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mtlurb

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Tout ce qui a été posté par mtlurb

  1. Hopefully I'll cross paths wit your crew us the last survivors of nightlife lol
  2. I still don't agree with you on the first part of your post, I am absolutely certain there used to be more bars (not closing at 11pm lol), and if I am wrong they were much more concentrated which gave life to the word nightlife. Many of us dislike American/Canadian cities saying that "downtown are dead" at night as the main reason being bars are spread out across a huge geographical area. Well, guess what, its now the same here too... I clearly remember, traffic across the downtown core on Friday and Saturday nights, people were going out jamming the streets... this simply doesn't exist anymore. People walking and crowding the streets, bar hopping from one spot to the other... this barely exists anymore. RIP Montreal nightlife. Late cheap eateries on those streets attracting people till 4-5 am... Nightlife is not simply a bar closing at 3am, its also everything around them and the street action.
  3. Quoi de mieux pour aider l'industrie que 2 hausses des prix sur la matière première.... Au Québec: Augmentation surprise des prix à la SAQ La majorité des produits seront plus chers car la société d'État va se prendre davantage de profit par bouteille https://www.journaldemontreal.com/2024/02/12/la-saq-a-besoin-de-10-m Au fédéral: La taxe d’accise fédérale sur les bières, les vins et les spiritueux augmentent le 1er avril de chaque année. L’année 2024 ne fera pas exception; la taxe sur l’alcool connaîtra une augmentation de 4,7%. https://www.journaldemontreal.com/2023/12/29/attachez-vos-tuques-a-peu-pres-tout-augmentera-en-2024#:~:text=Taxe fédérale sur l'alcool en hausse%3A&text=L'année 2024 ne fera,augmentation de 4%2C7%
  4. Une zone de parking électrifié pour du long terme ? Combien on gage que certains zozo vont se planter là et partir pour une semaine.
  5. Les "bonnes idées" pour essayer d'aller chercher quelques votes de 🦄 dans une cause perdante.
  6. Il y a beaucoup de places, avec le bon zonage, et une certaine ouverture d'esprit de ceux qui sont au pouvoir, il n'y a pas de limites. Griffintown est un parfait exemple, un simple changement de zonage et on a rajouté une dizaine de milliers d'unités et ++ d'habitants en quelques années. La liste de @KOOL est excellente, une autre liste des terrains sous-utilisés serait encore beaucoup plus longue.
  7. Pour 8 milliards on a eus un REM complet et pour 10 milliards un tramway qui va de nul part et qui va nul part 😂🤦🏻‍♂️
  8. Opinion non populaire: rénover le stade au complet ou laisser faire le projet et attendre un autre gouvernement avec plus de couilles. Fermer le stade pendant 4 ans (minimum), pour qu’en y rentrant la première fois le commun des mortels va se sentir arnaqué… hey coudonc le milliard a passé où. Ça aidera pas au cynisme ambiant envers la classe politique.
  9. What kind of nightlife is this, closes at 11pm 😅
  10. I’m sorry but I have been in nightlife for over 20 years and it’s absolutely true. You have to look at these things on the long term. With social media and dating app you don’t need to go to bars to mingle. Mingling is done virtually at the expense of nightlife venues. Your comment about the beer being expensive that’s a new thing, and it’s not helping either. What doesn’t help either is your boomer comment which is not appreciated.
