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Centres de données


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il y a 42 minutes, Né entre les rapides a dit :

Des installations comme celle de ce méga centre de données consommeront suffisamment d'électricité pour amener Hydro-Québec tôt ou tard à hausser sa capacité de production.  Si le tarif exigé est moindre que le coût marginal, il faudra compenser par une hausse des tarifs demandés aux utilisateurs existants -- si on veut maintenir un même niveau de rentabilité.

Pour toutes ces raisons Hydro-Québec désire minimiser la construction de nouvelles installations car cette nouvelle énergie coutera nécessairement plus cher, cela va de soi. Pour y arriver HQ prépare un programme de diminution de la consommation dont nous ne connaissons pas encore les détails.

En attendant HQ vient de signer une entente avec Énergir qui permettra aux gros consommateurs industriels notamment de réorienter leurs choix énergétiques. Ces derniers bénéficieront en effet de subventions gouvernementales (125 M$) pour la modification d'installations existantes, ou pour de nouvelles installations, qui leur permettra d'utiliser le gaz naturel lors des périodes de pointe, ce qui évitera à HQ d'acheter à grand frais de l'électricité lorsqu'elle n'est plus capable de répondre à la demande. Le reste du temps ces même utilisateurs passeront à l'électricité. Naturellement c'est HQ qui décidera quand il est temps que son client passe au gaz. Une telle entente entre un fournisseur de gaz et un fournisseur d'électricité est unique au monde.

il y a 42 minutes, Né entre les rapides a dit :

Finalement, il est possible que les tarifs exigés pour ce projet soient rentables pour Hydro-Québec, mais j'aimerais voir les chiffres, tenant compte des projections à moyen/long terme de la consommation d'électricité au Québec.

Pour les chiffres il faudrait consulter les pages d'Hydro-Québec. En attendant voici un extrait (mon emphase) d'un article concernant l'entente entre HQ et Énergir.

« Hydro-Québec et Énergir affirment qu’à cet horizon de 2030, la biénergie aura représenté des économies de 1,5 milliard $ par rapport à l’électrification complète des marchés visés qui s’alimentent actuellement au gaz naturel, un montant qui aurait entraîné des hausses de tarifs pour les clients des deux distributeurs. »

https://www.lesoleil.com/affaires/hydro-quebec-et-energir-sallient-pour-developper-la-bienergie-10bc9e71e75a626a5dac1a59956ae650

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Petite précision:

J'ai cru initialement que l'annonce d'aujourd'hui était une confirmation d'une annonce faite antérieurement concernant le même sujet. En fait l'annonce précédente, très semblable, concernait spécifiquement les gros consommateurs industriels alors que celle d'aujourd'hui concerne le chauffage des bâtiments résidentiels, commerciaux et institutionnels. Les deux annonces combinées concernent donc l'ensemble des clients d'Hydro-Québec.

https://www.tvanouvelles.ca/2021/07/14/hydro-quebec-sallie-a-energir-1

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Il va falloir que les petits usagers (M. Et Mme tout le monde) diminuent leur consommation en période de "pointe" pour pallier à la hausse future de la demande énergétique (centre de données, voitures électriques, etc ...) Sinon on s'en va dans un mur (pas assez de production).

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il y a 37 minutes, Rocco a dit :

Il va falloir que les petits usagers (M. Et Mme tout le monde) diminuent leur consommation en période de "pointe" pour pallier à la hausse future de la demande énergétique (centre de données, voitures électriques, etc ...) Sinon on s'en va dans un mur (pas assez de production).

À ce sujet le plan d'Hydro-Québec pour inciter les usagers à réduire leur consommation s'en vient bientôt. Le but d'Hydro-Québec est d'éviter de devoir construire de nouvelles installations (production et transport) qui auraient pour effet d'augmenter les tarifs comme c'est le cas présentement dans la plupart des autres provinces. L'idée étant de diminuer la consommation individuelle, commerciale et industrielle afin de permettre l'électrification des transports (incluant les voitures électriques), l'implantation de centres de données (incluant le Bitcoin), la création de nouvelles usines, l'exportation, etc., sans devoir augmenter la production. De cette façon HQ pourra maintenir les tarifs au niveau de l'inflation tout en remettant de juteux dividendes au gouvernement.

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Il y a 22 heures, Né entre les rapides a dit :

Les bas tarifs d'Hydro-Québec sont le reflet d'un coût moyen unitaire de production de l'électricité qui est exceptionnellement bas; mais tu sais bien que le coût moyen découle d'une combinaison d'unités productives à très bas coût et d'autres, typiquement plus récentes et/ou  issues principalement de la filière éolienne, dont les coûts dépassent la moyenne.

