MtlMan Posté(e) 21 mai 2019 Partager Posté(e) 21 mai 2019 Le 2019-05-04 à 20:36, andre md a dit : En diminuant la dette on gagne sur 2 cotés. On a moins a rembourser et on economise aussi sur les interets au service de la dette. Mieux q une baisse d impot Selon moi. Apres on pourra songer a baisser les impots. Oui, tu as raison. Et en plus, avec la baisse de la dette, on peut plus facilement assurer la pérennité de nos services sociaux, qui constituent également un avantage certain par rapport à nos voisins. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Normand Hamel Posté(e) 28 mai 2019 Auteur Partager Posté(e) 28 mai 2019 2 1 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Normand Hamel Posté(e) 29 mai 2019 Auteur Partager Posté(e) 29 mai 2019 Pendant que l'Alberta entre en récession et que l'économie de l'Ontario ralenti, le Québec continue de bien faire. 3 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MtlMan Posté(e) 29 mai 2019 Partager Posté(e) 29 mai 2019 Lol, quand je pense aux génies qui disaient, 10 years ago, que l'Alberta était l'avenir et que le Québec devait s,en inspirer. Y'a vraiment des ti-counes qui mériteraient qu'on les oblige à relire à voix haute devant tout le monde les absurdités qu'ils ont déclarées à cette époque! 2 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Normand Hamel Posté(e) 30 mai 2019 Auteur C’est un message populaire. Partager Posté(e) 30 mai 2019 J'avais posté un article rapportant la nouvelle que Morningstar venait de racheter l'agence de notation DBRS. Cet article a été enlevé par un modérateur qui ne voyait sans doute pas de lien avec le présent fil de discussion. Or il y a un lien direct puisque dans mon avant dernier post sur ce fil le ministre des Finances du Québec discute justement de sa visite chez DBRS afin de les convaincre de relever la note de crédit du Québec comme les autres agences l'ont fait. L'enjeu est le suivant: Les diverses agences à travers le monde on rehaussé la note de crédit du Québec à AA et il y en a même une qui l'a relevée à AAA. Dans un même temps ces diverses agences on abaissé la cote de crédit de l'Ontario et celle-ci se trouve maintenant plus basse que celle du Québec. Par conséquent il coûte maintenant un peu plus cher à l'Ontario qu'au Québec pour emprunter sur les marchés. Parmi ces agences une seule est canadienne et c'est DBRS. Or elle se trouve à être également la seule à maintenir la cote de crédit du Québec à A. Par contre cette même agence maintient la cote de l'Ontario au dessus de celle du Québec malgré le fait que les finances du Québec soient en meilleur état que celles de l'Ontario qui accumule les déficits depuis dix ans maintenant. De plus, le ratio dette/PIB du Québec est à la baisse alors que celui de l'Ontario est la hausse. D'ailleurs le ratio du Québec est présentement quasiment au même niveau que celui de l'Ontario, sauf que le ratio de cette dernière ne s'en va pas dans la bonne direction et sera bientôt plus important que celui du Québec qui lui fond à vue d'oeil et se rapproche rapidement de celui du gouvernement fédéral. C'est donc pourquoi le ministre des Finances du Québec s'est rendu à Toronto pour essayer de comprendre les exigences de DBRS qui semble avoir des standards différents pour le Québec et l'Ontario. https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/201905/29/01-5228012-morningstar-rachete-dbrs-pour-669-millionsus.php 4 2 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
nephersir7 Posté(e) 30 mai 2019 Partager Posté(e) 30 mai 2019 11 hours ago, Normand Hamel said: Cet article a été enlevé par un modérateur qui ne voyait sans doute pas de lien avec le présent fil de discussion. Effectivement. Tu avais bel et bien négligé de faire le lien entre ta lecture tangentielle et le sujet discuté dans ce fil. Cet effort, c'est la différence entre alimenter une discussion et enterrer une discussion. 🙂 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Normand Hamel Posté(e) 30 mai 2019 Auteur Partager Posté(e) 30 mai 2019 il y a 17 minutes, nephersir7 a dit : Tu avais bel et bien négligé de faire le lien entre ta lecture tangentielle et le sujet discuté dans ce fil. Je suis totalement d'accord avec toi et ce n'était d'ailleurs pas mon intention de blâmer le modérateur même si en me relisant je réalise que je peux avoir donné cette impression. Mea culpa et leçon apprise. 