  11. Une autre mauvaise nouvelle pour le nightlife en perspective.... l'impact était énorme quand il y a eu une baise à 0.08... maintenant à 0.05. Alcool au volant Le gouvernement doit abaisser la limite à 0,05, demande CAA-Québec Charles Lecavalier La Presse Publié le 6 février PHOTO MARTIN TREMBLAY, ARCHIVES LA PRESSE Des policiers du SPVM procédant à un barrage routier. (Québec) CAA-Québec demande à la ministre des Transports Geneviève Guilbault d’abaisser la limite d’alcool permise au volant à 0,05 dans le cadre de son projet de loi sur la sécurité routière. « Les effets dans les autres provinces où on a appliqué cette règle depuis de nombreuses années ont été probants. Il y a eu des améliorations de la sécurité routière, et des diminutions de décès. On est rendu là », a indiqué Sophie Gagnon, vice-présidente aux affaires publiques de l’organisme, mardi. Elle participait à l’étude du projet de Mme Guilbault, qui vise à augmenter le nombre de radars photo sur les routes et d’abaisser la limite de vitesse à 30 km/h à proximité des écoles. CAA-Québec se dit « déçu » de constater qu’« au moment où l’on vise à réduire les décès et les blessures attribuables aux accidents de la route », le projet de loi n’aborde pas tout la question de l’alcool au volant, un « fléau qui brise des vies ». Mme Gagnon souhaite que le gouvernement instaure des sanctions administratives lorsqu’un conducteur se fait pincer avec un taux d’alcool situé entre 50 mg/100 ml et 80 mg/100 ml. Elle fait valoir plusieurs arguments : Le Québec est la seule province canadienne où de telles sanctions ne sont pas appliquées, alors qu’elles ont indéniablement prouvé leur efficacité ; Selon un avis de l’Institut national de santé publique du Québec, les résultats de la littérature scientifique montrent que la performance du conducteur dans ses différentes tâches de conduite est affectée de manière significative à partir d’une alcoolémie de 50 mg/100 ml ; L’ensemble de la littérature confirme que l’abaissement de la limite de l’alcoolémie permise dans le Code de la sécurité routière pour la conduite d’un véhicule automobile à 50 mg/100 ml est une mesure efficace pour prévenir les collisions et sauver des vies. Le verre de trop Les partis d’oppositions semblaient ouverts à cette proposition. Le libéral Monsef Derraji a affirmé qu’on ne peut pas « répondre d’une manière assez directe à la sécurité routière aujourd’hui » sans « parler d’alcool au volant ». Le solidaire Étienne Grandmont s’est demandé si le Québec n’était pas « en retard » par rapport aux autres provinces canadiennes, et à une majorité de pays européens. Pour CAA-Québec, les sanctions administratives, des « amendes ou suspensions temporaires de l’usage d’un véhicule » aurait un effet éducatif « important ». « Ça peut toucher des catégories de gens qui seront sensibilisés à jamais », a dit Mme Gagnon. L’ex-policier André Durocher, maintenant chez CAA-Québec, a fait valoir que les mentalités ont changé, et que cette mesure permettrait de toucher « la masse » de conducteurs fautifs. « On trouve que c’est important cette mesure qui viendrait permettre de lever un drapeau rouge pour la personne qui prendrait ce petit verre de vin de trop lors d’un repas. On va vraiment frapper la masse. Les cas de grande intoxication, oui, il y en a, mais ce n’est rien comparé au nombre de personnes dont les capacités sont légèrement diminuées », a-t-il dit. https://www.lapresse.ca/actualites/politique/2024-02-06/alcool-au-volant/le-gouvernement-doit-abaisser-la-limite-a-0-05-demande-caa-quebec.php
  12. Best cities in the world for 2024 29. Montreal What makes us great: Combine one of the biggest cultural hubs in the world with old school European architecture and cutting-edge design and you’ve got Montreal. Add a smattering of some of the finest food in the country, a cutting-edge cocktail scene, free family activities and some of the coolest festivals (including Montreal en Lumiere, one of the largest outdoor winter events in Canada), and it’s easy to see why everyone falls in love with it – ubiquitous orange cones, endless construction and language laws included. Come for the friendly, open atmosphere, and stay for the winter party. With an illuminated giant ferris wheel, evening disco skating nights and free museum visits, you can’t go wrong. Visit now because: When the temperature drops, the city’s nightlife scene heats up. We’re talking about new free interactive light installations all over downtown, and Igloofest, where you can dance under the stars all night. The big numbers: It might be below freezing this time of year, but Montrealers don’t let the cold bring them down – 94 percent of locals we surveyed said they are happy. 📍 Discover the best things to do in Montreal https://www.timeout.com/things-to-do/best-cities-in-the-world
