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Lappy

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Tout ce qui a été posté par Lappy

  1. District 31 c’est bien, mais pour survive la pandémie, les débats du REM-B / Station YUL-Aéroport-Montréal-Trudeau c’est mieux! 😝
  2. Lappy

    REM de l'Est

    REM de l’Est : Montréal veut étudier l’option souterraine Le REM est un projet de train de banlieue de 6,3 milliards de dollars mené par la Caisse de dépôt, mais également financé par Hydro-Québec et les gouvernements du Québec et du Canada. Publié à 18 h 39 Les élus montréalais réunis lundi pour le conseil municipal se pencheront sur une option souterraine pour le futur Réseau express métropolitain (REM) de l’Est. L’objectif est d’éviter de voir pousser des piliers de béton dans le centre-ville de Montréal et le long de la rue Notre-Dame. Pour les citoyens du centre-ville de Montréal et de l’arrondissement Mercier–Hochelaga-Maisonneuve, la réponse est claire : on ne veut pas que le futur REMRéseau express métropolitaingâche le paysage. Ce qui nous fait peur surtout, c'est que ça se fasse un peu de la même manière que la phase 1 a été faite, c'est-à-dire qu'on a vraiment l'impression que les citoyens n'ont pas été consultés et que ça s'est fait à la manière bulldozer, s’inquiète la représentante du Regroupement des riverains de la rue Notre-Dame, Émilie Therrien. Même son de cloche chez des experts en urbanisme et en architecture, dont le président de l’Ordre des architectes, Pierre Corriveau : On peut supposer que l'émergence d'une série de piliers au centre du boulevard René-Lévesque peut créer une fracture urbaine qui est assez difficile à gérer. Quand vous créez un mur, il peut être très élégant. Vous avez quand même créé un mur. Pierre Corriveau, président de l’Ordre des architectes La Ville semble avoir entendu leurs inquiétudes et réclame maintenant que l’option souterraine, notamment sous le boulevard René-Lévesque, soit plus sérieusement étudiée. Elle déposera lundi une déclaration à cet effet devant le conseil municipal. Quand on veut une bonne intégration urbaine d'un mode lourd de transport collectif dans une ville, il faut toujours privilégier, au coeur des villes, l'option souterraine, estime le responsable de l’urbanisme et de la mobilité de la Ville de Montréal, Éric Alan Caldwell. Rien n’est pour autant gagné : au moment de sa présentation pour le projet, CDPQCaisse de dépôt et placement du Québec Infra – la filiale de la Caisse de dépôt et placement du Québec responsable de la planification, du financement et de la construction des projets d’infrastructure dans la province – disait avoir fait ses devoirs et avoir conclu que l’option souterraine était impossible. Avec les informations de Mathieu Prost et Marc Verreault https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1765298/reseau-express-metropolitain-construction-rene-levesque
  3. Lappy

    REM de l'Est

    Un tracé plus au Sud - peut-être Notre-Dame/Viger - vaut la peine d’être étudiée selon moi. J’aime vraiment pas l’idée d’un REM aérien sur le boulevard René-Lévesque.