😊 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Normand Hamel Posté(e) 21 juin 2019 Auteur Partager Posté(e) 21 juin 2019 Surplus de près de 8 milliards à Québec Non seulement la dette du Québec est en baisse, on en parlait il y a quelques jours, mais les surplus explosent. Le bilan complet, mais toujours préliminaire, des opérations financières du gouvernement pour l’exercice 2018-2019, qui s’est terminé le 31 mars dernier, conclut à un surplus budgétaire de près de 8 milliards de dollars, avant le versement au Fonds des générations. Comment est-ce possible? Gérald Fillion - Radio-Canada Soyons précis : l’excédent est de 7,91 milliards de dollars. Une fois le versement au Fonds des générations effectué, le surplus est de 4,433 milliards, du jamais vu. C’est conforme aux projections de l’Institut du Québec, faites en début d’année et répétées récemment. Ces projections ont été rejetées du revers de la main, à plusieurs reprises, par le premier ministre et son ministre des Finances, même si l’Institut du Québec affirmait déjà, en début d’année, que le gouvernement se dirigeait vers un surplus potentiel de plus de 4 milliards de dollars. À RDI économie, le 3 décembre dernier, alors que les données mensuelles budgétaires donnaient déjà un surplus de 3 milliards de dollars, le ministre Eric Girard maintenait que le surplus attendu par son ministère était de 1,6 milliard. En février 2019, François Legault affirmait que le surplus allait se limiter à 2 milliards de dollars. En mars, on était rendu à 2,5 milliards dans le budget du ministre Girard. Et, en mai, on a révisé le tout à 3,6 milliards de dollars. Finalement, on arrive à 4,433 milliards. Un écart de 6 milliards avec la prévision initiale C’est donc un écart de 6 milliards de dollars qui apparaît par rapport au budget déposé par l'ex-ministre libéral Carlos Leitao, en mars 2018. Le ministère l’explique par cinq facteurs : les revenus autonomes provenant des impôts des entreprises et des particuliers sont 800 millions de dollars plus élevés que prévu; le froid au Québec a rapporté 600 millions de plus à Hydro-Québec; la valeur des placements en capital de risque d’Investissement Québec est plus élevée; des dépenses moins élevés de 450 millions de dollars « en lien avec la révision d’estimations de certaines provisions, dont celles pour le passif environnemental et celles pour les prêts et les garanties de prêts octroyées par le gouvernement »; des taux d’intérêt moins élevés, ce qui réduit de 100 millions le service de la dette. En conférence téléphonique, vendredi après-midi, le ministre Girard a indiqué que la moitié de cet écart n’est pas récurrent. Il y a là des revenus exceptionnels et des gains sur les dépenses qui ne reviendront pas. L’autre moitié de la somme de 6 milliards de dollars a déjà été dépensée dans la mise à jour et le budget pour l’exercice 2019-2020, a dit le ministre. Cela fait des mois que les experts affirment que les coffres débordent à Québec. Or, cela fait des mois que le gouvernement nous dit que sa marge de manoeuvre est limitée. La réalité, c’est que le gouvernement du Québec bénéficie de la situation budgétaire la plus enviable au Canada. De plus, cela fait plusieurs années que le ministère des Finances sous-estime l’ampleur des revenus et surestiment les dépenses. Est-ce volontaire? Je suis incapable de le dire. Il y a certainement, surtout en 2017, un effet économique positif et inattendu sur les finances publiques. Il y a toutefois d’autres facteurs qui devraient amener Eric Girard à exiger de son ministère une révision des pratiques en cours. En affirmant qu’il n’y a pas ou qu’il y a très peu de marge de manoeuvre, le premier ministre Legault a certainement cherché à calmer les attentes de tous ses ministères. Cela se comprend. Toutefois, quand on termine un exercice avec un surplus de 8 milliards de dollars, il est nécessaire de se demander si le gouvernement gère bien ses enveloppes, alors que les besoins demeurent réels dans le réseau hospitalier, dans les CHLSD, dans les écoles. Il est franchement difficile, il me semble, de justifier un surplus de 8 milliards de dollars et un écart de 6 milliards avec la prévision budgétaire initiale. Dans la mesure où les prévisions économiques n’ont pas beaucoup évolué depuis le budget 2018-2019, ces écarts sont totalement étonnants. On peut se demander quelle est la valeur de la projection faite par le ministre Girard pour 2019-2020, qui est celle d’atteindre l’équilibre budgétaire après le versement au Fonds des générations. À noter que le gouvernement a annoncé qu’il ne présentera plus le solde budgétaire à tous les mois, mais plutôt à tous les trimestres. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1194959/surplus-quebec-budget-finances-publiques-ministre-eric-girard 2 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Faitlemou Posté(e) 21 juin 2019 Partager Posté(e) 21 juin 2019 Il y a 2 heures, Normand Hamel a dit : Surplus de près de 8 milliards à Québec Non seulement la dette du Québec est en baisse, on en parlait il y a quelques jours, mais les surplus explosent. Le bilan complet, mais toujours préliminaire, des opérations financières du gouvernement pour l’exercice 2018-2019, qui s’est terminé le 31 mars dernier, conclut à un surplus budgétaire de près de 8 milliards de dollars, avant le versement au Fonds des générations. Comment est-ce possible? Gérald Fillion - Radio-Canada Soyons précis : l’excédent est de 7,91 milliards de dollars. Une fois le versement au Fonds des générations effectué, le surplus est de 4,433 milliards, du jamais vu. C’est conforme aux projections de l’Institut du Québec, faites en début d’année et répétées