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Normand Hamel

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Tout ce qui a été posté par Normand Hamel

  1. If it looks like a duck, swims like a duck, and quacks like a duck, it's not necessarily a duck. 😛
  2. J'ai pensé la même chose la première fois que j'ai vu le ciment de la patinoire. C'est peut-être ce qu'ils ont l'intention de faire éventuellement.
  3. Montreal is becoming an even bigger game development hub The announcement of a new Gearbox studio in Montreal yesterday extends an extraordinary streak of studio openings in what was already one of the global capitals for video game creation. Driving the news: Since last year, Tencent’s TiMi Studios, 2K, Amazon, Dontnod, New World Interactive, Phoenix Labs, Quantic Dream, Room 8, Deck13, and more have opened studios in Montreal. Two motivations prevail: Financing the studios with the region's generous tax credits. Tapping into a rich talent pool filled by decades of major game development in the city. Between the lines: Montreal has been a game development hub since the ’90s when local studios such as Behaviour got a new neighbor in Paris-headquartered Ubisoft. The “Assassin’s Creed” maker now employs nearly 5,000 people in its studios in Quebec, where its Montreal operation is the largest. Since Ubisoft entered, other game giants followed, including EA, Eidos and Bethesda. Smaller studios such as Panache and Reflector opened up, often run by people who left the bigger Montreal outfits. What they’re saying: “We think we are in the third wave, where we see more big studios coming, many of them coming from Asia,” Stéphane Paquet, head of the public-private business group Montréal International, told Axios. Among the recent studio openings: A Montreal office for Chinese hit-maker MiHoYo, whose “Genshin Impact” is one of the biggest games on the planet. Some new studios, such as Haven and Raccoon Logic, are opening in the wake of development downsizing at Google Stadia, and many are plucking ex-Ubisoft developers, some of whom have become disenchanted with that company. Joked one local developer to Axios of everyone’s Montreal game dev hiring strategy: “Ubi is basically their supermarket.” The big picture: Montréal International estimates there are now about 200 game studios and 15,000 industry workers in the city. One studio source told Axios that expansion has been good for workers, as some deeper-pocketed companies such as Epic and Unity arrive and offer better wages. And as new studios provide more options, they have an unusual amount of power to land the jobs that make them happiest. https://www.axios.com/montreal-is-becoming-an-even-bigger-game-development-hub-688a46c7-5c07-48f9-9d77-cf5e6201e37c.html?utm_campaign=organic&utm_medium=socialshare&utm_source=twitter
  4. Dans le reportage de Radio-Canada on mentionne que la patinoire sera ouverte à partir du 15 décembre prochain. Je me demandais pourquoi et j'ai obtenu la réponse dans le Journal de Montréal: « Des travaux sont encore nécessaires pour terminer le chalet, qui devrait être prêt pour la fin de l’année. »
  5. Merci, mais la correction avait été faite dans un post subséquent dans les minutes qui ont suivi car je me suis tout de suite rendu compte de mon erreur. Je pensais à toi d'ailleurs à ce moment-là en me disant que j'aillais me faire ramasser par Martin si je n'apportais pas la bonne information. Et c'est bien ainsi car je reste en tout temps sur mes gardes. 😊
  6. Photos 1 et 2: @Journal de Montréal Capture d'écran
  7. Je viens de réaliser que le frère André est décédé en 1937. Il y avait donc une autre raison pour ce rassemblement: Extrait 1 - Le 13 octobre 1960, à l'oratoire, une foule de pèlerins venue entendre le mystérieux message que la Vierge avait - disait-on - laissé aux enfants de Fatima et à la suite duquel elle aurait prononcé les inquiétantes paroles: «Pauvre Canada!» Extrait 2 - L'apothéose de l'affluence eut lieu le 13 octobre 1960. Ce jour là, 12 000 personnes debout, serrées les unes contre les autres, remplissaient la basilique tandis que les abords étaient noirs de monde. Ils venaient prier Notre-Dame de Fatima et attendaient la révélation du troisième secret… Jean XXIII refusa de le rendre public. On connaît la suite… l'Église allait devenir cette « grande ville à moitié en ruines » décrite dans le 3e Secret de Fatima qui ne fut révélé qu'en juin 2000.
