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mtlurb

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Tout ce qui a été posté par mtlurb

  1. Il y a beaucoup de places, avec le bon zonage, et une certaine ouverture d'esprit de ceux qui sont au pouvoir, il n'y a pas de limites. Griffintown est un parfait exemple, un simple changement de zonage et on a rajouté une dizaine de milliers d'unités et ++ d'habitants en quelques années. La liste de @KOOL est excellente, une autre liste des terrains sous-utilisés serait encore beaucoup plus longue.
  2. Pour 8 milliards on a eus un REM complet et pour 10 milliards un tramway qui va de nul part et qui va nul part 😂🤦🏻‍♂️
  3. Opinion non populaire: rénover le stade au complet ou laisser faire le projet et attendre un autre gouvernement avec plus de couilles. Fermer le stade pendant 4 ans (minimum), pour qu’en y rentrant la première fois le commun des mortels va se sentir arnaqué… hey coudonc le milliard a passé où. Ça aidera pas au cynisme ambiant envers la classe politique.
  4. What kind of nightlife is this, closes at 11pm 😅
  5. I’m sorry but I have been in nightlife for over 20 years and it’s absolutely true. You have to look at these things on the long term. With social media and dating app you don’t need to go to bars to mingle. Mingling is done virtually at the expense of nightlife venues. Your comment about the beer being expensive that’s a new thing, and it’s not helping either. What doesn’t help either is your boomer comment which is not appreciated.
  6. Une autre mauvaise nouvelle pour le nightlife en perspective.... l'impact était énorme quand il y a eu une baise à 0.08... maintenant à 0.05. Alcool au volant Le gouvernement doit abaisser la limite à 0,05, demande CAA-Québec Charles Lecavalier La Presse Publié le 6 février PHOTO MARTIN TREMBLAY, ARCHIVES LA PRESSE Des policiers du SPVM procédant à un barrage routier. (Québec) CAA-Québec demande à la ministre des Transports Geneviève Guilbault d’abaisser la limite d’alcool permise au volant à 0,05 dans le cadre de son projet de loi sur la sécurité routière. « Les effets dans les autres provinces où on a appliqué cette règle depuis de nombreuses années ont été probants. Il y a eu des améliorations de la sécurité routière, et des diminutions de décès. On est rendu là », a indiqué Sophie Gagnon, vice-présidente aux affaires publiques de l’organisme, mardi. Elle participait à l’étude du projet de Mme Guilbault, qui vise à augmenter le nombre de radars photo sur les routes et d’abaisser la limite de vitesse à 30 km/h à proximité des écoles. CAA-Québec se dit « déçu » de constater qu’« au moment où l’on vise à réduire les décès et les blessures attribuables aux accidents de la route », le projet de loi n’aborde pas tout la question de l’alcool au volant, un « fléau qui brise des vies ». Mme Gagnon souhaite que le gouvernement instaure des sanctions administratives lorsqu’un conducteur se fait pincer avec un taux d’alcool situé entre 50 mg/100 ml et 80 mg/100 ml. Elle fait valoir plusieurs arguments : Le Québec est la seule province canadienne où de telles sanctions ne sont pas appliquées, alors qu’elles ont indéniablement prouvé leur efficacité ; Selon un avis de l’Institut national de santé publique du Québec, les résultats de la littérature scientifique montrent que la performance du conducteur dans ses différentes tâches de conduite est affectée de manière significative à partir d’une alcoolémie de 50 mg/100 ml ; L’ensemble de la littérature confirme que l’abaissement de la limite de l’alcoolémie permise dans le Code de la sécurité routière pour la conduite d’un véhicule automobile à 50 mg/100 ml est une mesure efficace pour prévenir les collisions et sauver des vies. Le verre de trop Les partis d’oppositions semblaient ouverts à cette proposition. Le libéral Monsef Derraji a affirmé qu’on ne peut pas « répondre d’une manière assez directe à la sécurité routière aujourd’hui » sans « parler d’alcool au volant ». Le solidaire Étienne Grandmont s’est demandé si le Québec n’était pas « en retard » par rapport aux autres provinces canadiennes, et à une majorité de pays européens. Pour CAA-Québec, les sanctions administratives, des « amendes ou suspensions temporaires de