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Bitterness pervades UQÀM halls over authors of 'long nightmare'

 

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UQÀM's aborted Îlot Voyageur project, on the site of the downtown bus terminal, is one of the ill-fated real estate projects that has plunged the university's finances into chaos.

 

PEGGY CURRAN, The Gazette

Published: 5 hours ago

 

Retribution. Sadness. Anger. Frustration. Acceptance.

 

Folks at Université du Québec à Montréal are working through their own twist on the five stages of grief these days.

 

Administrators, faculty and staff can't talk about the three men who dug a $500-million hole and left them to claw their way out without getting emotional. That's when they don't just want to throw things.

 

"They have plunged UQÀM into an unprecedented financial crisis," rector Claude Corbo said, hailing auditor-general Renaud Lachance's scathing analysis of the events that pushed UQÀM to the brink.

 

"The report reveals with great precision how the university community and the board of governors were deceived by the actions, omissions and misconduct of the former rector, his vice-rector of human resources and their investment director."

 

University lawyers are now studying legal action against former rector Roch Denis and his key sidekicks, vice-rector Mauro Malservisi and investment director Nicolas Buono, in the wake of Lachance's autopsy of calamitous real estate ventures, the Pierre Dansereau science complex and the Îlot Voyageur.

 

Quebec's director of criminal prosecutions is examining whether there are grounds for criminal charges stemming from mismanagement of the two projects.

 

Costs for the Voyageur development, on the site of the Berri St. bus terminal, have soared from the original estimate of $333 million in March 2005 to $529 million.

 

There's sadness, because Denis, the former rector at the messy centre of the university's financial crisis, was supposed to be one of them.

 

Denis started out as a young political science professor when the university was founded 39 years ago. He spoke on behalf of full-time faculty as president of the professors' union.

 

In the UQÀM tradition, Denis rose through the ranks to become vice-rector and then rector, only to squander the university's good name, its credit rating and its budget on grandiose construction schemes.

 

Imagine spending your entire working career in one place, only to be remembered as the guy who almost destroyed it.

 

"The rector talks of a great sadness, but for a lot of employees and students, there's a feeling of anger," said Michèle Nevert, president of the professors' union.

 

After all, the three men have all skedaddled, taking along pensions or confidential severance packages.

 

Many at UQÀM believe the university's current problems could have been avoided if senior administrators had only bothered to listen to people who demanded public hearings and told them the Îlot Voyageur project was a mistake. Or if members of UQÀM's auditing committee - some of whom still hold those positions - had done their job instead of just accepting Denis's delusional math.

 

Or if anyone in Quebec City or at the Université du Québec network had been keeping track of what was going on.

 

But mostly there's frustration. UQÀM's new administration, its teachers and support staff can't help feeling they - and the 41,000 students who study at UQÀM - are being made to pay for ill-conceived decisions over which they had no control.

 

http://www.canada.com/montrealgazette/news/story.html?id=c5694b5a-5d7b-42d8-a009-a407ef7edab0

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Photos publiées

Un article de La Presse en décembre 2007 Décembre 2007, La Presse

 

Denis Lessard

 

La Presse

 

Ce n'est pas la première fois que Robert Charest, le frère aîné du premier ministre Jean Charest, se retrouve au centre d'une controverse. Robert Charest qui a servi d'intermédiaire entre M. Schreiber et la campagne de son frère en 1993, avait fait les manchettes il y a cinq ans quand il travaillait pour la Société immobilière du Canada.

Une enquête interne de la société fédérale, réalisée par Samson Bélair, avait conclu que Robert Charest avait été rétribué pour des services qui n'avaient pas été rendus, et qu'il s'était fait rembourser des dépenses fictives.

 

Selon le rapport de Samson Bélair, M. Charest n'avait vendu que deux terrains pour la SIC, pour 6000$ de commissions, mais il avait obtenu 187 000$ d'honoraires et de remboursement de dépenses, des revenus injustifiables selon la firme de comptables. Début 2002, Radio-Canada avait rapporté que l'apport de M. Charest à la SIC faisait même l'objet de blagues à l'interne: «Il se présentait au bureau toutes les deux semaines, pour cinq minutes pour venir chercher son chèque.»

