Aller au contenu
publicité

Normand Hamel

Membre
  • Compteur de contenus

    6 024
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    31

Tout ce qui a été posté par Normand Hamel

  1. Just think of everything that's been built in Montréal in the last five years, starting with the Deloitte which was inaugurated in 2015. Photo: @Jeangagnon
  2. Je dirais que dans ce cas-ci l'un n'empêche pas l'autre parce que le gouvernement Legault semble prêt à faire le nécessaire et à investir là où cela sera le plus profitable pour l'économie du Québec, quitte à augmenter la dette. Il faut comprendre que l'accélération des investissements en infrastructures est le but du projet de loi 66 qui s'en vient dans les prochaines semaines, ou les prochains mois. Alors il faut s'attendre à ce que le gouvernement aille de l'avant sans tarder dès que la nouvelle loi sera adoptée. En ce qui concerne la requalification de la main-d'oeuvre c'est justement ce que le gouvernement essaye de prévenir car ils préfèreraient plutôt préserver l'expertise actuelle, notamment en aéronautique, en gardant les gens occupés en attendant la reprise de ce secteur. Mais on aura besoin de l'aide fédérale qui malheureusement tarde à arriver. Pour ce qui est de l'autre secteur en eux troubles, c'est à dire l'hôtelier et le restauration, on peut penser que la situation est temporaire. De plus il ne faut pas oublier que cette industrie était en pénurie de main d'oeuvre avant la pandémie. En passant, la portée des investissements en infrastructures est loin d'être limitée, surtout que le Québec a grandement besoin d'améliorer son réseau routier, ses hôpitaux et ses écoles.
  3. L'idée ici n'est pas de favoriser le propriétaire du 1250, cela n'a rien à voir. Les objections de la Ville ont été émises au nom de la collectivité et non pas au nom d'un propriétaire en particulier. Ceci dit, les objections de la Ville ont en même temps été émises contre les intérêts d'un promoteur, et non le moindre. Et comme celui-ci n'a pas l'habitude de faire des cochonneries je garde espoir qu'ils arriveront à une entente. Peut-être que la troisième tentative sera la bonne.
  4. Most buildings you are mentioning here stand tall and unimpeded.
  5. The IBM Tower is not a random building. Photo: @Atilin
  6. Cette phrase prise hors contexte pourrait en effet laisser présager un refus définitif mais ce n'est pas la lecture que je fais du document qui n'est qu'un avis préliminaire. Car selon l'extrait ci-joint on laisse au contraire entendre qu'une décision favorable n'est pas exclue dans la mesure où certaines exigences de la Ville seraient éventuellement satisfaites. Je reconnais cependant que ces exigences pourraient démotiver le promoteur car il me parait difficile de les respecter sans détruire l'esprit du projet. Extrait: « La majorité des membres soulignent que le projet comporte plusieurs aspects positifs. »
  7. Un plan costaud pour préparer l’économie à l’après-COVID-19 Le gouvernement de François Legault misera entre autres sur le développement régional et l’innovation. La relance économique est bien amorcée au Québec, mais il reste beaucoup de chemin à parcourir. Le gouvernement et des institutions comme la Caisse de dépôt, le Fonds FTQ et EDC sont prêts à ouvrir les coffres de l’État pour aider nos entreprises à se préparer à la reprise économique. Sylvain Larocque - Le Journal de Montréal C’est un plan de relance costaud que le ministre de l’Économie, Pierre Fitzgibbon, présentera d’ici la fin du mois. Dans sa ligne de mire : le développement régional, l’innovation et cinq industries où l’État misera gros. Dans la mise à jour économique qu’il déposera la semaine prochaine, le ministre des Finances, Éric Girard, annoncera une hausse substantielle des crédits budgétaires et le ministère de l’Économie en recevra « une partie importante », confie M. Fitzgibbon au Journal. « Je sens que j’aurai les outils nécessaires pour le