Le coût de production moyen d'Hydro-Québec est de 2 cents le kilowattheure (kWh). Pour les centres de données, les tarifs débutent à 4,04 cents le kilowattheure (kWh) lorsque le tarif de développement économique s’applique. Dans d'autres cas le prix est de 5,05 cents le kilowattheure (kWh). Au Québec les seuls nouveaux projets de production d'électricité sont les parcs d'éoliennes qui aujourd'hui peuvent vendre à profit leur électricité à HQ pour moins de 6 cents le kilowattheure (kWh). 

Le projet QScale possède au moins trois atouts qui jouent en sa faveur auprès du gouvernement:

1- Importante source de revenus pout l'État (140 MW).

2- Recyclage de l'énergie consommée, pour chauffer des serres notamment.

3- Création de 200 emplois techniques permanents et hautement rémunérés.

À noter que la planification d'Hydro-Québec est faite en fonction des tarifs autorisés par la Régie de l'énergie qui pour les cinq prochaines années ne permet aucune augmentation au delà du taux d'inflation. De plus, malgré le fait que le Québec continue d'attirer en grand nombre des entreprises énergivores (donc lucratives) les tarifs des particuliers demeurent néanmoins les plus bas en Amérique du Nord. Et comme je l'expliquais précédemment HQ prévoit inciter ses clients québécois à réduire leur consommation d'électricité, surtout en heure de pointe, afin d'être en mesure de répondre à la demande sans avoir à construire de nouvelles installations de production et de transport.

Par conséquent il est à prévoir que pour les prochaines années les revenus d'Hydro-Québec continueront d'augmenter sans qu'il soit nécessaire de rehausser les tarifs des particuliers au delà de l'inflation. La source de l'augmentation des revenus d'Hydro-Québec proviendra principalement des exportations (ici le réchauffement climatique joue en faveur d'Hydro), des fermes de Bitcoin, des centres de données comme Google, et de plus en plus espérons-le de centres de calcul comme QScale qui incidemment prévoit construire un deuxième centre à Saint-Bruno-de-Montarville.

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il y a une heure, Normand Hamel a dit :

Le coût de production moyen d'Hydro-Québec est de 2 cents le kilowattheure (kWh). Pour les centres de données, les tarifs débutent à 4,04 cents le kilowattheure (kWh) lorsque le tarif de développement économique s’applique. Dans d'autres cas le prix est de 5,05 cents le kilowattheure (kWh). Au Québec les seuls nouveaux projets de production d'électricité sont les parcs d'éoliennes qui aujourd'hui peuvent vendre à profit leur électricité à HQ pour moins de 6 cents le kilowattheure (kWh). 

Le projet QScale possède au moins trois atouts qui jouent en sa faveur auprès du gouvernement:

1- Importante source de revenus pout l'État (140 MW).

2- Recyclage de l'énergie consommée, pour chauffer des serres notamment.

3- Création de 200 emplois techniques permanents et hautement rémunérés.

À noter que la planification d'Hydro-Québec est faite en fonction des tarifs autorisés par la Régie de l'énergie qui pour les cinq prochaines années ne permet aucune augmentation au delà du taux d'inflation. De plus, malgré le fait que le Québec continue d'attirer en grand nombre des entreprises énergivores (donc lucratives) les tarifs des particuliers demeurent néanmoins les plus bas en Amérique du Nord. Et comme je l'expliquais précédemment HQ prévoit inciter ses clients québécois à réduire leur consommation d'électricité, surtout en heure de pointe, afin d'être en mesure de répondre à la demande sans avoir à construire de nouvelles installations de production et de transport.

Par conséquent il est à prévoir que pour les prochaines années les revenus d'Hydro-Québec continueront d'augmenter sans qu'il soit nécessaire de rehausser les tarifs des particuliers au delà de l'inflation. La source de l'augmentation des revenus d'Hydro-Québec proviendra principalement des exportations (ici le réchauffement climatique joue en faveur d'Hydro), des fermes de Bitcoin, des centres de données comme Google, et de plus en plus espérons-le de centres de calcul comme QScale qui incidemment prévoit construire un deuxième centre à Saint-Bruno-de-Montarville.

J'apprécie les informations supplémentaires, même si certaines m'étaient déjà familières: tu traces un bon portrait d'ensemble de la question en relation avec le projet QScale.  Je noterai toutefois que le coût prévu de l'électricité produite à la centrale de La Romaine serait de 6,4 cents le KWh, supérieur au coût moyen actuel; aussi ce coût somme toute modeste profite des taux d'intérêts plus bas que prévus au moment du lancement du projet.   

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Il y a 2 heures, Né entre les rapides a dit :

Je noterai toutefois que le coût prévu de l'électricité produite à la centrale de La Romaine serait de 6,4 cents le KWh, supérieur au coût moyen actuel; aussi ce coût somme toute modeste profite des taux d'intérêts plus bas que prévus au moment du lancement du projet.

La Romaine a un coût de production équivalent aux coûts actuels de l'éolien.