  13. Rennaï, a New Luxe Beauty Retail Concept in Montreal A new retailer is looking to shake up Canada's prestige offerings before eyeing the U.S. Rennaï will open its doors at the upcoming Royalmount development of retail, offices and hospitality spaces in Montreal in August 2024, with brands including Hermès, Diptyque, Le Labo and Dermalogica already on board. It's backed by L Catterton and Carbonleo, who want the 36,000-square-foot beauty and wellness space to be heavily focused on experiential retail. Beyond the product offering, services will include traditional aesthetics, dermatology, nutrition, a fragrance zone and a retreat area where guests can extend their time by enjoying a self care space. "[The investors] saw that today's consumer is really looking for more than just a product. They're looking for an experience that adds value to their day," said Rennaï president Christopher Novak. "What we're doing is creating a place for people to take a moment out of their busy lives to really reconnect with themselves through the lens of beauty and self care." He continued that many more prestige partners will be revealed in the run-up to the grand opening. "Exclusives and never-been-seen-before experiences are the core foundation of what makes Rennaï so unique and timely," Novak said. "We will continue to announce partners leading up to the launch that represent our brand spirit and promise -- to offer our clients a complete one-stop experience both on location and through our complimentary virtual concierge experience." Homegrown brands will be important too, with the selection including Watier Cosmetics, Apprenti Ôr'ganik, JB Skin Sävvi, Selv, Ruby Brown, Landish, and Camellia Sinensis Tea House. Located in Montreal's Midtown, Rennaï will join Royalmount's 170 retail tenants -- including luxury brands such as Louis Vuitton, Tiffany & Co. and Gucci -- and more than 60 restaurants, alongside offices, a hotel and public green spaces. Already present players in Canada'a prestige market include Sephora, several department stores and Shoppers Drug Mart. The latter has over the years been gaining market share in the prestige beauty sector, which has only ramped up with the appointment of Gwennaëlle Varnier as vice president of prestige beauty in 2019. But Novak, who previously worked for Canadian luxury retailer Holt Renfrew, doesn't just have eyes on Canada. "We're opening in Royalmount this August and we do have plans for a nine-store rollout. We're looking for major cities across Canada and the U.S. to open a future location," he said. https://wwd.com/beauty-industry-news/beauty-features/rennai-new-beauty-retail-concept-montreal-with-international-ambitions-1236160858/
  14. C'est clair que dans cet environnement économique, l'idée d'avoir un bar 24/7h n'est pas très intéressant.... le pouvoir d'achat des citoyens est faible, on le voit déjà, les bars sont archi-vides depuis les 12 derniers mois. Mais personne ne force non plus tous les bars à ouvrir selon cet horaire... de toute façon ils ne le font pas maintenant, très peu de bars restent ouverts jusqu'à 3h du matin 7 jours semaine. L'idée est bonne, "l'outil" est là... reste aux tenanciers de bars à l'utiliser ou pas selon leur modèle d'affaire. P.S. Nazim crachera pas sur un 6AM dans son club La Voute le weekend de F1... 