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Ousb

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Tout ce qui a été posté par Ousb

  1. Thank you. The whole on island part of the 40 is a shame. When Im driving on the met I’m always asking myself is this REALLY our main thoroughfare? And when I compare it to the 401 in Toronto or the 417 in Ottawa it is indeed shameful. If our leaders were really proud of being Quebecers they wouldn’t let such things happen. When you love your province, your Metropolis you just don’t. And they get away with it because we dont hold them accountable. Instead we try to find excuses talking bout winter or the fact that we have less tax payers than Ontario. As soon as you say the truth some will label you as a Quebec basher. We have the right to be mad. This is disrespectful to the most taxed citizen in North America. Aucun effort.
  2. Lmao the shameful state of the met, the closure of the 20 for several months, the Dorval interchange fiasco and now this. But how dare we complain ehehe.
  3. Ouais mais l'Ontario a des autoroutes beaucoup plus larges donc en terme de kilomètres de voies à entretenir c'est surement équivalent. C'est juste une excuse ca....
  4. Saddest part is that it’s not only a suburb thing. Same bs in the city of Montreal. It’s everywhere.
  5. Des faits très intéressants. Toujours un plaisir d’échanger avec toi. Merci.
  6. Tu penses réellement que si les 5 grandes banques étaient ici et que la plupart des sièges canadiens des multinationales étrangères cela n’aurait eu aucune incidence sur le développement de notre centre-ville ? S’il ne s’est rien construit en si longtemps et que notre centre-ville jusqu’en 2012 ressemblait à Cincinatti c’est bien parce que notre ville était sur le déclin. Quant à ton exemple entre Francfort et Munich je ne sais pas comprends pas pourquoi tu dis que Munich est au dessus. Munich a un PIB de 117 milliards d’Euro pour une population de 1.6 millions d’habitants. Francfort c’est 70 milliards pour une population de 800.000. En PIB par habitant, Francfort c’est beaucoup plus que Munich avec 94000€ contre 60000€. Donc in my book Francfort est une ville plus riche et plus productive en terme de richesse que Munich. Ya pas photo. Francfort est aussi l’une des principales places financières d’Europe . Tout ça va dans le même sens que ce que je disais par rapport à la situation de Montréal vs Toronto et l’effet d’une économie chancelante sur le développement immobilier d’une ville.
  7. C’est pas ce que je dis. Btw Toronto 100 fois plus beau que Sao Paulo et ses milliers d’édifices nains cheap. À défaut d’aller en hauteur, ils en mettent partout. Quelle est la différence réellement ? Tout ce que je soulignais que le reglement qui limite les hauteurs à Montréal est né pendant le déclin de la ville. Si nous étions restés la capitale financière du Canada on aurait eu notre First Canadian Place bien avant cela.
  8. Montréal n’a fait aucun choix. Montréal était pauvre et son « choix » ne reflétait que la réalité de l’époque. Je rappelle juste que notre ville fut l’une des premières à un skyline en Amérique du Nord. Si nous étions restés la première métropole du Canada, on ressemblerait à ce qu’est Toronto aujourd’hui. C’est facile de dire que tu ne veux pas de quelque chose quand tu sais que tu ne peux pas l’avoir. Le refuser quand tu sais que c’est à ta portée, ça c’est un vrai choix.
  9. Ils attendent d’avoir construit 5 phases pas terribles pour nous sortir une 6e phase qui elle est un minimum potable ? Come on.
  10. On devrait vraiment s’attaquer à ce phénomène là. Les jeunes célibataires se font taper par les impôts de manière vraiment disproportionnée au Québec. Et le talent qu’on s’arrache pour faire vivre nos industries du futur, ce sont souvent des jeunes célibataires. Je trouve qu’on y accorde vraiment pas assez d’importance. Un jeune célibataire qui fait 43000 brut et se retrouve avec 29-30000 c’est pas juste selon moi.
  11. Ousb