plan de relance », se réjouit-il. Ils se retroussent les manches Plusieurs entrepreneurs n’ont pas attendu l’aide de l’État pour revoir leur modèle d’affaires ou modifier leur manière de produire. Conscients qu’il était urgent d’agir pour maintenir les emplois dans l’entreprise, ils ont exploré rapidement de nouveaux marchés et profité de l’occasion pour passer au numérique. Leurs témoignages dans le dossier d’aujourd’hui risquent d’en inspirer d’autres à faire la même chose : Un fabricant de manteaux d’hiver agrandit son usine, fabrique de nouveaux produits et ouvre un premier magasin avec pignon sur rue, tout ça en pleine folie de la COVID-19. Une entreprise spécialisée dans la fabrication de boîtiers de plastique moulés qui servent à protéger des équipements se tourne vers le transport de respirateurs artificiels, un marché qui explose. Un manufacturier de plancher de bois franc pèse sur l’accélérateur et achète quatre robots pour l’aider à soutenir sa croissance. Un patron d’une PME de meubles sur mesure réhypothèque sa maison pour réussir à racheter l’entreprise des Américains et vise maintenant un chiffre d’affaires de 250 millions de dollars malgré la pandémie. Spécialisée dans la fabrication de mobilier de bureau pour entreprises, une PME aurait aisément pu disparaître avec le télétravail. Déjà 1,2 G$ versés aux entreprises Dans le contexte de la crise économique actuelle, des entreprises n’ont pas eu le choix d’obtenir rapidement du financement. Pas moins de 4000 entreprises ont déjà reçu le soutien de Québec depuis le début de la pandémie. Au total, au moins 1,2 milliard $ d’aide publique a ainsi été injecté dans l’économie. Les programmes mis en place dans l’urgence au printemps demeurent en place, mais pour le gouvernement, l’heure est maintenant venue de passer à la prochaine étape. Une bonne partie de la nouvelle stratégie sera ancrée autour de cinq secteurs jugés stratégiques pour l’avenir du Québec : l’aéronautique, les mines et la foresterie, l’aluminium, les sciences de la vie ainsi que le transport électrique. « Je veux des projets » « Je veux des idées, des projets d’investissement, lance Pierre Fitzgibbon. On va prendre plus de risques que par le passé. Il faut faire attention quand on dit ça, on pense à [la cimenterie] McInnis... Il ne faut pas être frivole, il faut absolument avoir un processus où on est partenaire avec le privé. Par contre, dans des chantiers plus stratégiques, peut-être que la part du gouvernement pourrait être plus élevée en pourcentage que ce qu’on a eu dans le passé. » La part de Québec dans le financement de certains projets pourrait ainsi atteindre 30 %, 40 %, voire 50 %. M. Fitzgibbon réitère par ailleurs son affection pour les prêts à redevances et ceux qui se transforment en subventions lorsque les entreprises génèrent les retombées économiques promises. « Quand tu vas faire de l’argent, on va en faire ensemble », résume-t-il. Plus de pertes, plus de gains Le ministre admet que cette approche décidément financière se traduira inévitablement par des pertes plus importantes pour l’État. Mais au final, assure-t-il, l’opération sera rentable pour le Québec. « Pour faire une omelette, il faut que tu casses des œufs, dit-il. [...] On n’a pas la prétention de dire qu’on ne fera pas d’erreurs---. On va en faire, sauf que les plus vont être plus grands que les moins. » Pierre Fitzgibbon entrevoit des rendements annuels de 15 %, voire 20 % pour le gouvernement dans certains projets, alors qu’ils dépassent rarement 10 % à l’heure actuelle. Le plan de relance reprendra également l’engagement caquiste d’accroître massivement les investissements des entreprises en innovation, en numérisation et en automatisation. La pandémie a mis à mal l’objectif ambitieux du gouvernement : une hausse de 5 milliards $ par année. « La question, c’est combien nous, au gouvernement, on doit intervenir dans le système, relève Pierre Fitzgibbon. Si on reste