  4. Lappy

    REM de l'Est

    La Presse + 3 janvier Corrections requises aux plans du REM de l’Est PIERRE TREMBLAY, INGÉNIEUR Le nouveau projet de REM de l’Est de la Caisse de Dépôt est intéressant, mais il présente quelques défauts qui devront être corrigés. Le principal selon moi est le passage aérien sur le boulevard René-Lévesque entre la gare Centrale et la rue Notre-Dame. Il faut avoir vu le REM aérien de la ville de Chongqing en Chine sur piliers de béton ou le vieux train aérien sur piliers d’acier au centre-ville de Chicago pour se convaincre de l’erreur monstrueuse de construire un train aérien sur un boulevard de centre-ville. D’ailleurs, jamais la communauté d’affaires de Montréal n’accepterait un projet pareil sur le boulevard René-Lévesque à l’ouest de la gare Centrale. Alors, pourquoi l’accepter à l’Est d’autant que le tracé est parallèle à celui de la ligne verte du métro ? La solution évidente pour éviter cette erreur d’urbanisme serait un transfert du REM au métro à la gare Centrale et la construction d’une station de correspondance du REM de l’Est à la station Papineau ou, mieux, à la station Frontenac, là où il y a plus d’espace. Le changement de mode REM-Métro entraînera une augmentation du temps de transport, mais celle-ci ne sera pas suffisante pour réduire l’achalandage, d’autant que la destination finale de 80 à 90 % des usagers du REM de l’Est sera le centre-ville ou les quartiers desservis par le Métro et non l’aéroport ou la Rive-Sud. Il est donc inutile de massacrer l’urbanisme du centre-ville avec un train aérien et ce n’est pas un concours d’architecture qui va permettre de trouver une solution miracle jamais utilisée ailleurs dans les nombreux trains aériens construits dans d’autres grandes villes du monde.
  5. Lappy

    REM de l'Est

    Ce projet inespéré il y a quelques années serait formidable pour l’Est, et j’ose penser que, suite aux consultations, la CDPQ Infra serait ouverte à des changements concernant le tracé au centre-ville. À 10 G$, semblerait que le projet est rentable pour la Caisse. Plus cher, les deux paliers de gouvernement devront, du moins en bonne partie, payer pour les « extras » (tunnel ou/et tracé plus au sud). Je joins ma voix à celles des gens qui pensent que construire au-dessus du grand boulevard Est-Ouest du centre-ville serait une erreur monumentale.
  6. Si la station de métro Lionel-Groulx doit être renommée, pourquoi pas l’appeler Bernard-Landry ? ? ? Ceci étant dit, Bernard Landry a contribué à la création de la Cité du Multimédia, donc selon moi, il n’y a rien de mal à nommer Griffintown-Bernard-Landry la station du REM qui dessert à la fois Griffintown et la Cité du Multimédia.
  7. Et Spitfire Corporation, le principal fabricant du vaisseau, est important bailleur de fonds de la CAQ (. . . )
  8. Prolongement de la ligne orange du métro, de Côte-Vertu jusqu’à Bois-Franc, ce qui permettrait un raccordement avec la station du futur REM. TRANSPORTS COLLECTIFS UN PLAN DE 9,2 MILLIARDS POUR RELANCER L’ÉCONOMIE KATHLEEN LÉVESQUE LA PRESSE - 5 mai L’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) propose au gouvernement du Québec un plan d’investissement dans les transports collectifs de 9,2 milliards sur trois ans afin de contribuer rapidement à la relance de l’économie ébranlée par la pandémie de COVID-19. Après un mois de discussions et d’arbitrages parfois difficiles entre les partenaires, le conseil d’administration de l’ARTM a approuvé vendredi dernier le Plan d’actions priorisées en transport collectif. Il a été transmis à Québec dans une perspective de réalisation à court terme de projets – certains déjà prévus dans le budget provincial, alors que d’autres sont nouveaux. C’est notamment le cas du prolongement de la ligne orange du métro, de Côte-Vertu jusqu’à Bois-Franc, ce qui permettrait un raccordement avec la station du futur Réseau express métropolitain (REM). La mairesse Valérie Plante en avait fait la promotion, mais l'idée avait été écartée lors du dernier budget du gouvernement Legault. De plus, une nouvelle version du projet de tramway