l’usage d’un véhicule » aurait un effet éducatif « important ». « Ça peut toucher des catégories de gens qui seront sensibilisés à jamais », a dit Mme Gagnon. L’ex-policier André Durocher, maintenant chez CAA-Québec, a fait valoir que les mentalités ont changé, et que cette mesure permettrait de toucher « la masse » de conducteurs fautifs. « On trouve que c’est important cette mesure qui viendrait permettre de lever un drapeau rouge pour la personne qui prendrait ce petit verre de vin de trop lors d’un repas. On va vraiment frapper la masse. Les cas de grande intoxication, oui, il y en a, mais ce n’est rien comparé au nombre de personnes dont les capacités sont légèrement diminuées », a-t-il dit. https://www.lapresse.ca/actualites/politique/2024-02-06/alcool-au-volant/le-gouvernement-doit-abaisser-la-limite-a-0-05-demande-caa-quebec.php
  7. Rennaï, a New Luxe Beauty Retail Concept in Montreal A new retailer is looking to shake up Canada's prestige offerings before eyeing the U.S. Rennaï will open its doors at the upcoming Royalmount development of retail, offices and hospitality spaces in Montreal in August 2024, with brands including Hermès, Diptyque, Le Labo and Dermalogica already on board. It's backed by L Catterton and Carbonleo, who want the 36,000-square-foot beauty and wellness space to be heavily focused on experiential retail. Beyond the product offering, services will include traditional aesthetics, dermatology, nutrition, a fragrance zone and a retreat area where guests can extend their time by enjoying a self care space. "[The investors] saw that today's consumer is really looking for more than just a product. They're looking for an experience that adds value to their day," said Rennaï president Christopher Novak. "What we're doing is creating a place for people to take a moment out of their busy lives to really reconnect with themselves through the lens of beauty and self care." He continued that many more prestige partners will be revealed in the run-up to the grand opening. "Exclusives and never-been-seen-before experiences are the core foundation of what makes Rennaï so unique and timely," Novak said. "We will continue to announce partners leading up to the launch that represent our brand spirit and promise -- to offer our clients a complete one-stop experience both on location and through our complimentary virtual concierge experience." Homegrown brands will be important too, with the selection including Watier Cosmetics, Apprenti Ôr'ganik, JB Skin Sävvi, Selv, Ruby Brown, Landish, and Camellia Sinensis Tea House. Located in Montreal's Midtown, Rennaï will join Royalmount's 170 retail tenants -- including luxury brands such as Louis Vuitton, Tiffany & Co. and Gucci -- and more than 60 restaurants, alongside offices, a hotel and public green spaces. Already present players in Canada'a prestige market include Sephora, several department stores and Shoppers Drug Mart. The latter has over the years been gaining market share in the prestige beauty sector, which has only ramped up with the appointment of Gwennaëlle Varnier as vice president of prestige beauty in 2019. But Novak, who previously worked for Canadian luxury retailer Holt Renfrew, doesn't just have eyes on Canada. "We're opening in Royalmount this August and we do have plans for a nine-store rollout. We're looking for major cities across Canada and the U.S. to open a future location," he said. https://wwd.com/beauty-industry-news/beauty-features/rennai-new-beauty-retail-concept-montreal-with-international-ambitions-1236160858/
  8. C'est clair que dans cet environnement économique, l'idée d'avoir un bar 24/7h n'est pas très intéressant.... le pouvoir d'achat des citoyens est faible, on le voit déjà, les bars sont archi-vides depuis les 12 derniers mois. Mais personne ne force non plus tous les bars à ouvrir selon cet horaire... de toute façon ils ne le font pas maintenant, très peu de bars restent ouverts jusqu'à 3h du matin 7 jours semaine. L'idée est bonne, "l'outil" est là... reste aux tenanciers de bars à l'utiliser ou pas selon leur modèle d'affaire. P.S. Nazim crachera pas sur un 6AM dans son club La Voute le weekend de F1... 