😉 Bar ouverts toute la nuit Des propriétaires disent non merci Nathaëlle Morissette La Presse Mis à jour hier à 5h00 PHOTO HUGO-SEBASTIEN AUBERT, ARCHIVES LA PRESSE Avec sa Politique de la vie nocturne, Montréal envisage de permettre aux bars de rester ouverts toute la nuit. Si l’on s’attendait à ce que les tenanciers de bars applaudissent l’idée, la réalité est tout autre. Montréal, ville festive ? Oui, mais peut-être pas 24 heures sur 24, laissent entendre les propriétaires de bars interrogés, peu enthousiasmés par le projet de la Ville qui leur permettrait d’ouvrir toute la nuit dans certains secteurs de Montréal. Une initiative « peu payante », selon eux, qui ouvrirait la porte aux abus. « Je ne trouve pas que c’est une bonne idée. Culturellement au Québec, on mange tôt, on sort tôt et on fait le party jusqu’à 3 h, lance d’emblée Nazim Tedjini, propriétaire de La Voûte, bar situé dans le Vieux-Montréal. En Europe, les gens vont manger beaucoup plus tard, vont sortir beaucoup plus tard. Ils font juste décaler les heures de fréquentation. » La Politique de la vie nocturne fera l’objet d’une consultation publique la semaine prochaine. « Montréal est une ville festive, reconnue pour sa vitalité nocturne et créative, ici comme ailleurs, a déclaré Luc Rabouin, président du comité exécutif et responsable du développement économique et commercial par intérim, dans un communiqué publié à la fin janvier. L’expérience d’autres grandes villes à travers le monde démontre que la vie nocturne offre un important levier de vitalité économique, culturelle et touristique. » « Le projet de Politique de la vie nocturne est le fruit d’un travail rigoureux et d’expérimentations grâce à plusieurs projets pilotes qui ont permis à la Ville d’identifier les meilleures occasions pour Montréal en matière d’économie de la nuit », peut-on également lire. Les quartiers appelés « zones de vitalité nocturne », où les heures d’ouverture seraient prolongées, n’ont pas encore été identifiés. Or, si l’on s’attendait à ce que les tenanciers de bars applaudissent l’idée, la réalité est tout autre. Peu convaincus que ces heures supplémentaires seraient véritablement « payantes », ils appréhendent une augmentation des problèmes d’abus d’alcool et de sécurité pour les clients ainsi que pour les employés, dont bon nombre risquent fort de rechigner à l’idée de finir de travailler au moment où les gens s’apprêtent à déjeuner. Le bruit généré par les fêtards au petit matin compte également parmi les inquiétudes soulevées. PHOTO JOSIE DESMARAIS, ARCHIVES LA PRESSE Certains tenanciers de bars appréhendent une augmentation des problèmes d’abus d’alcool et de sécurité avec l’ouverture possible des bars toute la nuit. « C’est une porte ouverte pour l’abus d’alcool et d’autres abus, ajoute le propriétaire de La Voûte. On le voit souvent quand on ferme à 4 h à cause du changement d’heure. La dernière heure n’est pas forcément payante et il y a plus de problèmes qui surviennent. » « Quand il y a des projets pilotes, ce qui se passe c’est que tous les sorteux de la ville se retrouvent en même temps, dans un quartier donné, qui n’a pas nécessairement la capacité d’accueil pour un gros volume de clients », souligne-t-il également. Il craint que l’histoire se répète dans les secteurs de la ville qui seront ciblés par la Politique. Au cours des derniers jours, Nazim Tedjini a parlé à une dizaine de tenanciers de bars. Ils étaient unanimes : « Il n’y en a pas un qui saute au plafond. » Du côté de la Nouvelle association des bars du Québec (NABQ), qui compte quelque 150 membres, le président Pierre Thibault reconnaît aussi que le projet provoque « plus de résistance que d’acceptation ». « Est-ce que la clientèle à cette heure-là, c’est une clientèle désirable ou indésirable ? demande M. Thibault, qui se questionne sur le niveau d’intoxication des noctambules. Est-ce que ce sont juste les éternels “pas couchables” qui vont se ramasser là ? Est-ce que ça va déplacer l’itinérance de nuit autour des établissements ? » Celui qui est également copropriétaire de la Taverne Saint-Sacrement sur le Plateau Mont-Royal s’interroge sur la disponibilité des effectifs policiers appelés à intervenir. Il croit également que les employés, surtout les portiers, devraient être formés pour faire face aux couche-tard. « Ça reste un projet exploratoire dans lequel on n’a pas été impliqués », souligne-t-il. Chose certaine, si son quartier comptait parmi les « zones de vitalité nocturnes », M. Thibault n’envisagerait pas de continuer à servir de la bière après 3 h du matin. « À la Taverne Saint-Sacrement, on a déjà un équilibre qui est sain. On ne voudrait