dans l’est de Montréal, dans l’axe de la rue Notre-Dame, est proposée. Le tramway pourrait se rendre jusqu’à Repentigny, recommande-t-on. IMPULSION ÉCONOMIQUE La Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) a collaboré étroitement à ce plan qui comporte 16 projets ou interventions et qui s’articule autour de cinq axes d’intervention, dont la construction d’infrastructures et l’électrification des transports. Il est proposé que la facture totale de 9,2 milliards incombe à 100 % aux gouvernements du Québec et du Canada. Le plan est présenté comme une solution pour donner une impulsion à l’économie dans les secteurs des services professionnels, de la construction, de la fabrication manufacturière ainsi qu’auprès des fournisseurs de technologies de l’information. L’ARTM cite d’ailleurs une étude de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain qui conclut que l’impact des transports collectifs sur l’économie du Québec « se répercuterait en retombées près de trois fois supérieures à celles du transport privé par automobiles ». « On a regardé quels sont les projets qui pourraient être débloqués rapidement. L’idée, c’est de voir des pépines et du monde au travail. On veut créer de l’engouement », a indiqué la mairesse de Montréal et présidente de la CMM, Valérie Plante, lors d’un entretien avec La Presse. Comme elle le fait depuis des mois, la mairesse a rappelé que les transports collectifs doivent être pensés en fonction de la région et non pas dans une vision de compétition entre municipalités. TROIS PHASES D’INVESTISSEMENT Le plan de l’ARTM propose trois phases de réalisations, dont une série d’interventions rapides de près de 2 milliards dès 2020-2021. Parmi celles-ci, il est notamment question d’accélérer l’aménagement de voies réservées aux autobus et au covoiturage. Une enveloppe de 120 millions est estimée pour ces projets (pour un total de 240 millions d’ici 2023). Certains de ces projets sont déjà inscrits au Plan québécois des infrastructures (PQI) et concernent les couronnes nord et sud : autoroutes 13, 15, 20, 25, 30, 40 440 et 640. Montréal n’est toutefois pas en reste, puisqu’on recommande la création de voies réservées sur les boulevards René-Lévesque, Henri-Bourassa et Saint-Laurent/Saint-Urbain ainsi que sur les chemins de la Côte-des-Neiges et Côte-Vertu/Sauvé. Un plan détaillé en préparation à la Ville devait être présenté ce printemps, mais la pandémie de COVID-19 a tout bousculé. La deuxième phase du plan de l’ARTM prévoit des investissements de 2,3 milliards en 2022. La dernière phase de réalisation s’effectuerait à partir de 2023 et nécessiterait 4,9 milliards. C’est durant cette période que serait réalisé, par exemple, le tramway dans le corridor des boulevards Taschereau et Roland-Therrien, sur la Rive-Sud. Il s’agit d’un projet de 2,5 milliards, selon les premières évaluations. AGIR RAPIDEMENT Pour agir plus rapidement, l’ARTM propose de combiner les différentes phases préparatoires et d’approbation des projets (dossiers d’opportunité et dossiers d’affaires), établissant un nouvel échéancier de travail de 18 à 24 mois plutôt que le processus actuel qui s’étire jusqu’à 36 mois, parfois davantage. Ce processus de préparation des projets majeurs est encadré par la Loi sur les infrastructures publiques. Le directeur général de l’ARTM, Benoît Gendron, souligne toutefois que cette façon de faire ne modifierait en rien l’obligation de lancer des appels d’offres publics. « Nous sommes toujours assujettis à l’ensemble des règles habituelles d’approvisionnement », a-t-il affirmé. Dans le contexte d’accélération des projets, l’ARTM plaide en faveur de l’adoption d’une loi spéciale permettant de simplifier l’expropriation des terrains nécessaires aux projets majeurs. Les propriétaires dont l’immeuble est visé ne pourraient plus contester l’expropriation devant les tribunaux, mais seulement l’ampleur de l’indemnité proposée. « Dans le cas du prolongement de la ligne bleue du métro, l’adoption d’un tel projet de loi serait un atout afin de respecter le calendrier de réalisation », plaide l’ARTM.
