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santana99

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Tout ce qui a été posté par santana99

  1. Où est le Mont-Royal ? Ah, c'est vrai, on voit un semblant, un bout de colline à droite de la photo !
  2. Toronto doit expier pour son arrogance. Le Quad sera le prix de son expiation ! CF nous prépare quelque chose de BIG !
  3. Messieurs, les responsables des festivals à Montréal, basez-vous sur la science, et informez-vous ! L'ignorance est votre pire ennemi ! Un concert-test en Espagne montre qu'on peut tenir des spectacles en extérieur de façon sécuritaire ! https://actu.orange.fr/societe/culture/covid-19-concert-test-concluant-a-barcelone-avec-5-000-spectateurs-magic-CNT000001At8l5.html https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/04/27/concert-test-en-espagne-aucun-signe-de-contagion-au-coronavirus-detecte-un-mois-apres_6078235_3244.html Aucun signe de contagion après un concert-test de 5000 personnes à Barcelone ! https://www.tvanouvelles.ca/2021/04/27/covid-19--aucun-signe-de-contagion-apres-un-concert-test-de-5000-personnes-a-barcelone «Aucun signe» de contagion après un concert-test de 5000 personnes à Barcelone Agence France-Presse | Publié le 27 avril 2021 à 07:17 - Mis à jour à 08:54 «Aucun signe» de contagion après un concert-test de 5000 personnes à Barcelone - images de l'événement Il n'y a eu «aucun signe» de contagion suite au concert-test de rock qui s'est tenu le 27 mars à Barcelone, en Espagne, avec 5000 spectateurs dansant masqués mais sans distance, ont affirmé mardi les organisateurs. Deux semaines après ce concert du groupe Love of Lesbian, selon les données fournies par le système de santé public, «il n'y a aucun signe qui suggère qu'une transmission a eu lieu pendant l'évènement, ce qui était l'objectif de cette étude», a déclaré Josep Maria Llibre, médecin de l'hôpital Germans Trias i Pujol de Badalone, lors d'une conférence de presse. Le public, qui avait été soumis à un test antigénique avant le concert, portait des masques FFP2. Selon le médecin, seuls six cas positifs sur les 5000 spectateurs ont été détectés quinze jours après le concert et les organisateurs sont certains «que pour quatre de ces six cas, la transmission n'a pas eu lieu pendant le concert». «Avec une ventilation optimisée, des tests antigéniques et le port du masque, on peut garantir un espace sûr», a-t-il ajouté. Outre les tests et les masques FFP2, la ventilation ainsi que les capacités d'accueil dans les lieux critiques comme les toilettes étaient strictement contrôlés.
  4. L'effet du virus s'atténue de semaine en semaine. La troisième vague est en perte de vitesse. https://www.journaldemontreal.com/2021/04/27/la-troisieme-vague-en-perte-de-vitesse L'économie a déjà redémarré, mais elle va vraiment repartir sur des chapeaux de roues en juillet ! Taux de chômage autour de 5,2-5,3 % au Québec, fin 2021. À Montréal, sous la barre des 6 % ou pas loin ! J'en suis absolument convaincu ! En 2022, taux de chômage sous la barre des 5 % pour l'ensemble du Québec, 4,8 ou 4,9 %. Ce sera le plus bas taux au Canada, en concurrence avec la Colombie-Britannique, le Manitoba, et la Saskatchewan. Le Québec rattrapera l'Ontario en terme de niveau de vie d'ici 5 ans ! C'est une dynamique économique désormais inarrêtable ! Nous retrouverons le climat économique de prospérité des années 50-60, de l'après-guerre. Le Québec est à l'aube de connaître une ère de prospérité économique comme il n'en a jamais connu dans son histoire !
