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mtlurb

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Tout ce qui a été posté par mtlurb

  1. Les YouTubeurs essaient toujours de donner un spin positifs à leur vidéos pour garder leur abonnées et en attirer de nouveaux.... c'est un peu obligé de le faire sur les réseaux sociaux .
  2. C'est une année pré-électorale... "Ottawa" se sont les libéraux pour l'instant, et ils veulent lancer le signal de beaux jouets à venir si on vote pour eux... malheureusement je n'y crois pas.
  3. mtlurb

    Crime à Montréal

    Y a deux affaires qui ont changés depuis le "creux historique"... comme bon journaliste j'aurais faits des petites recherches. 1) Des outils de hacking très sophistiqués et grand public pour défaire la sécurité des automobiles (le fédéral viens tout juste d'interdire leur vente au Canada (https://www.pcmag.com/news/canada-to-ban-flipper-zero-devices-over-car-thefts) 2) Évidemment relâcher les criminels plus rapidement et avec aucune peine minimale n'aide pas non plus. Facilité du crime + pas de conséquence = boom.
  4. mtlurb

    Crime à Montréal

    Et j’ai pas l’impression qu’il essai de mettre le doigt sur le ou les causes qui peuvent déclencher cette augmentation.
  5. mtlurb

    Crime à Montréal

    Faut vraiment le faire... relativiser la vague de crime, je veux bien que c'est des vulgaires autos qui ne fit pas le narratif en vogue, reste que c'est de la propriété privée (oops un autre concept vulgaire) et que les citoyens en sont grandement affectés. SI je comprends bien, ça allait bien, ça va moins bien,... mais c'est ok, parceque c'est pas le pire... pas encore. Il n’y a pas de « crise des vols d’autos » Yves Boisvert La Presse Mis à jour hier à 5h37 PHOTO HUGO-SÉBASTIEN AUBERT, ARCHIVES LA PRESSE « Même avec l’augmentation récente, le nombre de vols est revenu au niveau de 2008 en chiffres absolus – en proportion du nombre de véhicules en circulation, c’est donc une diminution nette », affirme notre chroniqueur. Il y a beaucoup de vols d’autos, mais il n’y a pas de « crise ». L’augmentation récente et spectaculaire du nombre de vols cache une bonne nouvelle : on avait atteint un creux historique. C’est normal : en matière de criminalité, les bonnes nouvelles sont invisibles. Exemple : le nombre d’incidents impliquant des armes à feu a diminué de 26 % en un an seulement sur le territoire de la ville de Montréal, essentiellement grâce au travail policier. C’est spectaculaire. Mais ça s’efface vite devant une nouvelle fusillade. Examinons un peu la gueule du « fléau » des vols d’autos. Quelques chiffres. En 2022, selon Statistique Canada, il y a eu 105 673 vols de véhicules sur le territoire canadien. C’est une importante hausse par rapport à 2021, où 83 416 véhicules avaient été volés. Une hausse de 21 % – près de 50 % au Québec. Les vols ont encore augmenté un peu en 2023. Mais on est encore loin de l’année 1996, où 178 580 véhicules ont été volés au Canada. Il y avait pourtant beaucoup moins de voitures enregistrées à l’époque : seulement 17,2 millions, contre 26,3 millions en 2022. Cela veut dire qu’en 1996, 1 % des véhicules enregistrés étaient volés. En 2022, annus horribilis nous dit-on, ce n’était que 0,4 %. Bref, vous avez deux fois et demie moins de probabilités de vous faire voler votre char maintenant qu’il y a 28 ans – surtout si vous avez gardé le même, ce qui est très rusé pour éloigner les voleurs. Il est assez divertissant de relire les manchettes des journaux sur le vol de voitures depuis 30 ans. 12 mars 1991 : « Le nombre des vols d’automobiles n’en finit plus d’augmenter au Québec ». 28 février 1992 : « Aux prises avec une augmentation sans précédent de vols d’automobiles, la Sûreté du Québec a annoncé, hier, une série de mesures pour contrer ce fléau ». 23 mars 1992 : « Dans le cadre de l’épidémie de vols de voitures que connaît présentement le Québec, ces voitures allemandes sont parmi les plus appréciées des malfaiteurs ». 