  8. L'Oratoire Saint-Joseph, le 13 octobre 1960, lors de la mort du frère André.
  9. Dans le cas de l'échangeur Turcot, de loin la plus vaste structure à s'être effondrée lors du séisme, 95 % des matériaux ont été recyclés dans les nouvelles structures, excédant largement le minimum fixé à 80 % par le ministère des Transports. Bien plus qu'une colline, nous avons érigé un véritable massif dédié à l'intelligence artificielle dans le Mile-Ex, un quartier qui est d'ailleurs en reconstruction. Dans l'exemple que j'ai donné il n'y a pas de limite de hauteur.
  10. Les crucifix ont été retirés de l'Assemblée nationale depuis un bon moment déjà: en 1968 du Salon rouge et en 2019 du Salon bleu. Ils avaient été installés en 1936 à l'initiative de Maurice Duplessis. Ils font aujourd'hui partie d'une exposition permanente.
  11. Cette option a été considérée mais elle s'est avérée impraticable à cause de la nature même du REM, car il s'agit d'un système automatisé, donc sans conducteur, et de fréquence élevée, soit un convoi toutes les deux ou trois minutes. C'est pourquoi le REM se doit de passer en dessous des voies de circulation, ou par dessus.
  12. En 2015 s’est produit à Montréal un séisme d’une ampleur sans précédent, semblable au tremblement de terre de Lisbonne de 1755. Dans un premier temps l’autoroute Bonaventure s’est écroulée jusqu’à l’entrée de la ville; puis peu après l’échangeur Turcot s’est effondré comme un château de carte; même le pont Champlain n’a pu résister et continue à chaque jour de perdre des morceaux. De vastes terrains de stationnement ont été entièrement détruits alors que les plus vieux édifices s’écroulaient les uns après les autres dans d'immenses nuages de poussière et de gravats. À leurs places ont émergé comme des champignons de grandes tours noires: on dirait des fantômes surgis du néant; on croyait jusque là qu’elles appartenaient à un passé révolu. Les citoyens ont de la difficulté à se déplacer et se butent continuellement sur des amoncellements de débris qui bloquent les principaux artères de la ville. Les visiteurs aussi ont du mal à s’y retrouver car les images de leurs guides n’ont plus rien à voir avec la réalité, la ville étant devenue méconnaissable. Des promoteurs nostalgiques errent dans les différents quartiers à la recherche de proches maintenant disparus. C’est une scène insaisissable. Et comme si ce n’était pas suffisant un ouragan nommé REM s’abattra bientôt sur la ville déjà meurtrie. Partout on croise des gens incrédules au regard perdu devant l’immensité du chantier de reconstruction qui s’annonce. On voit ici et là des grues gigantesques qui tentent de remettre la cité debout. C’est à la fois un spectacle grandiose et effrayant. Il y a énormément de bruit et de va et vient. Personne ne comprend ce qui a bien pu se produire car Montréal était alors en dormance. Mais le réveil fut brutal et la colère gronde chez les commerçants qui voient leurs clients détournés vers d’autres avenues plus praticables. On claironne partout que c’est le début d’un temps nouveau et qu'il fallait détruire le passé pour construire l’avenir. Normand Hamel
  13. And you still can't see through it.
  14. You have to look at the potential of this boulevard. It is 38 meters wide to start with and there is plenty of room for green spaces. For now the west part is more beautiful but it is still the same boulevard.
  15. Ce n'est pas une question de design. C'est une caution d'opacité. Et peu importe la beauté du concept qui pourrait être retenu il est impossible de construire une structure de cette dimension qui soit transparente. Par conséquent les piétons auront en permanence une vue imprenable sur une immense structure de béton ou d'acier qui leur obstruera la vue sur de somptueux édifices, comme le Jean-Lesage par exemple, ainsi que le décor ambiant, comme par exemple le portique nord du Quartier chinois. Je suis complètement estomaqué et stupéfait que l'on considère même cette possibilité.
