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  1. Vous voulez conserver l’assurance parentale23 juin 2011 | 17h07 Argent Le Régime québécois d'assurance parentale augmentera ses cotisations de 4 % en 2012 afin de résorber son déficit de près de 600M$ d'ici 2018. En 2011, la hausse avait été de 6,25%. Il s’agit de la cinquième hausse annuelle consécutive, au même moment où certains disent que le Québec n'a pas les moyens de se payer ce programme. Nous avons demandé aux lecteurs d’Argent et de TVA Nouvelles s’ils croyaient que ce programme était indispensable? Voici quelques-uns de leurs commentaires : Je me dis que plus que le gouvernement enlève de l’argent sur mes paies, moins j’en ai pour mon petit garçon. C'est important d'avoir un revenu assuré après l'accouchement. J’utilise moi-même le programme. C’est en partie grâce à cela que je peux rester avec mon fils et l'éduquer. Si on a de l’argent pour se payer des avions de guerre, on a de l’argent pour aider les familles du Québec. Non? Vous avez beaucoup de chance aujourd'hui, j'espère que vous vous en rendez compte. Quand j'ai eu mes enfants, il fallait retourner au travail après 6 semaines de congé. Il y a beaucoup de dépenses inutiles au Québec, mais pas celle-là… Si le programme est en déficit, c’est qu’il a été mal géré. Quand ton budget est dans le rouge, tu coupes dans les affaires frivoles pour te concentrer sur l'essentiel. Il faut couper ça au plus vite. C'est ça mon cher, coupons l'aide pour les nouveaux parents. Pendant ce temps, les BS iront acheter un « sixpack »de Wildcat et un billet de 6/49 avec notre argent. Quand des gens de 50 ans paient « l'assurance parentale », ce n'est pas une assurance, c'est un impôt déguisé. Il n’y avait pas d’assurance parentale à mon époque et je ne suis pas morte, c’est une vraie blague cette histoire-là! Oui c'est important pour augmenter la natalité au Québec! On nous le vend en disant que ça augmente le taux de natalité, mais ailleurs au Canada, ils n'ont pas ces généreux programmes et le taux de natalité est semblable.
  2. Le pouvoir de l’argent et l’argent du pouvoir Josée Legault Voir - http://www.voir.ca jeudi 23 octobre 2008 On va arrêter de se raconter des histoires. Au-delà des spins des uns et des autres sur ce qu’aurait ou n’aurait pas dit Nicolas Sarkozy lors de son passage à Québec, un fait est indéniable : le président français est ouvertement et fortement favorable à l’unité canadienne. Point à la ligne. Et c’est en cela que Sarko rompt avec la "non-ingérence et non-indifférence" - cette politique post-de Gaulle de neutralité bienveillante de la France vis-à-vis des options fédéraliste et souverainiste, mais basée dans l’avant-Sarko sur une relation tout à fait privilégiée avec le Québec par rapport à l’État canadien. Tout comme le général de Gaulle l’avait fait avec son "Vive le Québec libre !", Sarko a donc choisi. De Gaulle souhaitait la "libération" du Québec ; Sarkozy préfère que son "frère" québécois demeure dans la grande maison de son nouvel "ami" canadien. Pauline Marois ne l’a pas compris, mais c’est bien ce que Sarko est venu officialiser chez-nous. Sarko aura beau n’avoir fait qu’une "visite éclair", elle a eu l’effet d’un véritable coup de tonnerre ! Pourtant, ce coup avait été annoncé d’avance, question de préparer les esprits. Au printemps, Jean-Pierre Raffarin, ex-premier ministre français avait déjà prévu la rupture prochaine de Sarko avec le "ni-ni". Le lancement des Fêtes du 400e en France confirmait le tout. Jean Charest y était absent. Ce qui a permis à Michaëlle Jean, l’omniprésente gouverneure générale, d’y briller de tous ses feux et de proclamer le 400e celui du Canada tout entier ! Pour clore ce vaudeville, Sarko en a profité pour tester sa métaphore du "Canada, notre ami" et du "Québec, notre frère". On peut être pour ou on peut être contre, mais aucun déni n’est possible : la France se rapproche rapido d’Ottawa. Pour le Québec, le résultat sera un affaiblissement de son identité internationale et de sa relation privilégiée avec la France - un problème qui, dans les faits, devrait inquiéter tant les fédéralistes que les souverainistes québécois(1). Ce virage majeur relève de trois facteurs. Primo : le PQ lui-même. Ayant abandonné toute ambition référendaire depuis 1996 et pour un long moment encore, difficile d’exiger qu’un président français fasse semblant de ne pas le savoir ! Secundo : la faiblesse des réseaux diplomatiques québécois à Paris, lesquels sont de plus en plus soumis à la diplomatie canadienne et ce, avec l’approbation tacite des gouvernements québécois depuis une décennie. Malgré la prévision de Raffarin, la diplomatie québécoise fut soit incapable, soit empêchée d’exercer des pressions suffisantes à Paris pour qu’à tout le moins, le "ni-ni" demeure. Tertio : les liens étroits qu’entretiennent Sarko et le fondateur de