  5. La vue sur le Mont-Royal est déjà bouchée. Ton argument est démenti par la réalité. On ne jette pas le bébé avec l'eau du bain ! Ce n'est pas parce qu'on parle du rehaussement des hauteurs au centre-ville qu'on sacrifie la qualité architecturale ! Il ne faut pas chercher des motivations cachées, crier au complotisme, uniquement parce qu'on parle de relever le plafond des édifices au centre-ville. Comme l'écrivait Né entre les rapides, il faut faire la différence entre la vue depuis le Mont-Royal sur le centre-ville qui existe toujours et qui va continuer à exister, et la vue depuis le centre-ville sur le Mont-Royal qui n'existe pratiquement plus. IL faut dire les choses telles qu'elles sont ! Et cessez d'utiliser des arguments qui ne tiennent pas la route, de crier au loup ! Par contre, quand on se fend d'une déclaration bidon sur la protection des vues sur le Mont-Royal, alors qu'existe déjà un plafond et que ces vues n'existent même plus, on peut s'interroger sur les motivations des gens qui sont derrière cette manoeuvre.
  6. Oh, que j'aime la Chine ! Vous nous filez votre virus, ensuite vous nous tendez une main charitable pour détecter le virus. Shame on Canada ! Il y a tout de même des limites quand on se respecte un peu ! https://ici.radio-canada.ca/recit-numerique/2310/geant-chinois-bgi-laboratoires-genetique-canada-donnees Un géant chinois de la génétique prend pied au Canada UN TEXTE DE MARC GODBOUT PUBLIÉ À 4 H 00 Discrètement, le groupe chinois BGI cible le marché des laboratoires et des hôpitaux canadiens. Sa présence est à peine remarquée ici, alors qu’ailleurs les intentions de ce mystérieux conglomérat soulèvent des questions et des doutes. En toile de fond : la quête de la Chine pour le contrôle des données biologiques de l’humanité. Un radieux soleil printanier frappe l’édifice, comme pour attirer l’attention sur ce qui s’y passe. Tous les jours, le laboratoire de l’hôpital Mount Sinai de Toronto analyse pas moins de 15 000 échantillons de tests de dépistage de la COVID-19. C’est l’un des plus importants points de chute du genre au Canada. Dans la course folle pour contrer la pandémie, Mount Sinai était rapidement devenu, il y a un an, une pièce maîtresse de la stratégie ontarienne. Rien de plus normal. Ses experts en microbiologie avaient joué un rôle crucial lors de la crise du SRAS de 2003. L’édifice abritant les laboratoires de l’hôpital Mount Sinai dans le centre-ville de Toronto.PHOTO : RADIO-CANADA / MARC GODBOUT Mais le laboratoire, l’expérience et la réputation de l’institution n’allaient pas être suffisants. Il fallait trouver le moyen d’accroître la capacité de détection et analyser plus rapidement les tests de dépistage provenant de 24 hôpitaux et de 15 centres d’évaluation de la province. Pour y arriver, l’ajout d’équipements devenait essentiel. Et c’est à ce moment précis qu’une main charitable est apparue dans le portrait. La main tendue d’une entreprise chinoise. La poignée de main de Shenzhen Ce qui s’est produit dans la métropole chinoise de Shenzhen le 13 mai 2020 tranche avec le climat de vives tensions qui perdure entre Ottawa et Pékin depuis plus de deux ans. Ce jour-là, l'ambassadeur canadien en Chine s’est rendu dans cette ville surnommée la Silicon Valley chinoise. C’est là que se trouve le siège social de BGI, la plus grande entreprise de séquençage d’ADN de la planète. Au nom du Canada, Dominic Barton a montré sa reconnaissance au président et cofondateur de BGI, Wang Jian. BGI, à travers son bras caritatif, la fondation Mammoth, venait d’offrir gratuitement à l’hôpital Mount Sinai de Toronto des équipements de laboratoire dont elle est le fabricant. Une des pièces clés de ce don est un robot d’extraction permettant d’accélérer l’analyse des tests de COVID-19. L’offre allait aussi inclure l'installation, la formation et le soutien logistique. Au Canada, personne n’a fait grand bruit de cette annonce. Affaires mondiales s’est bien gardé d’en faire la promotion. En Chine, cet événement comportait un tout autre niveau d’intérêt. À Shenzhen, les caméras ont croqué la poignée de main et les sourires. Les journaux n’ont pas tardé à présenter l’image d’un Canada aidé par la Chine.
