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Les festivals à Montréal


Messages recommendés

Il y a 20 heures, santana99 a dit :

Se rappeler que tout homme a un double. Lire ou relire à ce sujet la nouvelle de l'écrivain argentin Bioy Casares. :D

On a de la chance d'avoir un Rocco mais deux ça serait vraiment beaucoup trop. :yikes::yikes::yikes:

Ceci dit, avec tout le respect que je te dois, le reste de ton discours sur le Covid relève du gros trip d'acide QAnonesque. ;)

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Il y a 1 heure, KOOL a dit :

On a de la chance d'avoir un Rocco mais deux ça serait vraiment beaucoup trop. :yikes::yikes::yikes:

Ceci dit, avec tout le respect que je te dois, le reste de ton discours sur le Covid relève du gros trip d'acide QAnonesque. ;)

Qu'est-ce que j'ai écrit sur le COVID qui relève du gros trip d'acide QAnonesque ?

Moi je donne les infos. Je suis factuel. Il est question de Schwabb, président du Forum international de Davos, qui parle de la pandémie comme "d'une fenêtre d'opportunité". Qu'est-ce que ça à voir avec Qanon ?

Tiens-t'en aux faits, ok ? ET on pourra discuter. Autrement, je te conseille de passer ton tour.

Qu'est-ce que tu amènes comme infos, toi ? 

Avec tout le respect que je te dois évidemment.;)

Quant à Rocco, il est de notoriété publique qu'il se terre dans son sous-sol et revisionne les vidéos de RBO pour passer le temps. Bref, pendant que notre Rocco national évolue sous terre et n'enlève son masque que pour boire son pina colada et manger ses chips, son double prend des photos pour Mtlurb et tous les risques à l'extérieur.

Voilà pour la petite histoire ! Inventée évidemment !

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Tu ne donne pas des infos' mais ton point de vue. Ce n'est pas pareil.

J'avais trouvé une façon imagée, que tu a prise au premier degré, pour te dire que je ne partageais pas ta vision des choses et je ne me lancerai donc pas dans un dialogue de sourds qui serait aussi stérile qu'inutile au final, que ce soit pour toi, moi ou surtout tous les autres membres.

Concernant Rocco, tout le monde sait qu'il prend une bonne partie des ses photo à partir de la terrasse collective de son condo' à la limite nord-ouest du Vieux-Montréal et donc nul besoin de commenter ta théorie complotiste concernant son double et son sous-sol. 

 

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il y a 26 minutes, KOOL a dit :

Tu ne donne pas des infos' mais ton point de vue. Ce n'est pas pareil.

J'avais trouvé une façon imagée, que tu a prise au premier degré, pour te dire que je ne partageais pas ta vision des choses et je ne me lancerai donc pas dans un dialogue de sourds qui serait aussi stérile qu'inutile au final, que ce soit pour toi, moi ou surtout tous les autres membres.

Concernant Rocco, tout le monde sait qu'il prend une bonne partie des ses photo à partir de la terrasse collective de son condo' à la limite nord-ouest du Vieux-Montréal et donc nul besoin de commenter ta théorie complotiste concernant son double et son sous-sol. 

 

Je donne généralement des infos, souvent très pertinentes sur l'évolution de la pandémie, statistiques à l'appui, ce que tu ne fais pas, et parfois mon point de vue comme tout le monde.

Tu n'es pas obligé de partager mon point de vue, mais prends la peine de lire les fils consacrés au sujet. Tu vas constater que la plus grande partie de mes commentaires est constituée d'informations fiables et sourcées. Pas la peine de me faire un faux procès.

Quant à Rocco, on plaisante sur son compte comme il plaisante sur le nôtre. Le complotisme n'a rien à voir là-dedans ! Donc, cesse d'utiliser ce mot à tort et à travers. Tu es hors-sujet. Rien à voir. Mais je vais prendre le troisième paragraphe de ton dernier commentaire comme une tentative d'humour au deuxième degré.

