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  1. Trop d'employés incompétents, paresseux et superflus s'accrochent à leur sécurité d'emploi dans le secteur public, estime l'Action démocratique du Québec. Après avoir donné le ton la veille, le chef de l'ADQ Gérard Deltell est revenu à la charge, mardi, dénonçant la trop grande protection syndicale dont profitent, à son avis, les employés de l'État. Selon lui, les gestionnaires doivent bénéficier de plus de souplesse afin de pouvoir congédier les employés improductifs et éliminer les fonctions obsolètes. À l'entrée d'un caucus à l'Assemblée nationale, le député de Beauce-Nord, Janvier Grondin, a estimé de son côté que le Québec comptait beaucoup trop de fonctionnaires. Il est anormal, a-t-il dit, que la fonction publique québécoise soit 30% plus importante que celle de l'Ontario, une province pourtant beaucoup plus populeuse que le Québec. Vu l'état des finances publiques, il est impératif que le Québec remette en question les «vaches sacrées» du modèle québécois, comme celle de la sécurité d'emploi dans le secteur public, a pour sa part affirmé le député François Bonnardel. Les syndicats et leurs membres ne sont pas à l'abri des efforts que le Québec devra faire pour rétablir l'équilibre budgétaire, a-t-il fait valoir. En ce sens, les conventions collectives dans le secteur public ne doivent plus servir à maintenir en fonction des employés «paresseux» ou «assis sur leurs lauriers», a soutenu M. Bonnardel. ----------- Bravo de tenir ce discours, si seulement ils pouvaient le mettre en pratique, ca serait encore mieux :applause:
  2. Selon une source syndicale, ces postes seront éliminés à la fin d'avril 2009, sur la base de «départs volontaires». Il y aurait également gel des recrutements Pour en lire plus...
  3. L'obsession syndicale André Pratte La Presse Réunis en fin de semaine pour leur congrès annuel, les jeunes du Parti libéral du Québec ont adopté des propositions qui visent à éviter certains abus commis, selon eux, par les syndicats. En particulier, ils suggèrent que les votes sur l'accréditation et la grève soient obligatoirement secrets et qu'un travailleur mécontent puisse plus facilement contester les décisions de son syndicat. C'est une vieille obsession des jeunes libéraux comme des milieux patronaux: le taux de syndicalisation élevé au Québec - 40% contre 28% en Ontario - est perçu comme une tare, un obstacle à la croissance. Les syndicats sont vus comme des empêcheurs de tourner en rond qui manipulent les travailleurs à des fins idéologiques. Il est indéniable que les centrales syndicales ont une vision de la société fort différente de celle des patrons, et probablement fort différente de celle de beaucoup de leurs membres. Il est certain aussi que, dans certains conflits, les syndicats devraient se montrer plus raisonnables. Toutefois, l'excès de rigidité n'est pas l'apanage des syndicats. De plus, on a vu dans la récente entente conclue entre Bombardier et ses employés que des représentants des travailleurs sont capables de clairvoyance. On peut déplorer les tactiques employées ces jours-ci par les représentants des employés de l'hôtellerie, en particulier à Québec en plein 400e, mais on ne peut que se réjouir du fait que les femmes de chambre aient un syndicat pour les défendre. La thèse qui sous-tend l'obsession syndicale est erronée. Rien n'indique que le taux de syndicalisation élevé est un empêchement au développement économique. Le fait est que le Québec a connu une forte croissance au cours des dernières années tandis que le taux de pénétration syndicale est resté le même. L'Ontario, elle, a connu une période plus difficile malgré une baisse du taux de syndicalisation. Il est vrai que le travailleur québécois moyen travaille moins d'heures que le travailleur ontarien, mais une étude faite par Statistique Canada a démontré que cela avait peu à voir avec la puissance des syndicats au Québec: les Québécois non syndiqués travaillent eux aussi moins que leurs homologues ontariens. Ce taux de syndicalisation de 40%, constamment évoqué, est de toute façon trompeur. Il est en effet gonflé par la forte présence syndicale dans le secteur public. Dans le privé, au Québec, un quart des employés seulement sont syndiqués. Former un syndicat n'est donc pas aussi simple qu'on le dit, bien qu'il suffise de faire signer des cartes à une majorité d'employés. Enfin, les dirigeants syndicaux n'abusent pas du droit de grève, si l'on en croit les statistiques compilées par le ministère du Travail. En fait, 2006 et 2007 ont été, des 10 dernières années, les plus pacifiques au chapitre des relations de travail, avec moitié moins de conflits de travail (grèves et lockouts) que les années précédentes. Cela étant, on voit mal la nécessité de remettre en question les fondements du régime syndical québécois. Le premier ministre Jean Charest a tout de suite mis de côté cette proposition des jeunes militants de son parti. Il faut dire que M. Charest, au début de son premier mandat, s'était fait convaincre par le lobby patronal de modifier l'article du Code du travail sur la sous-traitance. Cela a provoqué un affrontement en règle avec les syndicats, affrontement parfaitement inutile qui amorça la descente aux enfers de son parti. Partisans (avec raison) du bilinguisme, les jeunes libéraux n'auront pas de mal à comprendre cette sage maxime américaine: «If it ain't broke, don't fix it.»
  4. La suite des choses: une assemblée syndicale est prévue pour le mercredi 2 juillet pour les employés de bureau et de la rédaction. Pour en lire plus...
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