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Normand Hamel

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Tout ce qui a été posté par Normand Hamel

  1. Ligne de tramway électrique de la Montreal Park & Island Railway Co qui connectait Montréal, St-Louis-du-Mile-End, Outremont et Côte-des-Neiges. Ce qui est devenu depuis 1958 la ligne 51 (Édouard-Montpetit).
  2. Vue aérienne de la rue Sherbrooke avec le Collège de Montréal à l'avant-plan.
  3. J'ai trouvé une photo du commerce en question: Val Royal Lumbers.
  4. Toute mon enfance et mon adolescence tournent autour de ce train qui pour moi était le REM de l'époque. J'adorais aller au centre-ville de Montréal et je prenais souvent ce train pour m'y rendre. À titre d'exemple, après l'école un vendredi après-midi j'ai pris ce train pour aller visiter la Place Ville-Marie qui venait d'être inaugurée quelques semaines plus tôt. Et de la Gare Centrale je me rendais souvent chez Baron Sport. C'est pourquoi le Rodier occupe une place importante dans mon coeur.
  5. Effectivement, j'ai maintenant fait la correction. En fait tout juste à côté de la station de Cartierville il y avait un marchand de matériaux de construction, du genre Home Depot, où mon père qui était contracteur avait un compte et cet établissement s'appelait Val Royal.
  6. Oui et ça coûtait 10 sous à l'époque pour se rendre au centre-ville. Et le train s'arrêtait bel et bien à Val-Royal. En fait c'était la ligne Deux-Montagnes sur laquelle une fois arrivé à la hauteur de Cartierville le train s'arrêtait pour effectuer une manoeuvre laborieuse à reculons vers la gare de Cartierville avant de repartir vers le centre-ville ou Deux-Montagnes, selon la direction. Le service était offert plusieurs fois par jour à une certaine époque. Cliché 1 - Témoignage d'un ancien employé du CN. Cliché 2 - Voici de quoi avait l'air la station dans mon enfance. Cliché 3 - La station de Cartierville en 1968.
  7. Les architectes ont fait un travail remarquable. Ce facelift était une entreprise risquée qui aurait pu défigurer la Place Bonaventure mais l'a finalement rajeunie. Pendant les rénovations je lisais les critiques et me disait à moi-même qu'il serait préférable t'attendre la fin des travaux avant de se prononcer. Cela valait la peine d'attendre car le résultat est magnifique. C'est que la fenestration de la PB était sévèrement déficiente. Mais avant cet audacieux projet je ne croyais pas qu'il était possible d'apporter les corrections nécessaires sans compromettre le design original. Or le sceptique en moi a été confondu. Cet édifice est important dans mon histoire personnelle car j'y ai passé beaucoup de temps les premières années après son ouverture. J'habitais à Chomedey et après avoir traversé le pont Lachapelle je prenais le "REM" à Cartierville qui me déposait à la porte. 😃
  8. Non, ne fais surtout pas ça! Ta contribution est trop importante et tes photos sont vraiment magnifiques. Surtout qu'on a perdu un excellent photographe dernièrement.
  9. J'aime la diversité et le mélange des genres que permet la superposition des époques. De plus à Montréal on a aussi le mélange de deux cultures fort différentes qui ajoute une dimension supplémentaire sur le plan architectural.
  10. Le superordinateur quantique d’IBM s’en vient L’informatique quantique a longtemps été considérée comme un domaine générateur de scénarios futuristes improbables, mais elle est devenue aujourd’hui un terreau de développement bien réel qui pourra prochainement servir aux entreprises québécoises avec l’entrée en activité à Bromont du superordinateur quantique d’IBM, une machine qui n’existe que dans cinq pays dans le monde. Dans sa volonté d’amener les entreprises québécoises à réaliser et accélérer leur transformation numérique, le ministère de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie, en collaboration avec l’Université de Sherbrooke, a mis sur pied la Plateforme d’innovation numérique et quantique du Québec (PINQ⁠2) à Sherbrooke. Annoncée en grande pompe il y a trois ans, PINQ⁠2 est aujourd’hui en fonction et c’est cette plateforme qui exploitera à partir de septembre le superordinateur quantique d’IBM, le Quantum System One, dont le gouvernement a acquis les droits d’usage pour les cinq prochaines années au coût de 68 millions. Le superordinateur quantique sera installé dans les prochains mois à l’usine IBM de semi-conducteurs de Bromont, mais la gestion de la supermachine se fera par PINQ⁠2 au moyen de l’infonuagique. La plateforme d’innovation travaille également en collaboration avec l’Institut quantique de l’Université de Sherbrooke ainsi que l’Université de Montréal et Concordia. « On offre un environnement hybride avec de l’informatique classique et quantique. On a déjà commencé des projets à partir des ordinateurs quantiques d’IBM à New York, mais à partir de septembre on va le faire avec le superordinateur de Bromont qui assurera la souveraineté de nos données », m’a expliqué Éric Capelle, directeur général de PINQ2, cette semaine lors du lancement de cette prochaine étape. Développer des algorithmes Non, le superordinateur quantique de Bromont ne permettra pas de résoudre l’énigme de l’origine du monde. Il va toutefois ouvrir des possibilités