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  1. http://www.montrealgazette.com/news/montreal/Montreal+quality+city+Mercer+rankings+affirm/9525645/story.html?utm_source=dlvr.it&utm_medium=twitter Montreal a quality city, Mercer rankings affirm We’re No. 4 in North America for quality of life; Vienna ranks No. 1 worldwide, while Baghdad is last BY ANNE SUTHERLAND, THE GAZETTE FEBRUARY 19, 2014 1:17 PM Montreal is the fourth-best city to live in North America, according to Mercer. Photograph by: Dave Sidaway / THE GAZETTE MONTREAL — Worldwide, we’re No. 23, but in North America, Montreal ranks in the top five cities for quality of life. Mercer, a consultant in health, retirement and investments, comes out with a ranking of cities every year. This ranking helps companies determine compensation packages when employees are given international assignments. In the 2014 global list, Vienna is No. 1, but Canadian cities rule when the it comes to North America: Vancouver is first, Ottawa second, Toronto third and Montreal fourth. San Francisco rounds up the top 5. Here are the top five worldwide: Vienna, Austria; Zurich, Switzerland; Auckland, New Zealand; Munich, Germany; Vancouver. The worst places to live, according to Mercer: Mexico City in North America; Port-au-Prince, Haiti, for Central and South America; Tbilisi, Georgia in Europe; Dushanbe, Tajikistan, in Asia; Baghdad for the Middle East and Africa. Some of the factors that affect rank are political stability, censorship, air and water pollution, schools, recreation, climate and natural disasters. For more information and bragging rights, go to www.mercer.com/qualityofliving
  2. Une semaine après la publication de l’indice du bonheur, qui concluait que les Montréalais étaient parmi les plus malheureux au Québec, on apprend aujourd’hui que les citoyens de la Métropole disposeraient d’une des meilleures qualités de vie au monde. Dans un rapport publié ce matin par la firme Mercer, on apprend en effet que la Métropole occupe la 22e position d’un classement de 215 villes en ce qui a trait à la qualité de vie de ses citoyens. «Montréal fait bien sur à peu près tous les facteurs considérés, mais perd toutefois quelque plumes en raison de la rigueur de son hiver», explique Georges cabana, conseiller principal chez Mercer. Fait à noter, cette 22e position ne constitue pas une amélioration pour la Métropole qui occupait la même position dans la première édition de cette étude, l’année dernière. Montréal n’est par ailleurs pas la seule ville canadienne à avoir fait bonne figure dans cette étude. Le document conclut que cinq villes, dont Montréal, se retrouvent dans la tranche supérieure de 15% de l’échantillon mondial. De toutes les villes canadiennes évaluées, c’est Vancouver qui obtient la meilleure note, occupant la 4e position mondiale avec un indice de qualité de vie de 107,4, trois points devant Montréal qui a enregistré une note de 104,2 dans ce même classement. Par la suite, les villes de Toronto (15e), Ottawa (16e), Montréal (22e) et Calgary (26e), complètent le palmarès canadien du sondage. De toutes les villes évaluées, c’est celle de Vienne en Autriche qui a raflé la première position avec un indice de qualité de vie de 108,6, dépassant ainsi Zurich qui occupait la tête du classement l’année dernière. À l’opposé, en raison de son climat politique instable et des nombreux attentats qui s’y produisent, c’est la ville de Bagdad qui occupe la dernière position du classement avec un indice de qualité de vie de 19,6. Pour arriver à ce classement final, la firme Mercer évalue les conditions de vie selon 39 facteurs. On compte notamment l’environnement politique et social, l’environnement économique et socioculturel, la santé et l’hygiène ainsi que les divertissements disponibles dans chaque ville étudiée.
  3. Le rendement du portefeuille indiciel de Mercer a été de -7,9% au deuxième trimestre. Il s’agit du pire trimestre des dix dernières années pour ce type de fonds. Pour en lire plus...