😉 Bar ouverts toute la nuit Des propriétaires disent non merci Nathaëlle Morissette La Presse Mis à jour hier à 5h00 PHOTO HUGO-SEBASTIEN AUBERT, ARCHIVES LA PRESSE Avec sa Politique de la vie nocturne, Montréal envisage de permettre aux bars de rester ouverts toute la nuit. Si l’on s’attendait à ce que les tenanciers de bars applaudissent l’idée, la réalité est tout autre. Montréal, ville festive ? Oui, mais peut-être pas 24 heures sur 24, laissent entendre les propriétaires de bars interrogés, peu enthousiasmés par le projet de la Ville qui leur permettrait d’ouvrir toute la nuit dans certains secteurs de Montréal. Une initiative « peu payante », selon eux, qui ouvrirait la porte aux abus. « Je ne trouve pas que c’est une bonne idée. Culturellement au Québec, on mange tôt, on sort tôt et on fait le party jusqu’à 3 h, lance d’emblée Nazim Tedjini, propriétaire de La Voûte, bar situé dans le Vieux-Montréal. En Europe, les gens vont manger beaucoup plus tard, vont sortir beaucoup plus tard. Ils font juste décaler les heures de fréquentation. » La Politique de la vie nocturne fera l’objet d’une consultation publique la semaine prochaine. « Montréal est une ville festive, reconnue pour sa vitalité nocturne et créative, ici comme ailleurs, a déclaré Luc Rabouin, président du comité exécutif et responsable du développement économique et commercial par intérim, dans un communiqué publié à la fin janvier. L’expérience d’autres grandes villes à travers le monde démontre que la vie nocturne offre un important levier de vitalité économique, culturelle et touristique. » « Le projet de Politique de la vie nocturne est le fruit d’un travail rigoureux et d’expérimentations grâce à plusieurs projets pilotes qui ont permis à la Ville d’identifier les meilleures occasions pour Montréal en matière d’économie de la nuit », peut-on également lire. Les quartiers appelés « zones de vitalité nocturne », où les heures d’ouverture seraient prolongées, n’ont pas encore été identifiés. Or, si l’on s’attendait à ce que les tenanciers de bars applaudissent l’idée, la réalité est tout autre. Peu convaincus que ces heures supplémentaires seraient véritablement « payantes », ils appréhendent une augmentation des problèmes d’abus d’alcool et de sécurité pour les clients ainsi que pour les employés, dont bon nombre risquent fort de rechigner à l’idée de finir de travailler au moment où les gens s’apprêtent à déjeuner. Le bruit généré par les fêtards au petit matin compte également parmi les inquiétudes soulevées. PHOTO JOSIE DESMARAIS, ARCHIVES LA PRESSE Certains tenanciers de bars appréhendent une augmentation des problèmes d’abus d’alcool et de sécurité avec l’ouverture possible des bars toute la nuit. « C’est une porte ouverte pour l’abus d’alcool et d’autres abus, ajoute le propriétaire de La Voûte. On le voit souvent quand on ferme à 4 h à cause du changement d’heure. La dernière heure n’est pas forcément payante et il y a plus de problèmes qui surviennent. » « Quand il y a des projets pilotes, ce qui se passe c’est que tous les sorteux de la ville se retrouvent en même temps, dans un quartier donné, qui n’a pas nécessairement la capacité d’accueil pour un gros volume de clients », souligne-t-il également. Il craint que l’histoire se répète dans les secteurs de la ville qui seront ciblés par la Politique. Au cours des derniers jours, Nazim Tedjini a parlé à une dizaine de tenanciers de bars. Ils étaient unanimes : « Il n’y en a pas un qui saute au plafond. » Du côté de la Nouvelle association des bars du Québec (NABQ), qui compte quelque 150 membres, le président Pierre Thibault reconnaît aussi que le projet provoque « plus de résistance que d’acceptation ». « Est-ce que la clientèle à cette heure-là, c’est une clientèle désirable ou indésirable ? demande M. Thibault, qui se questionne sur le niveau d’intoxication des noctambules. Est-ce que ce sont juste les éternels “pas couchables” qui vont se ramasser là ? Est-ce que ça va déplacer l’itinérance de nuit autour des établissements ? » Celui qui est également copropriétaire de la Taverne Saint-Sacrement sur le Plateau Mont-Royal s’interroge sur la disponibilité des effectifs policiers appelés à intervenir. Il croit également que les employés, surtout les portiers, devraient être formés pour faire face aux couche-tard. « Ça reste