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Ousb

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Tout ce qui a été posté par Ousb

  1. Je suis pour le retour de Coderre a 200% mais j'ai de plus en plus l'impression qu'il va perdre. Il fait des erreurs trop bêtes. Je préfère ne pas m'attacher a un éventuel rehaussement des hauteurs au centre-ville.
  2. Non c’est du verre de bonne qualité hyper réflechissant. Je suis passé devant il y a deux ou trois jours, plein soleil, c’est magnifique comme effet ! Ça doit être à cause du temps gris d’hier que ça l’est moins sur la photo. Exact
  3. Oh je pensais que 825000 c’était le total! Ah donc on s’enligne quand même pour avoir le plus gros du Québec devant les Galeries de la Capitale. Presqu’aussi gros que Yorkdale.
  4. Presque 2 fois plus petit que Laval.
  5. Moi qui voyait Legault comme un businessman... il déçoit de tous les côtés. Je m’attendais au moins à ce qu’il prenne les bonnes décisions côté économie.
  6. Quel bordel. Le gouvernement l'échappe solide. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1786074/immigration-delais-ottawa-quebec-trudeau-legault-temoignages POLITIQUE PROVINCIALE Dénonçant de « monstrueux » délais d’immigration, des travailleurs quittent le Québec Les travailleurs étrangers vivant au Québec doivent patienter au moins trois ans avant d’obtenir une résidence permanente, contre environ six mois dans les autres provinces. Développeur de logiciels, Stefan Milivojevic a quitté le Québec pour l’Ontario. Comme lui, de nombreux travailleurs étrangers envisagent de rejoindre Toronto ou une autre grande ville canadienne pour bénéficier des délais réduits d’immigration. PHOTO : COURTOISIE CommentairesRomain Schué (accéder à la page de l'auteur)Romain Schué Publié à 4 h 11 Un déménagement de quelques centaines de kilomètres et la sérénité est de retour. « Mon fils me dit que je suis maintenant plus décontracté qu’à Montréal », dit Stefan Milivojevic. L’été passé, ce Serbe de 34 ans a quitté le Québec pour Burlington, en Ontario. La raison? Les délais d’immigration au Québec. Développeur de logiciels, Stefan avait rejoint Montréal en 2019, avec sa conjointe et leurs deux jeunes enfants, malgré plusieurs offres d’emploi très bien rémunérées en France, au Danemark ou encore en Allemagne. On s’était dit que le Canada et le Québec, c’était un mix parfait, avec une société multiculturelle et le fait que les enfants puissent parler français, raconte-t-il. Lors de sa venue, son idée était claire : obtenir la résidence permanente, qui lui permet de travailler et vivre n’importe où au Canada sans avoir besoin de renouveler son permis de travail. Montréal semblait l’endroit idéal. On s’est enracinés, on aimait notre quartier, Rosemont. On s’y voyait à long terme et on avait des emplois très bien payés, souligne-t-il. Mais la réforme du Programme de l’expérience québécoise (PEQ) par le gouvernement Legault, qui en a durci les critères d'accès, a, entre autres, chamboulé son parcours. Sans compter, par la suite, les nombreux mois d'attente nécessaires pour finaliser le processus d'immigration. Avec toutes ces rumeurs sur les changements des programmes et les délais qui s’allongeaient, on s’est demandé si ça valait la peine de se mettre dans une telle situation d’insécurité avec les enfants. Une citation de :Stefan Milivojevic, développeur de logiciels Parlant couramment français, anglais et serbe, Stefan Milivojevic ne regrette pas son choix. Mais, lance-t-il, tu te sens blessé. Mon métier, au Québec, est recherché. Je ne serais jamais parti sans ces délais monstrueux. On était bien, mais il y avait une limite. Ces délais rendent la vie difficile [aux travailleurs]. C’était dur de tout recommencer ailleurs, je me suis même mis à pleurer. Mais on est finalement très heureux. Et notre processus de résidence permanente sera réglé avant l’été. Un processus de trois ans au Québec En vertu d’un accord entre Québec et Ottawa, un travailleur ou un étudiant étranger qui souhaite s’installer au Québec doit d’abord