comme dans le passé, probablement que ça va être dur, l’atteinte du 5 milliards $. » UNE REPRISE INÉGALE SELON LES RÉGIONS La reprise économique ne va pas au même rythme partout au Québec : alors que certaines régions ont déjà retrouvé un niveau d’activité semblable à celui d’avant la crise, d’autres en sont encore bien loin. « On a quatre régions qui ont déjà récupéré leurs niveaux d’emploi : Laval, Chaudière-Appalaches, le Bas-Saint-Laurent et la Capitale-Nationale, indique Chantal Routhier, économiste au Mouvement Desjardins. Par contre, il y a les régions qui ont le moins bien performé et où l’emploi est encore en grand retard par rapport aux niveaux prépandémiques : Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine, le Centre-du-Québec, Montréal et l’Outaouais. » Attention aux infrastructures Pour permettre à toutes les régions de se remettre rapidement de la crise, le gouvernement Legault a demandé à des comités locaux de choisir, pour chacune d’entre elles, trois projets « structurants, mobilisateurs et innovateurs » à prioriser. Québec analyse actuellement les projets et décidera bientôt lesquels iront de l’avant. Clément Gignac, économiste en chef d’iA Groupe financier, met toutefois en garde contre la tentation de fonder la relance économique sur des projets d’infrastructures. « La réaction classique des gouvernements, quand il y a une récession, c’est de lancer des programmes d’infrastructures, rappelle-t-il. Eh bien, je ne suis pas sûr que c’est nécessairement le bon réflexe cette fois-ci. » L’ancien ministre souligne qu’historiquement, des événements majeurs comme des pandémies ont souvent entraîné d’importants changements sociaux et économiques. Il croit donc que les gouvernements devraient plutôt consacrer d’importantes sommes d’argent à la formation des travailleurs qui devront changer de carrière ou d’industrie au lendemain de la pandémie. « Il y a des métiers et des professions où on aura une surcapacité par rapport aux besoins, note M. Gignac. Il y a d’autres secteurs de l’économie où on va avoir des besoins, où il y aura des pénuries de main-d’œuvre. Il y a donc une transition très importante qui s’en vient à laquelle les gouvernements devront réfléchir. » AU CHEVET DU SECTEUR DE L’AÉRONAUTIQUE Avec plus de 4000 licenciements jusqu’à maintenant, le secteur aéronautique québécois fait partie des industries qui souffrent le plus de la pandémie. Pierre Fitzgibbon a des idées pour l’aider à garder la tête hors de l’eau, mais il a besoin de l’appui des industriels et... d’Ottawa. « Ma grosse crainte dans l’aéronautique, c’est que je ne veux pas que nos ingénieurs qualifiés veuillent changer d’industrie, affirme le ministre de l’Économie. Pour moi, ça, c’est sine qua non, c’est très important, parce que si on commence à perdre notre talent, ça va être dur de le reprendre le jour où l’aéronautique va repartir. » Pour éviter une fuite des cerveaux de ce secteur crucial pour le rayonnement international du Québec, M. Fitzgibbon songe sérieusement à lancer à l’industrie un appel de projets. « Ce qu’on doit faire, c’est aider les entreprises – les donneurs d’ordres et les plus petits – à travailler sur des projets structurants qui vont prendre quelques années pour au moins permettre, d’une part, de maintenir en emploi des gens qui, autrement, iraient ailleurs et, d’autre part, de commencer à penser en termes de vision aéronautique pour le Canada », explique-t-il. Avion vert Le gouvernement pourrait s’appuyer sur le Projet mobilisateur de l’avion écologique (SA2GE), lancé par les libéraux en 2010, et étendre l’initiative aux aéronefs électriques. Bombardier, CAE et Bell Textron font partie des participants au SA2GE. « Ce que je veux voir, c’est des projets où les grands donneurs d’ordres s’impliquent avec les PME, insiste Pierre Fitzgibbon. On veut que toute la chaîne d’approvisionnement soit mobilisée le plus possible. [...] On n’ira pas, comme gouvernement, se