  9. Hausse notable de l'emploi au Québec, le calme avant la tempête? Le taux de chômage (février) a diminué de 0,6 point de pourcentage, passant à 4,5%. Fait intéressant, le taux d’emploi est de 61,8%, soit le même que pour le Canada dans son ensemble, et supérieur à celui de l’Ontario (61,6%). https://www150.statcan.gc.ca/n1/daily-quotidien/200306/dq200306a-fra.htm?HPA=1
  10. CHÔMAGE AU QUÉBEC Une première depuis la Seconde Guerre mondiale FRANCIS VAILLES LA PRESSE Samedi le 22 février 2020 Je suis tanné de lire le même titre. Depuis trois ans, chaque fois que les nouvelles données sont publiées, on écrit qu’il s’agit du plus bas taux de chômage depuis 1976, dernière année où des données comparables sont disponibles. Oui, mais que se passait-il avant ? Les vieux économistes se souviennent des années 60 et d’Expo 67, période où les chômeurs étaient rares grâce à une économie qui progressait au rythme réel de 12 % par année (contre moins de 3 % aujourd’hui). Ils gardent aussi en mémoire le très dur hiver 1961, où le chômage atteignait alors un sommet inégalé. Pour en avoir le cœur net, j’ai demandé à Statistique Canada des données reconstituées comparant la situation de l’emploi avant et après 1976. Et j’ai découvert de belles surprises, qui nous donnent une meilleure idée de la performance éclatante du Québec ces dernières années. Je fais le divulgâcheur : depuis trois ans, non seulement le Québec compte nettement moins de chômeurs qu’ailleurs au Canada pour la première fois depuis 1976, mais ce record remonte également à 1946, après la Seconde Guerre mondiale, soit 30 ans plus tôt. Avant de me lancer, je vous relaie la mise en garde de Statistique Canada. L’agence a changé la façon de recueillir les données en 1976. Pour faire la comparaison avec les années précédentes, elle a mené en parallèle les deux collectes pendant un certain temps à l’époque, ce qui lui a permis d’ajuster les années précédentes. Plus on recule dans le temps, plus la comparaison doit être interprétée avec prudence. Par exemple, avant 1965, le taux de chômage s’applique aux personnes de 14 ans et plus, alors qu’après, c’est 15 ans et plus. Cela dit, les données nous offrent au moins un aperçu de l’évolution du chômage d’une année à l’autre et bien sûr, des différences entre le Québec et l’ensemble canadien. Ainsi, en 2019, le taux de chômage était de 5,1 % au Québec, selon Statistique Canada, soit 0,6 point de moins que dans l’ensemble canadien (5,7 %). L’avantage du Québec était de 0,3 point en 2018 et de 0,1 point en 2017. L’écart de 2019 est important. Avant cette période 2017-2019, le Québec est brièvement passé sous la moyenne canadienne en 2009, après la crise financière, mais de seulement 0,1 point. Avant cela, jamais le Québec n’a eu moins de chômage qu’ailleurs au Canada depuis que Statistique Canada collige ces données, soit 1946. Autre élément intéressant : le taux de chômage était plus bas au Québec en 1966 et 1967 qu’aujourd’hui, si l’on se fie aux données reconstituées. Le taux est alors passé sous la barre des 5 % (4,1 et 4,6 % plus précisément). Il aurait également été plus bas entre 1946 et 1953, avec un creux de 2,5 % en 1947 et 1948 ! À l’époque, faut-il dire, les femmes étaient peu nombreuses à travailler, ce qui réduit le bassin de comparaison par rapport à aujourd’hui. « BONYEU, DONNE-MOÉ UNE JOB » Les données de l’agence nous rappellent les périodes creuses. Par exemple, au terme de la plus longue récession d’après-guerre de 1990-1992 (sept trimestres), le taux de chômage s’élevait à 13,2 % au Québec (1993). Les Colocs et Dédé Fortin ont alors composé la chanson Bonyeu, sortie en 