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Tout ce qui a été posté par mtlurb

  1. BCE élimine 4800 emplois, vend des stations de radio et écorche Ottawa Julien Arsenault La Presse Mis à jour à 12h00 PHOTO DAVID BOILY, LA PRESSE BCE affirme dans une lettre ouverte signée par le président et chef de la direction Mirko Bibic que des emplois « à tous les niveaux de l’entreprise » seraient supprimés. Quelque 4800 emplois éliminés, des dizaines de stations radiophoniques régionales vendues – dont au Québec – et une baisse significative des investissements : le couperet tombe une fois de plus chez BCE dans le cadre d’une autre restructuration d’envergure dans le secteur des télécommunications. Pour une deuxième fois en sept mois, les employés de la société mère de Bell Média sont plongés dans l’incertitude dans la foulée des nouvelles annoncées par le conglomérat, jeudi. Certains salariés devaient être informés de leur licenciement, tandis que d’autres devront patienter avant de connaître leur sort. Dans l’ensemble, l’effectif de l’entreprise se contractera de 9 %. Selon le président et chef de la direction de BCE Mirko Bibic, « tous les niveaux de l’entreprise » seront touchés par les compressions. La division médiatique écopera ainsi une fois de plus. « Du côté de Bell Média, nos revenus publicitaires ont chuté de 140 millions en 2023, écrit M. Bibic, dans une note envoyée au personnel. Nos pertes d’exploitation annuelles s’élèvent à plus de 40 millions pour l’ensemble de nos services de nouvelles, et ce, malgré le fait que nous avons le réseau de stations de télévision le plus populaire. » C’est la deuxième vague de licenciements majeurs chez le géant des médias et des télécommunications depuis le printemps dernier, lorsque 6 % des emplois de Bell Média avaient été supprimés et que neuf stations de radio ont été fermées ou vendues. Un réseau qui fond Bell Média se départira de 45 de ses 103 de ses radios régionales. Au Québec, sept stations passeront dans le giron du groupe québécois Arsenal Media. Ailleurs au pays, Vista Radio, Witheoaks, Durham Radio, My Broadcasting Corp, ZoomerMedia et Maritime Broadcasting sont les acquéreurs. Le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) devra donner son aval aux ventes. Les stations de radio québécoises de Bell Média vendues : FZZ-FM (Saint-Jean-sur-Richelieu) CFEI-FM (Saint-Hyacinthe) CJDM-FM et CHRD-FM (Drummondville) CJOI-FM et CIKI-FM (Rimouski) CFVM-FM (Amqui) Pour Arsenal Media, cela signifie que son réseau passera à 25 stations. L’entreprise devrait accueillir entre 30 et 40 personnes, a indiqué son président et chef de la direction, Sylvain Chamberland, dans un entretien téléphonique avec La Presse. « La différence entre un grand groupe et nous, c’est que nous sommes sur le terrain dans les régions parce que nous sommes plus petits, dit l’homme d’affaires. Ces sept stations s’inscrivent parfaitement dans notre plan de croissance. » BCE a imputé une partie de ses décisions à Ottawa ainsi qu’au CRTC. L’entreprise reproche au gouvernement fédéral d’avoir mis trop de temps à venir en aide aux entreprises médiatiques et à l’organisme fédéral d’avoir été trop lent à réagir à une « crise immédiate ». Cela concerne deux textes législatifs destinés à aider le secteur médiatique canadien en difficulté : le projet de loi C-18, également connu sous le nom de Loi sur les nouvelles en ligne, destiné à forcer les géants de la technologie à rémunérer les médias canadiens pour leur contenu, et le projet de loi C-11, qui met à jour la Loi sur la radiodiffusion pour obliger les plateformes numériques telles que Netflix, YouTube et TikTok à contribuer