substituer aux donneurs d’ordres parce que je pense que ce serait téméraire et pas réaliste. » Québec sollicite l’appui du gouvernement Trudeau pour cette initiative dont le coût pourrait être substantiel. Fonds d’investissement Le ministre rêve par ailleurs de créer un fonds d’investissement qui aurait pour mission d’investir du capital de risque dans les PME aéronautiques. Au Québec, de tels fonds existent déjà dans les secteurs des technologies numériques et des sciences de la vie, mais pas en aéronautique. « Il est probablement préférable pour le gouvernement de travailler avec des gens qui connaissent bien le secteur et de créer un effet de levier », estime M. Fitzgibbon. Cinq secteurs clés Sciences de la vie La pandémie a fortement accru l’intérêt pour cette industrie. Ressources naturelles Le gouvernement veut encourager la deuxième transformation dans les secteurs des mines et de la foresterie. Aéronautique Québec souhaite coaliser cette industrie autour d’un projet mobilisateur et lancer un fonds d’investissement pour les PME. Aluminium La deuxième transformation est également au programme dans ce secteur. Transport électrique Le gouvernement entend mettre en valeur le savoir-faire québécois dans ce domaine et favoriser la production de lithium destiné aux batteries. https://www.journaldemontreal.com/2020/11/07/un-plan-costaud-pour-preparer-leconomie-a-lapres-covid-19
  8. Ton commentaire me jette à terre! "C’est un gros et très large bloc monolithique en verre bombé, vraiment, trop imposant, trop vitré, presque agressant." Je trouve que tu y vas un peu fort dans ton commentaire concernant l'un des plus beaux édifices de Montréal, un édifice de grande qualité en plus. Le scandale serait de masquer et d'écraser la magnifique église Saint-Georges.
  9. Je dirais plutôt que le projet est assez semblable, sauf pour la hauteur. De ce que je comprends le concept reste plus ou moins le même sauf que l'édifice sera plus haut et l'angle à la base (qui est parallèle à la toiture ouest de l'église) sera inversé au sommet.
  10. Apparently the property is zoned with a density of 12 and no height limitation except for the top of Mont Royal.
  11. Moi ce que j'aime c'est que le motif géométrique alterne d'un plancher à l'autre et donne l'illusion d'une grande variété car on a l'impression que le motif est différent à chaque étage, ce qui n'est pas vraiment le cas car il n'y finalement que deux motifs au total. Cependant chacun des deux motifs arbore une multitude de facettes.
  12. Le taux de chômage grimpe à 7,7 % au Québec Après avoir progressé pendant cinq mois consécutifs, l’emploi a peu varié au Québec en octobre, et le taux de chômage dans la province a légèrement augmenté de 0,3 point de pourcentage pour atteindre 7,7 %, selon ce que rapporte Statistique Canada vendredi. Au Canada, le rythme de la croissance de l’emploi a ralenti en octobre, l’économie ayant ajouté 84 000 emplois au cours du mois, comparativement à 378 000 en septembre. Le taux de chômage a peu varié, à 8,9 % contre 9,0 % en septembre. Dans l’ensemble, on comptait environ 1,8 million de personnes sans travail en octobre au pays. Les économistes s’attendaient en moyenne à un gain de 100 000 emplois et un taux de chômage de 8,8 % en octobre, selon la société de données financières Refinitiv. Statistique Canada note que les augmentations dans plusieurs industries ont été partiellement contrebalancées par une diminution de 48 000 emplois dans le secteur des services d’hébergement et de restauration, principalement au Québec. L’agence affirme que le taux de chômage aurait été de 11,3 % en octobre s’il avait inclus dans les calculs les 540 000 Canadiens qui voulaient travailler le mois dernier, mais qui n’ont pas cherché d’emploi. L’emploi a augmenté de 900 en octobre à l’Île-du-Prince-Édouard, la seule province des Maritimes à avoir affiché une croissance, tandis que le taux de chômage y était essentiellement inchangé, s’établissant à 10 %. En Nouvelle-Écosse, le taux de chômage est passé de 7,9 % en septembre à 8,7 % en octobre, mais pendant la même période, il a diminué de 10,4 % à 10,1 % au Nouveau-Brunswick. https://www.lapresse.ca/affaires/economie/2020-11-06/le-taux-de-chomage-grimpe-a-7-7-au-quebec.php