    Black à Montréal

    Super intéressant merci du partage !
  12. Va vite falloir arrêter de créer des emplois dans les écoles, les CPE, le milieu de la santé, une bonne partie de la fonction publique. Fermons aussi toutes nos PME, nos commerces de détail, nos restaurants. Selon les critères de Legault ces gens appauvrissent aussi le Québec. C’est ça qui arrive quand t’es pogné avec tes promesses populistes à deux balles. Best of luck Mr Legault.
  13. C’est vrai on le voit mais les tours paraissent déjà plus hautes que lui sauf les piquets de 120m sur la gauche du Skyline. Ce qui me fait dire que si on voulait vraiment garder la prédominance du Mont-Royal il aurait fallu avoir une limite de hauteur beaoucoup plus basse.
  14. Par exemple la semaine passée lors de la conférence de presse pour présenter Hadrien Parizeau comme candidat, il a coupé ce dernier alors qu'il répondait à une question d'un journaliste et a répondu à sa place en disant "Écoutez, moi j'ai été ministre.....". La vidéo a tourné partout et donne des munitions à ses adversaires qui disent qu'il est arrogant et centralisateur. C'est une erreur bête. Mon but n'est pas de faire dévier la conversation mais j'ai peur d'être déçu si je m'attache à un rehaussement des hauteurs et qu'il ne se matérialise pas.
  15. Je suis pour le retour de Coderre a 200% mais j'ai de plus en plus l'impression qu'il va perdre. Il fait des erreurs trop bêtes. Je préfère ne pas m'attacher a un éventuel rehaussement des hauteurs au centre-ville.
  16. Non c’est du verre de bonne qualité hyper réflechissant. Je suis passé devant il y a deux ou trois jours, plein soleil, c’est magnifique comme effet ! Ça doit être à cause du temps gris d’hier que ça l’est moins sur la photo. Exact
  17. Oh je pensais que 825000 c’était le total! Ah donc on s’enligne quand même pour avoir le plus gros du Québec devant les Galeries de la Capitale. Presqu’aussi gros que Yorkdale.
  18. Presque 2 fois plus petit que Laval.
  19. Moi qui voyait Legault comme un businessman... il déçoit de tous les côtés. Je m’attendais au moins à ce qu’il prenne les bonnes décisions côté économie.
  20. Quel bordel. Le gouvernement l'échappe solide. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1786074/immigration-delais-ottawa-quebec-trudeau-legault-temoignages POLITIQUE PROVINCIALE Dénonçant de « monstrueux » délais d’immigration, des travailleurs quittent le Québec Les travailleurs étrangers vivant au Québec doivent patienter au moins trois ans avant d’obtenir une résidence permanente, contre environ six mois dans les autres provinces. Développeur de logiciels, Stefan Milivojevic a quitté le Québec pour l’Ontario. Comme lui, de nombreux travailleurs étrangers envisagent de rejoindre Toronto ou une autre grande ville canadienne pour bénéficier des délais réduits d’immigration. PHOTO : COURTOISIE CommentairesRomain Schué (accéder à la page de l'auteur)Romain Schué Publié à 4 h 11 Un déménagement de quelques centaines de kilomètres et la sérénité est de retour. « Mon fils me dit que je suis maintenant plus décontracté qu’à Montréal », dit Stefan Milivojevic. L’été passé, ce Serbe de 34 ans a quitté le Québec pour Burlington, en Ontario. La raison? Les délais d’immigration au Québec. Développeur de logiciels, Stefan avait rejoint Montréal en 2019, avec sa conjointe et leurs deux jeunes enfants, malgré plusieurs offres d’emploi très bien rémunérées en France, au Danemark ou encore en Allemagne. On s’était dit que le Canada et le Québec, c’était un mix parfait, avec une société multiculturelle et le fait que les enfants puissent parler français, raconte-t-il. Lors de sa venue, son idée était claire : obtenir la résidence permanente, qui lui permet de travailler et vivre n’importe où au Canada sans avoir besoin de renouveler son permis de travail. Montréal semblait l’endroit idéal. On s’est enracinés, on aimait notre quartier, Rosemont. On s’y voyait à long terme et on avait des emplois très bien payés, souligne-t-il. Mais la réforme du Programme de l’expérience québécoise (PEQ) par le gouvernement Legault, qui en a durci les critères d'accès, a, entre autres, chamboulé son parcours. Sans compter, par la suite, les nombreux mois d'attente nécessaires pour finaliser le processus d'immigration. Avec toutes ces rumeurs sur les changements des programmes et les délais qui s’allongeaient, on s’est demandé si ça valait la peine de se mettre dans une telle situation d’insécurité avec les enfants. Une citation de :Stefan Milivojevic, développeur de logiciels Parlant couramment français, anglais et serbe, Stefan Milivojevic ne regrette pas son choix. Mais, lance-t-il, tu te sens blessé. Mon métier, au Québec, est recherché. Je ne serais jamais parti sans ces délais monstrueux. On était bien, mais il y avait une limite. Ces délais rendent la vie difficile [aux travailleurs]. C’était dur de tout recommencer ailleurs, je me suis même mis à pleurer. Mais on est finalement très heureux. Et notre processus de résidence permanente sera réglé avant l’été. Un processus de trois ans au Québec En vertu d’un accord entre Québec et Ottawa, un travailleur ou un étudiant étranger qui souhaite s’installer au Québec doit d’abord être sélectionné par le gouvernement du Québec. Plusieurs programmes existent à cet effet, comme le PEQ. Ils permettent de délivrer, en six mois normalement, un certificat de sélection du Québec (CSQ). Mais cet engagement, selon le Protecteur du citoyen, n’est pas toujours respecté. Par la suite, le dossier d'immigration est géré par le gouvernement fédéral, qui réalise les vérifications médicales et de sécurité pour délivrer la résidence permanente. Une fois leur CSQ en main, les candidats à l’immigration économique doivent patienter environ 27 mois pour obtenir leur résidence permanente et être admis au Québec, selon les données actuelles du gouvernement fédéral. Ottawa respecte les cibles d’immigration fixées par le gouvernement Legault et délivre ce précieux sésame en fonction de ces seuils. Dans les autres provinces, un autre système existe, intitulé Entrée express, qui permet, selon différents critères, d’immigrer de manière permanente dans un délai de six mois. Les nerfs à vif À l’instar de ce spécialiste dans les technologies de l’information, des dizaines d’autres travailleurs étrangers, dans des secteurs particulièrement recherchés au Québec, ont confié à Radio-Canada leur volonté de quitter la province. Contre leur volonté initiale. Ils œuvrent dans le domaine informatique, des jeux vidéo, de la santé ou de la restauration. Tous évoquent les mêmes contraintes, incertitudes et angoisses face à ces interminables