  7. Il a perdu 120 livres. C'est un autre homme !
  8. Denis a de l'autorité, lol. Je ne crois pas que cet événement ait la moindre importance à six mois de la campagne. Honnêtement. Il vaut mieux que Denis reste lui-même, même s'il commet selon toi une erreur ou un impair. En revanche, que penser de la déclaration bidon de Valérie sur la protection des vues sur le Mont-Royal à six mois de la campagne, alors que le Mont-Royal est déjà BOUCHÉ ? Tu voudrais donner des munitions à ton adversaire que tu ne t'y prendrais pas autrement !
  9. Il est encore très tôt. Si Denis commet des erreurs bêtes (lesquelles ?), il vaut mieux qu'il les commette maintenant qu'à la fin de la campagne électorale. Plante est associée à la période de la pandémie,et les gens veulent tourner la page, passer à autre chose. J'ai confiance, je ne m'inquiète pas trop. Le "règne" de Valérie achève. On va vers un déplafonnement.
  10. Merci pour la vidéo. Quand on arrive de l'ouest surtout, vue du ciel, le centre-ville est tout à fait impressionnant ! Et ce n'est pas fini. Le core est aujourd'hui massif, dense, important et imposant ! Ce n'est plus du tout un petit centre-ville, et il n'y a pas l'effet piquet de clôture observé à partir du Mont-Royal, Le projet du Montreal Children ajoute à cette massification
  11. L'article date de 2015. Mais ma conviction c'est que CF prépare aujourd'hui quelque chose de très gros. Je m'excuse de parler de Coderre, mais si CF veut défoncer tout de suite le plafond et y aller all in, l'équipe Plante va tout faire pour les plafonner, même si la vue du Mont-Royal est déjà bouché. Si Denis revient aux affaires, CF aura les mains libres pour construire quelque chose de très gros. Mais il faut que ce projet soit iconique, c'est l'entrée de la ville, on ne peut pas faire n'importe quoi. Il faut que ce soit haut et iconique, le point nodal du cv, supplantant même la PVM. 4 tours de 70-75 étages. Pourquoi pas ? J'exagère ? Pas du tout ! Ce serait pour CF leur plus important projet immobilier au Canada de l'histoire. Il frapperait alors un très grand coup ! Et le centre-ville de Montréal en serait changé à jamais !
  12. Si Devimco ne livre pas la marchandise sur le revêtement, ils se rattraperont sur l'animation et l'éclairage, quoi ! Lol
  13. Un texte très informatif et documenté qui fait la genèse des différents plans d'urbanisme adoptés et amendés par la Ville de Montréal au fil du temps et qui aborde la question de la limite des hauteurs. Il y est question, entre autres, du projet Quad ! Rappelons tout de même que le Mont-Royal est aujourd'hui bouché. https://proposmontreal.com/index.php/une-hauteur-limite/ UNE HAUTEUR LIMITE. Dès 1987 suite à une victoire plutôt écrasante sur la dynastie de Jean Drapeau en poste depuis 1955 que Jean Doré parle déjà d’un plan d’urbanisme pour la métropole. Ce document, d’une immense importance au bon développement d’une ville guide une ligne directrice qui, si bien appliqué, permet d’assurer une cohérence entre les choix dans les dossiers d’habitations, de commerces, de transports, de protections de l’environnement, des loisirs ou d’autres éléments municipaux tout en tenant compte des contraintes d’aménagement du milieu naturel et du patrimoine déjà bâti. Ce document doit également prendre en considération les attentes de ses citoyens et des organismes lors de consultations publiques. En résumé, ce document guide les élus dans leurs décisions et fait place à des règles qui permettent le bien-vivre de tous. Ceci étant dit, avant Doré, Montréal ne possède pas de plan d’urbanisme officiel, ce qui durant l’ère Drapeau aura eu autant de ratés que de réussites, qui fait de l’ancien Maire un homme assez controversé, selon à qui vous en parlez. Jean Doré et le comité exécutif décident dès le printemps 1987 de doter Montréal d’un plan d’urbanisme autant pour le centre-ville que pour les