un projet exploratoire dans lequel on n’a pas été impliqués », souligne-t-il. Chose certaine, si son quartier comptait parmi les « zones de vitalité nocturnes », M. Thibault n’envisagerait pas de continuer à servir de la bière après 3 h du matin. « À la Taverne Saint-Sacrement, on a déjà un équilibre qui est sain. On ne voudrait pas le fragiliser. » Un levier économique ? Plus au sud, dans le Quartier latin, le propriétaire de la brasserie Saint-Bock, Martin Guimond, trouve l’idée « bonne » sur papier, mais difficile à envisager dans la réalité. PHOTO MARTIN TREMBLAY, ARCHIVES LA PRESSE Martin Guimond, propriétaire de la brasserie Saint-Bock C’est que, en ce moment, les employés et les clients sont difficiles à trouver. « Avant la pandémie, on ouvrait à midi et on fermait à 3 h du matin en poussant presque les gens à l’extérieur. On allumait les lumières », raconte-t-il. Aujourd’hui, j’ouvre à 16 h et à 22 h, je ferme parce qu’il n’y a plus personne. Je ne vais pas rester ouvert 24 h à attendre des clients qui ne viendront jamais. Martin Guimond, propriétaire de la brasserie Saint-Bock « Si on me demande, est-ce que demain matin je voudrais ouvrir pendant 24 h, la réponse, c’est non, dit-il. C’est proposé comme un tremplin économique. Je suis très sceptique. C’est comme si on disait que les bars allaient relancer l’économie. J’ai de gros doutes. » https://www.lapresse.ca/affaires/2024-02-07/bars-ouverts-toute-la-nuit/des-proprietaires-disent-non-merci.php
  9. BCE élimine 4800 emplois, vend des stations de radio et écorche Ottawa Julien Arsenault La Presse Mis à jour à 12h00 PHOTO DAVID BOILY, LA PRESSE BCE affirme dans une lettre ouverte signée par le président et chef de la direction Mirko Bibic que des emplois « à tous les niveaux de l’entreprise » seraient supprimés. Quelque 4800 emplois éliminés, des dizaines de stations radiophoniques régionales vendues – dont au Québec – et une baisse significative des investissements : le couperet tombe une fois de plus chez BCE dans le cadre d’une autre restructuration d’envergure dans le secteur des télécommunications. Pour une deuxième fois en sept mois, les employés de la société mère de Bell Média sont plongés dans l’incertitude dans la foulée des nouvelles annoncées par le conglomérat, jeudi. Certains salariés devaient être informés de leur licenciement, tandis que d’autres devront patienter avant de connaître leur sort. Dans l’ensemble, l’effectif de l’entreprise se contractera de 9 %. Selon le président et chef de la direction de BCE Mirko Bibic, « tous les niveaux de l’entreprise » seront touchés par les compressions. La division médiatique écopera ainsi une fois de plus. « Du côté de Bell Média, nos revenus publicitaires ont chuté de 140 millions en 2023, écrit M. Bibic, dans une note envoyée au personnel. Nos pertes d’exploitation annuelles s’élèvent à plus de 40 millions pour l’ensemble de nos services de nouvelles, et ce, malgré le fait que nous avons le réseau de stations de télévision le plus populaire. » C’est la deuxième vague de licenciements majeurs chez le géant des médias et des télécommunications depuis le printemps dernier, lorsque 6 % des emplois de Bell Média avaient été supprimés et que neuf stations de radio ont été fermées ou vendues. Un réseau qui fond Bell Média se départira de 45 de ses 103 de ses radios régionales. Au Québec, sept stations passeront dans le giron du groupe québécois Arsenal Media. Ailleurs au pays, Vista Radio, Witheoaks, Durham Radio, My Broadcasting Corp, ZoomerMedia et Maritime Broadcasting sont les acquéreurs. Le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) devra donner son aval aux ventes. Les stations de radio québécoises de Bell Média vendues : FZZ-FM (Saint-Jean-sur-Richelieu) CFEI-FM (Saint-Hyacinthe) CJDM-FM et CHRD-FM (Drummondville) CJOI-FM et CIKI-FM (Rimouski) CFVM-FM (Amqui) Pour Arsenal Media, cela signifie que son réseau passera à 25 stations. L’entreprise devrait accueillir entre 30 et 40 personnes, a indiqué son président et chef de la direction, Sylvain Chamberland, dans un entretien téléphonique avec La Presse. « La différence entre un grand groupe et nous, c’est que nous sommes sur le terrain dans les régions parce que nous sommes plus petits, dit l’homme