être sélectionné par le gouvernement du Québec. Plusieurs programmes existent à cet effet, comme le PEQ. Ils permettent de délivrer, en six mois normalement, un certificat de sélection du Québec (CSQ). Mais cet engagement, selon le Protecteur du citoyen, n’est pas toujours respecté. Par la suite, le dossier d'immigration est géré par le gouvernement fédéral, qui réalise les vérifications médicales et de sécurité pour délivrer la résidence permanente. Une fois leur CSQ en main, les candidats à l’immigration économique doivent patienter environ 27 mois pour obtenir leur résidence permanente et être admis au Québec, selon les données actuelles du gouvernement fédéral. Ottawa respecte les cibles d’immigration fixées par le gouvernement Legault et délivre ce précieux sésame en fonction de ces seuils. Dans les autres provinces, un autre système existe, intitulé Entrée express, qui permet, selon différents critères, d’immigrer de manière permanente dans un délai de six mois. Les nerfs à vif À l’instar de ce spécialiste dans les technologies de l’information, des dizaines d’autres travailleurs étrangers, dans des secteurs particulièrement recherchés au Québec, ont confié à Radio-Canada leur volonté de quitter la province. Contre leur volonté initiale. Ils œuvrent dans le domaine informatique, des jeux vidéo, de la santé ou de la restauration. Tous évoquent les mêmes contraintes, incertitudes et angoisses face à ces interminables délais pour obtenir leur résidence permanente. Sans ce document, ils s'exposent à des difficultés pour avoir accès à l’assurance maladie ou encore à un prêt bancaire, et doivent composer avec la difficulté de renouveler un permis de travail, notamment durant cette crise sanitaire. J’ai les nerfs à vif, soutient par exemple Marine Fromentin, serveuse à Québec. Depuis bientôt trois ans, cette Française patiente avec son conjoint. Et songe à une nouvelle vie, dans l’Ouest canadien. J’essaye d’être positive, mais il y a tant d’incertitude et tellement de stress. On se dit qu’on pourrait faire notre résidence dans l’Ouest, on l’envisage. Une citation de :Marine Fromentin, serveuse Marine Fromentin travaille comme serveuse à Québec depuis plusieurs années. PHOTO : COURTOISIE Arrivé de Turquie en 2016, Ozan Yigit s’interroge lui aussi. Chercheur en optique et photonique, ce doctorant de l’Université Laval, qui développe des systèmes laser, prévoit de partir pour l’Ontario. J’ai reçu plusieurs offres d’emploi au Canada, en Europe et en Turquie, détaille-t-il. Dans un premier temps, il les a balayées, parce que, dit-il, j’aime le Québec et qu'il y a une pénurie de main-d’œuvre dans mon domaine. Mais, à moins d’une amélioration des procédures et des délais d’immigration, il partira à la fin de l’année. Plusieurs de mes amis travaillant dans le même domaine viennent de quitter le Québec à cause des problèmes d’immigration, en trouvant facilement un emploi en Ontario. Une citation de :Ozan Yigit, chercheur Les entreprises qui me contactent me disent avoir tout prévu concernant les démarches d’immigration. C’est un bon argument de vente, mentionne Alexandre Jubert, un Français, qui travaille actuellement comme programmeur 3D. C’est déchirant, j’aime le Québec, j’aime vivre au Québec, mais chaque démarche est une bataille. C’est comme s’arracher des dents. Une citation de :Alexandre Jubert, programme 3D D’autres bouclent déjà leurs valises. Comme El Ghali Chouf. Ce Marocain dans la vingtaine, diplômé dans le domaine du secrétariat médical, va rejoindre Ottawa cet été. Ici, tu peux te réveiller et toutes les règles [d’immigration] peuvent changer. J’aime le Québec, mais en Ontario, ça va être plus rapide. Une citation de :El Ghali Chouf, secrétaire médical El Ghali Chouf va vivre en Ontario pour obtenir plus rapidement sa résidence permanente. PHOTO : COURTOISIE Spécialiste dans la prévention des infections et des éclosions, Pascal Manua-Simon, employé par la Direction de la santé publique montréalaise, a une réflexion similaire. Le Polynésien de 24 ans, qui a quitté Tahiti