  16. I wish it was my work but it isn't. As I have mentioned in a previous post it is the work of Serge Chapleau of La Presse. He certainly made a clear point here. Unfortunately some people still don't get it. 😳
  17. C'est parce qu'on est en 2021... going to 2022. 😜
  18. That was before CDPQ Infra got into the picture! 😜
  19. La murale de Mousseau Intitulée Lumière et mouvement dans la couleur (1961-1962), la murale de Jean-Paul Mousseau agit à la manière d’une verrière qui devient lumineuse lorsqu’elle intercepte une source de lumière. Cette œuvre magistrale, multimédia avant la lettre, est illuminée au moyen d’un système d’éclairage placé derrière et constitué de 1 280 mètres de tubes au néon de huit couleurs différentes. Ces couleurs, utilisées individuellement, changent les tons et même les coloris de la murale. En somme, chaque changement de couleur crée un nouveau tableau. Les jeux d’éclairage se chevauchent pour multiplier les effets et les coloris presque à l’infini. D’où le changement quasi perpétuel de la murale de Mousseau. Restaurée en 2002, cette œuvre représente l’une des pièces maîtresses de la collection de l’entreprise et de notre patrimoine culturel. Elle constitue l’un des éléments clés de la naissance de l’art public au Québec, en plus de souligner la reconnaissance de la modernité artistique par le gouvernement. Située dans le hall d’entrée du siège social d’Hydro-Québec, elle est présentée au public dans le cadre des visites du bureau d’accueil. Voir la courte vidéo dans l'article ci-après où l'on mentionne que le même pattern de couleurs ne revient que tous les 175 000 ans! http://www.hydroquebec.com/visitez/montreal/mousseau/
  20. Tu as parfaitement raison. La CAQ est sous-représentée sur l'ile de Montréal. Mais en politique le vent peut parfois tourner rapidement et faire mentir les meilleurs météorologues. Avant l'élection de 1976 (je ne suis pas certain que tu t'en souviennes) le PQ n'était pas très fort non plus sur l'ile de Montréal mais ce fut tout de même un balayage qui les aura portés au pouvoir pour la première fois et ce avec une écrasante majorité.
  21. Pour l'instant non. Dans l'esprit de François Legault, où j'habite en permanence, il s'agit d'abord et avant tout d'une décision d'affaires, et c'est en ce sens qu'il appuie la démarche de CDPQ Infra qui ne veut rien savoir d'un tunnel sous René-Lévesque car cela compromettrait la rentabilité du projet de REM de l'Est. Ceci étant dit, Legault pourrait éventuellement changer d'idée s'il comprend qu'il serait dans son intérêt de le faire car il ne veut certainement pas se mettre à dos les citoyens de Montréal s'ils ne veulent pas de REM aérien au dessus de l'un des plus importants boulevards de Montréal.
  22. Mon choix s'est fait dès l'instant où j'ai pris connaissance ce ce projet complètement insensé: il faut préserver le tissus urbain de Montréal le long du boulevard René-Lévesque, coûte que coûte.
  23. En 2000 Hydro-Québec s’est doté d’un parquet de transactions énergétiques pour écouler ses surplus d’électricité sur le marché nord-américain du court terme. C'est le plus gros parquet de ce type en Amérique du Nord. Ils disposent d'une équipe comprenant une cinquantaine d'experts de différents domaines qui opèrent à partir d'un local bien gardé au 18e étage de l'Édifice Jean-Lesage. Sur la photo ci-jointe on peut d'ailleurs apercevoir le Complexe Desjardins à travers les fenêtres du parquet en question.