d’affaires. Ces sept stations s’inscrivent parfaitement dans notre plan de croissance. » BCE a imputé une partie de ses décisions à Ottawa ainsi qu’au CRTC. L’entreprise reproche au gouvernement fédéral d’avoir mis trop de temps à venir en aide aux entreprises médiatiques et à l’organisme fédéral d’avoir été trop lent à réagir à une « crise immédiate ». Cela concerne deux textes législatifs destinés à aider le secteur médiatique canadien en difficulté : le projet de loi C-18, également connu sous le nom de Loi sur les nouvelles en ligne, destiné à forcer les géants de la technologie à rémunérer les médias canadiens pour leur contenu, et le projet de loi C-11, qui met à jour la Loi sur la radiodiffusion pour obliger les plateformes numériques telles que Netflix, YouTube et TikTok à contribuer et à promouvoir le contenu canadien. Ottawa reste dans une impasse avec la société mère de Facebook, Meta, au sujet du C-18, la société continuant de bloquer les liens d’information sur ses plateformes. Par ailleurs, le gouvernement fédéral a plafonné à 30 millions le montant que les médias audiovisuels peuvent obtenir grâce aux paiements annuels de 100 millions de Google, le reste étant destiné aux médias imprimés et numériques. Le conglomérat réduira également d’au moins 500 millions ses dépenses d’investissements prévues cette année et réduira l’expansion de son réseau de fibre optique. M. Bibic blâme « les décisions gouvernementales et réglementaires ». « Nous sommes préoccupés par la récente décision du CRTC qui nous oblige à donner accès à notre réseau de fibre optique à haute vitesse à des revendeurs, et ce, avant même d’avoir pu récupérer nos investissements de plusieurs milliards de dollars », écrit-il à ses employés. Baisse du bénéfice net En annonçant ces coupes majeures dans ses effectifs, BCE rapporte une baisse en un an de 23,3 % de son bénéfice net du quatrième trimestre, qui a reculé de 567 millions à 435 millions. Au cours de la même période, le bénéfice net ajusté a augmenté, de 654 millions à 691 millions. Le bénéfice net par action ordinaire est passé de 0,58 $ à 0,42 $. Pour l’ensemble de l’exercice financier 2023, BCE a réalisé un bénéfice net de 2,327 milliards, en baisse de 20,5 % par rapport à celui de 2,926 milliards rapporté en 2022. Le recul du bénéfice net ajusté a été moindre, de 4,3 %, de 3,057 milliards à 2,926 milliards. Avec La Presse Canadienne https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/2024-02-08/bce-elimine-4800-emplois-vend-des-stations-de-radio-et-ecorche-ottawa.php
  10. Avec un nombre anémique de nouvelles unités.... et une explosion de la population, les prix n'ont qu'une place où aller.... 📈 Immobilier: hausse des ventes et des prix à Montréal et Québec Agence QMI Mardi, 6 février 2024 15:51 Les ventes résidentielles ont augmenté de 18 % dans le Grand Montréal et de 16 % dans la région de Québec, en janvier 2024 par rapport au même mois l’an dernier, selon les données de l’Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ). Au total, 2077 résidences ont été vendues sur le territoire de la région métropolitaine de recensement (RMR) de Montréal en janvier 2024, comparativement à 1766 transactions en janvier 2023. «Il s’agit d’un niveau d’activité transactionnelle inférieur à la moyenne historique enregistrée pour cette période de l’année depuis que les données sont compilées par Centris en 2000», a toutefois noté l’APCIQ dans un communiqué. Le prix médian d’une maison unifamiliale en janvier se chiffrait à 535 000 $, soit une hausse de 7 % par rapport à janvier 2023. Le prix médian d’une copropriété était de 390 000 $ en janvier (+5 %) et celui d’un plex était de 722 500 $ (+7 %). Les inscriptions en vigueur pour le mois de janvier ont aussi connu une hausse marquée (+16 %) pour atteindre 16 838 inscriptions sur le territoire de la RMR de Montréal. Marché immobilierCombien se vendent les maisons près de chez vous?Testez notre outil exclusif «La bonne tenue des ventes en ce début d’année est essentiellement attribuable à des perspectives plus encourageantes quant à l’évolution des taux d’intérêt. Depuis la fin de l’année 2023, les économistes s’entendent pour affirmer que le cycle haussier des taux d’intérêt est derrière nous et que