29 avril 1993 : Un colloque régional pour contrer les vols d’auto est organisé. 2 juillet 1993 : « Ce genre de crime demeure un véritable fléau qui a pris des proportions dramatiques ». 26 juin 1998 : « On le sait, le vol de véhicules est un véritable fléau à Montréal ». Il y a l’inévitable « une voiture est volée toutes les x minutes », selon l’année ou le territoire choisi. Le 9 septembre 1998, une avocate d’assurance a écrit dans La Presse que « les vols de véhicules sont le fléau de l’heure ». Le fléau de l’heure, ce n’est pas rien ! Ah tiens, ai-je mentionné « assurance » ? C’est en effet l’industrie de l’assurance qui nous tient au courant de ce « fléau », de ces « records » et de ces augmentations « sans précédent ». Cela a du bon : c’est un crime qui touche la plupart des gens, et contre lequel il est possible de prendre certaines mesures de prévention. Ça secoue aussi les puces des corps de police, qui ont toujours plus urgent à faire. C’est ainsi qu’on voit soudainement des offensives de tous les corps de police, qui ne manqueront pas d’avoir un impact à moyen terme. Peut-être même qu’un jour, rêvons un peu, les manufacturiers de voitures trouveront-ils des systèmes antivols à moitié efficaces… Mais déjà, malgré l’atmosphère de panique entourant le sujet, et malgré les récents rebonds inquiétants, la situation est nettement meilleure qu’il y a 15, 20 et 30 ans. Même avec l’augmentation récente, le nombre de vols est revenu au niveau de 2008 en chiffres absolus – en proportion du nombre de véhicules en circulation, c’est donc une diminution nette. Comprenez-moi bien : je n’ai rien contre les colloques et l’amélioration continue des techniques policières. Il est sûrement temps de donner un grand coup avant que les bagnoles volées soient le principal bien en partance du port de Montréal. OK. Mais le problème avec la théorie du fléau, c’est qu’elle inspire des solutions faciles, spectaculaires, et souvent bidon. Tant les conservateurs que les libéraux ont compris que le sujet inquiète et touche les gens concrètement. Parmi la panoplie de mesures proposées : augmenter les peines de prison des voleurs de voitures. Il se peut que dans certains cas, les peines ne soient pas assez sévères. Mais ce n’est pas simplement en augmentant la durée des peines des petits voleurs – souvent des adolescents utilisés par les groupes criminels – qu’on fera diminuer le nombre de vols. Les études criminologiques le disent et le répètent : ce qui empêche le mieux les crimes, c’est la crainte d’être arrêté, la meilleure surveillance, les resserrements des contrôles. Ce n’est pas parce que les peines ont soudainement augmenté pour les auteurs de fusillade qu’il y en a eu moins l’an dernier. C’est parce que la police de Montréal, avec la Sûreté du Québec et d’autres, s’y est attelée avec énergie et compétence. On y a consacré les budgets et les ressources. On en a fait une priorité de sécurité publique. Tout est en place pour le même genre d’opérations contre les vols de voitures. Nul besoin de récrire le Code criminel pour ça. https://www.lapresse.ca/actualites/chroniques/2024-02-19/il-n-y-a-pas-de-crise-des-vols-d-autos.php
  6. Je vais déplacer les messages hors-sujet vers ce fil.
  7. Tout ce que je veux démontrer dans la vidéo est qu'il est possible d'avoir de belles rues et une ville propre de 5M+ d'habitants s'il y a une volonté réelle et ce peu importe la météo.... le pouvoir russe actuel n'as pas intérêt que ses deux principales villes soient merdiques, ... historiquement c'est de la que les révolutions pour le renverser ont débutés. Ceci dit, j'ai une aversion immense pour le pouvoir Russe et ce qu'ils font présentement en Ukraine et un peu partout dans le monde.
  8. Un vidéo de Saint-Pétersbourg.... quelle ville propre et les rues en parfaite état pour une ville à la latitude du Alaska.
  9. Photo random de la construction de sûrement un autre petit hôtel aéroportuaire... Pense pas on a un fil pour ça.
  10. mtlurb

