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Amazon looking for a location to have a 2nd HQ


jesseps

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28 minutes ago, vivreenrégion said:

Les 50k jobs vont venir de où. Ils veulent voler les employés des autres compagnies ? ou plutôt les employés vont venir d'ailleurs

Le chiffre de 50000 emplois est sûrement gonflé, mais Amazon est déjà le 8è plus gros employeur aux États-Unis et la compagnie grossit à vue d'oeil. Ça va être tout un catch pour la ville qui va accueillir ce deuxième siège social.

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1 hour ago, jerry said:

Le chiffre de 50000 emplois est sûrement gonflé, mais Amazon est déjà le 8è plus gros employeur aux États-Unis et la compagnie grossit à vue d'oeil. Ça va être tout un catch pour la ville qui va accueillir ce deuxième siège social.

Amazon se tete des subventions des villes pour tuer ses competiteur. Je crois pas du tout a ce qu'ils disent. 

Amazon n'est pas le 8ieme plus gros employeur aux USA . Amazon a 350 000 employés.

https://www.geekwire.com/2017/amazon-surpasses-350000-employees-43-last-year/

Le 13 ieme plus gros employeur aux USA. Compass Group USA Investments Llp avec 360 000 employées.

http://www.nwitimes.com/compass-group-usa-investments-llp/article_75db6b4c-3a13-5d35-acb7-24f09d3b8667.html

Wal-MArt le top 1 a 2.3 mllions d'employés 

On doit pas embarquer dans le jeu de amazon. La competition c'est ce qui a de meilleur. La facheuse tendance du monopole on doit a tout prix eviter ca. 

Imaginons juste un peu si on a un seul endroit pour tout acheter. on va tuer les rues commerciales on va eliminer la variété de produit etc..... et tout les jobs relier avec ca. Sans compter l'échapement fiscal que pratique ces gros titans que sont les GAFA (google, apple, facebook , amazon) 

Les gouvernements de tout les pays et etats doivent etre aider leurs commerces et entreprise a prise le virage online. Des applications comme Shopify et Lightspeed peuvent aider. 

 

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1 hour ago, andre md said:

Amazon se tete des subventions des villes pour tuer ses competiteur. Je crois pas du tout a ce qu'ils disent. 

Amazon n'est pas le 8ieme plus gros employeur aux USA . Amazon a 350 000 employés.

https://www.geekwire.com/2017/amazon-surpasses-350000-employees-43-last-year/

Le 13 ieme plus gros employeur aux USA. Compass Group USA Investments Llp avec 360 000 employées.

http://www.nwitimes.com/compass-group-usa-investments-llp/article_75db6b4c-3a13-5d35-acb7-24f09d3b8667.html

Wal-MArt le top 1 a 2.3 mllions d'employés 

On doit pas embarquer dans le jeu de amazon. La competition c'est ce qui a de meilleur. La facheuse tendance du monopole on doit a tout prix eviter ca. 

Imaginons juste un peu si on a un seul endroit pour tout acheter. on va tuer les rues commerciales on va eliminer la variété de produit etc..... et tout les jobs relier avec ca. Sans compter l'échapement fiscal que pratique ces gros titans que sont les GAFA (google, apple, facebook , amazon) 

Les gouvernements de tout les pays et etats doivent etre aider leurs commerces et entreprise a prise le virage online. Des applications comme Shopify et Lightspeed peuvent aider. 

 

Amazon est bel et bien le 8è plus gros employeur privé aux États-Unis, selon Fortune, et croît très vite.

http://fortune.com/fortune500/list/filtered?sortBy=employees&first500

Par contre, il est vrai que ce n'est pas exactement un employeur modèle, ayant été la cible de plusieurs plaintes d'abus, d'intimidation et même de poursuites judiciaires. Il est vrai aussi que son modèle nuit aux commerces traditionnels, tout comme Wal-Mart avant lui. Cependant, il ne nuira pas plus à ces commerçants si son siège social s'implante à Montréal plutôt qu'à Denver, car les gens vont passer leurs commandes de la même façon.