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il y a 38 minutes, SameGuy a dit :

Tiresome

Fatigué de tes interventions inutiles.

Il y a une pandémie, et les festivals sont annulés ou reportés en raison de la pandémie.

C'est ça le sujet ! Les festivals en temps de pandémie !

Osheaga est reporté en 2022, les Francos et le Festival de Jazz en septembre.

On suit l'évolution de la situation sanitaire, pas le choix d'en parler.

<

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On annule ou reporte les festivals à l'extérieur là où se contamine le moins !

Et on ne tient pas de spectacles à l'intérieur !

Que les organisateurs des festivals à Montréal prennent immédiatement connaissance de cette étude du MIT.

Cette étude émane du MIT, pas d'un organisme complotiste, et vient tout juste d'être publiée ces jours-ci ! 

Une étude extrêmement importante et solide, et qui fera date ! Allo Arruda !

https://www.pnas.org/content/118/17/e2018995118#sec-6

https://www.ladepeche.fr/2021/04/24/covid-19-la-distanciation-physique-inutile-pour-limiter-la-transmission-du-virus-9507942.php

Ce qui importe dans les lieux clos : LA VENTILATION ! Pas la distanciation physique, ni le port du masque !

Dans les lieux clos, la distanciation physique ne sert pratiquement à rien, et le port du masque n'est pas très utile et peut même être nuisible. Ce qui est important c'est que ces lieux soient bien ventilés.

Alors, imaginez à l'extérieur où il y a une ventilation naturelle !

Autrement dit, avec une excellente ventilation et un système de renouvellement d'air régulier, on aurait pu garder ouvert les restaurants, les lieux culturels, et les salles de spectacle, et ce À PLEINE CAPACITÉ ! À pleine capacité ! Ce n'est pas moi qui l'écrit, mais les auteurs de l'étude qui sont infiniment plus compétents que vous et moi !

Un nouvel éclairage extrêmement important sur les mesures à adopter dans les lieux clos pour limiter la transmission du coronavirus.

On en apprend toujours un peu plus chaque jour sur ce virus. Chose certaine, il faut s'appuyer sur les plus récentes données scientifiques !

 

 

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Pour revenir sur le sujet de ce fil:

 

La « business » changeante des méga festivals

PHOTO OLIVIER JEAN, ARCHIVES LA PRESSE

« Même Osheaga n’échappe pas à la tendance des petits évènements intimistes, alors que l’organisation exprimait cette semaine son désir d’avoir six scènes au total et non un seul gigantissime espace événementiel », souligne l'auteure.

La réaction d’evenko/Groupe CH au dévoilement du Plan directeur du parc Jean-Drapeau était prévisible et illustre en soi plusieurs enjeux liés à l’industrie événementielle. La vaste majorité de ces enjeux étaient présents avant la pandémie et sont de mieux en mieux documentés par des recherches internationales. La pandémie n’a fait que les amplifier et y ajouter une couche d’urgence. Il est important de garder cela en tête pour bien comprendre la situation.

Publié le 25 avril 2021 à 12h00

https://www.lapresse.ca/debats/opinions/2021-04-25/la-business-changeante-des-mega-festivals.php

Julie Bélanger
L’auteure compte plus de 20 années d’expérience professionnelle dans le milieu événementiel et culturel*

Depuis le début des années 2000, les méga évènements ont connu une croissance exponentielle partout sur la planète. Coachella, EDC, Summerfest, Rock in Rio, Glastonbury, Electric Zoo, Burning Man, etc. À Montréal, notre méga évènement est Osheaga. Ils offrent l’avantage du tout en un : des centaines d’artistes regroupés en un seul endroit, une tonne de spectacles en quelques jours avec un seul et unique billet et un branding fort.