Cependant, La Romaine appartient à Hydro-Québec alors que pour les éoliennes il s'agit de contrats d'approvisionnement qui permettent à HQ de refaire le plein de ses barrages lorsque les éoliennes sont en action. L'autre différence encore plus importante est que l'électricité du complexe La Romaine est disponible quasiment en tout temps car parmi les quatre centrales hydro-électriques qui la composent trois sont à réservoir et une seule au fil de l'eau, donc tributaire du débit de la rivière qui varie en fonction des précipitations et selon la période de l'année. Pour cette dernière (Romaine-1) la disponibilité demeure néanmoins de l'ordre de 85%, si ma mémoire est bonne, tandis que l'éolien n'est disponible que de 20 à 25% du temps au mieux.

En résumé, pour un coût de production équivalent, HQ est propriétaire de La Romaine et celle-ci produit grosso modo quatre fois plus tout en étant disponible en tout temps. L'éolien n'étant pas une source d'approvisionnement fiable il est utilisé comme complément de l'hydro-électricité. Ce qui semble faire l'affaire d'Hydro tant que le coût de revient est équivalent.

En passant, aucune des autres centrales hydro-électriques qui ont été construites au Canada pendant la même période n'a un coût de production aussi bas que La Romaine même si elles aussi bénéficient des faibles taux d'intérêts. Pour les trois autres centrales en question (Terre-Neuve, Manitoba, Colombie-Britannique) on parle d'un facteur de 2, 3 et même 4 fois plus cher. L'expertise d'Hydro-Québec en la matière est d'ailleurs reconnue partout sur la planète.

Au rythme où vont les choses La Romaine s'avère une véritable aubaine et un jour HQ se félicitera d'avoir construit ce méga projet. D'ailleurs sans La Romaine il n'aurait pas été possible de signer des contrats à long terme (20 ans) avec le Massachusetts et New York qui rapporteront chacun 10 milliards de dollars à l'État québécois sur la durée de ces contrats. Dit autrement, ces deux contrats rapporteront 1 milliard par année au Québec, assurés sur une période d'au moins 20 ans.

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il y a 14 minutes, Normand Hamel a dit :

En passant, aucune des autres centrales hydro-électriques qui ont été construites au Canada pendant la même période n'a un coût de production aussi bas que La Romaine même si elles aussi bénéficient des faibles taux d'intérêts. Pour les trois autres centrales en question (Terre-Neuve, Manitoba, Colombie-Britannique) on parle d'un facteur de 2, 3 et même 4 fois plus cher. L'expertise d'Hydro-Québec en la matière est d'ailleurs reconnue partout sur la planète.

Au rythme où vont les choses La Romaine s'avère une véritable aubaine et un jour HQ se félicitera d'avoir construit ce méga projet. D'ailleurs sans La Romaine il n'aurait pas été possible de signer des contrats à long terme (20 ans) avec le Massachusetts et New York qui rapporteront chacun 10 milliards de dollars à l'État québécois sur la durée de ces contrats. Dit autrement, ces deux contrats rapporteront 1 milliard par année au Québec, assurés sur une période d'au moins 20 ans.

1)  Je suis pleinement d'accord.  L'expertise reconnue d'Hydro-Québec y compte pour beaucoup, mais il faut dire aussi que le projet de la C-B (Site C Dam) et celui de Terre-Neuve (Lower Churchill) ont été entrepris malgré des objections importantes de plusieurs experts (sans les nommer).  Quand au projet Keeyask du Manitoba sur le fleuve Nelson, je ne m'y suis jamais vraiment intéressé.  

2) Oui une véritable aubaine, surtout dans un contexte de taux d'intérêts historiquement bas, qui favorisent une plus forte intensité du capital fixe par rapport aux dépenses d'exploitation plus élevées des installations dépendantes des énergies fossiles.

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Il y a 9 heures, Né entre les rapides a dit :

Quand au projet Keeyask du Manitoba sur le fleuve Nelson, je ne m'y suis jamais vraiment intéressé.

Il est vrai que ce projet ne semble pas très excitant à prime abord mais est quand même intéressant à plus d'un titre.

D'abord cette centrale hydroélectrique devrait coûter au moins 8,7 milliards de dollars pour une puissance de 695 MW. Pour un coût légèrement inférieur La Romaine produit 1550 MW de puissance. Le complexe La Romaine c'est en fait quatre centrales comme Keeyask, dont la Romaine-2 qui produit 640 MW à elle seule. De plus, il a fallu construire une ligne de transport d'électricité du nord du Manitoba jusqu'à la frontière américaine dans l'espoir d'exporter une partie de la production. Or cette ligne de haute tension politique a coûté 5 G$. Ce qui fait que Manitoba Hydro se retrouve aujourd'hui avec une lourde dette qui l'oblige à hausser ses tarifs. En comparaison, Hydro-Québec a une dette de 48 G$ et Manitoba Hydro a une dette de 23 G$. Mais HQ est 7 à 8 fois plus grosse que MH.