arrondissements de l’ancienne ville de Montréal. Je dis « ancienne » car la ville de Montréal tel que nous la connaissons aujourd’hui créée des fusions et défusions de 2002 et 2006 respectivement n’est pas encore réalité. Ce n’est qu’en décembre 1992 après plusieurs audiences publiques et études sur l’arrondissement Centre, appelé Ville-Marie depuis 2002, que le plan est adopté coordonnant avec les fêtes du 350e de la ville. Je pourrais faire mille articles sur le plan d’urbanisme, mais cette fois-ci je me concentre que sur une de ces règles, celle qui a probablement un des plus grands impacts sur la ville de Montréal. La restriction dans la hauteur de constructions en respectant l’importance du mont Royal. Cette règle est probablement une des plus controversées du plan et je vais faire mon possible de vous expliquer pourquoi. Aussi tôt qu’en 1920, Montréal possède une législation empêchant les édifices de plus de 10 étages, cette limite fût poussée à 33 étages au cours des années 30, aujourd’hui avec le plan original de 1992 on peut y lire les paragraphes suivants. Le paysage urbain montréalais est ponctué d’éléments significatifs qui jouent le rôle de points de repère ou de symboles et contribuent à l’identité de la ville. Le mont Royal, le fleuve Saint-Laurent, les îles et la silhouette du centre des affaires sont autant d’éléments dominants dont il convient d’assurer la mise en valeur et d’accroître la visibilité, pour renforcer leurs rôles respectifs. La stratégie mise en oeuvre a pour but de conserver l’importance du mont Royal dans la silhouette de Montréal en restreignant la construction sur ses flancs et en y imposant des limites de hauteur relativement restrictives. Cette règle de hauteur aide aussi dans la confirmation du centre d’affaire comme lieu privilégié de l’implantation de sièges sociaux et de tours à bureaux de prestige. Par son caractère dense, le centre-ville permet la concentration d’assurer aux travailleurs, aux touristes et à la clientèle une excellente accessibilité aux transports en commun, aux équipements d’affaires comme le Palais des Congrès et la Place Bonaventure ainsi qu’aux loisirs comme les musées, salles de spectacles ou même le Centre Bell. Dans ce simple paragraphe, vous pouvez sûrement voir l’erreur de l’emplacement des installations olympiques, dont le Stade qui, dans la nature même du plan d’urbanisme, éloigne le visiteur type du centre de la ville. Le point 5.1 de la plus récente mouture du plan d’urbanisme de 2004 renforce la prédominance du mont Royal en offrant les dispositions, tout comme en 1992, pour mettre en valeur les vues vers et à partir de la montagne Montérégienne et préserver la distinction des deux massifs formés par la montagne et les immeubles du centre. Fait à noter que la ville de Vancouver a plus ou moins la même règle que Montréal et même si les Montagnes North Shore de la chaîne Côtière sont légèrement plus élevées que notre colline Montérégienne, leur plus haute tour ne dépasse pas les 200m. Le point 5.1.1 stipule que la réglementation d’arrondissement ne peut permettre une hauteur de bâtiment supérieure à la moins élevée des hauteurs suivantes soit, 232,5 mètres au-dessus du niveau de la mer ou une hauteur de 200 mètres. Chaque lot de la ville possède une hauteur à respecter. Je vous invite à cliquer sur l’image suivante pour voir un fichier PDF de la carte de l’arrondissement de Ville-Marie pour comprendre un peu plus en détail. La disposition impose également le respect d’une silhouette donnée. La réglementation de Ville-Marie doit prévoir qu’un bâtiment doit s’insérer dans la silhouette du centre telle que présentée dans l’illustration suivante. Ce qui a comme effet de combattre la construction d’édifice type « Tour Montparnasse ». Imaginer une tour de 200 mètres au beau milieu de Verdun ou de Villeray, l’impact visuel sur la ville, sur sa silhouette