délais pour obtenir leur résidence permanente. Sans ce document, ils s'exposent à des difficultés pour avoir accès à l’assurance maladie ou encore à un prêt bancaire, et doivent composer avec la difficulté de renouveler un permis de travail, notamment durant cette crise sanitaire. J’ai les nerfs à vif, soutient par exemple Marine Fromentin, serveuse à Québec. Depuis bientôt trois ans, cette Française patiente avec son conjoint. Et songe à une nouvelle vie, dans l’Ouest canadien. J’essaye d’être positive, mais il y a tant d’incertitude et tellement de stress. On se dit qu’on pourrait faire notre résidence dans l’Ouest, on l’envisage. Une citation de :Marine Fromentin, serveuse Marine Fromentin travaille comme serveuse à Québec depuis plusieurs années. PHOTO : COURTOISIE Arrivé de Turquie en 2016, Ozan Yigit s’interroge lui aussi. Chercheur en optique et photonique, ce doctorant de l’Université Laval, qui développe des systèmes laser, prévoit de partir pour l’Ontario. J’ai reçu plusieurs offres d’emploi au Canada, en Europe et en Turquie, détaille-t-il. Dans un premier temps, il les a balayées, parce que, dit-il, j’aime le Québec et qu'il y a une pénurie de main-d’œuvre dans mon domaine. Mais, à moins d’une amélioration des procédures et des délais d’immigration, il partira à la fin de l’année. Plusieurs de mes amis travaillant dans le même domaine viennent de quitter le Québec à cause des problèmes d’immigration, en trouvant facilement un emploi en Ontario. Une citation de :Ozan Yigit, chercheur Les entreprises qui me contactent me disent avoir tout prévu concernant les démarches d’immigration. C’est un bon argument de vente, mentionne Alexandre Jubert, un Français, qui travaille actuellement comme programmeur 3D. C’est déchirant, j’aime le Québec, j’aime vivre au Québec, mais chaque démarche est une bataille. C’est comme s’arracher des dents. Une citation de :Alexandre Jubert, programme 3D D’autres bouclent déjà leurs valises. Comme El Ghali Chouf. Ce Marocain dans la vingtaine, diplômé dans le domaine du secrétariat médical, va rejoindre Ottawa cet été. Ici, tu peux te réveiller et toutes les règles [d’immigration] peuvent changer. J’aime le Québec, mais en Ontario, ça va être plus rapide. Une citation de :El Ghali Chouf, secrétaire médical El Ghali Chouf va vivre en Ontario pour obtenir plus rapidement sa résidence permanente. PHOTO : COURTOISIE Spécialiste dans la prévention des infections et des éclosions, Pascal Manua-Simon, employé par la Direction de la santé publique montréalaise, a une réflexion similaire. Le Polynésien de 24 ans, qui a quitté Tahiti pour Montréal en 2014, se dit dans le flou. Des opportunités d’emploi, il y en a partout. Si j’en trouve une, en français, au Nouveau-Brunswick par exemple, je vais la considérer sérieusement. Le rêve de l’Amérique en français était ma principale motivation. Mais toutes ces sagas et le manque de transparence, c’est décourageant. Une citation de :Pascal Manua-Simon, employé du milieu de la santé Clairement, il y a une vague de gens qui pensent à partir. Une amie a annulé sa demande au Québec et est allée vivre à Ottawa, raconte Julie Maurel, infirmière au CHUM, qui avoue être déprimée par la situation actuelle. Je sais bien qu’en tant qu’immigrant, on ne doit pas avoir un tapis rouge qui se déroule, mais il y a une manière de faire qui dérange, confie cette Française de 34 ans. On se sent comme des moins que rien. On est face à un mur. Une citation de :Julie Maurel, infirmière Luciana Coura Vivia a quant à elle fait un choix déchirant. Établie à Saint-Bruno-de-Montarville, cette Brésilienne de 40 ans attend des nouvelles de sa résidence permanente depuis bientôt trois ans. Après trois renouvellements de permis de travail, plusieurs problèmes d’accès à la RAMQ liés à ces procédures et cette lourde charge émotionnelle qu'elle doit supporter, elle et son conjoint ont décidé de ne pas mettre en jeu l’avenir des enfants. Son mari a accepté un poste au Brésil, dans le secteur de l’informatique, et cette conseillère en communication vit désormais seule avec ses deux adolescents. C’est terrible, autant pour lui que pour moi. Mais on est pieds et mains liés. On a du mal à visualiser notre futur et on ne peut pas attendre toute notre vie que le gouvernement prenne une décision, lâche-t-elle. C’est ironique, car dans mon métier, je réalise un projet pour attirer du monde au Québec, alors que moi-même, j’ai des problèmes d’immigration. Une citation de :Luciana Coura Vivia, conseillère en communication « J’adore le Canada et le Québec. On ne se poserait pas de questions s’il n’y avait pas ces délais », explique Luciana Coura Vivia. PHOTO : COURTOISIE Québec accuse Ottawa La semaine passée, le gouvernement de Justin Trudeau a lancé une nouvelle voie, plus rapide, pour des dizaines de milliers de travailleurs étrangers qui ne vivent pas au Québec. L’équipe de François Legault a refusé de participer à ce programme, a laissé entendre le ministre fédéral Marco Mendicino, en indiquant que sa porte reste ouverte. Du côté de Québec, qui a déjà promis de revoir à la hausse ses seuils d’immigration, on soutient qu’Ottawa manque d’efficacité et ne répond pas, pleinement, aux demandes de la province. Dès les premiers mois suivant la fermeture prolongée des frontières, nous avons demandé à Ottawa de prioriser le traitement des dossiers des personnes déjà sur place, clame-t-on au sein du cabinet de la ministre Nadine Girault. Le gouvernement fédéral doit prendre ses responsabilités et traiter les dossiers [des personnes vivant au Québec]. Une citation de :Flore Bouchon, porte-parole de la ministre Nadine Girault Sans donner plus de détails, Ottawa réplique en affirmant prioriser le traitement de professions spécifiques et avoir constaté une augmentation d’environ 56 % des admissions des travailleurs qualifiés du Québec, en comparaison à la même période l’an dernier. Au cours des dernières semaines, 62 nouveaux employés ont été embauchés dans les bureaux de Sydney, en Nouvelle-Écosse, pour traiter les dossiers des candidats québécois, souligne Alex Cohen, porte-parole du ministre fédéral de l'Immigration, Marco Mendicino. Nous avons aussi mis en place plusieurs mesures novatrices afin de traiter le plus rapidement possible les demandes en cours, passer du papier au numérique et réduire les délais causés par la COVID-19. Une citation de :Alex Cohen, porte-parole du ministre Marco Mendicino Ces bisbilles entre les deux gouvernements agacent cependant les travailleurs vivant au Québec. Il faut qu’ils arrêtent de se renvoyer la balle, déplore Marine Fromentin. On est des vies, pas des numéros.
  21. Ousb