Si, de 2000 à 2015, l’industrie a vu une extraordinaire multiplication des évènements d’envergure partout sur la planète, elle s’est depuis consolidée. En 2018, l’Association of Independent Festivals (AIF) sonnait l’alarme en Grande-Bretagne en soulignant que Live Nation était propriétaire de plus de 25 % de tous les grands festivals britanniques. Le Québec a aussi vécu cette vague de consolidations. D’ailleurs, depuis 2019, Live Nation est actionnaire à 49 % de l’entité du Groupe CH qui regroupe les activités d’evenko et de Spectra. Lors de l’annonce, le gouvernement de François Legault s’était dit « préoccupé » par cette transaction.

À Montréal, cette consolidation est aussi extrêmement importante depuis 2016. Par exemple, le Groupe CH, via ses différentes entités, est aujourd’hui propriétaire d’Osheaga, du Festival Juste pour rire, des Francos de Montréal, du Festival international de jazz de Montréal, de Zoofest, d’îleSoniq, de Heavy Mtl, du Mondial des Jeux, de Montréal en lumière, de Lasso et j’en passe, sans oublier le Canadien de Montréal, bien sûr. Tous ces grands évènements au Québec sont regroupés au sein d’une organisation, le Regroupement des évènements majeurs internationaux (RÉMI). Sur les 31 membres du RÉMI, 15 sont des évènements qui se déroulent à Montréal et sur ces 15 membres montréalais, le Groupe CH est propriétaire de cinq évènements/organisations, soit 33 % du membership montréalais. On peut se questionner sur l’impact d’une telle concentration sur le milieu culturel.

PHOTO ARCHIVES LA PRESSE

Vue d'Espace 67 au parc Jean-Drapeau, destiné à accueillir un grand nombre de festivaliers

À l’échelle internationale, les méga festivals semblent avoir atteint leur apogée et certains sont en déclin depuis 2018, notamment en raison de la croissance importante de leurs coûts et d’uniformisation de leur programmation. On note maintenant une nouvelle tendance événementielle internationale : les petits évènements indépendants qui offrent une expérience plus nichée, une programmation plus spécialisée et qui permettent aux festivaliers d’avoir une certaine intimité avec les artistes. Ces petits évènements intimistes permettent aux festivaliers de vivre une expérience unique dans un lieu inusité, un moment qui ne peut être reproduit à grande échelle. Même Osheaga n’y échappe pas alors que l’organisation exprimait cette semaine son désir d’avoir six scènes au total et non un seul gigantissime espace événementiel.

Bref, trois ans après sa construction, le nouvel « Espace 67 » ne correspond déjà plus aux besoins événementiels d’evenko et du Groupe CH.

Il sera certainement tentant, au cours des prochaines années, de pointer la pandémie ou un nouveau plan directeur au parc Jean-Drapeau pour tenter d’expliquer la baisse de popularité de certains méga évènements mais il sera important de garder en tête que l’industrie événementielle a toujours été et continue d’être en constante évolution, et qu’une expérience plus intime dans des lieux à forte symbolique pourront constituer un avantage indéniable. Il y a 16 ans à peine, Osheaga n’existait pas. Les choses changent, évoluent, tout comme les goûts des festivaliers d’ici et d’ailleurs. C’est d’ailleurs cette évolution et cette volonté des Montréalais de se réapproprier leurs espaces verts, développer des infrastructures durables et accessibles que reflète le très réfléchi plan directeur 2020-2030 du parc Jean-Drapeau.

* Julie Bélanger occupe actuellement les fonctions de directrice de cabinet du maire de l’arrondissement du Sud-Ouest et président du comité exécutif. Elle écrit ce texte à titre personnel.

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Messieurs, les responsables des festivals à Montréal, basez-vous sur la science, et informez-vous !

L'ignorance est votre pire ennemi !