 

 

 

Ami de Michel Couillard

 

 

 

Robert Charest était arrivé à la SIC à l'époque où Michel Couillard en était le vice-président. M. Couillard, qui avait été congédié de la SIC en décembre 1999, avait plaidé coupable à des accusations d'abus de confiance en décembre 2001. M. Couillard, décrit par plusieurs vétérans conservateurs comme «un ami de Robert Charest», avait été suspendu puis congédié de la SIC dans le cadre d'une enquête de la GRC sur l'administration de l'ancienne base militaire de Saint-Hubert.

 

M. Couillard avait plaidé coupable à des accusations d'abus de confiance - on l'avait blâmé pour avoir accepté qu'une écurie de Bromont efface une partie de la facture pour la pension du cheval de sa fille. M. Couillard avait diffusé une lettre manuscrite après son plaidoyer de culpabilité, qui laissait entendre que c'est le cabinet du ministre Alfonso Gagliano qui faisait pression pour que l'on conserve Robert Charest comme employé. Mais son patron, le président de la SIC, Erhard Buccholz, avait déclaré ne jamais avoir vu cette missive. Cette lettre visait surtout une longue liste d'amis politiques du ministre Gagliano, que M. Couillard aurait été forcé d'embaucher à la Société immobilière du Canada.

 

M. Couillard n'a pas répondu aux appels faits chez Busac, le promoteur immobilier qu'il dirige aujourd'hui.

 

 

 

Campagne Charest

 

 

 

Interrogé par La Presse hier en fin de journée, le premier ministre Jean Charest disait ne pas se souvenir que M. Couillard ait contribué à sa campagne de 1993, mais plusieurs membres de sa garde rapprochée à l'époque ont reconnu que M. Couillard était un acteur important pour le PC Fund au Québec sous Brian Mulroney. M. Couillard par la suite avait beaucoup travaillé au financement de la campagne Charest en 1993.

 

On retrouve aujourd'hui M. Couillard à la tête de Busac, le promoteur immobilier associé à l'Université du Québec à Montréal dans la coûteuse aventure de l'îlot Voyageur - un contrat extrêmement favorable à Busac, a-t-on constaté. Busac fait aussi partie des firmes qui se sont montrées intéressées aux partenariats public-privé lancés par Québec - pour la réalisation de la salle de l'Orchestre symphonique de Montréal par exemple, en janvier dernier.

 

En 2005, Michel Couillard y allait d'une contribution maximale au Parti libéral du Québec, soit 3000$, tandis que son vice-président au développement des affaires, Michael Seaman, y allait d'une contribution de 2000$.

 

Robert Charest, qui habite la rue Upper Belmont à Westmount, n'a pas davantage répondu aux appels de La Presse.

 

Dans les cercles libéraux, on explique que Jean Charest n'a jamais poussé pour que son frère joue un rôle d'avant-plan au PC ou au PLQ. Bien que les relations soient bonnes entre les deux frères, le premier ministre, sans l'exprimer verbalement, n'a jamais été favorable à ce que son frère participe de trop près aux activités du PLQ. Mais encore récemment Robert Charest est venu à la période des questions à l'Assemblée nationale.

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Je ne sais pas pour vous, mais je me sentirais vraiment mal si j'invitais des amis manger à mon château de Westmount, et lorsqu'ils me demanderaient qu'est ce que je fais dans la vie, je leur répondrais que je fraude des compagnies publiques à temps plein ou encore que j'abusais de mes connections politiques.

 

C'est tellement drôle de voir ces gens possèdant peu de talent concret ( qu'est ce que robert charest fait de bon pour la société à part vivre à ses dépends ?? ) vivre dans de telles conditions.

 

Ce sont des BS de grande classe.