Power Corp., Paul Desmarais père, - sûrement l’adversaire du mouvement souverainiste le plus brillant, le plus déterminé et le plus influent, et au Canada et dans le monde. L’ARBRE QUI CACHE LA FORET Mais ce serait une erreur que de réduire cette communauté de vues entre Sarko et Desmarais à leur seule préférence pour le fédéralisme canadien. Je dirais même que c’est l’arbre qui cache la forêt. Sarko et Desmarais partagent aussi tout un éventail d’intérêts politiques, idéologiques et financiers. Côté business : le dernier livre de Robin Philpot(2) fait état des intérêts de la famille Desmarais et de puissantes firmes françaises pour l’exploitation du trio gaz-pétrole-énergie nucléaire. Côté idéologique : apôtre du marché, le rôle actif de Paul Desmarais depuis des décennies dans la "préparation" de leaders politiques penchant plus à droite, ici comme à l’étranger, est de notoriété publique. Sarko a beau dire vouloir "refonder le capitalisme", parions que le résultat sera plus modeste que prévu... À preuve, cette expression candide de reconnaissance de Sarko envers son mentor : "Si je suis aujourd’hui président de la République, je le dois en partie aux conseils, à l’amitié et à la fidélité de Paul Desmarais" - admettant aussi que ce dernier lui a bâti rien de moins qu’une "stratégie" faite sur mesure pour assurer son ascension politique. Côté politique, avec un P majuscule : Desmarais et Sarko partagent aussi une compréhension fine du pouvoir des médias. Sarko exerce son influence de manière personnelle auprès de certains patrons de médias. Desmarais, plus direct, s’en est acheté tout un chapelet ! L’IRONIE EST CRUELLE Stéphane Dion croit dur comme fer que l’argent dépensé par les conservateurs, avant et pendant la campagne, a eu un impact sur les résultats. Hormis l’héritage empoisonné du duo infernal Chrétien-Martin et son propre manque de leadership, il a raison : l’argent, ça compte aussi. C’est même parfois le nerf de la guerre. À un point tel où si Dion a compris, à son corps défendant, que le PLC devait se donner un nouveau chef, il est fort probable que c’est parce que les bailleurs de fonds libéraux lui ont envoyé in extremis un message net, clair et sans pardon : no new leader, no new money ! Faisant trop tard le constat du pouvoir de l’argent, l’ironie est cruelle pour celui qui n’a pas hésité, en 1996, à se joindre au même gouvernement qui, avant, pendant et après le référendum de 1995, combattait l’option souverainiste à coups de centaines de millions de dollars pendant que le camp du OUI faisait avec beaucoup, beaucoup moins... Morale de ces deux histoires : argent et pouvoir forment le plus vieux couple de l’histoire humaine... Et qui s’y frotte, s’y pique. (1) LEGAULT, Josée. "Le Québec s’efface au profit d’Ottawa", Courrier international, 22-28 mai 2008. (2) PHILPOT, Robin. Derrière l’État Desmarais : Power, Les Intouchables, 2008.
  3. La patience est à bout Jeffrey Simpson http://www.cyberpresse.ca L’économie ontarienne a été frappée par une combinaison de facteurs que la Banque Toronto-Dominin a qualifiée de « tempête parfaite » : un huard fort qui fait mal aux manufacturiers, une industrie automobile en perte de vitesse, une concurrence accrue venue de l’étranger (de la Chine, particulièrement), et une flambée des prix énergétiques. Sans compter une immigration massive, concentrée à Toronto, qui tombe dans la pauvreté. (Photo The Globe and Mail) *** Personne au Québec (ou n’importe où ailleurs au Canada) n’a jamais versé une larme pour l’Ontario. Chaque Canadien s’entend sur une chose : l’Ontario est riche, opulent et la province contrôle directement ou indirectement l’économie et la politique canadiennes. Bay Street est synonyme de richesse, d’argent et de pouvoir. Il y a longtemps, Toronto a éclipsé Montréal et la ville est devenue le plus important centre économique du pays. La plupart des éléments de la capitale fédérale se trouvent à Ottawa, en Ontario. L’industrie automobile tourne en Ontario. C’est là que l’on retrouve également trois des cinq universités canadiennes les mieux cotées : Toronto, Western et Queen’s. (Les deux autres sont McGill et l’Université de la Colombie-Britannique.) L’Ontario est encore riche comparativement à la plupart des autres provinces, le Québec inclus. Et pourtant, l’Ontario pâtit. Lentement, sur de nombreuses années, les infrastructures de base de la province se sont détériorées. Au cours de la majeure partie des 20 dernières années, le gouvernement provincial a présenté un déficit. Récemment, l’économie ontarienne a été frappée par une combinaison de facteurs que, dans un récent rapport, la Banque Toronto-Dominion a qualifiée de « tempête parfaite ». Ces facteurs sont les suivants : un huard fort qui fait mal aux manufacturiers, une industrie automobile en perte de vitesse, une concurrence accrue venue de l’étranger (de la