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daniel_88

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Tout ce qui a été posté par daniel_88

  1. Ça semble presque noir sur photo mais une fois sur place, on distingue aisément les reflets bleutés. Bleu très foncé. Merci pour les photos.🙂
  2. J'ai vu ce chantier pour la première fois ce matin. Vraiment impressionnant à voir en personne. Il y a déjà un panneau de verre qui a été posé -au 3e je crois, désolé je n'ai pas de photo.
  3. Cette tour va être spectaculaire de nuit, avec l'éclairage du sommet. Espérons qu'on va voir ça avant la fin de l'été.
  4. Pour ma part, un commentaire réducteur pour les graffiteurs, qui n'ont pas tardé à laisser leur marque sur les installations. Ça promet pour la phase 2.
  5. Cette plage est incroyablement petite, heureusement une autre phase est prévue dans un proche avenir.
  6. Paru dans Le Devoir Pourtant classé, le Domaine-de-l’Estérel est mis à terre Jean-François Nadeau L’un des joyaux de l’architecture moderne du Québec, le Domaine-de-l’Estérel, a été détruit vendredi. Le bâtiment principal du complexe était en principe protégé au plus haut degré par l’État québécois, mais pas ses dépendances. Tout y est finalement passé, sous l’action de deux grosses pelles mécaniques. Même s’il était protégé par l’État, un bijou du patrimoine moderne vient d’être détruit par des pelles mécaniques à Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson. Le maire de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson, Gilles Boucher, est catastrophé. « On avait un bâtiment d’exception, un chef-d’œuvre. On vient de le perdre. Le ministère de la Culture et des Communications nous a envoyé une autorisation de démolir. On n’avait pas de ressources ni de critères pour nous y opposer. Nous n’avions plus qu’à délivrer le permis. » Le propriétaire souhaitait démolir la partie arrière. « C’est ça qu’ils ont fait. Et le centre culturel, la plus belle partie, est venue avec ! Là, tout tenait à un fil. Et tout s’est effondré. C’est fini. » Il y a quelques jours, dans une lettre publiée par Le Devoir, France Vanlaethem, professeure émérite à l’École de design de l’UQAM, s’était publiquement inquiétée du projet de démolition partielle qu’avait approuvé le ministère de la Culture et des Communications. Elle retraçait du même souffle l’histoire du bâtiment. En entrevue, Mme Vanlaethem indique avoir communiqué ses « inquiétudes au ministère ». En guise de réponse, dit-elle, « nous avons reçu une lettre qui ne disait rien du tout ». La missive se voulait rassurante : « Le Ministère porte une attention particulière à la préservation des différentes composantes intérieures et extérieures de la partie classée qui font face à de nombreuses problématiques. » Les autorités détaillent que leur décision « de permettre la démolition de la section arrière s’explique entre autres par le souhait de limiter l’accès au bien dans un contexte où l’état de dégradation de cette section le justifiait, et ce, sans nuire au bien classé ». Mais, au final, tout a été rasé. Les travaux ont-ils été bien supervisés ? Le 9 mars dernier, Renée Genest, directrice générale d’Action patrimoine, et France Vanlaethem, présidente de Docomomo Québec, avaient écrit une lettre commune au chef de la direction du patrimoine du MCC, Jean-Jacques Adjizian, afin de sonner l’alarme. « Nous voudrions être rassurées que toutes les vérifications ont été faites avant d’autoriser la démolition [partielle de l’édifice]. Il ne faudrait pas que l’intervention sur la partie arrière de l’immeuble mette en péril la stabilité de l’avant », avait écrit le duo. Mmes Genest et Vanlaethem se demandaient en outre « si des études structurelles de cet édifice, qui compte parmi les premières constructions en béton, valid[ai]ent la démolition ». Leurs observations seront restées lettre morte, jusqu’à ce que leurs craintes se matérialisent. « Illégal », dit la ministre Selon la ministre en titre, Nathalie Roy, le bien patrimonial a été détruit illégalement. Dans un tweet lancé vendredi après-midi, Mme Roy affirme avoir appris « que le bâtiment patrimonial classé du domaine de l’Estérel, dans les Laurentides, a été démoli illégalement, sans aucune autorisation ». Elle ajoute avoir « demandé au ministère de faire toute la lumière sur ce qu’il s’est passé » et conclut en affirmant que la loi sera appliquée. « Je ne suis pas étonnée », souligne France Vanlaethem. « Le propriétaire du bien avait-il un intérêt particulier pour le patrimoine du Québec ? Je ne sais pas, je ne le connais pas. Le ministère de la Culture, lui, a-t-il surveillé de près les travaux ? Le ministère n’avait pas jugé bon, en tout cas, de protéger l’ensemble du bien. Et voilà : maintenant, c’est terminé. » Au moment où ces lignes étaient écrites, le ministère de la Culture et des Communications n’avait pas répondu aux questions du Devoir. En péril depuis des années La situation de ce complexe de villégiature de style Art déco, érigé par le baron belge Louis Empain entre 1936 et 1937, a été maintes fois dénoncée par l’Ordre des architectes. Ce dernier s’indignait de ce que « le berceau de la modernité architecturale au Québec » se retrouve en péril malgré son classement. Lorsqu’il achète les lieux, dans les années 1930, le baron belge n’a pas 30 ans. Riche comme Crésus, il confie à un architecte de réputation internationale le soin de dessiner un bâtiment exceptionnel au milieu des Laurentides. C’est à l’un de ses compatriotes, Antoine Courtens, un lauréat du prix de Rome, que revient le contrat. En 1938, le complexe est inauguré par une grande réception dans la salle de bal ; c’est nul autre que Benny Goodman qui dirige l’orchestre. Le centre original comprenait un restaurant cabaret, une salle de cinéma, des bureaux, des appartements, un garage et une station-service. Des chalets y sont associés. Dans l’un d’eux, le romancier Georges Simenon écrira trois romans, dont l’un de ses plus célèbres, Trois chambres à Manhattan. La propriété a changé de mains à plusieurs reprises avant d’être acquise par la municipalité en 1978, qui la convertit en centre communautaire et en hôtel de ville. En 2013, un promoteur privé rachète l’ensemble pour y construire un centre récréatif et hôtelier. Une démolition partielle avait vite été projetée, et ce, même si la MRC des Pays-d’en-Haut avait inscrit ce domaine comme l’une des composantes importantes du patrimoine de son territoire dans sa politique culturelle et son schéma d’aménagement. Devant l’indignation générale, le ministère avait classé au patrimoine québécois l’immeuble qui borde le lac Masson, ainsi que des éléments particuliers de son style Art déco. L’immeuble a néanmoins été laissé dans un abandon quasi complet malgré plusieurs appels à agir.