pour Montréal en 2014, se dit dans le flou. Des opportunités d’emploi, il y en a partout. Si j’en trouve une, en français, au Nouveau-Brunswick par exemple, je vais la considérer sérieusement. Le rêve de l’Amérique en français était ma principale motivation. Mais toutes ces sagas et le manque de transparence, c’est décourageant. Une citation de :Pascal Manua-Simon, employé du milieu de la santé Clairement, il y a une vague de gens qui pensent à partir. Une amie a annulé sa demande au Québec et est allée vivre à Ottawa, raconte Julie Maurel, infirmière au CHUM, qui avoue être déprimée par la situation actuelle. Je sais bien qu’en tant qu’immigrant, on ne doit pas avoir un tapis rouge qui se déroule, mais il y a une manière de faire qui dérange, confie cette Française de 34 ans. On se sent comme des moins que rien. On est face à un mur. Une citation de :Julie Maurel, infirmière Luciana Coura Vivia a quant à elle fait un choix déchirant. Établie à Saint-Bruno-de-Montarville, cette Brésilienne de 40 ans attend des nouvelles de sa résidence permanente depuis bientôt trois ans. Après trois renouvellements de permis de travail, plusieurs problèmes d’accès à la RAMQ liés à ces procédures et cette lourde charge émotionnelle qu'elle doit supporter, elle et son conjoint ont décidé de ne pas mettre en jeu l’avenir des enfants. Son mari a accepté un poste au Brésil, dans le secteur de l’informatique, et cette conseillère en communication vit désormais seule avec ses deux adolescents. C’est terrible, autant pour lui que pour moi. Mais on est pieds et mains liés. On a du mal à visualiser notre futur et on ne peut pas attendre toute notre vie que le gouvernement prenne une décision, lâche-t-elle. C’est ironique, car dans mon métier, je réalise un projet pour attirer du monde au Québec, alors que moi-même, j’ai des problèmes d’immigration. Une citation de :Luciana Coura Vivia, conseillère en communication « J’adore le Canada et le Québec. On ne se poserait pas de questions s’il n’y avait pas ces délais », explique Luciana Coura Vivia. PHOTO : COURTOISIE Québec accuse Ottawa La semaine passée, le gouvernement de Justin Trudeau a lancé une nouvelle voie, plus rapide, pour des dizaines de milliers de travailleurs étrangers qui ne vivent pas au Québec. L’équipe de François Legault a refusé de participer à ce programme, a laissé entendre le ministre fédéral Marco Mendicino, en indiquant que sa porte reste ouverte. Du côté de Québec, qui a déjà promis de revoir à la hausse ses seuils d’immigration, on soutient qu’Ottawa manque d’efficacité et ne répond pas, pleinement, aux demandes de la province. Dès les premiers mois suivant la fermeture prolongée des frontières, nous avons demandé à Ottawa de prioriser le traitement des dossiers des personnes déjà sur place, clame-t-on au sein du cabinet de la ministre Nadine Girault. Le gouvernement fédéral doit prendre ses responsabilités et traiter les dossiers [des personnes vivant au Québec]. Une citation de :Flore Bouchon, porte-parole de la ministre Nadine Girault Sans donner plus de détails, Ottawa réplique en affirmant prioriser le traitement de professions spécifiques et avoir constaté une augmentation d’environ 56 % des admissions des travailleurs qualifiés du Québec, en comparaison à la même période l’an dernier. Au cours des dernières semaines, 62 nouveaux employés ont été embauchés dans les bureaux de Sydney, en Nouvelle-Écosse, pour traiter les dossiers des candidats québécois, souligne Alex Cohen, porte-parole du ministre fédéral de l'Immigration, Marco Mendicino. Nous avons aussi mis en place plusieurs mesures novatrices afin de traiter le plus rapidement possible les demandes en cours, passer du papier au numérique et réduire les délais causés par la COVID-19. Une citation de :Alex Cohen, porte-parole du ministre Marco Mendicino Ces bisbilles entre les deux gouvernements agacent cependant les travailleurs vivant au Québec. Il faut qu’ils arrêtent de se renvoyer la balle, déplore Marine Fromentin. On est des vies, pas des numéros.
  7. Ousb