Chine, particulièrement), et une flambée des prix énergétiques. La Banque Toronto-Dominion aurait pu ajouter un autre facteur : une immigration massive qui ne marche plus bien parce que de trop nombreux immigrants tombent maintenant dans la pauvreté et y restent. Étant donné que Toronto accueille à elle seule 43% des immigrants au Canada chaque année, lorsque l’immigration ne marche pas, la ville, et par extension, la province, connaît des ennuis. Le Québec doit aussi composer avec une devise canadienne forte. La province doit également faire face à la concurrence internationale. Mais grâce à son abondante hydroélectricité, le Québec n’a pas à payer la facture de plus en plus salée que doit régler l’Ontario pour son électricité. Sa grande industrie manufacturière n’est pas aussi sensible à des prix de l’essence élevés comme c’est le cas pour l’industrie automobile en Ontario. Le Québec et l’Ontario sont en recul par rapport aux trois provinces de l’Ouest : la Colombie-Britannique, l’Alberta et la Saskatchewan. L’essor dans le domaine des produits de base (le pétrole, le gaz naturel, la potasse, l’uranium) alimente une excellence croissance économique dans ces provinces qui éclipse de loin ce que peuvent connaître le Québec ou l’Ontario. La croissance est particulièrement vive en Saskatchewan au moment où les prix des produits agricoles grimpent et où la demande de potasse croît. Différence fondamentale Il y a toutefois une différence fondamentale entre le Québec et l’Ontario. Le Québec continue de recevoir de forts paiements de péréquation de la part d’Ottawa, paiements financés en transférant de l’argent des contribuables de l’Ontario et des autres provinces riches. De plus, il existe des dizaines d’autres programmes fédéraux conçus pour transférer de l’argent des régions plus riches du Canada aux plus pauvres, l’exemple classique étant l’assurance emploi. Tant que l’économie ontarienne était vigoureuse, ni le gouvernement de l’Ontario ni les contribuables ne s’en faisaient trop à propos de tout l’argent transféré hors de la province. Les Ontariens étaient « canadiens » d’abord, « ontariens », ensuite. Ils souhaitaient un pays uni et ils savaient que leur province tirait parti d’être en mesure de vendre ses produits dans toutes les régions du Canada. Aujourd’hui, cependant, la patience est à bout. Le premier ministre Dalton McGuinty a repris à son compte, en les amplifiant, les plaintes des premiers ministres précédents à propos du traitement injuste. Et presque tout le monde dans la province a été sous le choc en apprenant que le rapport de la Banque Toronto-Dominion prévoit que si la tendance actuelle se poursuit, l’Ontario recevra des paiements de péréquation dans deux ans. L’Ontario recevant des paiements de péréquation ! Imaginez. La raison tient principalement à quelque chose que le Québec (et quelques autres provinces aussi) a demandé. Le Québec a demandé que les revenus de toutes les provinces soient pris en compte pour déterminer les paiements de péréquation et non pas ceux de cinq provinces seulement, comme c’était le cas auparavant. Un compromis est intervenu : on utiliserait les revenus de 10 provinces, mais en incluant seulement la moitié des revenus tirés de ressources non renouvelables (le pétrole). À la suite de la flambée des prix pétroliers, l’Alberta a tellement d’avance sur les autres provinces que même en incluant seulement la moitié de ses revenus pétroliers dans la formule de péréquation, il en résulterait que l’Ontario pourrait avoir droit à des paiements. L’absurdité ultime dans le fait que l’Ontario puisse recevoir des paiements de péréquation tient à ceci : les paiements viennent du gouvernement fédéral et ils sont versés aux gouvernements provinciaux, mais l’argent vient en partie de ce que versent les contribuables à Ottawa. Étant donné qu’Ottawa tire tellement d’argent des contribuables ontariens, une partie de l’argent que le gouvernement de l’Ontario pourrait recevoir dans le cadre du programme de péréquation viendrait des contribuables de la province même. La Banque Toronto-Dominion estime qu’environ 20 milliards par année vont des poches des contribuables ontariens vers d’autres régions du Canada. Ce qui enrage l’Ontario, c’est de voir cet argent prendre la direction de la Nouvelle-Écosse pour réduire les taux d’imposition des entreprises sous celui de l’Ontario, ou de voir cet argent aller au Québec pour financer des garderies à 7$ par jour ou des droits de scolarité les plus bas en Amérique du Nord, des politiques que l’Ontario n’a pas les moyens de se permettre. L’Ontario a été la poule aux oeufs d’or pendant longtemps au Canada et ne s’est jamais plaint. La poule maigrit en ce moment et elle commence à se plaindre. *** Jeffrey Simpson L’auteur est chroniqueur politique au Globe and Mail, à Toronto.
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