  7. En effet! merci pour l'info et la photo.
  8. Justement, qu'est-ce que cette structure en hauteur, car je n'ai jamais pris le temps de faire une recherche. C'est vraiment une tache dans le paysage, en effet .
  9. Déjà plus haut que place Victoria, vu du pont de la concorde, à Laval. Désolé je n'ai pas de photo mais je vois bien distinctement toutes ces grues de loin, y compris maestria. Vivement de nouveaux projets bientôt🙂
  10. Effectivement, vous avez raison que la 40 est une sorte de barrière, j'avais aussi cette impression car j'habitais sur boul. Des sources nord et allait peu au sud de la 40 (si ce n'est pour aller acheter des stores chez verti-store et aller ensuite manger une poutine au restaurant à côté! Nous sommes ainsi faits, nous avons tendance à prêcher pour notre paroisse, en premier lieu. Ceci dit, je suis d'Accord avec le fait que le REM représente une amélioration pour le transport collectif.
  11. Pour avoir résidé longtemps à Dollard-des-Ormeaux (et utilisateur du transport en commun), je dirais que cette station a l'inconvénient majeur d'être située du mauvais côté de l'autoroute 40! En effet, à DDO , tout se passe de l'autre côté (résidentiel, centre commerciaux etc). Les piétons qui prendront le REM devront toujours traverser l'autoroute à pied et laissez-moi vous dire que ce n'est pas une partie de plaisir à cet endroit, surtout l'hiver. Pas du tout les mêmes avantages que la station suivante (Pointe-Claire). Bien dommage.
  12. Nice, l'alignement des balcons de droite avec l'immeuble à gauche! Durant la construction, je trouvais les deux phases disparates, l'une par rapport à l'autre mais au final le tout se complète fort bien, comme quoi il faut effectivement réserver son jugement à la toute fin.
  13. Il y a des éléments intéressants sur cette façade. Ça va avoir de la gueule, une fois restauré et le tout terminé.
  14. L'Arche de St-Louis, pas le même ordre de grandeur! Mais comme M. Cormier l'a souligné cet anneau va ajouter une structure de forme circulaire dans le paysage de Montréal, ce qui fait grandement défaut ici. Des immeubles également, il faudrait. Les courbes de BN, 1000 dela M ou le Livmore ne suffisent pas pour faire cette différence dans le skyline.
  15. Les maisons de ville Yul, que j'ai eu la surprise de voir dans la série télévisée Transplant saison 2(dernier épisode). Un des médecin dans la série y habite.
  16. Impossible de reconnaitre l'Enticy, lorsqu'on le regarde d'en arrière! C'est son seul défaut, tant qu'à moi. Sa hauteur ne me dérange pas, au contraire ça améliore la perspective en général car bcp d'immeubles de hauteur similaire dans le coin.
  17. La hauteur fait pleinement la différence ici. Un nouveau visage pour montréal, vu de cet angle.
  18. Superbe, la teinte de verre du Roccabella3. Il en faudrait davantage, des revêtements comme ceux-là à Montréal. La bouteille de lait n'a jamais aussi bien paru 🙂
  19. Pas le plus beau des murs, mais pour un résident alentour, ça atténue le choc de voir s'élever un immeuble aussi massif à proximité. En tout cas, certains risquent de ne plus voir le soleil se lever à l'est! Pas seulement les résidences mais propriétaires de nouveaux condos également.
  20. Ouin, comme d'autres, je me demande comment ils s'y prendront pour laver les vitres 🙂. Mais pour ma part, j'adore ce design.
  21. Les lignes de cet immeuble rappellent le 628 St-Jacques, en version asymétrique. Mais tant mieux si le 628 en inspire qqes autres!
  22. Lapin sorti du chapeau, tiré du guide habitation. Dommage, car cet immeuble s'annonçait pour être presque parfait, dans son format.
  23. En effet, le solstice ne sera pas le 432 park avenue, à NY mais vu de loin, il aura tout de même une silhouette rectangulaire. Néanmoins, il va se démarquer de ses voisins, j'en conviens!
  24. Nous aurons, au moins, un édifice de plus avec des courbures avec le 1000 dlm; c'est ce qui manque le plus dans ce secteur, je trouve. Le CCE cassait un peu la monotonie mais il sera bientôt caché par le solstice qui sera, tout en lignes droites également.
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