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Normand Hamel

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Tout ce qui a été posté par Normand Hamel

  1. En regardant les rendus l'autre jour je me suis demandé s'il s'agissait vraiment de trois tours distinctes. C'est que j'avais plutôt l'impression qu'il s'agissait de trois tours en une seule, autrement dire une seule et même tour en trois volumes distincts. Il s'agit d'une simple impression et je ne voudrais pas induire personne en erreur car il se pourrait bien que ce que je dise ici n'ait pas de sens.
  2. Je suis allé faire un safari photo à Montréal au mois de novembre dernier et j'ai été surpris par le bruit sur les chantiers, notamment au Victoria sur le Parc où il y avait un son d'enfer, quoique j'avais plutôt l'impression d'être au paradis. Une énergie extraordinaire habitait les lieux, énergie qui a d'ailleurs fait défaut à Montréal pendant de longues années. Aujourd'hui on sent cette vitalité partout dans la ville et plus particulièrement aux abords des chantiers de construction. C'est pourquoi on devrait regarder les cônes oranges non pas comme des nuisances mais plutôt comme des trophées. 🏆
  3. Quelle belle association! Demers est l'un des plus gros manufacturiers d'ambulances en Amérique du Nord et Lion l'un des plus gros manufacturiers de véhicules électriques. De plus, s'il y a un véhicule qui se doit d'être électrique c'est bien l'ambulance, ne serait-ce que pour assurer le confort et la santé des patients.
  4. La portion nord de la dalle est maintenant terminée, le béton est encore tout frais.
  5. C'est un véritable tour de force que Provencher_Roy a réalisé pour intégrer si merveilleusement bien ce bâtiment à son environnement immédiat dans un secteur extrêmement important de Montréal, surtout pour le milieu des affaires.
  6. Santai Science mise sur le savoir-faire québécois en implantant un site de production à Montréal Santai Technologies, leader en chromatographie, technique utilisée dans la séparation et la purification de substances, choisit d’implanter sa première filiale en Amérique du Nord, soit son deuxième site de production, à Montréal. Santai Science, la nouvelle filiale, pourra ainsi soutenir la maison-mère, qui œuvre actuellement au sein de 45 pays, afin de mieux desservir ses clients, notamment en Amérique du Nord. Avec seulement trois compétiteurs internationaux localisés au Japon, en Suède et aux États-Unis, ainsi qu’un vaste marché de la chimie et de la purification Flash chromatographie en croissance, l’entreprise se positionne aujourd’hui comme le premier vrai fabriquant canadien établi à Montréal. Santai Science développe, fabrique et vend des instruments de purification en chromatographie utilisés dans la recherche pharmaceutique et en chimie fine. La chromatographie est une technique de chimie permettant la séparation, la purification et l’identification d’espèces chimiques contenues dans un mélange de composants. Parmi les applications les plus récentes, on retrouve la chromatographie dans la purification et les tests de l’industrie du Cannabis. Cette méthode physico-chimique permet de séparer les extractions de cannabinoïdes et ainsi diversifier l’offre de produits. Les outils développés par Santai permettent aussi de répondre aux besoins des chimistes et chercheurs universitaires qui œuvrent dans différents secteurs, et ce, partout dans le monde. Montréal, une ville d’opportunités Santai a choisi Montréal notamment pour sa proximité au marché américain, son ouverture sur la scène internationale, sa position géographique stratégique, ainsi que pour son caractère cosmopolite. Santai recrute présentement des chimistes, ingénieurs et programmeurs informatiques. Pour plus d’information concernant le recrutement, veuillez consulter le site web www.santaisci.com. https://www.montrealinternational.com/fr/actualites/santai-science-mise-sur-le-savoir-faire-quebecois-en-implantant-un-site-de-production-a-montreal/
  7. On devrait avoir fini le revêtement extérieur avant l'hiver.
  8. On arrive au niveau de la pinte de lait.
  9. Quatre clichés pris à deux heures d'intervalle entre chacun. J'envie les futurs résidants qui auront cette perspective à partir de leur appartement.
  10. Ce qu'il nous faudrait c'est un illustrateur 3D qui ferait une composition de ce qui est permis à ces deux endroits pour nous aider à visualiser l'impact que pourrait avoir ces tours. Comme le fait le PPU dans le premier cliché, mais avec la perspective offerte par l'évocation du second cliché qui est bien entendu la perspective la plus souhaitable puisque c'est celle de la rue.