    Crime à Montréal

    Moi non plus je ne suis pas avocat, mais le code criminel est de juridiction fédérale, et bizarrement le crime a explosé depuis que Trudeau a relâché les conditions de libérations conditionnelles avec la loi C-5. Juste le préambule te donne déjà une idée de cette loi là. Reste de la loi où on voit qu'à part le meurtre (une chance!), les crimes sexuels et quelques autres, le reste n'ont plus de peine minimales obligatoires!: https://www.canada.ca/fr/ministere-justice/nouvelles/2021/12/abrogation-des-peines-minimales-obligatoires.html Un article intéressant sur comment les libéraux sont beaucoup moins répressifs que les conservateurs, les deux partis qui s'alternent habituellement au pouvoir au canada... https://www.lapresse.ca/elections-federales/2021-09-19/liberations-conditionnelles/des-decisions-teintees-par-la-couleur-du-gouvernement.php
  11. mtlurb

    Crime à Montréal

    Ça prends pas plus de autoritarisme ... juste de la punition mesuré... c'est sur si tu sais que tu peux voler et que les chances de te faire attraper c'est X%... et que si jamais tu te fais attraper et en plus tu ressors de la prison très vite... ben là la tentation est trop grande. Dans l'immédiat, la plus grande explication de la situation actuelle viens du fédéral... pas des provinces ou des municipalités... les remises en libertés sont beaucoup plus faciles (mentalité woke de réhabilitation tout azimut oblige)... tu es pas puni pour ton crime, alors t'en fait plus.
  12. En fait, en "pesant" sur la pastille "Griffintown" c'est la même chose... même pas besoin de "sous-forum" https://mtlurb.com/tags/griffintown/
  13. Ah j'ai été trop vite... mais pour vrai peut etre on devrait reconsidérer ?
  14. Hahahaa est bonne imagine taxer ça. Le monde serait meilleur 😂
  15. profits MÉCHANTS profits MÉCHANTS!! PAS BON PAS BON!! (même si ça retourne aux québécois)
  16. Les impôts impayés bondissent de 1 G$ au Québec Sylvain Larocque Lundi, 12 février 2024 00:00 Les impôts impayés au gouvernement du Québec ont bondi de 1 G$ en quatre ans, une situation entre autres attribuable à la pandémie et à la hausse des taux d’intérêt. • À lire aussi: Saison des impôts: 6 astuces pour tirer le maximum de vos déclarations de revenus • À lire aussi: Girard remet en doute le retour à l’équilibre budgétaire en 2027 La valeur nette des créances d’impôt s’élevait à 4,1 G$ au 31 mars 2023, contre 3,1 G$ au 31 mars 2019, indique Revenu Québec au Journal. La hausse est particulièrement marquée au sein des entreprises. Les sommes à payer au titre de l’impôt des sociétés sont passées de 800 M$ au 31 mars 2019 à 1,2 G$ au 31 mars 2023, soit une augmentation de 50%. Cette progression est plus importante que celle des sommes perçues par Québec en impôt auprès des entreprises pendant la même période. Celles-ci ont connu une hausse de 44% pour se chiffrer à près de 9,2 G$ pendant l’exercice 2022-2023, apprend-on dans les comptes publics établis par le ministère des Finances. Écoutez le segment économique d'Yves Daoust via QUB : Plus de 360 000 entreprises À la fin mars 2023, plus de 360 000 entreprises devaient de l’argent au fisc (impôts, taxes ou retenues à la source), soit 31% de plus que quatre ans plus tôt. C’est plus de la moitié de toutes les entreprises inscrites à Revenu Québec. 2,9 G$ Du côté des particuliers, les impôts impayés atteignaient 2,9 G$ au 31 mars 2023, contre 2,3 G$ au 31 mars 2019, soit une augmentation de 26%. Pendant la même période, les sommes perçues en impôt auprès des particuliers ont progressé de 33% pour atteindre 42,3 G$ pendant l’exercice 2022-2023. Plus de 1,17 million de particuliers devaient de l’argent au fisc à la fin mars 2023, soit 5,4% de plus que quatre ans auparavant. Cela représente environ 16% de tous les contribuables particuliers au Québec. « La proportion des contribuables qui devaient moins de 2500$ était respectivement de 80% en 2023 et de 85% en 2019. » – Claude-Olivier Fagnant , Porte-parole de Revenu Québec Photo Photo tirée du site web de Revenu Québec La hausse des sommes en souffrance s’explique d’abord par la pandémie, qui a poussé le gouvernement