    Montreal's Future Skyline

    Jamais dit le contraire. Mais l’autre ville possède aussi ses points forts. Et si autant de gens sont attirés par elle c’est surement parce qu’elle fait des choses très bien. Montréal est ma ville préférée. Né ici, grandi ici. Vit ici. Mais je ne dirais jamais que la compétion entre les grandes villes du monde n’est pas importante. Jamais. Et je vois grand pour ma ville même si ça semble mal vu pour beaucoup qui le prennent comme une insulte. Mais bon je suis responsable de ce que je dis pas de ce que les autres comprennent. Et ma réponse à Rocco s’addressait à Rocco qui me visait dans sa réponse précédente. Ce n’était pas une généralisation contre les montréalais ou les autres membres du forum. Au cas où d’autres se sentent visés.
  22. Ousb

    Montreal's Future Skyline

    Dans le sens que quand on est les meilleurs dans un domaine donné on ne dit jamais que la concurrence n’est pas importante ou que c’est pour les gros égos. Au contraire on se frappe la poitrine. À l’inverse quand on fait moins bien dans un autre on a tendance à minimiser et à faire comme si on aimerait pas être au top. Je n’ai fait que dire que j’aurais adoré voir Montréal surclasser Toronto à nouveau. C’est un vœux pour ma ville. Je ne vois pas en quoi cela mériterait de se faire dire que cela vise juste à satisfaire un égo surdimensionné. Je réponds bêtement aux réponses bêtes point.
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