Pour ce qui est de la question des subventions recherchées, bien sûr que c'est ce qu'ils recherchent! Toutes les grosses compagnies qui cherchent à s'installer dans une ville jouent le même petit jeu, que ce soit une compagnie automobile, informatique (Ubisoft) ou autre. Amazon n'est pas différent à ce niveau, mais il a le potentiel d'amener de nombreux emplois. Une bonne partie de ceux-ci pourrait être low-skilled, mais quand même pas à rejeter du revers de la main dans un monde de plus en plus robotisé où la majorité de ces emplois sont en train de disparaître.

Modifié par jerry
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30 minutes ago, jerry said:

Amazon est bel et bien le 8è plus gros employeur privé aux États-Unis, selon Fortune, et croît très vite.

http://fortune.com/fortune500/list/filtered?sortBy=employees&first500

Par contre, il est vrai que ce n'est pas exactement un employeur modèle, ayant été la cible de plusieurs plaintes d'abus, d'intimidation et même de poursuites judiciaires. Il est vrai aussi que son modèle nuit aux commerces traditionnels, tout comme Wal-Mart avant lui. Cependant, il ne nuira pas plus à ces commerçants si son siège social s'implante à Montréal plutôt qu'à Denver, car les gens vont passer leurs commandes de la même façon.

Pour ce qui est de la question des subventions recherchées, bien sûr que c'est ce qu'ils recherchent! Toutes les grosses compagnies qui cherchent à s'installer dans une ville jouent le même petit jeu, que ce soit une compagnie automobile, informatique (Ubisoft) ou autre. Amazon n'est pas différent à ce niveau, mais il a le potentiel d'amener de nombreux emplois. Une bonne partie de ceux-ci pourrait être low-skilled, mais quand même pas à rejeter du revers de la main dans un monde de plus en plus robotisé où la majorité de ces emplois sont en train de disparaître.

Les chiffres de Fortune ne marche pas Compass Group USA Investments Llp avec 360 000 employées n'est meme pas dans leur liste.

Si par exemple le HQ2 s'en va a Denver ou Washington ou peut etre Toronto. Amazon va tuer les autres employeur avec des subventions des villes. Pas mal deloyal.  

Exemple ils etablisse un centre de distribution et recoive 50 millions de $ en incitatif. 

https://www.bizjournals.com/washington/news/2017/09/07/greater-washington-turns-giddy-over-amazon-hq2.html

Il faut aider les compagnies locales a se develloper sur le web pour affronter les geants comme Amazon. Pour les affronter a armes egale je prefere 100 compagnies a 50 millions d'investissement chacune qu'un titan  a 5 milliards $ d'investissement. 5 milliards dont peut etre la moitié va venir de la poche des administrations publics. On pourrait comparer ca au pushing que pratique les equipes sportives qui exige des stades payer par les contribuables.  

Ca me fait penser au serpent qui se bouffe la queue.

 

conan56ty.jpg

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Ok, là, je ne comprends pas vraiment l'acharnement de certains contre ce projet.

- D'accord, Amazon n'est pas un employeur modèle. Mais y a-t-il une seule multinationale de son ampleur qui l'est?

- Amazon établira son HQ2 qq part. Peu importe où, son impact sur les petits distributeurs en Am du N sera le même. Mtl pourra alors soit compenser avec un HQ important, ou pas du tout.

- Admettons qu'Amazon ne délivre pas les investissements promis (probable). Admettons seulement 50% des chiffres promis. On parlerait quand même de 25 000 emplois et de 2 milliards d'investissements! On est content d'avoir des annonces de 500 emplois et 200 millions d'argent investi. Tsé.

Oui, je partage les réserves de plusieurs sur le petit jeu des multinationales et les tares de plusieurs aussi en terme d'équité et de responsabilité sociale. Mais, on fait souvent des compromis en échange de croissance économique. Pourquoi être si réfractaire dans ce cas précis? Il ne s'agit tout de même pas d'une entreprise à la solde de l'Arabie saoudite qui redirige les profits vers le terrorisme international!

Non, je ne comprends pas.

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http://plus.lapresse.ca/screens/91b375e2-f03d-4769-b5c7-525f0ad63296|_0.html

 

LES ATOUTS DE MONTRÉAL

JEAN-FRANÇOIS CODÈRELA PRESSE

Un taux d’imposition avantageux, de bonnes universités, une ville reconnue pour sa qualité de vie à moindre coût et quelques terrains centraux disponibles : sur papier, Montréal a des arguments en poche pour tenter de séduire Amazon et la convaincre d’y installer son deuxième siège social.