1995, qui reflétait le désespoir de la génération X de l’époque : « Bonyeu, donne-moé une job ». Le sommet du chômage au Québec a été atteint en 1982, à 14,2 %, après une autre récession terrible, dans une période fortement inflationniste. C’est à cette époque que l’écart du taux de chômage avec la moyenne canadienne était le plus marqué (3,0 points). Le gouvernement péquiste a alors lancé Corvée Habitation, un programme visant à relancer la construction et à aider les familles à acheter une maison. On a aussi assisté à la naissance du Fonds de solidarité FTQ, créé pour sauver des entreprises et leurs emplois. Le précédent sommet du chômage date de 1978 (11 %), puis de 1961 (9,2 %), ce qui confirme le pénible souvenir qu’ont les vieux économistes. Oui, mais, me direz-vous, si le Québec a aujourd’hui un plus bas taux de chômage que la moyenne canadienne, c’est parce que la province compte davantage de personnes âgées, qui quittent le marché du travail et laissent la place aux jeunes. Vous avez en partie raison, mais la baisse du chômage s’explique davantage par la création d’emplois relative. Pour en saisir les effets, il faut utiliser le taux d’emploi, qui indique la proportion de la population de 15 ans et plus (retraités ou non) qui occupe un emploi. En 2019, 61,5 % des Québécois de 15 ans et plus occupaient un emploi. À ce chapitre, le Québec continue d’être sous la moyenne canadienne, qui est de 62 %. Toutefois, cet écart de taux d’emplois Canada-Québec est le plus petit depuis 1955, il y a 65 ans. Le taux d’emploi évolue au gré de la conjoncture économique en sens inverse du taux de chômage. Il chute en période de récession, puisque moins de gens travaillent, et il grimpe en période de croissance économique. En analysant l’écart de taux d’emploi entre le Québec et le Canada, on élimine en partie les effets des cycles économiques, et on peut mieux mesurer l’évolution de notre progression, du moins sur le marché du travail. Encore une fois, l’évolution du Québec est remarquable. Chapeau à tous !
  11. PRIX INTERNATIONAL POUR LE LUXUEUX PROJET 1111 ATWATER DANIELLE BONNEAU LA PRESSE+ 18 janvier 2020 Sélectionné à l’échelle du Canada, le luxueux projet 1111 Atwater s’est démarqué lors de la remise de prestigieux prix dans le domaine immobilier, les International Property Awards, décernés en décembre à Londres. En construction au centre-ville de Montréal, il s’est hissé à la tête des projets de tours résidentielles en compétition d’un bout à l’autre de l’Amérique. Cette distinction lui a permis de se classer parmi les cinq finalistes en lice pour le prix du Best International Residential High-Rise Development. Le 1111 Atwater, qui devrait être achevé à l’été 2022 et comprendra 22 spacieux appartements de type penthouse, aménagés entre le 30e et le 38e étage, s’est mesuré à quatre autres projets prestigieux de tours résidentielles, qui ont remporté le premier prix dans leur région respective : le Masingita Towers, à Johannesburg (Afrique), le Seascape Auckland, en Nouvelle-Zélande (Asie-Pacifique), The Bank, à Birmingham (Royaume-Uni) et la Federation Tower, en Russie (Europe). C’est cette dernière qui a remporté le prix ultime, dans leur catégorie. Le 1111 Atwater, qui s’élève sur l’ancien terrain de l’Hôpital de Montréal pour enfants, à l’angle de l’avenue Atwater et du boulevard René-Lévesque, se veut l’un des projets en copropriété les plus hauts de gamme de Montréal. Les prix varient entre 2 et 15 millions de dollars, pour des superficies allant de 1663 à 10 000 pi2. Il est réalisé par le Groupe EMD Construction-Batimo, en collaboration avec High-Rise Montréal et Claridge.