et à promouvoir le contenu canadien. Ottawa reste dans une impasse avec la société mère de Facebook, Meta, au sujet du C-18, la société continuant de bloquer les liens d’information sur ses plateformes. Par ailleurs, le gouvernement fédéral a plafonné à 30 millions le montant que les médias audiovisuels peuvent obtenir grâce aux paiements annuels de 100 millions de Google, le reste étant destiné aux médias imprimés et numériques. Le conglomérat réduira également d’au moins 500 millions ses dépenses d’investissements prévues cette année et réduira l’expansion de son réseau de fibre optique. M. Bibic blâme « les décisions gouvernementales et réglementaires ». « Nous sommes préoccupés par la récente décision du CRTC qui nous oblige à donner accès à notre réseau de fibre optique à haute vitesse à des revendeurs, et ce, avant même d’avoir pu récupérer nos investissements de plusieurs milliards de dollars », écrit-il à ses employés. Baisse du bénéfice net En annonçant ces coupes majeures dans ses effectifs, BCE rapporte une baisse en un an de 23,3 % de son bénéfice net du quatrième trimestre, qui a reculé de 567 millions à 435 millions. Au cours de la même période, le bénéfice net ajusté a augmenté, de 654 millions à 691 millions. Le bénéfice net par action ordinaire est passé de 0,58 $ à 0,42 $. Pour l’ensemble de l’exercice financier 2023, BCE a réalisé un bénéfice net de 2,327 milliards, en baisse de 20,5 % par rapport à celui de 2,926 milliards rapporté en 2022. Le recul du bénéfice net ajusté a été moindre, de 4,3 %, de 3,057 milliards à 2,926 milliards. Avec La Presse Canadienne https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/2024-02-08/bce-elimine-4800-emplois-vend-des-stations-de-radio-et-ecorche-ottawa.php
  2. Avec un nombre anémique de nouvelles unités.... et une explosion de la population, les prix n'ont qu'une place où aller.... 📈 Immobilier: hausse des ventes et des prix à Montréal et Québec Agence QMI Mardi, 6 février 2024 15:51 Les ventes résidentielles ont augmenté de 18 % dans le Grand Montréal et de 16 % dans la région de Québec, en janvier 2024 par rapport au même mois l’an dernier, selon les données de l’Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ). Au total, 2077 résidences ont été vendues sur le territoire de la région métropolitaine de recensement (RMR) de Montréal en janvier 2024, comparativement à 1766 transactions en janvier 2023. «Il s’agit d’un niveau d’activité transactionnelle inférieur à la moyenne historique enregistrée pour cette période de l’année depuis que les données sont compilées par Centris en 2000», a toutefois noté l’APCIQ dans un communiqué. Le prix médian d’une maison unifamiliale en janvier se chiffrait à 535 000 $, soit une hausse de 7 % par rapport à janvier 2023. Le prix médian d’une copropriété était de 390 000 $ en janvier (+5 %) et celui d’un plex était de 722 500 $ (+7 %). Les inscriptions en vigueur pour le mois de janvier ont aussi connu une hausse marquée (+16 %) pour atteindre 16 838 inscriptions sur le territoire de la RMR de Montréal. Marché immobilierCombien se vendent les maisons près de chez vous?Testez notre outil exclusif «La bonne tenue des ventes en ce début d’année est essentiellement attribuable à des perspectives plus encourageantes quant à l’évolution des taux d’intérêt. Depuis la fin de l’année 2023, les économistes s’entendent pour affirmer que le cycle haussier des taux d’intérêt est derrière nous et que le processus inverse devrait débuter en 2024», a déclaré Charles Brant, directeur du Service de l’analyse de marché de l’APCIQ. Il a toutefois affirmé qu’il a «de nombreux vents contraires à une reprise