aux entreprises et aux chercheurs qui vont utiliser sa puissance de calcul inégalée pour développer des algorithmes que l’informatique classique est incapable de réaliser. « Simuler les propriétés d’une molécule d’insuline avec un ordinateur classique nécessiterait une machine de la taille d’un pays ou même de la Terre. Un ordinateur quantique offre des possibilités de calcul immenses pour développer des algorithmes beaucoup plus complexes. On est passé de l’analogique au numérique et maintenant le quantique nous amène ailleurs », explique Jean-François Barsoum, directeur exécutif Innovation chez IBM. Le superordinateur quantique de Bromont va servir à optimiser la recherche opérationnelle et à développer notamment de nouveaux matériaux, de nouveaux médicaments, des solutions pour le secteur de l’énergie, de l’environnement et du manufacturier, tout comme des algorithmes de gestion de risque pour le monde financier. On prévoit qu’une vingtaine d’entreprises vont utiliser son potentiel dans la première année et qu’une centaine de projets pourraient s’y greffer annuellement par la suite. « On veut être proche des universités et des grandes organisations comme le Mila ou IVADO tout autant que des PME par l’entremise des centres collégiaux de transferts des technologies. On a déjà des start-up comme LeddarTech qui participent à des projets », précise Éric Capelle, de PINQ⁠2. IBM utilise une vingtaine de ses superordinateurs quantiques dans son centre de recherche à New York et quatre États seulement dans le monde disposent ou seront bientôt dotés d’un Quantum System One, l’Allemagne, le Japon, la Corée du Sud et bientôt le Québec. Ce qui est bien, c’est que chaque nouvelle version du superordinateur quantique est plus performante que les précédentes. Celui de Bromont dispose de fonctionnalités additionnelles en intelligence artificielle, ce qui va profiter à nos chercheurs dans le domaine. - Jean-François Barsoum, directeur exécutif Innovation chez IBM. https://www.lapresse.ca/affaires/chroniques/2023-01-27/le-superordinateur-quantique-d-ibm-s-en-vient.php
  11. Bon point! Merci d'avoir fait le lien, surtout que j'adore la Place Bonaventure, moi. 😛
  12. Classement UBI Global Deux incubateurs montréalais dans le top 10 mondial Sur plus de 1895 incubateurs et accélérateurs, 2 installés à Montréal figurent dans le top 10 universitaire d’UBI Global dévoilé ce mardi. Le Centech affilié à l’École de technologie supérieure et le Centre Dobson pour l’entrepreneuriat de l’Université McGill sont dans le peloton de tête des incubateurs universitaires. Un troisième incubateur canadien, l’University of Toronto Entrepreneurship, figure également dans ce top 10. UBI Global a également retenu deux incubateurs universitaires de Turquie. Le Chili, le Portugal, les Pays-Bas, l’Équateur et le Mexique complètent le groupe. Le Centre Dobson a fait encore mieux en étant inclus dans les cinq meilleurs incubateurs d’UBI Global. Les rangs précis n’ont pas été dévoilés. Fait surprenant, on ne retrouve aucun des pays généralement dominants en technologie dans les 10 meilleurs incubateurs universitaires. Ni les États-Unis, ni la Chine, ni l’Allemagne, notamment, ne s’y trouvent. UBI Global n’avait pas fourni d’explications à La Presse au moment d’écrire ces lignes. « Il faut une communauté pour transformer une innovation en une entreprise florissante et consciente », a déclaré par communiqué Marie Josée Lamothe, de la direction du Centre Dobson. Cet incubateur estime avoir soutenu le lancement de plus de 400 entreprises en démarrage, qui ont levé plus de 2,2 milliards de dollars en financement de préamorçage, exercent leurs activités dans 36 pays et ont créé plus de 8000 emplois. https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/2023-01-24/classement-ubi-global/deux-incubateurs-montrealais-dans-le-top-10-mondial.php
  13. Photo 1 - La Sun Life à l'avant-plan peu avant son agrandissement, avec à l'arrière-plan le mont Royal. Photo 2 - Sur la gauche, au centre, on aperçoit l'ancien hôtel Windsor.
  14. Le centre-ville de Montréal en 1928. En face de la cathédrale Marie-Reine-du-Monde on peut voir la première section de la Sun Life avant son agrandissement en 1930.
  15. Début des travaux de la future station du REM McGill College. 😛
  16. La rue Sainte-Catherine, au coin de Peel, dans les années 50.
  17. C'est un projet vraiment magnifique en effet. Je voudrais cependant émettre un bémol en lien avec la contrainte de préserver à tout prix, et à juste titre, les arbres quasi centenaires sur le terrain tout juste à côté de la Maison Louis-Viger (cliché 1). Je trouve que la solution retenue par Pelletier de Fontenay (clichés 2, 3 et 4) ne cadre pas bien avec l'environnement immédiat. C'est surtout le grand volume horizontal (cliché 3) qui me pose problème, celui qui incorpore les arbres, car il semble avoir été déposé à cet endroit sans souci d'interaction avec la rue Bonsecours et l'intégration avec les autres bâtiments ne me parait pas évidante. À cet égard je trouve la solution initialement proposée, mais non retenue, par In Situ infiniment mieux réussie (clichés 5 et 6). Mais pour tout le reste c'est quand même très prometteur.
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