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  1. http://plus.lapresse.ca/screens/48d1-8828-516c613c-9f83-2cefac1c6068%7C_0.html MARIE-EVE MORASSE LA PRESSE Plusieurs nouvelles tours s’élèveront au centre-ville de Montréal au cours des années à venir, ce qui ajoutera des centaines d’unités d’habitation et changera le paysage de la métropole. Quelles traces ces constructions laisseront-elles sur le plan architectural? Nous avons demandé à deux observateurs aguerris de nous faire part de leur appréciation de projets qui, pour l’instant, ne peuvent être observés que sur papier. Membre fondateur du Centre de design de l’Université du Québec à Montréal et plus récemment auteur du livre Design?, Frédéric Metz estime d’entrée de jeu que les projets qui lui ont été soumis ne vont pas «relever le niveau visuel de qualité à Montréal». Nous lui avons demandé de nous donner ses impressions de l'Icône, tour de 38 étages, de la Tour des Canadiens et de L’Avenue, qui compteront chacune 50 étages, et du surprenant Peterson, avec ses balcons aux formes arrondies. Des critiques... Selon Frédéric Metz, ces nouvelles tours ont un point commun: la peur d’être simple. «J’aimerais voir quelque chose à la Mies van der Rohe, ou quelque chose d’audacieux comme on a fait pour le Chrysler Building: il a prouvé à long terme qu’il était très beau, il a une sorte de symétrie, une âme», dit-il. Le directeur des politiques d’Héritage Montréal, Dinu Bumbaru, aurait également souhaité que ces futures constructions se distinguent davantage. Que l’on n’ait pas l’impression qu’elles puissent «aller n’importe où, y compris au Kazakhstan». Celles qui s’élèveront autour du Centre Bell auraient pu jouer de plus d’audace, selon lui. «Les projets autour du Centre Bell, c’est amusant, mais ce sont des jeux académiques de volume. On se demande, par exemple, quelle est la qualité novatrice d’un bâtiment comme La Tour des Canadiens. Il s’agit pourtant d’un lieu stratégique : on est sur le bord du talus et il y a une visibilité gigantesque qui va se développer avec ce bâtiment. Ç'aurait peut-être été un endroit pour essayer des choses plus sculpturales. Ce qui ne veut pas dire qu'on aurait pu faire n’importe quoi.» Situées dans le même secteur, l’Icône et l’Avenue sont loin de trouver grâce aux yeux de Frédéric Metz. L'Icône, en particulier. «On ne sait pas trop où s’en vont toutes ces tours, c’est compliqué pour rien! Pourquoi faire des choses avec un angle au lieu de faire un bloc monolithique qui est clean, qui est beau?» Et des compliments! Un peu plus à l’est, dans le Quartier des spectacles, s’élèvera Le Peterson, dont l’architecture passe difficilement inaperçue en raison de ses balcons en forme de vagues. C’est celui qui s’est attiré des compliments de nos observateurs. Sur papier, les promoteurs ont su exploiter un terrain «ingrat», dit Dinu Bumbaru. «Je pense que c’est celui qui tire le plus partie de son environnement. C’est un endroit où on n’imaginerait pas avoir un tel bâtiment, c’est situé dans un coin, dans une rue en coude. Mais ils le font émerger et ça risque d’être intéressant et de contribuer au paysage urbain», dit-il. Frédéric Metz abonde et note «l’audace et une curiosité du promoteur et de l’architecte». «En maquette, Le Peterson est beau et il est bien encastré dans les vieux bâtiments de la rue Bleury. Il y a une innovation dans le bâtiment que l’on voit rarement à Montréal et que j’accepte avec plaisir», dit-il. Tout en précisant qu’il n’y habiterait jamais... Et dans 20 ans? Que dira-t-on de ces projets dans quelques décennies, quand ils auront été construits et qu’on s’y sera habitués? Vieilliront-ils bien? La qualité des matériaux utilisés dans leur construction sera en partie garante de leur avenir, précisent Frédéric Metz et Dinu Bumbaru. «Ça prend de la bonne construction. Sur les galeries de photos qui nous présentent ces projets, l’hiver ne semble pas présent à Montréal. On sait bien qu’il faut que ça puisse tenir le coup : le choix des matériaux, leur qualité, l’assemblage : c’est très important. Surtout qu’on a affaire à des volumes qui vont être complexes d’entretien», dit Dinu Bumbaru. «Le bâtiment peut bien ou mal vieillir selon les matériaux. Mais en tant que forme, ils ne vont pas bien vieillir. Aucun. Pour La Tour des Canadiens, ce sera peut-être plus facile, car c’est la plus simple.» Plus de cohérence Dans le secteur du Centre Bell et de la gare Windsor, le directeur des politiques d'Héritage Montréal croit qu'il aurait fallu une vue d'ensemble avant d'approuver tous ces projets individuellement, ce qui aurait rendu le tout plus intéressant. «Est-ce que nos municipalités sont équipées pour exiger de la qualité architecturale pour des bâtiments aussi imposants? Le réglementaire a ses limites, et, parfois, ça prendrait des champions de l'architecture impliqués, pas simplement des gens qui appliquent de la réglementation et des comités qui essaient d’éviter le pire», dit Dinu Bumbaru, pour qui construire en ville doit être considéré comme un privilège.