plus franche de l’activité transactionnelle», notamment un fort ralentissement de l’activité économique et des incertitudes qu’elle engendre pour les nouveaux acheteurs potentiels. La demande pour la copropriété en hausse à Québec Du côté de la grande région de Québec, les ventes résidentielles ont augmenté de 16 % en janvier 2024 (604 transactions) par rapport au même mois l’an dernier, tandis que les inscriptions ont connu une hausse moins marquée (+2 %). Le prix médian des unifamiliales a augmenté de 11 %, passant de 325 000 $ en janvier 2023 à 360 000 $ en janvier 2024. Pour les copropriétés et les plex, les prix médians ont augmenté respectivement de 3 % (243 000 $) et de 16 % (383 500 $). «La croissance des prix plus marquée dans l’unifamiliale et le manque de propriétés dans cette catégorie continue d’orienter les premiers acheteurs et éventuellement les investisseurs vers la copropriété et le marché des plex. D’ailleurs, le plex s'avère une alternative intéressante alors que les prix demeurent encore abordables pour acheter à plusieurs et qu’on assiste à une accélération de la hausse des loyers dans la région», a constaté M. Brant. https://www.journaldemontreal.com/2024/02/06/immobilier-hausse-des-ventes-et-des-prix-a-montreal-et-quebec
  3. Je pense cette vidéo a parfaitement sa place ici
  4. 🤦🏻‍♂️ Ayoye c'est pire que je ce que je pensais lol
  5. En fait ça existe déjà.... c'est une autre ligne invisible du 8 étages-échelle-humaine que cette administration clame haut et fort sur toutes les tribunes... et je te gage que ça ralenti certains dans la livraison de permis pour les immeubles inhumains 🤣
  6. Oui mais la densité initiale, c'est une ligne dans le sable qui a été décidé par quelqu'un quelque part ... (je mets mon chapeau libertarien). 😜
  7. L'idée est bonne sur papier.... reste à voir dans la vraie vie ce que ça va donner. Est-ce que cette "contribution" pour la surhauteur va être raisonnable ou prohibitive? N'oublions pas que le 20-20-20 c'est très similaire... tu veux construire plus que 120 mètres, tu dois "contribuer". At the end of the day, tout cela est une taxe à la densité, peu importe comment c'est "vendu" au médias.
  8. Tout à fait cela, en fait il faut regarder ce qui est livré en 2017 comme étant approuvé autour de 2 à 5 ans avant, environ 2012 à 2015. Ceux de 2023, vers 2018 à 2021. Mettons de côté le 20/20/20 pour un moment, (tu peux quand même construire en payant la pénalité ce que plusieurs ont faits)... il y a clairement des embûches pour avoir simplement un permis de construire et les raisons sont très nombreuses pour ne pas les livrer, ou livrer à temps.
  9. J'ai recompilé les mêmes données de Stat-Canada pour avoir une idée de combien d'unités totales ont étés livrées dans chaque métropole de 2017 à 2023 et la relative importance de chaque métropole dans le Canada. Donc, il a été livré presque 188k unités à Montréal et on représente 13% du total canadien. Ensuite j'ai voulu regarder la position relative de Montréal vs le Canada sur deux périodes de 3 ans (je n'ai que 6 ans de données). Malgré que Montréal a livré 12% de plus d'unités dans la deuxième période, notre poids relatif au sein du Canada a diminué de 29% !! Donc on a construit plus, mais les autres ont construits encore plus! (Calgary presque doublé!, Toronto +76%!) Finalement j'ai voulu comparer 2023 vs 2017, 2017 semble être une année "normale".... et la c'est frappant, le Canada a augmenté de presque 19%, nous on a diminués de 41%!! (Calgary a plus que doublé +112%) Donc oui les il y a des taux d'intérêts hauts 2023 vs 2017, mais cela n'explique pas tout... les chiffres parlent d'eux-mêmes.