  13. Normand Hamel

    Aldo

    Garda débarque à l’ancien siège social d’Aldo On le sait, Stéphan Crétier, le PDG de GardaWorld, tente depuis un an maintenant de mettre la main sur le leader mondial de la sécurité privée, G4S. Mais parallèlement à cet immense projet d’expansion, GardaWorld travaille à l’implantation prochaine d’un centre mondial d’expertise en sécurité avancée qui logera dans l’ancien siège social de l’entreprise Aldo, à Saint-Laurent. En entrevue, mardi, Stéphan Crétier a été éminemment critique à l’endroit de la Caisse de dépôt et placement du Québec, qui vient directement le concurrencer et contrecarrer ses projets d’expansion. Il réagissait au dépôt d’une offre de l’entreprise américaine Allied, soutenue par la Caisse de dépôt, pour la britannique G4S, la cible que Garda convoite depuis plus d’un an. L’homme d’affaires est resté discret sur un autre projet important qui occupe GardaWorld, mais il n’a pas réussi à éluder complètement la question, tellement il souhaite faire de Montréal une plaque tournante, un hub mondial de la sécurité avancée. Stéphan Crétier a de l’ambition. L’entreprise GardaWorld veut acquérir G4S, qui compte 550 000 employés actifs dans 85 pays et génère des revenus de 13 milliards. C’est cinq fois plus d’employés que n’en compte Garda et plus de trois fois son chiffre d’affaires. « En acquérant G4S, on devient automatiquement le plus gros joueur mondial de la sécurité privée et c’est à Montréal que va loger le siège social de ce nouveau géant, avec 635 000 employés répartis dans 92 pays. On va investir massivement dans les nouvelles technologies pour faire de Montréal le centre mondial d’excellence et d’expertise en sécurité avancée. Tous nos spécialistes — gestionnaires et opérateurs — à travers le monde vont venir se faire former sur notre campus selon les plus hauts standards professionnels, on va devenir la référence mondiale de la sécurité intégrée. - Stéphan Crétier, PDG de GardaWorld GardaWorld est en train de s’associer avec Investissement Québec, précise Stéphan Crétier, pour réaliser la transformation du magnifique complexe qui abritait le siège social et créatif de la multinationale Aldo, situé à Saint-Laurent, où plus de 1100 personnes travaillaient quotidiennement. Aldo Bensadoun a aménagé les lieux pour en faire un véritable campus moderne de plus de 300 000 pieds carrés, tout éclairé et percé par un immense atrium de 10 000 pieds carrés, avec des terrains attenants de soccer et de volleyball ainsi qu’un centre de conditionnement physique. Le détaillant de chaussures a quitté les lieux l’été dernier dans la foulée de la restructuration financière qui l’a forcé à réduire ses coûts d’exploitation. Garda va pouvoir loger les 450 employés de son siège social dans son nouveau complexe et prévoit recruter une centaine de nouveaux employés, surtout des spécialistes en technologies. Les 750 employés de son centre opérationnel de Griffintown, principalement actif dans le transport des valeurs, vont rester là où l’entreprise est installée depuis 2003, lorsqu’elle a fait l’acquisition de la firme Secur. « Notre centre d’excellence de Montréal va être une vitrine mondiale. On va y retrouver notre laboratoire, où on développe toutes nos technologies de surveillance par caméra, un autre où on va déployer tous nos systèmes de cartes d’accès, et c’est ici qu’on va installer notre centre de contrôle international qui supervise toutes les crises dans le monde en temps réel », ajoute le PDG. Est-ce que GardaWorld entend pousser le projet avec le même enthousiasme si l’acquisition de G4S échoue et que l’entreprise passe aux mains