  2. Voici un article qui relate la vente prochaine de la maison Louis-Hippolyte La Fontaine à des intérets chinois. Je trouve que c'est une bonne nouvelle et j'espère qu'ils feront bon usage de cette maison historique. Par contre, ce que je trouve intéressant dans l'article c'est que les acheteurs sont plus intéressé par la hauteur permise dans le secteur que la maison elle-meme. Donc j'assume ici qu'ils ont acheté le terrain et qu'ils sont intéressé par la construction éventuelle d'un immeuble de 35 étages. http://www.journalmetro.com/linfo/article/927632--la-maison-sir-louis-hippolyte-la-fontaine-sur-le-point-d-etre-vendue selon Dinu Bumbaru :
  3. Pitié pour le patrimoine Le Devoir Stéphane Baillargeon Édition du jeudi 25 juin 2009 Mots clés : Héritage Montréal, Patrimoine, Montréal, Québec (province) Héritage Montréal écrit à une cinquantaine de décideurs Héritage Montréal lance une grande offensive auprès des hauts décideurs politiques et institutionnels pour qu'ils interviennent «beaucoup plus énergiquement» en faveur de la défense du patrimoine dans la métropole. Les résolutions adoptées en assemblée générale des membres au début du mois ont été distribuées depuis auprès d'une cinquantaine de dirigeants, tout ce qui compte en fait: les premiers ministres, les ministres des Affaires culturelles du Québec et du Canada, tout comme le ministre des Finances, les leaders des oppositions officielles, le maire de Montréal et plusieurs élus municipaux, les recteurs des universités ainsi que les présidents de grandes sociétés d'État. «C'est une démarche peu courante justifiée par une situation exceptionnelle», explique Dinu Bumbaru, directeur des programmes du groupe de pression. Héritage Montréal, fondé par Phyllis Lambert il y a quatre décennies, demeure le plus important groupe de défense en matière patrimoniale de la ville et, en fait, de tout le Québec et même du Canada. «Il y a quelques années, au moment des défusions municipales, nous avons adopté une résolution pour éviter le démantèlement de l'office de consultation publique de Montréal et du Conseil du patrimoine. Cette année, les sujets se bousculent en raison des élections municipales et de la mise à jour du plan d'urbanisme.» Les six nouvelles résolutions ratissent large. La première exige de «procéder urgemment» avec la modernisation de la Loi sur le patrimoine culturel au Québec, une refonte attendue depuis deux décennies et encore promise pour la rentrée de l'automne à l'Assemblée nationale par la ministre québécoise Christine St-Pierre. La deuxième demande à Montréal de rétablir «un véritable service d'urbanisme en 2009, avec l'expertise et l'autonomie nécessaire», de «mettre en place un mécanisme public pour vérifier la recevabilité préalable de tout projet public ou privé» et de prévoir des mesures fiscales incitatives pour les sites patrimoniaux. Les troisième et quatrième demandes concernent la protection du mont Royal et la mise en valeur du patrimoine religieux et institutionnel de la ville. L'assemblée générale réclame «des limites fermes aux transformations des usages, des bâtiments ou des sites qui s'y trouvent en fonction de leur valeur patrimoniale», mais aussi que tout projet autour de la montagne démontre obligatoirement sa contribution à la protection de ce site. Pour les églises, les monastères, les écoles ou les hôpitaux, les membres veulent que le Conseil du patrimoine consulte la population pour ensuite accoucher d'une stratégie de protection et de mise en valeur de ces lieux de mémoire exposés à de fortes pressions «menant à leur vente ou à leur démolition». Les deux dernières résolutions visent la célébration souhaitée «spéciale» en 2010 du 20e anniversaire de l'Opération patrimoine architectural de Montréal (OPAM) et