  10. Unités livrées par région métropolitaine sélectionnés de 2017 à 2023. Montréal en orange. Compilé à partir de données de Stat-Canada. Statistique Canada. Tableau 34-10-0285-01 Permis de bâtir, par type de structure et type de travaux DOI : https://doi.org/10.25318/3410028501-fra
  11. Peut être que les brigades l’ont kidnappés😂
  12. Le seul graphique qui compte.... je l'ai fait avec les données brutes trouvées sur le site de Stat Can. Ligne Rouge = Unités totales Ligne oranges = Multifamilial (condos) Ligne grise = Unifamiliale Chaque pic, est un mois entier. Si qqun a plus de "skills" que moi, svp levez la main 🤣
  13. Frais du four de statistiques Canada.... je pense pas que les médias ont eus le temps de le regarder. Permis de bâtir, décembre 2023 Diffusion : 2024-02-06 La valeur totale des permis de bâtir au Canada a reculé de 14,0 % par rapport à novembre pour s'établir à 9,2 milliards de dollars en décembre, ce qui représente le plus bas niveau atteint depuis octobre 2020. Des baisses ont été enregistrées dans les secteurs résidentiel et non résidentiel. En dollars constants (2017 = 100), la valeur totale des permis de bâtir a diminué de 14,2 % pour s'établir à 5,8 milliards de dollars en décembre. Malgré la diminution globale observée dans le secteur résidentiel, la valeur des permis pour les logements unifamiliaux maintient une faible croissance La valeur totale des permis de bâtir dans le secteur résidentiel a reculé de 17,9 % pour s'établir à 5,7 milliards de dollars en décembre, et le recul le plus marqué a été observé dans les intentions de construction de logements multifamiliaux, en baisse de 31,1 % (-1,3 milliard de dollars), ce qui représente la plus forte baisse mensuelle dans la série. La baisse de la valeur des permis pour les logements multifamiliaux en Ontario (-45,2 %; -816,8 millions de dollars) a largement contribué à la diminution mensuelle globale observée dans le secteur résidentiel en décembre. Parallèlement, les intentions de construction de logements unifamiliaux ont légèrement augmenté de 0,8 % pour atteindre 2,9 milliards de dollars en décembre. La hausse enregistrée en Alberta (+15,3 %; +84,4 millions de dollars) a plus que contrebalancé les diminutions observées dans sept provinces; les intentions de construction de logements unifamiliaux en Alberta ont affiché une cinquième augmentation mensuelle consécutive et il s'agit de la plus forte valeur mensuelle depuis janvier 2014. La baisse des nouvelles intentions de construction majeure dans la composante institutionnelle fait fléchir le secteur non résidentiel La valeur totale des permis de bâtir dans le secteur non résidentiel a reculé de 7,0 % pour s'établir à 3,6 milliards de dollars en décembre. La baisse observée dans la composante institutionnelle au Québec (-55,8 %; -313,9 millions de dollars) a plus que contrebalancé les hausses totales enregistrées dans les composantes commerciale (+4,1 %; +69,1 millions de dollars) et industrielle (+4,7 %; +39,3 millions de dollars) à l'échelle du Canada. La forte baisse mensuelle observée au Québec est attribuable à l'absence de nouveaux permis délivrés pour de grands projets dans la composante institutionnelle en décembre, après que des permis de bâtir pour deux projets estimés à plus de 150 millions de dollars chacun ont été délivrés en novembre. Le quatrième trimestre de 2023 affiche les plus faibles agrégats trimestriels depuis le troisième trimestre de 2021 La valeur totale des permis de bâtir s'est chiffrée à 31,3 milliards de dollars au quatrième trimestre de 2023, en baisse de 9,0 % par rapport au trimestre précédent et en baisse de 1,7 % par rapport au quatrième trimestre de 2022. Au quatrième trimestre de 2023, la valeur totale des permis de bâtir a atteint le plus faible niveau trimestriel enregistré depuis le troisième trimestre de 2021 (30,8 milliards de dollars). Au quatrième trimestre de 2023, la valeur des permis de bâtir non résidentiels (-13,3 % pour s'établir à 11,6 milliards de dollars) et résidentiels (-6,3 % pour s'établir à 19,7 milliards de dollars) a reculé par rapport au troisième trimestre. La composante des logements