et sur ses résidents serait plutôt désastreux. Silhouette à respecter selon le point 5.1.2 Finalement, le dernier point sur les limites de hauteurs, le point 5.1.3 impose que des critères assurant qu’un projet de construction d’un bâtiment doit maintenir des vues prédéfinies sur la montagne et sur le fleuve lorsque ce bâtiment est sur le parcours d’une vue identifiée dans les deux cartes suivantes. En d’autres mots, nul ne peut cacher le mont Royal. C’est cette règle qui a été mise de l’avant lorsque le propriétaire de la défunte Maison Redpath a voulu raser cette dernière et la remplacer par une tour de plusieurs étages. La vue de la Rue du Musée étant obstruée, ce dernier, même s’il a finalement gagné la démolition de la maison, a dû revoir à la baisse la nouvelle construction. Vues depuis le Mont Royal Vues vers le Mont Royal Je vous épargne les technicités de ces trois règles à suivre pour toute nouvelle construction ou agrandissement à un édifice existant, mais les grandes lignes du point 5.1 sont claires. Le mont Royal doit être prédominant dans la silhouette de la ville. C’est plus ou moins la même chose pour le point 5.2 qui couvre la spécificité des parcours riverains du Fleuve, de la Rivière, du Canal Lachine et du Canal de l’Aqueduc. Mais je n’élaborerai pas sur celui-ci, car ce qui m’intéresse ici c’est la hauteur et la montagne. Des dérogations à ces règles sont demandées sur une base régulière, la plus récente est par la Torontoise Cadillac Fairview pour son projet Quad Windsor. Les tours proposées originalement dans une zone à hauteur limite de 120m se sont vu offrir une petite mise à jour quand la ville, dans un plan particulier d’urbanisme pour le nouveau Quartier des Gares, a augmenté la limite de ces lots au sud du Centre Bell. Le promoteur a alors bonifié sa proposition pour y offrir deux tours de 170m, 50m plus élevés que les propositions originales. Or, voilà que le ce dernier aimerait la même chose se produire pour les tours #3 et #4 du projet Quad Windsor. Cadillac Fairview veut une limite augmentée à 210m au lieu du 120m actuel. La ville doit étudier ces demandes sérieusement, en prenant en considération de ne pas déroger aux points 5.1 du plan d’urbanisme que nous avons mentionné auparavant. Montréal est pour une raison ou une autre en pleine ébullition et les tours en constructions en sont une belle preuve, des acheteurs étrangers, surtout venus d’Asie se lancent pour acheter à coup de millions les nouveaux condos dans ces constructions qui sortent à peine de terre au moment où j’écris ces lignes. Montréal a déjà été une métropole importante à l’international. L’Édifice New York Life Insurance sur la Place d’Armes est considéré comme le premier gratte-ciel de Montréal. Le Building Sun Life Rue Metcalf fut, à sa construction en 1931, le plus grand édifice en pied carré dans tout l’Empire britannique et pas plus tard que dans les années 60, la Place Ville-Marie est à sa construction, le troisième plus haut gratte-ciel à l’extérieur des États-Unis et est dépassé par la tour de la Bourse comme plus haute gratte-ciel du Canada. Mais voilà que la question se pose plus que jamais, ces règles de limites de hauteur ont-elles empêché et empêchent-elles vraiment Montréal d’avoir des édifices de 300 ou 400 mètres? Je pose la question d’une autre façon, si demain, la ville abolissait la règle 5.1 de son plan d’urbanisme, verrions-nous des tours de 80 étages pousser sur René-Lévesque ou sur Ste-Catherine? Si oui, quels seraient leurs avantages et désavantages pour le Montréalais moyen? Pour le moment, le titre de plus haute tour à Montréal revient au 1000 de la Gauchetière à 205m au toit. Le titre est disputé par le 1250 René-Lévesque qui à cause de son antenne de 40m atteint les 230m bien sonnés, tout dépend si vous êtes pro-antenne ou non. Les tours du Quad Windsor pourraient venir tout chambarder