pas le fragiliser. » Un levier économique ? Plus au sud, dans le Quartier latin, le propriétaire de la brasserie Saint-Bock, Martin Guimond, trouve l’idée « bonne » sur papier, mais difficile à envisager dans la réalité. PHOTO MARTIN TREMBLAY, ARCHIVES LA PRESSE Martin Guimond, propriétaire de la brasserie Saint-Bock C’est que, en ce moment, les employés et les clients sont difficiles à trouver. « Avant la pandémie, on ouvrait à midi et on fermait à 3 h du matin en poussant presque les gens à l’extérieur. On allumait les lumières », raconte-t-il. Aujourd’hui, j’ouvre à 16 h et à 22 h, je ferme parce qu’il n’y a plus personne. Je ne vais pas rester ouvert 24 h à attendre des clients qui ne viendront jamais. Martin Guimond, propriétaire de la brasserie Saint-Bock « Si on me demande, est-ce que demain matin je voudrais ouvrir pendant 24 h, la réponse, c’est non, dit-il. C’est proposé comme un tremplin économique. Je suis très sceptique. C’est comme si on disait que les bars allaient relancer l’économie. J’ai de gros doutes. » https://www.lapresse.ca/affaires/2024-02-07/bars-ouverts-toute-la-nuit/des-proprietaires-disent-non-merci.php
  15. BCE élimine 4800 emplois, vend des stations de radio et écorche Ottawa Julien Arsenault La Presse Mis à jour à 12h00 PHOTO DAVID BOILY, LA PRESSE BCE affirme dans une lettre ouverte signée par le président et chef de la direction Mirko Bibic que des emplois « à tous les niveaux de l’entreprise » seraient supprimés. Quelque 4800 emplois éliminés, des dizaines de stations radiophoniques régionales vendues – dont au Québec – et une baisse significative des investissements : le couperet tombe une fois de plus chez BCE dans le cadre d’une autre restructuration d’envergure dans le secteur des télécommunications. Pour une deuxième fois en sept mois, les employés de la société mère de Bell Média sont plongés dans l’incertitude dans la foulée des nouvelles annoncées par le conglomérat, jeudi. Certains salariés devaient être informés de leur licenciement, tandis que d’autres devront patienter avant de connaître leur sort. Dans l’ensemble, l’effectif de l’entreprise se contractera de 9 %. Selon le président et chef de la direction de BCE Mirko Bibic, « tous les niveaux de l’entreprise » seront touchés par les compressions. La division médiatique écopera ainsi une fois de plus. « Du côté de Bell Média, nos revenus publicitaires ont chuté de 140 millions en 2023, écrit M. Bibic, dans une note envoyée au personnel. Nos pertes d’exploitation annuelles s’élèvent à plus de 40 millions pour l’ensemble de nos services de nouvelles, et ce, malgré le fait que nous avons le réseau de stations de télévision le plus populaire. » C’est la deuxième vague de licenciements majeurs chez le géant des médias et des télécommunications depuis le printemps dernier, lorsque 6 % des emplois de Bell Média avaient été supprimés et que neuf stations de radio ont été fermées ou vendues. Un réseau qui fond Bell Média se départira de 45 de ses 103 de ses radios régionales. Au Québec, sept stations passeront dans le giron du groupe québécois Arsenal Media. Ailleurs au pays, Vista Radio, Witheoaks, Durham Radio, My Broadcasting Corp, ZoomerMedia et Maritime Broadcasting sont les acquéreurs. Le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) devra donner son aval aux ventes. Les stations de radio québécoises de Bell Média vendues : FZZ-FM (Saint-Jean-sur-Richelieu) CFEI-FM (Saint-Hyacinthe) CJDM-FM et CHRD-FM (Drummondville) CJOI-FM et CIKI-FM (Rimouski) CFVM-FM (Amqui) Pour Arsenal Media, cela signifie que son réseau passera à 25 stations. L’entreprise devrait accueillir entre 30 et 40 personnes, a indiqué son président et chef de la direction, Sylvain Chamberland, dans un entretien téléphonique avec La Presse. « La différence entre un grand groupe et nous, c’est que nous sommes sur le terrain dans les régions parce que nous sommes plus petits, dit l’homme d’affaires. Ces sept stations s’inscrivent parfaitement dans notre plan de croissance. » BCE a imputé une partie de ses décisions à Ottawa ainsi qu’au CRTC. L’entreprise reproche au gouvernement fédéral d’avoir mis trop de temps à venir en aide aux entreprises médiatiques et à l’organisme fédéral d’avoir été trop lent à réagir à une « crise immédiate ». Cela concerne deux textes législatifs destinés à aider le secteur médiatique canadien en difficulté : le projet de loi C-18, également connu sous le nom de Loi sur les nouvelles en ligne, destiné à forcer les géants de la technologie à rémunérer les médias canadiens pour leur contenu, et le projet de loi C-11, qui met à jour la Loi sur la radiodiffusion pour obliger les plateformes numériques telles que Netflix, YouTube et TikTok à contribuer et à promouvoir le contenu canadien. Ottawa reste dans une impasse avec la société mère de Facebook, Meta, au sujet du C-18, la société continuant de bloquer les liens d’information sur ses plateformes. Par ailleurs, le gouvernement fédéral a plafonné à 30 millions le montant que les médias audiovisuels peuvent obtenir grâce aux paiements annuels de 100 millions de Google, le reste étant destiné aux médias imprimés et numériques. Le conglomérat réduira également d’au moins 500 millions ses dépenses d’investissements prévues cette année et réduira l’expansion de son réseau de fibre optique. M. Bibic blâme « les décisions gouvernementales et réglementaires ». « Nous sommes préoccupés par la récente décision du CRTC qui nous oblige à donner accès à notre réseau de fibre optique à haute vitesse à des revendeurs, et ce, avant même d’avoir pu récupérer nos investissements de plusieurs milliards de dollars », écrit-il à ses employés. Baisse du bénéfice net En annonçant ces coupes majeures dans ses effectifs, BCE rapporte une baisse en un an de 23,3 % de son bénéfice net du quatrième trimestre, qui a reculé de 567 millions à 435 millions. Au cours de la même période, le bénéfice net ajusté a augmenté, de 654 millions à 691 millions. Le bénéfice net par action ordinaire est passé de 0,58 $ à 0,42 $. Pour l’ensemble de l’exercice financier 2023, BCE a réalisé un bénéfice net de 2,327 milliards, en baisse de 20,5 % par rapport à celui de 2,926 milliards rapporté en 2022. Le recul du bénéfice net ajusté a été moindre, de 4,3 %, de 3,057 milliards à 2,926 milliards. Avec La Presse Canadienne https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/2024-02-08/bce-elimine-4800-emplois-vend-des-stations-de-radio-et-ecorche-ottawa.php
  16. mtlurb

    Bombardier : actualités

    Livraisons d’avions Bombardier appuie sur l’accélérateur Julien Arsenault La Presse Publié à 6h35 PHOTO MARCO CAMPANOZZI, ARCHIVES LA PRESSE Bombardier a renoué avec la rentabilité en 2023 La cadence de production s’accélérera chez Bombardier au terme d’une année au cours de laquelle l’avionneur a finalement renoué avec la rentabilité. Le constructeur de jets privés a aussi été en mesure de poursuivre son désendettement. Après avoir atteint son objectif de livraisons – 138 avions d’affaires – en 2023, l’avionneur s’attend à en remettre entre 150 et 155 à ses clients d’ici la fin décembre, a-t-il indiqué, jeudi, en dévoilant ses résultats du quatrième trimestre. « Nous avançons avec confiance, a souligné le président et chef de la direction de Bombardier, Éric Martel, dans un communiqué. Nos prévisions pour 2024 reflètent la croissance continue des trois dernières années et notre engagement ferme à atteindre nos objectifs à long terme. » La multinationale québécoise a généré un chiffre d’affaires de 8 milliards US l’an dernier, en progression de 8 % alors que la demande a été au rendez-vous autant au chapitre des ventes de jets privés que des services après-vente. Son bénéfice net s’est établi à 445 millions US, ou 4,24 $ US, par action, comparativement à une perte nette de 148 millions US, ou 1,88 $ US par action, en 2022. Abstraction faite des éléments non récurrents, le profit ajusté s’est élevé à 416 millions US, ou 3,94 $ US, tandis que l’exercice 2022 s’était soldé par un bénéfice ajusté de 104 millions US, ou 77 cents US par action. Le bénéfice d’exploitation ajusté a progressé de 32 %, à 1,2 milliard US. « Les revenus des services après-vente ont battu des records et le nombre de livraisons n’a jamais été aussi élevé depuis le recentrage de nos activités en 2021 », souligne M. Martel. Au quatrième trimestre, Bombardier a vu son chiffre d’affaires grimper de 11 %, à 3 milliards. Son bénéfice net s’est établi à 215 millions US, ou 2,11 $ par action, en recul de 11 %. Le bénéfice ajusté