Je suis d’accord que le Québec connait une situation unique. Mais le fait de connaitre une situation unique ne rend pas n’importe quelle décision correcte. Dans cette situation précise c’est une décision bête puisque le nombre de personne visées est faible et qu’on se prive de potentiels retombées. Analyser systématiquement toute politique linguistique de façon émotive est vraiment contreproductif.