du concurrent Allied, protégé de la Caisse de dépôt ? « Je ne souhaite surtout pas faire de chantage avec ce projet. Ce que j’expose, c’est l’importance d’un siège social et le rayonnement que notre centre d’excellence va apporter à Montréal. Le gouvernement britannique nous a approchés lorsqu’il a eu connaissance de notre intention d’acquérir G4S. Il souhaitait que l’on s’installe là-bas. Moi, je suis montréalais et c’est ici qu’on va développer. « On dépense chaque année des fortunes en formation. On en fait ici, en Floride, à Dubaï, à Londres ou St. Louis. Là, on va centraliser toute cette activité dans notre campus à Montréal. C’est la façon d’intégrer nos valeurs et notre culture. Ce centre va être important dans l’intégration des gens de G4S, on va les former à nos standards », espère le PDG. Petit rappel historique : lorsque Garda s’est installée dans Griffintown en 2003, l’entreprise comptait 4000 employés et réalisait des revenus de 85 millions, seulement au Canada. Aujourd’hui, l’entreprise emploie plus de 100 000 professionnels de la sécurité dans plus de 40 pays et affiche des revenus de 4 milliards. https://www.lapresse.ca/affaires/2020-11-06/garda-debarque-a-l-ancien-siege-social-d-aldo.php
  14. The balance is very good. This is one of your best work so far. What you show here is the real Montréal, as seen through the eyes of tourists and visitors, and as we see it every day, all year long. One guy, a French tourist I believe, summarized the spirit of this city in two words: "énergie douce" or douce énergie as I would put it.
  15. I am afraid the PVM observation deck will be permanently closed, if it's not already. As for the Old Port tower there is no doubt in my mind that it will become a major tourist attraction. Hopefully they will charge a reasonable price to get access to this unique view of our beautiful city because we will likely want to return there many many times.
  16. Quatre sections sur sept à tout le moins. Une section équivalent à environ trois étages résidentiels. On voit déjà comment imposante sera cette structure avec neuf sections au total qui s'élèveront sur 72 mètres. Ce n'est pas la tour du CN mais c'est quand même plus haut que la tour de Pise qui fait 57 mètres. Ce qui nous donne une idée par rapport aux personnes au bas de la tour sur la photo ci-jointe. Photo: @Saffron Blaze
  17. La Ville est allée en appel d'offre. Nous aurons une meilleure idée du potentiel du site lorsque nous prendrons connaissance des différentes propositions.
  18. @Flynnster you will see below that the elevators will stop right on top of the inter-dome from where visitors will have to transfer to a stairway that can only be climbed on foot and might literally be viewed as a stairway to heaven...
  19. There is a difference between the Oratory and the Old Port tower, one being brand new while the other is an existing structure. As Dominic explained the new tower will have to have elevators for handicapped people because this is now required by the building code just like new condos must have a minimum number of outlets for electric cars. As for the Oratory they seem to be doing everything they can to accommodate wheel chairs (if that's what you had in mind). Take a look at the first illustration below where you will see that all four proposals (the winner is the one on the left) had a spiral around the inter-dome that has been designed to be climbed in a wheel chair. However the wheel chairs may not have full access to the lanternon because space is restricted. In the following video it can be clearly seen that the elevators will stop at the top of the inter-dome below the lanternon.
  20. Construction des quais Jacques-Cartier (1898-1899), Alexandra (1899-1901) et King-Edward (1901-1903) Photo: @Port de Montréal
  21. La plage de l'Horloge, ca 1920.
  22. Vue du port de Montréal, ca 1920. Photo: @Fonds d'archives Pierre-Dansereau (UQAM).
×
×
  • Créer...