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Scandale financier de l'îlot Voyageur - L'UQAM s'endette, Busac s'enrichit Kathleen Lévesque

Édition du samedi 07 et du dimanche 08 juin 2008

Mots clés : îlot Voyageur, Busac, uqAM, Déficit budgétaire, Université, Montréal, Québec (province)

 

Depuis un an, l'université tente de défaire des liens contractuels

 

 

Photo: Mata Hari

L'aventure immobilière du Complexe des sciences et de l'îlot Voyageur laisse à l'Université du Québec à Montréal (UQAM) un endettement qui atteindra un demi-milliard de dollars en 2012. Mauvaise gestion, manque de transparence et irrespect des instances décisionnelles ont marqué ce dossier, a conclu cette semaine le vérificateur général du Québec. Le noeud du problème fut l'îlot Voyageur, dont le développement a été confié au promoteur immobilier, Busac, qui devait en retirer une rémunération totale de 90 millions.

 

L'entente entre Busac et l'UQAM, bien que fort complexe, se résume facilement. Comme le souligne le vérificateur général, la plupart des risques incombaient à l'université et plus le projet de l'îlot Voyageur coûtait cher, plus il devenait rentable pour Busac.

 

Le vérificateur souligne toutefois que «Busac n'a jamais forcé la main de l'UQAM» puisque celle-ci était conseillée par des avocats du cabinet Lapointe Rosenstein ainsi que par les comptables de Samson Bélair/Deloitte & Touche. Chose certaine, entre mars et mai 2005, la rémunération prévue de Busac est passée de 57,3 millions à 90 millions, suivant l'explosion des coûts de l'îlot Voyageur.

 

La firme Busac entre en scène dans le dossier de l'UQAM en juillet 2004. L'entreprise détenait alors une option d'achat sur les terrains convoités par l'université pour le développement de son campus. Busac refusait de céder son option d'achat et l'UQAM n'a jamais envisagé de procéder à une expropriation, une option légale qu'elle aurait pourtant pu exercer. Sans faire d'appel d'offres public et sans analyser d'autres voies à emprunter, l'UQAM s'est plongée dans un partenariat avec Busac. «Une telle façon de faire ne correspond pas à une saine pratique de gestion favorisant la meilleure utilisation possible des fonds publics», écrit le vérificateur.

 

Les transactions pour l'acquisition des terrains illustrent cette affirmation. L'UQAM a financé Busac pour acheter des terrains qui lui seront revendus, explique-t-il. Ni le conseil d'administration de l'UQAM ni celui du réseau de l'Université du Québec n'en ont été informés.

 

Ainsi, au printemps 2005, Busac achète les terrains pour 23,6 millions avec le cautionnement de l'UQAM qui paie également les intérêts sur l'emprunt de Busac. Puis, l'université rachète les terrains pour 33,7 millions, l'écart représentant une rémunération de 10,1 millions à Busac, ce qui couvre les risques assumés par l'entreprise (obtention de permis, corrections cadastrales, par exemple).

 

De plus, Busac devait percevoir 6 % des frais de développement (18,2 millions) et 15 % en honoraires (34,2 millions) sur le coût total du projet, qui comprenait déjà sa rémunération de 10,1 millions. En clair, Busac recevait des commissions sur sa propre rémunération.

 

Les honoraires de 34,2 millions étaient payables à Busac à titre d'agent de location de la tour de bureaux qui devait s'élever à l'îlot Voyageur. Il suffisait pour cela que Busac fasse «des efforts raisonnables» pour trouver des locataires, souligne le vérificateur.

 

Quant aux terrains achetés par l'UQAM en 2006 pour développer les stationnements et les résidences étudiantes, le vérificateur note que l'université n'en devenait propriétaire qu'à la toute fin de la construction. Or les résidences étudiantes se limitent actuellement à une structure de béton, et pour les stationnements, il manque toujours une guérite à l'entrée.

 

La rémunération de Busac ne s'arrête pas là. S'ajoutent des intérêts annuels de 6 % payables sur les «honoraires de mise en place» pour un total de 2,5 millions. Busac devait également empocher un remboursement de 25 millions en TVQ et TPS. Or ces taxes étaient déjà comprises dans le coût des immeubles en emphytéose, augmentant d'autant «les paiements de location de l'UQAM».

 

L'UQAM a signé l'entente avec Busac en mars 2005. Depuis un an, des négociations sont entamées pour tenter de défaire ces liens contractuels.