cette liste de plus hautes tours à Montréal, et ce assez rapidement. Avec les nouvelles tours en constructions et celles encore sous la loupe de l’Office de Consultation Publique de Montréal, la ville verra un changement majeur au cours de la prochaine décennie, et ça, à ce point précis dans le temps, qu’on le veuille ou non. Mais une chose est certaine, la silhouette de Montréal, malgré sa densification, verra que peu de changement puisque les règles du plan d’urbanisme datant de 1992 en dictent encore le résultat et la forme finale. Voici une liste des 11 plus hauts édifices de Montréal sans les antennes. 1000 de la Gauchetière, 205m 1250 Boul. René-Lévesque, 199m Tour de la Bourse, 190m Place Ville-Marie, 188,1m Tour CIBC, 187m Tour du Stade Olympique, 175m L’Avenue (en Construction), 175m Tour des Canadiens (en Construction), 168m 1501 McGill-College, 158m Tour Sud du Complexe Desjardins, 152m
  14. À l'époque, la vue sur le Mont-Royal était dégagé, Valérie n'était pas née, Héritage Montréal n'existait pas. On ne parlait pas du 120 mètres. Le centre-ville de Montréal c'était l'équivalent du cv d'Omaha aujourd'hui. C'était le bon vieux temps, en somme ! Évidemment, merci à Rocco pour ces photos tirées des archives de la Ville ! En terminant, une chanson fantastique datant de 1966 des Lovin Spoonful que l'on pouvait aussi entendre à Montréal à l'époque. Chanson de l'insouciance et de la joie de vivre !
  15. Ton constat est sociologiquement très juste. Une phrase dans ton commentaire me retient particulièrement : "Plusieurs autres choses sont différentes, mais une qui nous intéresse particulièrement est la requalification des vieux secteurs, avec une emphase sur la fonction résidentielle "en ville". À cet égard, deux exemples parlants. HoMa, exemple éloquent de requalification urbaine, un quartier qui a aujourd'hui de la gueule. La rue St-Denis. Je ne suis pas un nostalgique. Mais encore dans les années 60, c'était une rue de "maisons de chambres". Cette poésie urbaine-là s'est perdue à jamais. À l'époque, plusieurs quartiers de Montréal étaient "délabrés", selon nos critères d'aujourd'hui. Mais on ne juge pas une ville à ses quartiers rénovés. Le Montréal de l'époque dans son délabrement avait une âme. Montréal a toujours une âme, mais l'air du temps est différent. C'était le Montréal de Montréal-Matin. Leonard Cohen chantait "Suzanne", la chanson date de 1968, mais c'est la même époque ! Charlebois était sur le point d'exploser. Les Canadiens accumulaient les coupes Stanley.,Le Red Light existait toujours, Drapeau régnait. Terre des Hommes allait bientôt ouvrir ! Ce Montréal-là me manque, même si celui d'aujourd hui est emballant, enthousiasmant
  16. Faux débat. Denis partage ton opinion sur le 1000. Moi aussi. Chez les partisans de Coderre, aucun dogmatisme, que du pragmatisme. Le 980 St-Antoine doit plafonner pour ne pas cacher le 1000. MAIS la politique générale et le mot d'ordre demeurent : ON DÉPLAFONNE partout où c est possible !
  17. Je ne te le fais pas dire. Comme je l'ai déjà écrit, Valérie donne déjà énormément de munitions à Denis en prévision des élections de novembre avec l'affaire du plafond. Denis peut déjà dire aux électeurs : "Projet Montréal n'a aucune perspective, ils sont incapables de prendre de la hauteur. Valérie a plafonné."
  18. S'ils veulent prendre en compte la tour d'observation hypothétique sur le Mont-Royal, dans le calcul de la hauteur, ce qui m'étonnerait ! Je veux dire que si jamais les plafonnistes, c'est-à-dire l'équipe de Valérie remporte les prochaines élections, ce que je ne prévois pas, on peut redouter que l'équipe en place déplafonne encore davantage et prenne comme plafond le parc Jeanne-Mance. On se retrouverait alors avec des cabanes à jardin au centre-ville, ce qui ferait plaisir à Valérie qui veut transformer le centre-ville en vastes jardins communautaires !