    Montreal's Future Skyline

    Jamais dit le contraire. Mais l’autre ville possède aussi ses points forts. Et si autant de gens sont attirés par elle c’est surement parce qu’elle fait des choses très bien. Montréal est ma ville préférée. Né ici, grandi ici. Vit ici. Mais je ne dirais jamais que la compétion entre les grandes villes du monde n’est pas importante. Jamais. Et je vois grand pour ma ville même si ça semble mal vu pour beaucoup qui le prennent comme une insulte. Mais bon je suis responsable de ce que je dis pas de ce que les autres comprennent. Et ma réponse à Rocco s’addressait à Rocco qui me visait dans sa réponse précédente. Ce n’était pas une généralisation contre les montréalais ou les autres membres du forum. Au cas où d’autres se sentent visés.
  8. Ousb

    Montreal's Future Skyline

    Dans le sens que quand on est les meilleurs dans un domaine donné on ne dit jamais que la concurrence n’est pas importante ou que c’est pour les gros égos. Au contraire on se frappe la poitrine. À l’inverse quand on fait moins bien dans un autre on a tendance à minimiser et à faire comme si on aimerait pas être au top. Je n’ai fait que dire que j’aurais adoré voir Montréal surclasser Toronto à nouveau. C’est un vœux pour ma ville. Je ne vois pas en quoi cela mériterait de se faire dire que cela vise juste à satisfaire un égo surdimensionné. Je réponds bêtement aux réponses bêtes point.
  9. Ousb

    Montreal's Future Skyline

    Tout comme toi. Toujours à l’extrême. Donc mieux vaut jouer à ton jeu plutôt que de se fatiguer à argumenter. Ça évite les frustrations inutiles. 🤝
  10. Ousb

    Montreal's Future Skyline

    Ptdr bizarrement ya que les perdants qui tiennent ce genre de discours. Tu verras jamais un winner parler comme ça. Tant pis ein.
  11. Ousb

    Montreal's Future Skyline

    Ce serait trop bien qu’on redevenienne la plus grande ville du Canada mais l’écart est trop grand (et continue de s’aggrandir) malheureusement.
  12. De retour à 6 grues hier soir. Je pense que celle que @lebanonsaid a vu être démontée a surement été remontée ailleurs. Je ne pense pas que le projet sera annulé. Malgré la pandémie ce n'est pas du tout la catastrophe annoncée dans l'économie. La reprise risque d'être très forte. Les personnes aisées qui seront une grande partie de la clientèle ne se sont pas appauvries. La richesse est toujours présente à Montréal. L'annuler comme si la pandémie avait tout détruit de manière permanente me semblerait exagéré. Peut-être que d'autres, plus informés que moi, me contrediront.
  13. Les grues sont toujours là. J'en ai compté au moins 5 ce matin.
  14. C'est jamais assez pour les milieux communautaires. Mets 50% de logements sociaux si tu veux ca ne changera rien.
  15. Merci beaucoup à vous deux
  16. Magnifique la premiere photo ! Cest ou ?
  17. On s’en sort jamais. J’espère qu’ils ne vont pas les écouter. C’est quoi « la silhouette de Montréal » ? Come on.
  18. T’exagères un peu dans ton deuxième paragraphe. J’ai des amis qui logent dans de beaux appartement pour 1200$. C’est pas au Dowtown mais still dans des tours modernes.
  19. Oui j’ai mon avis sur le projet. Mais ça fait des pages et des pages que les mêmes arguments reviennent. Et personne ne change de position. Donc je ne vois pas l’intérêt at this point. All I see are the same things being said over and over again.
  20. Pour moi qui vient de commencer ma carrière et qui suis célibataire sans enfants je confirme 100%. On se fait taper comme pas possible. Quelqu’un qui fait admettons 45k se retrouve avec 33k a peine.
  21. Qu’ils demandent une dérogation pour 215m tant qu’on y est. Ça ferait du bien un peu. Sinon on va se retrouver avec 5 tours, proches les unes des autres, ayant sensiblement la même hauteur. Je sais pas à quel point c’est réaliste d’espérer cela.
  22. J’ai vraiment hate que ce projet débute et que l’on puisse parler d’autre chose le concernant. Ça fait des années que le même débat perdure et qu’on a fait le tour des arguments de part et d’autre.
  23. Suicide politique auprès de qui ? J’ai l’impression que la plupart des gens n’en ont que faire de la hauteur des immeubles au centre-ville. Le 20/20/20 était l’opportunité parfaite de réviser le plan d’urbanisme. Demander plus des promoteurs immobilier tout en assouplissant les règles aurait été beaucoup plus raisonnable que ce qui nous été pondu. Espérons qu’un jour..
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