  12. Baby steps . . . 😝
  13. Petite embellie du taux de chômage pour décembre 2019 (5,3%): https://www150.statcan.gc.ca/n1/daily-quotidien/200110/dq200110a-fra.htm?HPA=1
  14. Bon point concernant le taux de change et merci pour les chiffres, par contre, la moindre valeur de CAD vs le USD rend certains voyages à l’étranger beaucoup plus dispendieux . . . mais on ne pas tout avoir ☹️
  15. Ce vendredi 10 janvier, Statistique Canada dévoilera les données de l’Enquête sur la population active pour décembre 2019. Ça va être intéressant de voir si le taux de chômage redescendra aux alentours de 5 % ou se maintiendra à près de cinq et demie pour cent . . .
  16. Bonnes nouvelles à gauche et à droite, si ça continue le Canadien va se qualifier pour les séries 😇
  17. Concernant les données récentes sur le chômage, peut-être qu'il s'agit d'une petite anomalie statistique passagère . . .
  18. La croissance économique du Québec se poursuit Agence QMI | Publié le 19 décembre 2019 à 14:43 Julien Eichinger - stock.adobe.com Le PIB du Québec continue sur sa lancée et a augmenté de 0,9 % au troisième trimestre (soit 3,6 % à un rythme annualisé) par rapport au précédent, selon l’Institut de la statistique du Québec (ISQ). C’est près du triple de la croissance économique annualisée de 1,3 % qu'a connu au Canada lors de la même période. «La demande intérieure finale contribue à la croissance, tout comme le commerce extérieur», a mentionné l’ISQ dans ses «Comptes économiques du Québec». De juillet à septembre inclusivement, la demande intérieure finale a ainsi augmenté de 0,7 %, un taux de croissance similaire à celui du trimestre précédent (+ 0,8 %). Les dépenses de consommation finale ont quant à elles augmenté de 0,5 %, celles des ménages de 0,4 % et celles des administrations publiques de 1,0 %. Les exportations totales du Québec ont augmenté de 1,0 % au troisième trimestre de 2019, soit un peu moins que lors du trimestre précédent (+ 1,4 %). Les importations totales se sont légèrement repliées en diminuant de 0,5 % lors de cette période après avoir augmenté de 0,7 % lors du précédent trimestre. «Décidément, l’économie du Québec continue à se démarquer positivement dans un contexte où la plupart des pays industrialisés enregistrent un ralentissement de la croissance. Le tempo plus rapide au Québec, qui s’appuie sur un bilan solide de toutes les composantes du PIB, reflète un parcours sans faute au troisième trimestre», a écrit l’économiste principale chez Desjardins, Hélène Bégin, dans une note publiée jeudi. Elle a aussi souligné l’accélération des revenus après impôts des ménages québécois ainsi que la forte remontée du taux d’épargne. Un rythme plus lent de la croissance économique est attendu à compter de l’an prochain, mais les signes ses signes tardent à se manifester, a ajouté l’économiste principale de Desjardins. https://www.tvanouvelles.ca/2019/12/19/la-croissance-economique-du-quebec-se-poursuit-1
  19. Extrait du rapport de la RBC QUÉBEC – En bonne position pour poursuivre sa séquence victorieuse Les ménages et les entreprises du Québec sont prêts à prendre l’année 2020 d’assaut. Rien ne pourra les y empêcher. La croissance vigoureuse de l’économie québécoise donne peu de signes d’essouement et 2020 s’annonce comme une autre année remarquable, quoiqu’un peu plus tranquille. Bien entendu, le taux de croissance de 2 % que nous prévoyons pour le Québec n’aurait rien d’impressionnant si on ne le comparait pas à la faible conjoncture économique des autres provinces. Il représente néanmoins une baisse par rapport à la moyenne de 2,6 % enregistrée par la province au cours des trois dernières années et au taux révisé à la hausse de 2,5 % auquel l’on s’attend en 2019. Ce ralentissement témoigne largement du stade plus avancé de la croissance économique, qui se manifeste par la stabilisation des dépenses en immobilisations et le manque de main-d’œuvre qui freine les entreprises dans leur poursuite des occasions de croissance. Il demeure que