récemment. Ces projections ont été rejetées du revers de la main, à plusieurs reprises, par le premier ministre et son ministre des Finances, même si l’Institut du Québec affirmait déjà, en début d’année, que le gouvernement se dirigeait vers un surplus potentiel de plus de 4 milliards de dollars. À RDI économie, le 3 décembre dernier, alors que les données mensuelles budgétaires donnaient déjà un surplus de 3 milliards de dollars, le ministre Eric Girard maintenait que le surplus attendu par son ministère était de 1,6 milliard. En février 2019, François Legault affirmait que le surplus allait se limiter à 2 milliards de dollars. En mars, on était rendu à 2,5 milliards dans le budget du ministre Girard. Et, en mai, on a révisé le tout à 3,6 milliards de dollars. Finalement, on arrive à 4,433 milliards. Un écart de 6 milliards avec la prévision initiale C’est donc un écart de 6 milliards de dollars qui apparaît par rapport au budget déposé par l'ex-ministre libéral Carlos Leitao, en mars 2018. Le ministère l’explique par cinq facteurs : les revenus autonomes provenant des impôts des entreprises et des particuliers sont 800 millions de dollars plus élevés que prévu; le froid au Québec a rapporté 600 millions de plus à Hydro-Québec; la valeur des placements en capital de risque d’Investissement Québec est plus élevée; des dépenses moins élevés de 450 millions de dollars « en lien avec la révision d’estimations de certaines provisions, dont celles pour le passif environnemental et celles pour les prêts et les garanties de prêts octroyées par le gouvernement »; des taux d’intérêt moins élevés, ce qui réduit de 100 millions le service de la dette. En conférence téléphonique, vendredi après-midi, le ministre Girard a indiqué que la moitié de cet écart n’est pas récurrent. Il y a là des revenus exceptionnels et des gains sur les dépenses qui ne reviendront pas. L’autre moitié de la somme de 6 milliards de dollars a déjà été dépensée dans la mise à jour et le budget pour l’exercice 2019-2020, a dit le ministre. Cela fait des mois que les experts affirment que les coffres débordent à Québec. Or, cela fait des mois que le gouvernement nous dit que sa marge de manoeuvre est limitée. La réalité, c’est que le gouvernement du Québec bénéficie de la situation budgétaire la plus enviable au Canada. De plus, cela fait plusieurs années que le ministère des Finances sous-estime l’ampleur des revenus et surestiment les dépenses. Est-ce volontaire? Je suis incapable de le dire. Il y a certainement, surtout en 2017, un effet économique positif et inattendu sur les finances publiques. Il y a toutefois d’autres facteurs qui devraient amener Eric Girard à exiger de son ministère une révision des pratiques en cours. En affirmant qu’il n’y a pas ou qu’il y a très peu de marge de manoeuvre, le premier ministre Legault a certainement cherché à calmer les attentes de tous ses ministères. Cela se comprend. Toutefois, quand on termine un exercice avec un surplus de 8 milliards de dollars, il est nécessaire de se demander si le gouvernement gère bien ses enveloppes, alors que les besoins demeurent réels dans le réseau hospitalier, dans les CHLSD, dans les écoles. Il est franchement difficile, il me semble, de justifier un surplus de 8 milliards de dollars et un écart de 6 milliards avec la prévision budgétaire initiale. Dans la mesure où les prévisions économiques n’ont pas beaucoup évolué depuis le budget 2018-2019, ces écarts sont totalement étonnants. On peut se demander quelle est la valeur de la projection faite par le ministre Girard pour 2019-2020, qui est celle d’atteindre l’équilibre budgétaire après le versement au Fonds des générations. À noter que le gouvernement a annoncé qu’il ne présentera plus le solde budgétaire à tous les mois, mais plutôt à tous les trimestres. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1194959/surplus-quebec-budget-finances-publiques-ministre-eric-girard Tabarnouche, on se rapproche du montant de la péréquation! Et on fait quoi avec ces 8 milliard? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Normand Hamel Posté(e) 21 juin 2019 Auteur Partager Posté(e) 21 juin 2019 il y a 11 minutes, Faitlemou a dit : Tabarnouche, on se rapproche du montant de la péréquation! Oui, mais ce montant n'est probablement pas récurent. Autrement dit il s'agit essentiellement d'un surplus conjoncturel plutôt que structurel. Mais n'empêche, le Québec est en pleine croissance économique en plus d'être entre bonnes mains. Je n'ai pas voté pour la CAQ mais je dois reconnaître qu'il s'agit d'un parti dont les priorités sont axées sur l'économie, quoi qu'ils en disent eux-mêmes. J'irai même plus loin: si l'on se base sur le profil de son caucus il s'agit surtout d'un parti d'hommes (et de femmes) d'affaires. De plus, l'objectif avoué de François Legault est de sortir le Québec de la péréquation en faisant croître son économie plus rapidement que celle du ROC. 4 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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