à mettre en place des mesures d’assouplissement. «Certaines activités de recouvrement ont été suspendues et reprises graduellement par la suite», rappelle M. Fagnant. La hausse marquée des taux d’intérêt, qui s’est amorcée en 2022, a également eu un impact. Celle-ci «expliquerait environ 10% de la croissance de la valeur des créances observée», révèle le porte-parole. L'augmentation des impôts impayés aura-t-elle un impact sur les finances publiques? «Malgré la hausse constatée en 2023, le ratio des créances fiscales sur les revenus fiscaux, soit 6,2 %, est demeuré relativement stable par rapport à 2019», répond Charles-Étienne Bélisle, porte-parole du ministère des Finances. «L’augmentation des impôts en souffrance n’a pas encore influencé de façon significative la dépense pour mauvaises créances», ajoute-t-il. Créances abandonnées, créances recouvrées Fait important, les chiffres sur les créances d’impôts excluent les sommes qui ont fait l’objet de «provisions pour non-réalisation des revenus», c’est-à-dire des sommes que le gouvernement n’a plus espoir de récupérer (en raison par exemple de faillites). Revenu Québec soutient avoir recouvré 3,28 G$ en créances fiscales en 2022-2023 (impôts et taxes), soit 1,8% de plus que l’année précédente. L’organisme a également récupéré près de 3 G$ en effectuant des activités de «contrôle fiscal», lesquelles visent à «amener certains contribuables [...] à déclarer leurs revenus et à payer les sommes dues». Rappelons par ailleurs qu’environ 30% des particuliers et 40% des entreprises n’ont ni impôt ni cotisation à payer, et ce pour diverses raisons (revenus insuffisants, crédits d’impôt, organismes à but non lucratif, etc.). Plus de 2 G$ dus au fédéral Un peu plus de 891 000 particuliers du Québec devaient de l’impôt fédéral en mars 2023, soit 32 % de plus qu'en mars 2019, précise l’Agence du revenu du Canada (ARC). Ces Québécois devaient alors 2,02 G$ au gouvernement fédéral. Dans l’ensemble du pays, ce sont plus de 3,9 millions de particuliers qui devaient de l’impôt au fisc fédéral en mars 2023. Leurs créances s’élevaient à 21,9 G$ au total. Vous avez un scoop à nous transmettre? https://www.journaldemontreal.com/2024/02/12/les-impots-impayes-bondissent-de-1-g-au-quebec
  17. Hopefully I'll cross paths wit your crew us the last survivors of nightlife lol
  18. I still don't agree with you on the first part of your post, I am absolutely certain there used to be more bars (not closing at 11pm lol), and if I am wrong they were much more concentrated which gave life to the word nightlife. Many of us dislike American/Canadian cities saying that "downtown are dead" at night as the main reason being bars are spread out across a huge geographical area. Well, guess what, its now the same here too... I clearly remember, traffic across the downtown core on Friday and Saturday nights, people were going out jamming the streets... this simply doesn't exist anymore. People walking and crowding the streets, bar hopping from one spot to the other... this barely exists anymore. RIP Montreal nightlife. Late cheap eateries on those streets attracting people till 4-5 am... Nightlife is not simply a bar closing at 3am, its also everything around them and the street action.
  19. Quoi de mieux pour aider l'industrie que 2 hausses des prix sur la matière première.... Au Québec: Augmentation surprise des prix à la SAQ La majorité des produits seront plus chers car la société d'État va se prendre davantage de profit par bouteille https://www.journaldemontreal.com/2024/02/12/la-saq-a-besoin-de-10-m Au fédéral: La taxe d’accise fédérale sur les bières, les vins et les spiritueux augmentent le 1er avril de chaque année. L’année 2024 ne fera pas exception; la taxe sur l’alcool connaîtra une augmentation de 4,7%. https://www.journaldemontreal.com/2023/12/29/attachez-vos-tuques-a-peu-pres-tout-augmentera-en-2024#:~:text=Taxe fédérale sur l'alcool en hausse%3A&text=L'année 2024 ne fera,augmentation de 4%2C7%
  20. Les "bonnes idées" pour essayer d'aller chercher quelques votes de 🦄 dans une cause perdante.
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