unifamiliaux est la seule à avoir affiché une hausse trimestrielle (+1,4 % pour atteindre 8,5 milliards de dollars) au quatrième trimestre, après avoir progressé de 9,8 % au cours du troisième trimestre. De même, les unités de logement autorisées dans la composante unifamiliale ont augmenté de 2,9 % à l'échelle du Canada au cours du quatrième trimestre. Plus particulièrement, la valeur des permis pour les logements unifamiliaux en Alberta a crû de 23,4 % pour atteindre 1,7 milliard de dollars au quatrième trimestre, ce qui représente une troisième hausse trimestrielle d'affilée. Au quatrième trimestre, la province a également affiché une troisième augmentation trimestrielle consécutive du nombre de permis délivrés pour la construction de nouvelles unités de logement, en hausse de 21,9 % pour se chiffrer à 4 000 nouvelles unités. Revue annuelle de 2023 : Les intentions de construction institutionnelle sont largement attribuables à des investissements dans les hôpitaux et les établissements de soins de longue durée D'une année à l'autre, la valeur totale en dollars courants des permis de bâtir a diminué de 3,2 % pour s'établir à 132,2 milliards de dollars en 2023. Cependant, l'augmentation des coûts des matériaux et de la main-d'œuvre a fait augmenter les évaluations nominales des permis de bâtir. En dollars constants (2017 = 100), la valeur totale annuelle des permis de bâtir a reculé de 8,9 % par rapport à 2022 pour s'établir à 84,2 milliards de dollars en 2023. Dans le reste du présent communiqué, les données seront présentées en dollars constants (2017 = 100) pour mettre l'accent sur les variations de la valeur réelle des permis au fil du temps. Le secteur résidentiel a enregistré un deuxième recul annuel consécutif de la valeur des permis de bâtir, en baisse de 15,5 % pour s'établir à 48,3 milliards de dollars en 2023, tandis que le secteur non résidentiel a affiché une troisième augmentation annuelle consécutive, en hausse de 1,7 % pour atteindre 35,9 milliards de dollars en 2023. Les intentions de construction dans les composantes institutionnelle (+14,4 %; +1,4 milliard de dollars) et industrielle (+4,1 %; +290,8 millions de dollars) ont atteint des sommets inégalés dans la série, ce qui a donné lieu à une croissance globale dans le secteur non résidentiel. Cependant, la croissance observée dans le secteur non résidentiel a été atténuée par la diminution enregistrée dans la composante commerciale (-6,1 %; -1,1 milliard de dollars), qui a été à l'origine de près de la moitié de la valeur des intentions de construction dans le secteur non résidentiel. Les hausses observées dans la composante institutionnelle sont principalement attribuables à des intentions de construction d'importants projets d'hôpitaux et d'établissements de soins de longue durée. Au cours des dernières années, la demande à l'égard du système de santé canadien a été amplifiée en raison de la pandémie de COVID-19 et du vieillissement de la population canadienne. Diverses politiques publiques ont été annoncées pour répondre à la demande élevée à l'égard du système de santé, y compris des investissements de divers ordres de gouvernement, comme les suppléments au Transfert canadien en matière de santé, et des ententes bilatérales entre les gouvernements. En 2023, le permis de bâtir ayant la valeur la plus élevée (près de 1,0 milliard de dollars) a été délivré pour la construction d'un nouvel hôpital à Vaudreuil-Dorion (Québec). Des intentions de construction pour des permis d'hôpitaux dont le coût est supérieur à 100,0 millions de dollars ont été observées à Montréal, dans la région du Grand Toronto ainsi qu'en Colombie-Britannique, plus précisément à Dawson Creek, à North Cowichan, à Williams Lake et dans la région du Grand Vancouver. Les permis de bâtir pour des établissements de soins de longue durée ont également stimulé la croissance dans la composante institutionnelle, et les intentions de construction d'importants projets se sont concentrées en Ontario, au Québec et en Nouvelle-Écosse. En 2023, la composante institutionnelle en Nouvelle-Écosse (+197,0 %; +146,8 millions de dollars) a affiché sa plus forte croissance