Comme le projet est récent on ne connait pas encore l'impact à long terme que cela aura sur les tarifs. C'est bien dommage pour les Manitobains car ce projet n'était pas nécessaire et le Manitoba bénéficiait des tarifs les plus bas au Canada après le Québec. Alors que les tarifs demeurent stables au Québec ils ne feront hélas qu'augmenter dans l'avenir au Manitoba, comme partout ailleurs au Canada.

Il y a 9 heures, Né entre les rapides a dit :

par rapport aux dépenses d'exploitation plus élevées des installations dépendantes des énergies fossiles.

Je ne connais pas les coûts d'exploitation pour les centrales aux énergies fossiles. Cependant je connais un peu mieux ceux du nucléaire et de l'hydroélectricité. À titre d'exemple, prenons une centrale nucléaire comme Bruce en Ontario, qui incidemment a été privatisée. Cette immense centrale de huit réacteurs a besoin d'au moins 4000 personnes pour opérer alors que les installations d'Hydro-Québec à la Baie James ne nécessitent que 900 personnes pour opérer et produisent trois fois plus d'énergie. Sans parler des coûts d'entretien extrêmement élevés du nucléaire et du prix du combustible (uranium). 

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  • 3 semaines plus tard...

iWeb, de Montréal, passe en mains hollandaises

L’entreprise montréalaise de centres de données informatiques iWeb passe aux mains de l’entreprise néerlandaise Leaseweb Global.

Martin Vallières - La Presse

La transaction annoncée lundi sur un fil de presse d’affaires aux États-Unis comprend les quatre centres de données d’iWeb dans la région de Montréal, qui regroupent 92 employés. 

Aussi, cette transaction survient un peu plus d’un an après que la société propriétaire d’iWeb depuis 2013, soit l’américaine Internap (INAP), a émergé d’un processus de restructuration financière en protection de ses créanciers, ou « Chapitre 11 » dans la législation d’affaires aux États-Unis. 

La vente d’iWeb à l’un de ses principaux concurrents, Leaseweb Global, s’inscrit dans une série de revente d’actifs et de filiales par Internap au cours des derniers mois. 

Présence au Canada

Selon le communiqué diffusé par Leaseweb Global, l’achat de la montréalaise iWeb, qu’elle décrit comme un « meneur des services d’hébergement de données et d’infonuagique », lui permettra d’établir une « présence significative au Canada, qui devient son troisième plus gros marché national selon les revenus, après les Pays-Bas et les États-Unis ». 

« Nous suivons le développement d’iWeb avec beaucoup d’intérêt depuis plusieurs années. Et en tant qu’entreprise avec un ADN d’affaires très semblable au nôtre, nous savons qu’iWeb nous apportera un large éventail de services et de compétences complémentaires à notre présence au Canada », a affirmé le président de Leaseweb Global, Con Zwinkels. 

À la direction d’iWeb à Montréal, après quelques années de décroissance et d’insécurité financière dans le giron d’Internap, on semble plutôt réconforté de passer dans le giron de Leaseweb Global. 

« Cette transaction est excitante pour les employés, les clients et les partenaires d’iWeb. Nous rejoignons une équipe qui se concentre sur le produit, la croissance et l’expérience client », indique Roberto Montesi, PDG d’iWeb, dans le communiqué diffusé par Leaseweb Global. 

Il s’agit d’une étape passionnante de notre parcours. Ça garantit que le Canada deviendra une partie importante de la future histoire à succès de Leaseweb Global. - Roberto Montesi, PDG d’iWeb

D’ailleurs, dans la description de son intérêt envers iWeb, la direction de Leaseweb Global souligne que ses centres de données à Montréal sont « alimentés à 99 % par de l’hydroélectricité renouvelable » et qu’ils hébergent déjà « des milliers de serveurs pour des clients dans un large éventail de secteurs industriels ». 

Aussi, Leaseweb Global souligne que « le Grand Montréal est un pôle de croissance rapide pour les organisations qui s’appuient sur une infrastructure “cloud” [infonuagique] et de centres de données qui soit puissante, fiable et sécurisée ». 

À l’échelle internationale, Leaseweb Global exploite une vingtaine de centres de données d’envergure – plus de 80 000 serveurs informatiques servant 18 000 clients – qui sont localisés en Europe, en Asie, en Australie et en Amérique du Nord. 

Le nom d’iWeb était apparu en avril dernier dans une enquête de La Presse parce que ses serveurs hébergeaient des images de pornographie juvénile.

https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/2021-08-03/centres-de-donnees-informatiques/iweb-de-montreal-passe-en-mains-hollandaises.php

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