 

Le géant de l’internet a annoncé jeudi son intention d’inaugurer en 2019 un « deuxième siège social » appelé à devenir l’équivalent de celui qu’elle continuera d’occuper à Seattle et où travaillent plus de 40 000 personnes.

Dans les heures suivantes, la presque totalité des agglomérations de taille suffisante en Amérique du Nord ont annoncé leur intention de soumettre leur candidature. Cela inclut notamment, au Canada, Toronto, Vancouver, Calgary, Ottawa et Waterloo, en plus de Montréal.

Les coûts d’exploitation à long terme sont l’un des premiers critères de sélection énoncés par Amazon dans son appel d’offres. En choisissant une ville canadienne, l’entreprise se donnerait la possibilité d’exploiter un taux d’imposition « nettement plus avantageux » qu’à Seattle, note Éric Labelle, associé leader des services fiscaux pour le bureau de Montréal chez PwC Canada.

Au Québec, les profits d’Amazon seraient imposés à environ 27 %, comparativement à environ 35 % à Seattle, dans l’État de Washington, explique-t-il. Ce taux est celui imposé par le gouvernement fédéral américain, l’État de Washington n’imposant pas les entreprises lui-même.

« Dans d’autres États américains, ça peut atteindre 40 % et plus », précise M. Labelle.

Les villes canadiennes disposent donc d’un avantage à ce chapitre sur toutes leurs rivales américaines. Il y a toutefois un bémol.

« Les États américains sont très compétitifs entre eux, note M. Labelle, et n’hésitent pas à délier les cordons de la bourse de façon démesurée pour accueillir des entreprises, du moins en comparaison de ce que l’on est habitués de voir au Canada. »

« Je lisais [vendredi] dans le New York Times qu’il allait y avoir une guerre d’enchères. Il va falloir que Montréal soit compétitive. »

— Christian Bernard, vice-président à la stratégie et aux communications pour Montréal International

MAIN-D’ŒUVRE EN ARRIÈRE-PLAN

Au-delà des différentes formes de subventions, qui pourraient bien être au cœur de la décision d’Amazon, Montréal entend mettre de l’avant la qualité de sa main-d’œuvre, affirme M. Bernard.

« On pense qu’on a beaucoup à offrir. On a une masse critique de talents en affaires électroniques, en intelligence artificielle, en jeux vidéo et en effets visuels, en plus d’un bon bassin universitaire. Les technologies de l’information continuent d’être un moteur de la croissance de l’emploi à Montréal. Oui, certains ont de la difficulté à recruter, mais c’est un enjeu que connaissent la plupart des villes qui seront en concurrence. »

TERRAINS DISPONIBLES

Plusieurs des exigences énoncées par Amazon concernent l’emplacement de son futur campus. Une tournée des lieux potentiels effectuée par La Presse en collaboration avec Groupe Altus révèle l’existence d’au moins quatre sites semblant répondre aux critères (voir carte). Fait important, trois d’entre eux dépendent de la construction du Réseau électrique métropolitain (REM) de la Caisse de dépôt et placement pour répondre aux exigences concernant les transports en commun.

C’est le cas du Technoparc Montréal, dans l’arrondissement de Saint-Laurent.

« Quand le REM sera établi, nous serons reliés aux campus universitaires et au centre-ville en une quinzaine de minutes et à l’aéroport en trois minutes », fait valoir Carl Baillargeon, du Technoparc.

« J’ai l’impression qu’ils vont vouloir quelque chose de central, près des universités, estime pour sa part M. Bernard. Il va falloir beaucoup de pieds carrés, ils vont vouloir bâtir un supercampus en milieu urbain. Il va falloir proposer quelque chose qui met en valeur la créativité montréalaise. »

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il y a 8 minutes, jerry a dit :

Le Technoparc semble le site le plus propice, par sa proximité au centre-ville et bientôt sa proximité au REM.

Ça, ou tout le secteur Bridge-Wellington - Du Havre (beaucoup de place, station REM, proximité de Griffintown-Cité du Multimédia, proximité du centre-ville, volonté de la Ville de redévelopper le coin, etc.)

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