  11. Électrification des transports Sous-traitance : derrière les Lion Électrique et autres champions Fort d’une grappe industrielle de 234 membres, le Québec est bien placé pour développer un écosystème en transport électrique composé d’entreprises industrielles, d’opérateurs et de centres de recherche. Le développement et le déploiement des modes de transport terrestres intelligents et électriques passent par des entreprises bien en vue, mais aussi par une armée de sous-traitants. « Et l’occasion est telle qu’il ne faut absolument pas la rater », explique avec enthousiasme Sarah Houde, présidente-directrice générale de Propulsion Québec, grappe des transports électriques et intelligents. Grâce à un écosystème particulièrement innovant, le secteur des transports terrestres électriques et intelligents fonctionne déjà à un bon rythme, indique Mme Houde. Les derniers chiffres montrent une contribution de 1,3 milliard de dollars au produit intérieur brut (PIB) québécois. La valeur des exportations se situe à 830 millions et celle des ventes atteint 2,2 milliards. Les entreprises du secteur fournissent 6240 emplois. Propulsion Québec a mis sur pied plusieurs grands chantiers, dont celui de Commercialisation et chaîne d’approvisionnement. Son mandat est de soutenir les entreprises de l’écosystème pour faciliter leur démarche de commercialisation. L’approvisionnement, un problème majeur Le développement de cet écosystème est d’autant plus important dans le contexte actuel où l’on parle beaucoup de rupture des chaînes d’approvisionnement, explique Jean-Daniel Binant, directeur général, développement des marchés, chez M2S Électronique. Cette entreprise de Québec, fondée il y a 40 ans, est spécialisée dans la conception et l’assemblage de systèmes électroniques et électromécaniques intégrés. Bref, ils sont présents dans les bornes de recharge intelligentes et connectées, jusqu’au système d’alimentation d’urgence en cas de sauvetage, en passant par le contrôle évolué de piles et cellules. La rareté des puces électroniques et un approvisionnement souvent difficile en semi-conducteurs, exacerbés par la pandémie, causent des problèmes majeurs à de nombreuses chaînes d’approvisionnement, selon M. Binant. « Et on ne voit pas de retour à la normale avant 2023 », souligne-t-il. La solution, le surapprovisionnement Pour contrer le problème, les firmes qui peuvent se le permettre adoptent une stratégie de surapprovisionnement. C’est le cas de Lion Électrique, fabricant de camions et d’autobus électriques de Saint-Jérôme. En conférence téléphonique avec les analystes financiers le mois dernier, Marc Bédard, président de Lion Électrique, affirmait que la mise en réserve d’intrants particulièrement importants pour sa production avait permis à la firme de se parer contre la perturbation des chaînes d’approvisionnement. Le surapprovisionnement est le seul outil à la disposition des fabricants. - Jean-Daniel Binant, directeur général, développement des marchés, de M2S Électronique Mais le revers de la médaille est que cette stratégie crée une rareté, et conséquemment des hausses de prix. Évidemment, tous ne peuvent pas se surapprovisionner. Ainsi, le défi de l’approvisionnement est grand pour les petites entreprises et les jeunes pousses qui n’ont pas les reins financiers suffisamment solides pour utiliser cette stratégie. « Les start-up ne peuvent se permettre ces dépenses, ne sachant pas si les produits qu’elles achètent aujourd’hui serviront vraiment lorsque le moment de la production sera venu », explique M. Binant. Par ailleurs, si l’on regarde 10 ans devant nous, il est clair que le développement de l’électrification des transports sera exponentiel, croit M. Binant. La crise de l’apprivoisement que l’on perçoit actuellement n’est pas la première crise que rencontre l’industrie, et ne sera pas la dernière, selon lui. « On trouvera toujours les solutions. Nous sommes à la croisée des chemins, et cela est très excitant, car le Québec possède tous les atouts pour réussir », conclut-il. https://www.lapresse.ca/affaires/portfolio/2021-09-28/electrification-des-transports/sous-traitance-derriere-les-lion-electrique-et-autres-champions.php
  12. C'est pourquoi il est important d'attendre qu'un projet soit terminé avant de critiquer certains éléments comme celui-ci qui sont de toute évidence remédiables. En écrivant ces mots j'ai présent à l'esprit l'édifice Place Bonaventure qui a été récemment rénové et qui fut sévèrement critiqué par certains membres de MTLURB tout au long des travaux.
