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MontréalMartin

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Tout ce qui a été posté par MontréalMartin

  1. C'est la fin du crépuscule. Et oui, le crépuscule c'est entre chien et loup ! 👍
  2. Merci pour cette rare photo. Le site est vraiment décentré et c'est toujours un détour pour s'y rendre. Si un photographe muni d'un drone pouvait nous donner un aperçu général du site ce serait très apprécié. Je m'étais dit que je ne ferais jamais ce genre de demande, car les photographes sont déjà bien généreux de partager leurs clichés avec nous, mais depuis le creusage du pilier du REM dans le cimetière on n'a pas vu beaucoup ce site. Merci !
  3. Plutôt rue D'Youville que Place d'Youville. 👍
  4. La clôture autour de la terrasse nous ramène bien vite aux multiples barrières de chantier qui décorent la ville. Ne pourraient-ils pas envisager autre chose, peut être plus permanent et surtout plus élégant ?
  5. Glice Glass ice Je crois que c'est cette contraction qu'ils font. Le genre de produit que mon ancien voisin d'en face avait fait mettre dans son sous-sol pour faire une patinoire à l'année.
  6. J'espère que tu sais que je ne fais pas ça pour ramasser personne ici. Si ça en a l'air je m'en excuse. Ça m'aura permis de mettre une photo sur le site. Comme je n'habite pas en ville je n'ai pas l'occasion comme plusieurs le font ici de mettre des photos récentes.
  7. 1960.10.13-OratoireStJoseph Fatima dévoilée Le 13 octobre 1960, à l'oratoire, une foule de pèlerins venue entendre le mystérieux message que la Vierge avait - disait-on - laissé aux enfants de Fatima et à la suite duquel elle aurait prononcé les inquiétantes paroles: «Pauvre Canada!» © Oratoire Saint-Joseph Auteur: Inconnu Référence: Archives de l'Oratoire Saint-Joseph, Montréal Responsable: Stéphane Fontaine Numéro d'image: 1393 1960.10.13ph HM_ARC_002101-001. Les funérailles du frère André c'était le 12 janvier 1937.
  8. Le même édifice aujourd'hui sur GG-2020.11.
  9. En effet, Grevisse est plutôt méconnu de nos jours ! Mais c'est quand même la grammaire.
  10. Le même bout de rue, le 21 mars 1969. Dorchester vers l'ouest depuis Sussex.
  11. Ça c'est si on utilise la grammaire anglaise pour les adresses, la méthode que Canada Post nous a mis dans la gorge sans notre avis. En français dans la correspondance quand on écrit une adresse le Est, ou Ouest s'écrit avec la numérotation. On a donc le 456 Est, rue Ste-Catherine. Il n'y a pas deux rues Ste-Catherine mais bien qu'une seule.
  12. Les photos montrent la rue Saint-André, vue vers le nord depuis l'avenue du Mont-Royal. Photos de 1973; BAnQ 06M-P833S5D1973-0326-002 et 003.
  13. Joseph Frobisher Naissance : le 1740-04-15 Décès : le 1810-09-12 En 1785 Joseph Frobisher réside avec son épouse, Charlotte Jobert, et son frère Benjamin Frobisher dans une maison à l'angle des rues Saint-Gabriel et Sainte-Thérèse. Leur demeure ne représente qu'une partie d'un ensemble immobilier - bureaux, magasins et entrepôts - servant au commerce des frères Frobisher. Ces derniers sont directeurs de la Compagnie du Nord-Ouest. Au mois d'octobre, les deux frères rédigent un long mémoire au gouverneur. Il y présentent les obstacles continuels pour maintenir les communications entre Montréal et le Nord-Ouest ainsi que leurs lourds investissements dans la traite des fourrures (en juillet 1785 la valeur en marchandises et en pelleteries au Grand-Portage monte à 50 000£), ils demandent, au nom de la compagnie, un monopole de dix ans pour le commerce à l'ouest du Grand-Portage. Le gouverneur n'accédera pas à cette requête et la compagnie devra concurrencer d'autres marchands, notamment la Gregory, MacLeod & Company. Nés en Angleterre, les frères Joseph et Benjamin sont arrivés à Montréal vers 1763. Tandis que Benjamin, le cadet, assurait la direction de leur société à Montréal, il semble que Joseph se soit occupé de leur commerce aux postes de la région des Grands Lacs et plus tard dans les pays d'en haut. Dès 1775, au plus tard, les Frobisher commençaient à s'associer avec d'autres marchands - James McGill et Maurice Blondeau entre autres - qui commerçaient dans le bassin de la rivière Saskatchewan. On ignore où les