a été de 143 millions US, ou 1,37 $ US par action. Les analystes sondés par la firme Refinitiv anticipaient des recettes de 2,9 milliards US sur un profit ajusté par action de 1,38 $ US. Bombardier a vu son ratio de nouveaux contrats par rapport au nombre de livraisons s’établir à 1 en 2023, ce qui témoigne entre un équilibre entre la cadence des livraisons et les commandes. En date du 31 décembre dernier, le carnet de commandes était de 14,2 milliards US. Quant à la dette à long terme, elle a fléchi d’environ 375 millions US, pour s’établir à 5,6 milliards US. Parallèlement à une augmentation de ses livraisons, Bombardier s’attend à générer des revenus oscillant entre 8,4 et 8,6 milliards US en 2024. Son bénéfice d’exploitation ajusté devrait varier entre 1,3 et 1,35 milliard US, tandis que les liquidités générées pourraient atteindre 400 millions US. https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/2024-02-08/livraisons-d-avions/bombardier-appuie-sur-l-accelerateur.php
  17. Avec un nombre anémique de nouvelles unités.... et une explosion de la population, les prix n'ont qu'une place où aller.... 📈 Immobilier: hausse des ventes et des prix à Montréal et Québec Agence QMI Mardi, 6 février 2024 15:51 Les ventes résidentielles ont augmenté de 18 % dans le Grand Montréal et de 16 % dans la région de Québec, en janvier 2024 par rapport au même mois l’an dernier, selon les données de l’Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ). Au total, 2077 résidences ont été vendues sur le territoire de la région métropolitaine de recensement (RMR) de Montréal en janvier 2024, comparativement à 1766 transactions en janvier 2023. «Il s’agit d’un niveau d’activité transactionnelle inférieur à la moyenne historique enregistrée pour cette période de l’année depuis que les données sont compilées par Centris en 2000», a toutefois noté l’APCIQ dans un communiqué. Le prix médian d’une maison unifamiliale en janvier se chiffrait à 535 000 $, soit une hausse de 7 % par rapport à janvier 2023. Le prix médian d’une copropriété était de 390 000 $ en janvier (+5 %) et celui d’un plex était de 722 500 $ (+7 %). Les inscriptions en vigueur pour le mois de janvier ont aussi connu une hausse marquée (+16 %) pour atteindre 16 838 inscriptions sur le territoire de la RMR de Montréal. Marché immobilierCombien se vendent les maisons près de chez vous?Testez notre outil exclusif «La bonne tenue des ventes en ce début d’année est essentiellement attribuable à des perspectives plus encourageantes quant à l’évolution des taux d’intérêt. Depuis la fin de l’année 2023, les économistes s’entendent pour affirmer que le cycle haussier des taux d’intérêt est derrière nous et que le processus inverse devrait débuter en 2024», a déclaré Charles Brant, directeur du Service de l’analyse de marché de l’APCIQ. Il a toutefois affirmé qu’il a «de nombreux vents contraires à une reprise plus franche de l’activité transactionnelle», notamment un fort ralentissement de l’activité économique et des incertitudes qu’elle engendre pour les nouveaux acheteurs potentiels. La demande pour la copropriété en hausse à Québec Du côté de la grande région de Québec, les ventes résidentielles ont augmenté de 16 % en janvier 2024 (604 transactions) par rapport au même mois l’an dernier, tandis que les inscriptions ont connu une hausse moins marquée (+2 %). Le prix médian des unifamiliales a augmenté de 11 %, passant de 325 000 $ en janvier 2023 à 360 000 $ en janvier 2024. Pour les copropriétés et les plex, les prix médians ont augmenté respectivement de 3 % (243 000 $) et de 16 % (383 500 $). «La croissance des prix plus marquée dans l’unifamiliale et le manque de propriétés dans cette catégorie continue d’orienter les premiers acheteurs et éventuellement les investisseurs vers la copropriété et le marché des plex. D’ailleurs, le plex s'avère une alternative intéressante alors que les prix demeurent encore abordables pour acheter à plusieurs et qu’on assiste à une accélération de la hausse des loyers dans la région», a constaté M. Brant. https://www.journaldemontreal.com/2024/02/06/immobilier-hausse-des-ventes-et-des-prix-a-montreal-et-quebec
  18. Je pense cette vidéo a parfaitement sa place ici
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