 

Busac est une filiale de l'entreprise américaine JEMB Reality, spécialiste de l'immobilier à New York. Installée depuis 10 ans au Québec, Busac a participé à plusieurs projets importants. Le dernier en date concerne la construction en PPP de la salle de concert de l'Orchestre symphonique de Montréal, projet pour lequel Busac fait partie d'un des deux consortiums sur la ligne de départ. La firme y est entre autres associée aux architectes Ædifica inc., qui travaillent au projet de l'îlot Voyageur.

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DANS Le Devoir Fabien Deglise

Édition du samedi 18 et du dimanche 19 mars 2006

 

UN EXTRAIT CONCERNANT LA Tour Olympique.

 

 

 

En effet, le mat loué à Busac en 2000 afin d'y créer des espaces à bureaux ne semble toujours rien donner, même si ses premiers occupants devaient s'y pointer le nez en septembre... 2002. Avec en prime 20 millions offerts à Busac par Québec pour mener à bien ce projet.

 

Trois ans plus tard, rien ne va plus entre l'entrepreneur et la RIO. Les travaux ont été arrêtés, histoire de régler un «imbroglio» à propos d'une fenestration.

 

C'est que, selon les termes de l'entente, Busac se devait, dit la RIO, de changer les fenêtres du mat pour un «mur rideau» -- un mur de verre --, afin de rendre le bâtiment conforme pour accueillir ses premiers occupants. Chose dont se défend l'entreprise, une filiale de l'américain Jem Realty, qui juge plutôt que cette rénovation relève du propriétaire des lieux, soit le gouvernement du Québec.

 

À ce jour, huit millions ont été dépensés par Busac pour la construction de deux dalles de béton. À cela s'ajoutent 2,5 millions investis pour insonoriser la dorsale de la tour afin d'éviter que le bruit du funiculaire, se rendant au sommet du bâtiment, ne se répande dans la structure.

 

Malgré l'arrêt des travaux, les espaces à bureaux sont toutefois mis en location sur le site Web de Busac pour 24,44 $ le pied carré, taxes comprises. «Ah oui! C'est bon signe, dit M. Lépine. Cela veut peut-être dire que nous sommes sur le point d'arriver à une entente.»

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Le dossier a été finalement réglé, mais il ne sont pas à leur premier dossier exotique; mais le dossier a été réglé.....on pourrait penser que des dossiers + $$$$ en attente auront fait débloqué les choses. Cet article du Journal de Montréal en 2006 est très éloquent de leur feuille de route. Combien encore va nous couter cette compagnie privée?????

Tour du Stade

Rien ne va plus

Jean Maurice Duddin

Le Journal de Montréal

12/07/2006 07h31

 

 

Rien ne va plus dans l'aménagement du mât du Stade olympique. Après cinq ans d'attente et huit des 20 M$ des deniers publics dépensés pour aménager deux étages de la tour, Busac réclame 10,5 M$ pour poursuivre les travaux. Québec refuse de payer ce supplément de 50 %.

 

 

C'est dans le contexte de cette impasse que la ministre du Tourisme, Françoise Gauthier, a convoqué cette semaine les autorités de la Régie des installations olympiques (RIO) pour trouver une solution, a-t-elle confié hier au Journal de Montréal.

 

 

«Les gens de la RIO convoquent les dirigeants de Busac qui ne se pointent même plus aux rencontres. Il n'y a rien qui bouge. Je veux savoir comment on va faire avancer ça. Le statu quo actuel est inacceptable», a commenté la ministre.

 

 

Elle est d'autant plus exaspérée par l'impasse actuelle que le gouvernement a catégoriquement refusé de donner 10,5 M$ de l'argent des contribuables à Busac pour qu'il construise un mur-rideau à la base du mât plutôt que des hublots donnant sur l'intérieur du Stade.

 

 

«Depuis ce refus, il ne se passe plus rien», déplore la ministre.

 

 

Cinq ans

 

 

C'est en mai 2001 que le gouvernement a remis 20 M$ à Busac pour les travaux de modification du mât tout en lui signant un bail emphytéotique de 99 ans.