l'action attentiste du gouvernement fédéral. Dans ce dernier cas aussi le groupe demande à l'État d'«intervenir urgemment», cette fois pour «la sauvegarde et la mise en valeur de la maison Sir Louis-H. Lafontaine», pour la mise en valeur du silo 5 du canal de Lachine de même que pour la mise en oeuvre rapide de l'Initiative des lieux patrimoniaux. Cette mesure toujours «tablettée», élaborée avec l'accord unanime des provinces et des territoires, prévoit un répertoire national et des indicatifs fiscaux pour stimuler l'engagement du secteur privé dans la sauvegarde et la mise en valeur du patrimoine. «Il y a beaucoup trop de retards, partout, regrette Dinu Bumbaru. La loi du Québec sur le patrimoine est attendue depuis 1985, ça va faire bientôt 25 ans. Il y a eu des progrès, mais on ne peut plus traiter les problèmes à la pièce. Il nous faut presque une perspective d'envergure écologique, par exemple avec une fiscalité positive. À Montréal, il y a des centaines et des milliers de chantiers en attente, parfois à l'échelle des quartiers. C'est pourquoi nous interpellons tous les acteurs et tous les ordres de gouvernement, y compris le fédéral.» http://www.ledevoir.com/2009/06/25/256520.html
  4. C’est Habsfan qui va etre content de savoir que son bon ami a été récompensé! Dinu Bumbaru d'Héritage Montréal lauréat du Prix Thomas-Baillairgé de l'Ordre des architectes du Québec MONTREAL, le 9 juill. /CNW Telbec/ - Héritage Montréal se réjouit de l'attribution du Prix Thomas-Baillairgé de l'Ordre des architectes du Québec (OAQ) à Monsieur Dinu Bumbaru, directeur des politiques d'Héritage Montréal. Ce prix annuel, créé en 1983 à la mémoire d'un des architectes et bâtisseurs québécois les plus renommés du XIXe siècle, a été décerné à Monsieur Bumbaru en raison de sa contribution à la conservation et à l'amélioration du cadre de vie au Québec. Monsieur Bumbaru a reçu ce prix à l'occasion de la récente l'assemblée générale annuelle de l'OAQ, tenue à Québec le 13 juin dernier. Le président de l'Ordre, Monsieur André Bourassa, a cité le remarquable engagement de Dinu Bumbaru à titre de directeur des politiques d'Héritage Montréal, de même que sa contribution à divers comités et organismes comme Les amis de la montagne, Culture Montréal et la Fédération des sociétés d'histoire du Québec. Il a aussi souligné le rôle de Dinu Bumbaru au plan international à titre de Secrétaire Général du Conseil international des monuments et des sites (ICOMOS), un organisme non gouvernemental présent dans plus de 120 pays qui conseille l'UNESCO en matière de patrimoine culturel. Le président du conseil d'administration d'Héritage Montréal, Monsieur Robert Turgeon, a accueilli avec plaisir cette marque de reconnaissance : "Dinu Bumbaru oeuvre depuis 25 ans sans relâche à Héritage Montréal pour la protection et à la mise en valeur du patrimoine montréalais. Ses réalisations lui valent un grand respect des intervenants en matière de patrimoine, comme en témoigne ce prix de l'Ordre des architectes du Québec. A Héritage Montréal, nous éprouvons beaucoup de fierté à côtoyer cet homme dont l'expertise connaît un rayonnement mondial." Monsieur Bumbaru a reçu avec beaucoup d'enthousiasme cet hommage à ses réalisations : "L'ensemble de ma démarche professionnelle est lié à la cause du patrimoine architectural et urbain, que je découvre et défends avec la même ferveur depuis près de 30 ans. Je suis très honoré par l'attribution de ce prix, qui renforce ma détermination à poursuivre cette action au service d'une architecture de qualité et, peu importe son âge, de valeur patrimoniale à Montréal, au Québec et ailleurs dans le monde." http://www.cnw.ca/fr/releases/archive/July2008/09/c3074.html
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