  13. Pourtant au début du projet c'était juste un petit bout de mur et on se demandait s'il allait tenir le coup car il est resté longtemps seul au coin de la rue avant que l'on entame la construction de l'édifice auquel il allait être intégré.
  14. Merci beaucoup, je suis très heureux que tu l'aies trouvée. Nous avons maintenant une preuve que le concept existait déjà en février 2013 et sans doute un certain temps avant. Dans l'article on ne parle malheureusement pas du projet, mais par contre dans l'encadré on apporte quelques détails (premier cliché) qui montrent toute l'ambiguïté qui régnait alors autour de l'îlot Clark. Il était bien question de stationnement souterrain à ce moment-là, mais avec une patinoire au dessus. Ce stationnement aurait non seulement nui aux équipements de réfrigération de la patinoire mais aurait également privé le Quartier des spectacles d'un espace d'entreposage stratégique. Le second cliché nous montre le concept d'alors qui s'avère quasiment identique à la réalité actuelle. Sur le troisième cliché on voit des projections sur le mur aveugle qui incidemment sont encore au programme en 2021. Et chose assez remarquable, sur le dernier cliché on apercevait déjà l'hôtel Art de Vivre tel qu'il est aujourd'hui.
  15. Je serais curieux de savoir ce qu'on a dit à cet effet aux acheteurs de condos dans le Maestria. Le mur, n'ayant que trois étages maximum, ne cachera évidemment pas la vue de ces affreux derrières de maisons pour la plupart des résidants de cet immeuble. Par contre si ces maisons n'existaient pas ils auraient une vue imprenable non seulement sur la place des Festivals mais sur la rue Sainte-Catherine également. Effectivement, ces maisons ont un charme indéniable. Mais pas suffisamment pour sacrifier la vue que l'on aurait sur le Maestria à partir de la place des Festivals si elles n'existaient pas. On a qu'à regarder l'escalier monumental sur le rendu ci-joint pour comprendre que l'effet que cet escalier devrait avoir sur ceux qui voudront admirer le Maestria à partir de la place des Festivals ou de l'esplanade de la Place des Arts ne se matérialisera jamais tant que les maisons seront là.
  16. L'Avenue est vraiment beau sur cette photo-là!
  17. Chacun de nous a non seulement sa façon de penser mais aussi sa façon de regarder. Moi je regarde toujours les projets à partir de la rue. Car c'est au niveau de la rue que les humains se déplacent, exception faite de ceux qui nous livrent soir et matin le bulletin de circulation en hélicoptère. La Tour CIBC à l'origine était beaucoup plus élégante qu'elle ne l'est aujourd'hui car nous pouvions alors l'admirer dans toute sa splendeur avant qu'elle ne soit tronquée par un afterthought qui a l'air rapporté pour les puristes comme moi. Imaginons la Banque Canadienne Nationale avec son "coffre-fort" devant l'édifice sur la Place d'Armes plutôt qu'en arrière comme c'est le cas présentement! Un autre exemple que je pourrais donner est celui de la Banque Nationale présentement en construction. Projetons-nous un instant en 2025: un automobiliste roule en direction est sur la rue Saint-Jacques et passe sous le pont-viaduc du CN et aperçoit devant lui... le Bureau en gros, qu'on aurait magiquement déménagé devant la tour de la BN plutôt qu'à côté comme c'est le cas présentement. Cela défigurerait complètement la BN au niveau de la rue (donc des piétons et des automobilistes) comme les maisons en rangée le feront inévitablement pour le Maestria. La base d'un édifice en hauteur est tout aussi importante que l'édifice lui-même. Ce n'est pas pour rien que les architectes mettent beaucoup d'efforts à concevoir des basilaires et des podium qui s'harmonisent avec l'édifice et le rehausse dans tous les sens du terme.