l’économie du Québec s’est finalement défaite de sa réputation initiale de perdant invétéré. De nombreux facteurs jouent en sa faveur. Elle compte une main-d’œuvre très instruite et créative. Sa base industrielle est diversifiée et connaît actuellement une croissance généralisée. De fait, les principaux secteurs industriels contribuent tous à la croissance, y compris ceux de la fabrication et des mines. Les entreprises québécoises sont parmi les plus optimistes du pays. Les ménages du Québec sont relativement en bonne position financière, leur niveau d’endettement étant inférieur à celui de l’Alberta, de l’Ontario et de la Colombie-Britannique. Le coût de la vie, incluant le logement, est plus abordable que celui de nombreuses provinces du pays. Par ailleurs, l’impressionnant revirement de situation du côté du budget du gouvernement provincial, qui s’est traduit par des surplus inégalés l’an dernier, a pavé la voie à une politique budgétaire plus accommodante. Des hausses des dépenses et des réductions fiscales ciblées sont à prévoir. L’économie du Québec commencera ainsi l’année 2020 avec le vent dans les voiles. Les dernières estimations mensuelles du PIB indiquent un taux de croissance légèrement inférieur à 3 % pour les huit premiers mois de 2019. En dépit d’un recul inattendu de l’emploi en novembre, la demande de main-d’œuvre reste forte, le nombre net de nouveaux emplois créés au cours des 12 derniers mois (fin octobre) s’élevant à 45 000 et les postes vacants se trouvant à des sommets inégalés. La faiblesse du taux de chômage et la hausse des salaires sont autant de facteurs qui, non seulement dynamisent les ménages du Québec, mais qui attirent également de plus en plus les migrants et font en sorte que la croissance démographique est à son plus haut niveau en 30 ans. Le marché du logement de la province continue de fracasser des records, les ventes de maison atteignant des sommets inégalés et les prix augmentant de manière remarquable. Cette augmentation de la valeur des propriétés crée un sentiment de richesse chez les propriétaires de maisons existants. Nous nous attendons à ce que cette tendance et cet optimisme se maintiennent en grande partie en 2020 et fassent en sorte que la croissance économique du Québec continue à dépasser la moyenne nationale pour une troisième année consécutive. Plus la phase de croissance avancera toutefois, plus la cadence de la progression commencera à ralentir. La prévision d’un ralentissement du marché des États-Unis assombrit les perspectives pour les exportations de la province. Nous nous attendons à une stabilisation des dépenses en immobilisations, attribuable en partie aux dépenses inchangées prévues dans le plan d’infrastructures sur 10 ans du gouvernement provincial et à l’intensification de l’incertitude économique à l’échelle mondiale. Les besoins de main-d’œuvre non comblés des entreprises nuiront également à leur potentiel de croissance. Nous nous attendons à ce que ces facteurs limitent davantage la croissance à 1,6 % en 2021. Robert Hogue | Économiste principal | 416-974-6192 | robert.hogue@rbc.com https://royal-bank-of-canada-2140.docs.contently.com/v/perspectives-provinciales-decembre-2019
  20. Bien que je suis d’accord qu’il ne faut pas se tirer dans le pied, je trouve que le G&M pousse un peu fort. Prévision de croissance économique pour 2020: CIBC: Qc 1,6% Ca 1,4% RBC: Qc 2,0% Ca 1,7% TD: Qc 1,7% Ca 1,6% Bon, j’ai choisi 3 banques avec des prévisions favorables pour le Québec mais c’était pour faire un point.
  21. L’idéal serait d’avoir un plan de redéveloppement sur disons 25 ans pour le quadrilatère du CN au complet - RL-RB-DLG-Mansfield -, genre de PVM 2.0, et ayant comme première phase le stationnement étagé (condos). Je pense aussi qu’une tour à bureaux au-dessus de la salle des pas perdus serait possible lors d’une phase subséquente . . .
  22. Espérons qu’elle sera illuminée une fois installée ailleurs . . .
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