annuelle jamais enregistrée, et environ les trois quarts des intentions de construction dans la composante institutionnelle concernaient des foyers pour personnes âgées, et plus particulièrement des établissements de soins de longue durée, ce qui correspond à l'objectif du gouvernement de la Nouvelle-Écosse d'élargir l'accès aux soins de longue durée (lien en anglais seulement) dans la province. Pour examiner les données au moyen d'une interface utilisateur interactive, veuillez consulter la page Permis de bâtir : tableau de bord interactif. Pour obtenir plus de renseignements sur la construction, veuillez consulter le portail Statistiques sur la construction. Pour obtenir plus de renseignements sur le logement, veuillez consulter le portail Statistiques sur le logement. Saviez-vous que nous avons une application mobile? Accédez rapidement aux données du bout des doigts en téléchargeant l'application StatsCAN, accessible gratuitement à partir des boutiques d'applications App Store et Google Play. Tableau 1 Unités de logement, valeur des permis de bâtir résidentiels et non résidentiels, Canada — Données désaisonnalisées Tableau 2 Valeur des permis de bâtir, selon la province et le territoire — Données désaisonnalisées Tableau 3 Valeur des permis de bâtir, selon la région métropolitaine de recensement — Données désaisonnalisées Note aux lecteurs À moins d'avis contraire, les données figurant dans le présent communiqué sont désaisonnalisées en dollars courants, ce qui facilite la comparaison d'un mois à l'autre et d'un trimestre à l'autre, car les effets des variations saisonnières sont supprimés. Pour obtenir des renseignements sur la désaisonnalisation, veuillez consulter la page Web Données désaisonnalisées — Foire aux questions. Composantes des bâtiments Logement unifamilial : immeuble résidentiel comprenant un seul logement (p. ex. maison individuelle, bungalow ou maison siamoise [liée à une autre maison par la fondation]). Logement multifamilial : immeuble résidentiel comprenant plusieurs logements (p. ex. appartement, appartement en copropriété, maison en rangée ou maison jumelée). Bâtiment industriel : tout bâtiment utilisé dans la transformation ou la production de biens, ou lié aux domaines des transports et des communications. Bâtiment commercial : tout bâtiment utilisé dans le commerce ou la distribution de biens et de services, y compris les immeubles de bureaux. Bâtiment institutionnel et gouvernemental : tout bâtiment servant à abriter des services publics et parapublics, comme les bâtiments liés à la santé et au bien-être, à l'éducation ou à l'administration publique ainsi que les bâtiments utilisés pour les services religieux. Révision Les données peuvent faire l'objet d'une révision, selon les réponses reçues tardivement, les changements de méthodologie et les mises à jour de classification. Les données non désaisonnalisées du mois précédent ont été révisées. Les données désaisonnalisées des trois mois précédents ont été révisées. Pour obtenir des renseignements sur les données de la tendance-cycle, veuillez consulter la page Estimations de la tendance-cycle — Foire aux questions. Prochaine diffusion Les données de janvier 2024 sur les permis de bâtir seront diffusées le 7 mars 2024. Coordonnées des personnes-ressources Pour obtenir plus de renseignements ou pour en savoir davantage sur les concepts, les méthodes et la qualité des données, communiquez avec nous au 514-283-8300 ou composez sans frais le 1-800-263-1136(infostats@statcan.gc.ca), ou communiquez avec les Relations avec les médias (statcan.mediahotline-ligneinfomedias.statcan@statcan.gc.ca).
  14. Ou c’est écrit que 2 milliards ça inclus la démolition et un nouveau stade? Je croyais que c’est le coût de démolition seulement. Merci.
  15. yeah... yikes... 🤦🏻‍♂️
  16. Très content de cette annonce-ci, mais c'est dommage qu'ils ne prennent pas cette période pour aussi refaire l'intérieur... c'est rendu vintage, mais pas du bon vintage.
  17. C’est des photos de drone ça?
  18. J'aimerais bien Miami, j'ai deux amis montréalais qui sont rendus là depuis un bout et il ne jure que de cette ville. Mais bon....