  18. La Caisse larguera la production de pétrole D’ici la fin de 2022, la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ) se sera départie de tous ses investissements dans les sociétés de production pétrolière, soit une participation de près de 4 milliards. Cette somme équivaut à environ 1 % de son portefeuille. Denis Lessard - La Presse Cette décision sera l’élément le plus tangible d’une série de gestes faits par la CDPQ pour réduire son exposition aux énergies fossiles, une longue liste de mesures que dévoilera le président Charles Emond mardi en conférence de presse, a appris La Presse. Pour réaliser cet engagement, la Caisse doit notamment se départir de 19 millions d’actions de Suncor, d’une valeur actuelle de 404 millions. Les 1,9 million d’actions d’Exxon qu’elle détient, selon son dernier rapport annuel, valent environ 100 millions. Tous ces investissements dans la production pétrolière totalisent 1 % des 390 milliards du portefeuille de la CDPQ. On ne vise pour le moment que la production pétrolière. Charles Emond aura une position plus nuancée en ce qui touche la production gazière, ainsi que les investissements dans le transport d’hydrocarbure, par exemple Enbridge, TC Énergie (auparavant TransCanada) et Kinder Morgan. La réaction risque d’être vive dans l’ouest du pays, en Alberta surtout, où l’industrie pétrolière et l’ensemble de l’économie sont mal en point. Les principaux déposants de la Caisse ont déjà été informés de ces intentions. La COP26 à l’horizon Bien des gouvernements et des organismes pressent le pas pour arriver avec des annonces vertes avant la réunion de la COP26 qui aura lieu à Glasgow, en Écosse, du 31 octobre au 12 novembre. Selon les sources de La Presse, on était contrarié au gouvernement d’apprendre que la Caisse annoncerait sa décision après que la cheffe du PLQ, Dominique Anglade, eut promis qu’un gouvernement libéral forcerait la CDPQ à se départir de tous ses investissements dans les hydrocarbures, en production, mais aussi en raffinage et en transport. La Presse a écrit la semaine dernière que le gouvernement Legault allait, dans cet esprit, annoncer cet automne qu’il mettait fin à tous les projets d’exploration pétrolière ou gazière sur son territoire – aucun gisement n’est exploité après 35 ans de tentatives. Là encore, Québec solidaire avait paru devancer le gouvernement, réclamant publiquement un tel virage il y a un mois. Partout au pays, les fonds de retraite tendent à se départir des investissements dans les secteurs sources d’émissions de gaz à effet de serre, tant le discours sur l’environnement a pris le pas sur l’ensemble des autres enjeux. Avec son annonce de mardi, la CDPQ soutiendra avoir pris, sur ces questions, les devants sur tous les fonds comparables au pays. À la mi-septembre, par exemple, le fonds de retraite Ontario Teachers’ annonçait une accélération de sa marche vers la réduction des émissions, avec une réduction de 45 % de ce portefeuille d’ici 2025 et de 67 % d’ici 2030. Le fonds se propose d’atteindre la carboneutralité en 2050. La Caisse presse le pas La Caisse s’est déjà engagée en 2017 à une réduction de ses investissements dans les secteurs sources d’émissions de 25 % avant 2025. Déjà, le 31 décembre 2020, elle en était à 38 % par rapport aux données de 2017. Il s’agit d’une mesure qui tient compte de l’ensemble des émissions des sociétés, dont le transport, l’industrie minière ou manufacturière. Dans son plus récent rapport annuel, la CDPQ s’était engagée à renouveler sa cible pour l’« intensité carbone » par dollar investi pour 2025, pour l’ensemble de ses actifs. La Caisse soulignera aussi ses 36 milliards d’investissements dans des sociétés « sobres en carbone ». Consciente qu’elle était déjà avancée dans l’atteinte des cibles de 2017, la Caisse a décidé de présenter une « accélération » des mesures, une annonce qui tombe à point nommé avant la conférence de Glasgow. Depuis nombre d’années, une coalition « Sortons la Caisse du carbone » réclame publiquement que la CDPQ liquide ses investissements dans le pétrole et le gaz. Pour le groupe de pression, ces placements étaient déjà déficitaires dans la dernière décennie, mais ils ont connu leur pire année en 2020. Le groupe estime que la Caisse a perdu près de 32 % dans ses 50 principaux investissements boursiers de ce secteur, une perte de rendement de 4,2 milliards. https://www.lapresse.ca/affaires/2021-09-25/la-caisse-larguera-la-production-de-petrole.php
  19. Je comprends très bien que plusieurs personnes, dont moi, trouvent en effet un charme anachronique à ces maisons en rangée. Le problème ce n'est pas les maisons en elle-mêmes, qui comme plusieurs le reconnaîtront ont un charme indéniable et offrent une interaction directe avec la rue. Mais justement, sur ce dernier point il ne faudrait pas oublier non plus que le double podium de Bleury/Sainte-Catherine offrira essentiellement la même chose en termes d'interaction avec la rue et peut-être même davantage. Le problème c'est que les maisons obstrueront la vue sur le Maestria qui ne pourra alors pas se présenter à nous dans toute sa splendeur lorsque nous voudront l'admirer à partir de la place des Festivals ou de l'esplanade de la Place des Arts.
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