  24. Baisse du niveau d’eau dans les réservoirs Hydro-Québec réduira ses exportations « On va être beaucoup plus opportunistes et vendre seulement quand les prix sont élevés », a expliqué le chef de la direction financière Hélène Baril - La Presse La sécheresse qui sévit cette année a fait baisser considérablement le niveau d’eau dans les réservoirs d’Hydro-Québec, qui devra mettre la pédale douce sur les exportations au cours des prochains mois. « On va être beaucoup plus opportunistes et vendre seulement quand les prix sont élevés », a expliqué vendredi Jean-Hugues Lafleur, vice-président exécutif et chef de la direction financière d’Hydro-Québec, à l’occasion de la publication des résultats du deuxième trimestre. « On avait trop d’eau en début d’année, ce qui faisait en sorte qu’on tapait les marchés, peu importe le prix », explique Jean-Hugues Lafleur. Avec la grande sécheresse de cette année, Hydro-Québec prévoit d’être moins active sur les marchés d’exportations le temps que ses réservoirs se remplissent. L’augmentation des exportations et le retour à la normale de l’économie québécoise ont permis à Hydro-Québec de quadrupler ses profits des mois d’avril, mai et juin, comparativement à la même période l’an dernier. La société d’État affiche un bénéfice net de 352 millions pour les mois d’avril, mai et juin, comparativement à 80 millions au deuxième trimestre de 2020, qui marquait le début du grand confinement. En 2019, année plus normale, le profit du deuxième trimestre avait atteint 264 millions. La mise en place de mesures sanitaires strictes l’an dernier avait eu un impact important sur la performance financière d’Hydro-Québec, a rappelé Jean-Hugues Lafleur. Cette année, les très bons résultats du premier semestre nous permettent d’envisager les mois à venir avec optimisme. - Jean-Hugues Lafleur, vice-président exécutif et chef de la direction financière d’Hydro-Québec Les ventes totales d’électricité, sur le marché québécois et sur les marchés d’exportation, ont atteint un record, à près de 110 térawattheures, a souligné M. Lafleur. Augmentation de la demande Au Québec, la demande d’électricité a augmenté dans toutes les catégories de clientèle. « La reprise des activités économiques et la poursuite du télétravail pour bon nombre d’employés ont conduit à une croissance de la demande de la clientèle d’affaires et du secteur résidentiel », explique la société d’État. Le printemps chaud a aussi fait augmenter les exportations d’électricité sur les marchés limitrophes. On a commencé l’année avec des réservoirs pleins, ce qui nous a permis d’exporter davantage. - Jean-Hugues Lafleur, vice-président exécutif et chef de la direction financière d’Hydro-Québec En volume, les ventes à l’exportation ont atteint 18,5 térawattheures, soit tout près du record historique établi en 2018. Le prix moyen obtenu, soit 4,2 cents par kilowattheure exporté, est toutefois plus bas que celui du trimestre précédent qui était de 4,5 cents le kilowattheure. Actuellement, alors que les climatiseurs tournent à plein régime, les prix sont très bons sur les marchés d’exportation, soit autour de 8 cents le kilowattheure, a précisé le vice-président d’Hydro. L’électricité québécoise est vendue surtout dans les États de la Nouvelle-Angleterre, à New York et en Ontario. Après les six premiers mois de l’année en cours, les profits d’Hydro-Québec sont de 1,9 milliard, en hausse de 388 millions par rapport à la même période l’an dernier. L’objectif de bénéfice net pour 2021, fixé à 2,7 milliards, sera vraisemblablement dépassé, a indiqué Jean-Hugues Lafleur. Ce retour à la normale de la rentabilité d’Hydro-Québec, amorcé au trimestre précédent, indique que la pandémie n’a pas eu un impact aussi négatif que prévu. Hydro-Québec s’attendait à une vague de faillites qui n’est pas arrivée. La provision pour comptes impayés, qui avait été augmentée de 90 millions à 160 millions l’an dernier, a été ramenée à son niveau prépandémie, a indiqué M. Lafleur. « Les clients paient leurs factures », a-t-il dit. La baisse des taux d’intérêt a contribué à l’augmentation des profits d’Hydro-Québec. Depuis le début de l’année, les frais financiers sont en baisse de 124 millions. https://www.lapresse.ca/affaires/economie/2021-08-27/baisse-du-niveau-d-eau-dans-les-reservoirs/hydro-quebec-reduira-ses-exportations.php
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