle humaine parce qu’on bâtit à 200m — peut-être plus un jour ? — ce qu’il me passe par la tête est “Really ... this again?”. Dire qu’on veut densifier — mais pas trop — plutôt juste assez pour assurer le TEC et commerces de rue est de limiter grandement le potentiel de créer un cv dynamique et diversifier. Cessons d’avoir le vertige.
  7. Donc t'as le droit de bâtir a 200m mais ose pas faire obstruction aux vues de fleuve ...
  8. Faudrait surtout pas distraire les automobilistes qui circulent a 20km/h et risquent de frapper un piéton ou cycliste.
  9. C'est quoi la différence entre modifier le plan d'urbanisme pour permettre 20m de plus pour ce projet et le spot zoning que, par exemple, Coderre a fait pour permettre les deux tours des Canadiens de grimper a 170m?
  10. Des critiques pour le REM en phase conception, il aura des critiques pour un nouveau terminal a YUL, critiques pour des phases subséquents du REM. Je suis curieux de savoir si les gens réagissaient de la même façons l'hors de la construction de la Metropolitaine, Decarie, le Metro, Terre des Hommes etc.
  11. Énorme amélioration sur l'immeuble où se trouve Dollarama aujourd'hui. I like it ca va faire tres moderne comparer aux boites rectangles grises bâties ces dernières années.
  12. Pi tu preferes etre sur le bs dans un logement sociale qui paye $1000 par mois plutot que te payer un condo a 400k ?
  13. Je comprends qu'on veut repondre aux exigences de Valerie avec bin des chambres mais 4 beds sur 1133 pi c ne laisse plus grande place pour une salle a diner et salon. Mais bon un acheteur peut toujour reamenager les plans et en faire deux ou trois chambres a la place.
  14. Strange that we seem to have a blind wall on this project but windows on the Nest project for the walls bordering the house.
  15. Imagine something like that with a few high rises over Central Station and you’re starting to have a pretty smart looking downtown.
  16. Article on some of the forces affecting traditional bricks and mortar retailing. https://www.theglobeandmail.com/business/international-business/article-three-things-that-are-truly-killing-shopping-malls/ Three things that are truly killing shopping malls AUSTAN GOOLSBEE THE NEW YORK TIMES PUBLISHED FEBRUARY 14, 2020UPDATED FEBRUARY 14, 2020 FOR SUBSCRIBERS COMMENTS SHARE Open this photo in gallery Clearance signs are displayed at an Express store in Paradise Valley, Ariz., on Jan. 22, 2020. ROSS D. FRANKLIN/THE ASSOCIATED PRESS It has been a tough decade for brick-and-mortar retailers, and matters seem only to be getting worse. Despite a strong consumer economy, physical retailers closed more than 9,000 stores in 2019 – more than the total in 2018, which surpassed the record of 2017. Already this year, retailers have announced over 1,200 more intended closings, including 125 Macy’s stores. Some people call what has happened to the shopping landscape “the retail apocalypse.” It is easy to chalk it up to the rise of e-commerce, which has thrived while physical stores struggle. And there is no denying that Amazon and other online retailers have changed consumer behaviour radically or that big retailers like Walmart and Target have tried to beef up their own online presence. But this can be overstated. To begin with, while e-commerce is growing sharply, it may not be nearly as big as you think. The Census Bureau keeps official track. Online sales have grown tremendously in the last 20 years, rising from $5 billion per quarter to almost $155 billion per quarter. But internet shopping still represents only 11 per cent of the entire retail sales total. Furthermore, more than 70 per cent of retail spending in the United States is in categories that have had slow encroachment from the internet, either because of the nature of the product or because of laws or regulations that govern distribution. This includes spending on automobiles, gasoline, home improvement and garden supplies, drugs and pharmacy, food and drink. Collectively, three major economic forces have had an even bigger impact on brick-and-mortar retail than the internet has. In no particular order, here they are: BIG-BOX STORES In the United States and elsewhere, we have changed where we shop – away from smaller stores like those in malls and toward stand-alone big-box stores. Four years ago, University of Chicago economists Chad Syverson and Ali Hortacsu analyzed the recent history of retail and found that the rise of warehouse clubs and supercentres was bigger than the rise of online commerce. They gave this telling example: Over the 14 years through 2013, Amazon added $38 billion in sales while Costco added $50 billion and the Sam’s Club division of Walmart $32 billion. Amazon had the higher growth rate, but the bigger problem for most brick-and-mortar stores was other, larger brick-and-mortar stores. This continued in 2019. INCOME INEQUALITY Rising income inequality has left less of the nation’s money in the hands of the middle class, and the traditional retail stores that cater to them have suffered. The Pew Research Center estimates that since 1970, the share of the nation’s income earned by families in the middle class has fallen from almost two-thirds to around 40 per cent. Small wonder, then, that retailers aiming at the ends of the income distribution – high-income people and lower-income people – have accounted for virtually all the revenue growth in retail while stores aimed at the middle have barely grown at all, according to a report by Deloitte. As the concentration of income at the top rises, overall retail suffers simply because high-income people save a much larger share of their money. The government reports spending for different income levels in the official Consumer Expenditure Survey. In the latest data, people in the top 10 per cent of income saved almost a third of their income after taxes. People in the middle of the income distribution spent 100 per cent of their income. So as the middle class has been squeezed and more has gone to the top, it has meant higher saving rates overall. SERVICES INSTEAD OF THINGS With every passing decade, Americans have spent proportionately less of income on things and more on services. Stores, malls, and even the mightiest online merchants remain the great sellers of things. Since 1960, we went from spending 5 per cent of our income on health to almost 18 per cent, government statistics show. We spend more on education, entertainment, business services and all sorts of other products that aren’t sold in traditional retail stores. That trend has continued for a long time. The federal government’s Current Expenditure Survey goes back more than a century. In 1920, Americans spent more than half their income on food (38 per cent) and clothing (17 per cent), and almost all of that was through traditional retail stores. Today, food eaten outside the home and in it accounts for 10 per cent of spending and clothing just 2.4 per cent. Economists debate theories of why we have shifted to services and away from goods, but no one questions that it has happened. It means that over time, retailers selling things will have to run harder and harder just to stay in place. In short, the broad forces hitting retail are more a lesson in economics than in the power of disruptive technology. It’s a lesson all retailers will have to learn some day – even the mighty Amazon
  17. Agreed. Sadly like a few other projects downtown such as Humanti or Manuvie this one would have looked great 30 stories taller. Regardless between me and Kotar we'll have you covered with progress.
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