Un concert-test en Espagne montre qu'on peut tenir des spectacles en extérieur de façon sécuritaire !

https://actu.orange.fr/societe/culture/covid-19-concert-test-concluant-a-barcelone-avec-5-000-spectateurs-magic-CNT000001At8l5.html

https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/04/27/concert-test-en-espagne-aucun-signe-de-contagion-au-coronavirus-detecte-un-mois-apres_6078235_3244.html

Aucun signe de contagion après un concert-test de 5000 personnes à Barcelone !

https://www.tvanouvelles.ca/2021/04/27/covid-19--aucun-signe-de-contagion-apres-un-concert-test-de-5000-personnes-a-barcelone

«Aucun signe» de contagion après un concert-test de 5000 personnes à Barcelone

Agence France-Presse

| Publié le 27 avril 2021 à 07:17 - Mis à jour à 08:54

«Aucun signe» de contagion après un concert-test de 5000 personnes à Barcelone - images de l'événement

Il n'y a eu «aucun signe» de contagion suite au concert-test de rock qui s'est tenu le 27 mars à Barcelone, en Espagne, avec 5000 spectateurs dansant masqués mais sans distance, ont affirmé mardi les organisateurs.

Deux semaines après ce concert du groupe Love of Lesbian, selon les données fournies par le système de santé public, «il n'y a aucun signe qui suggère qu'une transmission a eu lieu pendant l'évènement, ce qui était l'objectif de cette étude», a déclaré Josep Maria Llibre, médecin de l'hôpital Germans Trias i Pujol de Badalone, lors d'une conférence de presse.

Le public, qui avait été soumis à un test antigénique avant le concert, portait des masques FFP2.

Selon le médecin, seuls six cas positifs sur les 5000 spectateurs ont été détectés quinze jours après le concert et les organisateurs sont certains «que pour quatre de ces six cas, la transmission n'a pas eu lieu pendant le concert».

«Avec une ventilation optimisée, des tests antigéniques et le port du masque, on peut garantir un espace sûr», a-t-il ajouté.

Outre les tests et les masques FFP2, la ventilation ainsi que les capacités d'accueil dans les lieux critiques comme les toilettes étaient strictement contrôlés.

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Le 2021-04-25 à 13:21, acpnc a dit :

Pour revenir sur le sujet de ce fil:

 

La « business » changeante des méga festivals

PHOTO OLIVIER JEAN, ARCHIVES LA PRESSE

« Même Osheaga n’échappe pas à la tendance des petits évènements intimistes, alors que l’organisation exprimait cette semaine son désir d’avoir six scènes au total et non un seul gigantissime espace événementiel », souligne l'auteure.

La réaction d’evenko/Groupe CH au dévoilement du Plan directeur du parc Jean-Drapeau était prévisible et illustre en soi plusieurs enjeux liés à l’industrie événementielle. La vaste majorité de ces enjeux étaient présents avant la pandémie et sont de mieux en mieux documentés par des recherches internationales. La pandémie n’a fait que les amplifier et y ajouter une couche d’urgence. Il est important de garder cela en tête pour bien comprendre la situation.

Publié le 25 avril 2021 à 12h00

https://www.lapresse.ca/debats/opinions/2021-04-25/la-business-changeante-des-mega-festivals.php

Julie Bélanger
L’auteure compte plus de 20 années d’expérience professionnelle dans le milieu événementiel et culturel*

Depuis le début des années 2000, les méga évènements ont connu une croissance exponentielle partout sur la planète. Coachella, EDC, Summerfest, Rock in Rio, Glastonbury, Electric Zoo, Burning Man, etc. À Montréal, notre méga évènement est Osheaga. Ils offrent l’avantage du tout en un : des centaines d’artistes regroupés en un seul endroit, une tonne de spectacles en quelques jours avec un seul et unique billet et un branding fort.