 

 

Sur les 20 M$ remis par Québec à Busac il y a cinq ans, 8 M$ ont été dépensés. Le mode de roulement du funiculaire a été changé pour qu'il soit moins bruyant au coût de 2,5 M$. Le reste a servi à modifier la structure de la tour, installer les cages des ascenseurs et couler deux planchers de béton dans le mât.

 

 

Depuis, rien. Pas de travaux. Pas de locataires. Pas de revenus. Selon le bail, Québec devait toucher 1 M$ de revenus par an à compter de la cinquième année de location. Ça fait cinq ans et les travaux ne sont pas plus avancés qu'il y a trois ans.

 

 

La ministre ne sait même pas comment elle pourrait récupérer les 12 millions restants dans le compte de banque de Busac qui appartiennent aux Québécois.

 

 

Mme Gauthier, une avocate de formation, ne comprend pas comment le gouvernement «précédent» a pu signer un bail emphytéotique de 99 ans avec Busac, en lui refilant en plus 20 M$, sans autres exigences.

 

 

«Je n'aurais jamais signé une telle entente», s'insurge la ministre Gauthier. Elle est d'autant plus déçue que le bail ne semble offrir aucune option au gouvernement. Le locataire aurait tous les avantages.

 

 

Busac est une filiale du géant américain JEMB Realty, de New York.

 

 

La location de la tour

 

Contrat : 28 mai 2001

Projet : 12 étages transformés en tour à bureaux

Bail de 99 ans

 

Engagement financier :

 

 

- Québec : 20 millions

- Busac : 25,4 millions

 

 

Échéancier originel : septembre 2002

 

 

Loyer à la RIO : 1 million par an dès 2006, pour 94 ans.*

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  • Administrateur

Merci booboohome pour nous avoir ressorti ces articles.

 

Ça fait depuis l'histoire de l'îlot voyageur que je me suis mis à douter des "activitées" de Busac, car je connaissais aussi l'histoire de la tour Olympique. Ces articles confirment qu'ils sont croches. Il y a quelque chose de pas sain.

 

Watch out la salle de l'OSM si ils ont le PPP.

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JEMB Realty Corporation est la Cie mère/soeur de Busac.

On a entendu parler que SITQ/Caisse de dépot analyserait le dossier, vu leur expertise.

Il y a quelques temps à la période des questions de lAssemblée Nationale, une question était demandé à la Ministre Forget...!

 

QUE VOICI;

Contrat entre l'UQAM et le

promoteur immobilier Busac

 

M. Sébastien Proulx

 

M. Proulx: Oui, M. le Président. La ministre des Finances sait déjà que la Caisse de dépôt et de placement a une filiale dans le secteur immobilier qui s'appelle Cadim. Cette filiale-là a investi aux États-Unis, à travers une compagnie de prêts qui s'appelle CWCapital, M. le Président. En janvier 2006, la caisse, à travers Cadim, CWCapital, a prêté 150 millions de dollars à JEMB Realty, qui n'est nul autre que la compagnie soeur de Busac, pour un marché d'obligations américain, pour le financement de l'îlot Voyageur. Ce qui est très clair, pour faire une histoire courte, c'est qu'il existe des liens étroits entre la caisse et Busac.

 

Alors, ma question à la ministre des Finances est fort simple, M. le Président: Il existe des liens étroits. Pourquoi y a-t-il immunité pour Busac alors que c'est les contribuables québécois qui paient actuellement pour le contrat?

 

n (10 h 20) n

 

Le Président: Mme la ministre des Finances.

 

Mme Monique Jérôme-Forget

 

Mme Jérôme-Forget: M. le Président, c'est très connu que la caisse est impliquée dans le secteur immobilier ici, en Europe, en Asie, et c'est très, très connu. Alors, je ne comprends pas la question du leader de l'opposition parce que c'est quelque chose qui est très répandu, c'est un volet très important des investissements de la caisse. Alors, vous comprendrez, M. le Président, qu'il me pose une question sur un volet... Qu'il aille poser la question à la Caisse de dépôt.

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