Frobisher s'étaient établis dans la ville avant 1777, mais cette année-là ils acquerraient un terrain et une maison sur la rue Saint-Gabriel. Cette propriété sera le noyau des assises foncières de la Compagnie du Nord-Ouest à Montréal. En 1779, alors qu'il avait 38 ans, Frobisher épousait Charlotte Jobert, âgée de seize ans, fille du chirurgien Jean-Baptiste Jobert. Douze enfants sont nés de cette union. Tandis que sa femme s'occupait de la vie domestique et de l'éducation des enfants, il s'engageait à fond dans le commerce. Les frères Frobisher étaient déjà membres d'une société pour le commerce des fourrures dans les pays d'en haut entre 1779 et 1782, mais ce ne fut qu'en 1783 que la Compagnie du Nord-Ouest fut créée définitivement et qu'ils prirent la direction de l'entreprise. En 1785 Joseph Frobisher participe à la fondation du Beaver Club. Au décès de Benjamin en 1787, il liera ses intérêts à ceux de Simon McTavish, dans une nouvelle société, la McTavish, Frobisher & Company. Cette ascension dans le monde du commerce ne se fera pas sans difficulté pour Joseph. Au début des années 1780 il s'endettait auprès du gouvernement pour une somme de 15 000£ et il ne pourra se libérer de cette obligation sans l'assistance de ses amis. Concernant cette affaire, il déclarera en 1787 que « cela blesse beaucoup mes sentiments de découvrir qu'après 20 ans je me retrouve dans une situation pire qu'à mes débuts en affaires ». En 1798, Joseph Frobisher se retirera de la Compagnie du Nord-Ouest et, deux ans plus tard, il vendra ses droits sur le terrain et les bâtiments de la compagnie à Simon McTavish. Sa fortune rétablie, il investira dans divers projets commerciaux (la Compagnie des forges de Batiscan et les Propriétaires de l'aqueduc de Montréal) et dans l'achat de terres, notamment dans les Cantons de l'est. Depuis la fin des années 1780, il rassemblait plusieurs terrains dans le faubourg Saint-Antoine où il fit construire sa luxueuse résidence de campagne « Beaver Hall ». Là et dans sa maison de la rue Saint-Gabriel, qu'il acquerra en 1797, il recevra l'élite de la société montréalaise jusqu'à sa mort en 1810. Une vue sur Montréal en 1793 depuis le Beaver Hall. Plans de 1825 et 1846 localisant le Beaver Hall. Localisation du Beaver Hall sur la Côte du même nom. Joseph Frobisher. Esquisse du Beaver Hall Club.
  14. Une vue aérienne de 1927 sur la Dominion Oil Cloth et les ateliers du CPR.
  15. Combien de millions investis pour abaisser le quai plus près du niveau du fleuve ? Et qui est le génie qui a décidé qu'il fallait y installer une grande plateforme pour hausser le parterre ???
  16. Pourquoi exiger qu'une loi vienne obliger la fermeture ? Comme le fait Milano chaque commerce est libre de fermer une journée ou même deux par semaine s'il le désire. Y a-t-il un quelconque avantage à ce que tous les commerces soient tous fermés la même journée ?
  17. Pour ce qui concerne la solidité des bâtiments ça ne regarde pas très bien du côté de la partie la plus ancienne de la Miséricorde. Il y a une dizaine d'année un projet avait échoué en raison des coûts élevés nécessaires pour solidifier les fondations. C'est pour cette raison que la Ville a eu les moyens d'acquérir le bâtiment. Mais aucun travaux n'ont été exécutés à date sur les fondations.
  18. Il reste toujours deux maisons de villes à construire.
  19. Ce sont ces façades de la rue Prince qui seront conservées.
  20. Et si on avait un toit qui, sans être démontable du bout d'un doigt sur un bouton, pourrait au besoin être temporairement retiré avec, disons une semaine de travail. Puis être réinstallé une fois l'occasion passée. La question est relative à l'exigence du CIO d'avoir un amphithéâtre non-couvert pour les JO.
  21. Juste à l'est de cette maison, il y avait une autre maison du même style. Il y a quelques années le promoteur à annoncer exactement la même chose qu'ici pour cette maison. On rénove la façade en retirant quelques annexes. Ben maintenant vous avez le résultat. Il ne reste plus rien. Alors prenez bien en photo cette maison car elle n'en a plus pour longtemps à exister. Ici une photo de 2008 de la maison voisine qui fut rénovée en la rasant.
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