Si, de 2000 à 2015, l’industrie a vu une extraordinaire multiplication des évènements d’envergure partout sur la planète, elle s’est depuis consolidée. En 2018, l’Association of Independent Festivals (AIF) sonnait l’alarme en Grande-Bretagne en soulignant que Live Nation était propriétaire de plus de 25 % de tous les grands festivals britanniques. Le Québec a aussi vécu cette vague de consolidations. D’ailleurs, depuis 2019, Live Nation est actionnaire à 49 % de l’entité du Groupe CH qui regroupe les activités d’evenko et de Spectra. Lors de l’annonce, le gouvernement de François Legault s’était dit « préoccupé » par cette transaction.

À Montréal, cette consolidation est aussi extrêmement importante depuis 2016. Par exemple, le Groupe CH, via ses différentes entités, est aujourd’hui propriétaire d’Osheaga, du Festival Juste pour rire, des Francos de Montréal, du Festival international de jazz de Montréal, de Zoofest, d’îleSoniq, de Heavy Mtl, du Mondial des Jeux, de Montréal en lumière, de Lasso et j’en passe, sans oublier le Canadien de Montréal, bien sûr. Tous ces grands évènements au Québec sont regroupés au sein d’une organisation, le Regroupement des évènements majeurs internationaux (RÉMI). Sur les 31 membres du RÉMI, 15 sont des évènements qui se déroulent à Montréal et sur ces 15 membres montréalais, le Groupe CH est propriétaire de cinq évènements/organisations, soit 33 % du membership montréalais. On peut se questionner sur l’impact d’une telle concentration sur le milieu culturel.

PHOTO ARCHIVES LA PRESSE

Vue d'Espace 67 au parc Jean-Drapeau, destiné à accueillir un grand nombre de festivaliers

À l’échelle internationale, les méga festivals semblent avoir atteint leur apogée et certains sont en déclin depuis 2018, notamment en raison de la croissance importante de leurs coûts et d’uniformisation de leur programmation. On note maintenant une nouvelle tendance événementielle internationale : les petits évènements indépendants qui offrent une expérience plus nichée, une programmation plus spécialisée et qui permettent aux festivaliers d’avoir une certaine intimité avec les artistes. Ces petits évènements intimistes permettent aux festivaliers de vivre une expérience unique dans un lieu inusité, un moment qui ne peut être reproduit à grande échelle. Même Osheaga n’y échappe pas alors que l’organisation exprimait cette semaine son désir d’avoir six scènes au total et non un seul gigantissime espace événementiel.

Bref, trois ans après sa construction, le nouvel « Espace 67 » ne correspond déjà plus aux besoins événementiels d’evenko et du Groupe CH.

Il sera certainement tentant, au cours des prochaines années, de pointer la pandémie ou un nouveau plan directeur au parc Jean-Drapeau pour tenter d’expliquer la baisse de popularité de certains méga évènements mais il sera important de garder en tête que l’industrie événementielle a toujours été et continue d’être en constante évolution, et qu’une expérience plus intime dans des lieux à forte symbolique pourront constituer un avantage indéniable. Il y a 16 ans à peine, Osheaga n’existait pas. Les choses changent, évoluent, tout comme les goûts des festivaliers d’ici et d’ailleurs. C’est d’ailleurs cette évolution et cette volonté des Montréalais de se réapproprier leurs espaces verts, développer des infrastructures durables et accessibles que reflète le très réfléchi plan directeur 2020-2030 du parc Jean-Drapeau.

* Julie Bélanger occupe actuellement les fonctions de directrice de cabinet du maire de l’arrondissement du Sud-Ouest et président du comité exécutif. Elle écrit ce texte à titre personnel.

Cet article m'a ouvert les yeux sur un phénomène de portée internationale dont j'ignorais l'ampleur.  Et pour en apprendre un peu plus je me suis renseigné sur l'entreprise Live Nation/Live Nation Entertainment.  Faites de même, ça vaudra mieux que n'importe quel commentaire que je pourrais formuler sur ce sujet.  Ensuite, on pourra songer aux implications.

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