  19. Honnêtement, s'il tourne les coins ronds pour un projet aussi central et visible, font des économies de bout de chandelle pour le revêtement, Devimco va devenir la risée du milieu de la construction !
  20. On n'a pas le droit à l'erreur pour tous ces édifices qui se contruisent tout près de la tour de la Bourse. C'est la porte d'entrée de la Ville. Le 628 St-Jacques est l'édifice parfait à cet emplacement. On ne pouvait rêver mieux. Un véritable coup de maître !
  21. Je partage entièrement ton analyse. S'il n'en tenait qu'à moi, je raserais ces édifices sur-le-champ. Oui, il y a de belles façades parmi ces immeubles, mais je raserais tout. Je suis un défenseur vigilant du patrimoine. mais il y a des limites. Ces petits immeubles sont devenus des verrues dans le paysage. On ne peut pas les conserver. L'arrière de ces immeubles leur donne une apparence de taudis, et même en retapant le tout, ça aurait toujours l'air fou après la construction du Maestria. Ton idée est excellente. "Idée pour discussion: le promoteur du Maestria pourrait offrir une somme à la Ville, pour aider celle-ci à procéder à l'expropriation --une façon de partager les coûts de l'opération. L'hypothétique parc appartiendrait évidemment à la Ville, et serait accessible à tous les citoyens, mais l'environnement du Maestria serait rehaussé (embelli)." Cette piste doit être explorée. À terme, je crois que les promoteurs et la Ville trouveront un modus vivendi et un modus operandi, et que ces immeubles disparaîtront pour créer, souhaitons-le, un espace vert. J'en profite pour répondre à la question que tu me posais à propos de Mississauga, que je n'ai pas oubliée. Chaque ville de banlieue a ses particularités. Tout dépend de sa configuration, de l'espace disponible, et de la possibilité de constituer un noyau d'immeubles en hauteur qui s'intègre à la trame urbaine. Voilà ce que je pourrais te répondre. Pas de réponse simple ici. Il faut y aller au cas par cas
  22. Tu as raison pour cette hauteur dans ce secteur de la ville. Ça aurait été parfait ! Mais imagine maintenant cet édifice au coeur du centre-ville, avec une hauteur rehaussée. C'est une tour de "style new-yorkais", qui fitterait parfaitement. Ce serait formidable !
  23. Oui, dans le secteur Sherbrooke-Guy. Il faut que ce projet soit réactivé, mais qu'on construise carrément au coeur du cv, et qu'on rehausse la hauteur. J'adorais le rendu original
  24. Je n'avais pas pensé à la PVM, mais ta proposition est séduisante, et je la trouve vraiment très bonne. Why not ? Merci ! La Gare centrale, c'est vrai que ce serait l'emplacement idéal. Aussi au sud du CV, ça se conçoit bien sûr. Je crois sérieusement qu'on aura notre Empire State Building d'ici 5 ans. Mon rêve ? Qu'on construise un Waldorf-Astoria au centre-ville, le rendu original mais rehaussé, un édifice iconique qui aurait au moins 80 étages, à usage mixte ! Je ne crois pas rêver en couleurs. Quelque chose de ce genre va se produire. Montréal le mérite !
  25. La question du traitement de l'arrière des petits immeubles sur Ste-Cath qui ont l'air de taudis vus de l'arrière se pose toujours. Je n'ai vu nulle part la moindre référence à ce détail qui a tout de même son importance une fois que les tours seront construites, s'il y a une "place" au pied des tours. Chose certaine, la vue à partir de la place sera horrible en direction nord, même si l'arrière des immeubles est retapé. Oui, il y a des façades qu'on peut sauver sur Ste-Catherine, mais ce mariage est un non sens avec un arrière pareil !Quand on s'y arrête, ça n'a tout simplement aucun sens. Deux tours prestigieuses et au pied des immeubles des arrières de petits immeubles dignes des arrières d'immeubles, dans une ruelle du Red Light au temps du Faisan doré !
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