  4. Les salaires grimperont plus vite que l'inflation 27 août 2008 - 06h41 La Presse Rudy Le Cours L'an prochain, les employeurs sont disposés à mettre beaucoup d'argent sur la table pour attirer et garder les employés les plus performants. En fait, presque tout le monde y trouvera de quoi augmenter son niveau de vie. Encore une fois en 2009, les salaires réels moyens des employés non syndiqués augmenteront plus vite que l'inflation. À l'échelle du pays, ils grimperont selon toute vraisemblance de 3,8%, avec une pointe de 4,0% en Alberta. C'est au Québec où l'augmentation sera la plus faible, à hauteur de 3,5% à l'extérieur de Montréal. Les travailleurs de la métropole pourront s'attendre en moyenne à un dixième de point de plus, selon les données de la vaste enquête menée cet été par la firme Mercer. Ses résultats sont fondés sur un échantillon de 489 entreprises canadiennes comptant en tout 1,7 million d'employés syndiqués et non syndiqués. Les données excluent les travailleurs syndiqués dont la rémunération est régie par des conventions collectives déjà en vigueur ou à négocier. «Ça fait déjà quelques années que les employeurs projettent d'accorder des augmentations plus élevées que l'inflation», explique en entrevue Marie-Christine Piron, conseillère principale chez Mercer. En juillet, le taux annuel d'inflation s'élevait à 3,4% d'un océan à l'autre, mais de 3,2% au Québec, selon Statistique Canada. Le scénario de la Banque du Canada prévoit son retour près de la cible de 2,0%, au milieu de l'an prochain. L'an dernier, l'enquête Mercer avait montré des augmentations projetées de 3,9% pour l'ensemble du pays. Elles se chiffrent plutôt à 4,0%, ce qui reste bien proche de la projection. Le marché du travail étant plus tendu dans les provinces de l'Ouest, on ne sera guère surpris que c'est là où sont attendues les majorations les plus élevées. L'enquête montre aussi que, comme l'an passé, c'est dans l'exploitation pétrolière et gazière de même que dans la pétrochimie où les employeurs sont les plus enclins à se montrer généreux. Les augmentations moyennes attendues y varient de 5,3%, pour les techniciens et le personnel de soutien administratif, jusqu'à 5,7% pour les cadres supérieurs. Suivent, les secteurs des services, de la haute technologie, de la pharmaceutique, des finances et de la fonction publique et paragouvernementale. Seul le travail en usine, en entrepôt ou en magasin promet des augmentations plus faibles que la moyenne, mais tout de même à hauteur de 3,4%. En outre, près de la moitié des employeurs entendent verser des primes à l'embauche pour des spécialistes en technologies de l'information, en ventes et au marketing, en R&D ou en finance et comptabilité. Des quatre grandes villes canadiennes, Montréal a connu la rémunération moyenne la plus faible cette année. À 3,6%, elle se situe quand même assez près des 3,7% de Toronto et des 3,8% de Vancouver où les taux de chômage sont pourtant plus faibles. Calgary fait cavalier seul à 4,1%. L'an prochain, selon l'enquête, le peloton se resserrera avec des projections de 3,6% pour Montréal et Toronto, de 3,7% pour Vancouver et de 4,0% pour Calgary. L'enquête révèle aussi que la volonté d'attirer les plus talentueux et la rareté de ces derniers ont dicté les intentions des employeurs désireux d'augmenter leur masse salariale. En revanche, ceux qui ont choisi de contenir les augmentations citent la conjoncture économique incertaine et des plans de réduction générale des coûts. À la différence des salaires conventionnés, la rémunération du personnel non syndiqué est liée en bonne partie à la performance. Les variations qui en découlent sont aussi captées par l'enquête. Deux travailleurs sur cinq, qui représentent la performance moyenne, doivent s'attendre à des hausses de 3,5%. La portion (13%) qui obtient la cote de rendement la plus élevée peut compter sur une bonification allant jusqu'à 6,1% alors que les contre-performants, qui formeraient 9% de la cohorte, devront se contenter de 0,9%. VARIATIONS MOYENNES PROJETÉES DES SALAIRES2008 // 2009 projetées Canada 4% 3,8% Montréal 3,6% 3,6% Toronto 3,7% 3,6% Calgary 4,1% 4% Vancouver 3,8% 3,7% Source: Mercer, Enquête 2009 sur la planification de la rémunération Pour en lire plus...
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