  19. C’est du double-speak. Tout ce qu’elle dit, c’est le contraire. 😏
  20. "Buyers Aren't Rushing": Luxury Home Sales Slip In Toronto, Montreal, Surge In Vancouver, Calgary Single-family homes were the hot topic of luxury real estate in 2023, as buyers shied away from rising condo fees and high carrying costs. Zoe Demarco Canada’s luxury real estate markets experienced a relatively subdued 2023, as economic uncertainty, high interest rates, and geopolitical tensions weighed on sales. Despite a brief summertime surge, major markets reported double-digit declines in annual activity levels, according to Sotheby’s International Realty Canada’s 2023 Top-Tier End-of-Year Real Estate Report. The sales that did materialize were often the result of opportunistic buyers and investors taking advantage of a market that swayed heavily in their favour. With that upper hand they overwhelmingly set their sights on single-family homes, as high condo fees and rising carrying costs progressively closed the affordability gap between the two property types. “Buyers are not rushing into anything. They’re taking their time. They’re willing to negotiate on pricing conditions,” Don Kottick, President and CEO of Sotheby’s International Realty Canada, explained to STOREYS. “Properties that aren't priced well will definitely languish. But the ones that are priced properly are selling.” GTA In the Greater Toronto Area, overall residential sales over $1M declined 19% year over year in 2023, while sales over $4M fell 20%. Ultra-luxury sales over $10M experienced a nominal 5% annual decline in comparison, although Sotheby’s noted that transactions were increasingly taken off-market as buyers and sellers sought privacy. “The competence in the largest luxury market in in Canada is holding steady, even though some of the sales activity calmed a bit in 2023,” Kottick said. “Toronto is still the primary destination for immigration — and the federal government has very large immigration numbers — so that is still driving the market. In light of inflation, in light of wavering economic performance, in light of large government spending, we’re off to a very good start in January. And we’re cautiously optimistic that Toronto is going to have a very active year.” Montreal Luxury home sales in Montreal were “uneven” in 2023, as sellers’ and buyers’ price expectations failed to align. A “brisk summer” gave way to a frenzied fall, but consumer sentiments remain vulnerable to softening economic growth. Overall, residential sales over $1M declined 14% annually, while luxury sales over $4M fell 22% year over year in 2023. One home over $10M was sold in Montreal last year. Single-family and attached home sales over $1M declined 14% and 6% year over year, respectively, while condo sales in the price range experienced a more pronounced 21% drop. Vancouver Meanwhile, Vancouver’s luxury market experienced a “dramatic transformation” as consumers shied away from amenity-lacking condos, and zeroed in on single-family abodes. While overall residential sales over $1M were relatively stable, experiencing a 5% annual decline, luxury sales over $4M increased 8% year over year, and sales over $10M soared 43% above 2022 levels. Residential sales over $4M ended the year 8% above 2022 levels, while sales over $10M soared 43% annually, due in part to a third-quarter uptick. Overall residential sales over $1M declined 5% annually. Single-family home sales over $4M rose 14% year over year, while ultra-luxury sales over $10M were up 36%. In comparison, condo sales over $4M declined 36% annually, and only one unit with a price tag above $10M changed hands. Calgary Month after month, Calgary proved to be the outlier of Canadian real estate in 2023, emerging, in the words of Sotheby’s, as an “unwavering beacon of economic strength and luxury real estate performance.” The city’s strong economy and affordable properties continue to attract Canadians from pricier provinces, resulting in record-setting net interprovincial migration that bolstered the housing market throughout 2023. “Calgary is really leading the way in Canada’s luxury markets,” Kottick said. “It was full steam ahead last year, and they are well poised for 2024.” Overall residential sales over $1M jumped 13% annually in 2023, on the heels of a 16% increase a year prior. Within the price range, single-family and attached home sales increased 12% and 14%, respectively, while condo sales over $1M climbed 26% year over year. Nine properties over $4M were sold in 2023, up from six a year prior. In line with 2022, no homes over $10M were sold. Looking at the year ahead, Kottick sees the same seizure of opportunity on the part of purchasers, although their motivation is now an attempt to secure a good deal before interest rate cuts begin. “Once rates actually come down, I think you’re going to see a flood of buyers coming back, which will put more pressure on the market again,” Kottick told STOREYS. “But there’s a general consensus right now that rates have already stabilized, and that’s brought some optimism to the markets. We kind of view it as cautious optimism, you know, going into 2024.” https://storeys.com/luxury-home-sales-decline-2023/
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