le processus inverse devrait débuter en 2024», a déclaré Charles Brant, directeur du Service de l’analyse de marché de l’APCIQ. Il a toutefois affirmé qu’il a «de nombreux vents contraires à une reprise plus franche de l’activité transactionnelle», notamment un fort ralentissement de l’activité économique et des incertitudes qu’elle engendre pour les nouveaux acheteurs potentiels. La demande pour la copropriété en hausse à Québec Du côté de la grande région de Québec, les ventes résidentielles ont augmenté de 16 % en janvier 2024 (604 transactions) par rapport au même mois l’an dernier, tandis que les inscriptions ont connu une hausse moins marquée (+2 %). Le prix médian des unifamiliales a augmenté de 11 %, passant de 325 000 $ en janvier 2023 à 360 000 $ en janvier 2024. Pour les copropriétés et les plex, les prix médians ont augmenté respectivement de 3 % (243 000 $) et de 16 % (383 500 $). «La croissance des prix plus marquée dans l’unifamiliale et le manque de propriétés dans cette catégorie continue d’orienter les premiers acheteurs et éventuellement les investisseurs vers la copropriété et le marché des plex. D’ailleurs, le plex s'avère une alternative intéressante alors que les prix demeurent encore abordables pour acheter à plusieurs et qu’on assiste à une accélération de la hausse des loyers dans la région», a constaté M. Brant. https://www.journaldemontreal.com/2024/02/06/immobilier-hausse-des-ventes-et-des-prix-a-montreal-et-quebec
  11. Je pense cette vidéo a parfaitement sa place ici
  12. 🤦🏻‍♂️ Ayoye c'est pire que je ce que je pensais lol
  13. En fait ça existe déjà.... c'est une autre ligne invisible du 8 étages-échelle-humaine que cette administration clame haut et fort sur toutes les tribunes... et je te gage que ça ralenti certains dans la livraison de permis pour les immeubles inhumains 🤣
  14. Oui mais la densité initiale, c'est une ligne dans le sable qui a été décidé par quelqu'un quelque part ... (je mets mon chapeau libertarien). 😜
  15. L'idée est bonne sur papier.... reste à voir dans la vraie vie ce que ça va donner. Est-ce que cette "contribution" pour la surhauteur va être raisonnable ou prohibitive? N'oublions pas que le 20-20-20 c'est très similaire... tu veux construire plus que 120 mètres, tu dois "contribuer". At the end of the day, tout cela est une taxe à la densité, peu importe comment c'est "vendu" au médias.
  16. Tout à fait cela, en fait il faut regarder ce qui est livré en 2017 comme étant approuvé autour de 2 à 5 ans avant, environ 2012 à 2015. Ceux de 2023, vers 2018 à 2021. Mettons de côté le 20/20/20 pour un moment, (tu peux quand même construire en payant la pénalité ce que plusieurs ont faits)... il y a clairement des embûches pour avoir simplement un permis de construire et les raisons sont très nombreuses pour ne pas les livrer, ou livrer à temps.
  17. J'ai recompilé les mêmes données de Stat-Canada pour avoir une idée de combien d'unités totales ont étés livrées dans chaque métropole de 2017 à 2023 et la relative importance de chaque métropole dans le Canada. Donc, il a été livré presque 188k unités à Montréal et on représente 13% du total canadien. Ensuite j'ai voulu regarder la position relative de Montréal vs le Canada sur deux périodes de 3 ans (je n'ai que 6 ans de données). Malgré que Montréal a livré 12% de plus d'unités dans la deuxième période, notre poids relatif au sein du Canada a diminué de 29% !! Donc on a construit plus, mais les autres ont construits encore plus! (Calgary presque doublé!, Toronto +76%!) Finalement j'ai voulu comparer 2023 vs 2017, 2017 semble être une année "normale".... et la c'est frappant, le Canada a augmenté de presque 19%, nous on a diminués de 41%!! (Calgary a plus que doublé +112%) Donc oui les il y a des taux d'intérêts hauts 2023 vs 2017, mais cela n'explique pas tout... les chiffres parlent d'eux-mêmes.
  18. Unités livrées par région métropolitaine sélectionnés de 2017 à 2023. Montréal en orange. Compilé à partir de données de Stat-Canada. Statistique Canada. Tableau 34-10-0285-01 Permis de bâtir, par type de structure et type de travaux DOI : https://doi.org/10.25318/3410028501-fra
  19. Peut être que les brigades l’ont kidnappés😂
  20. Le seul graphique qui compte.... je l'ai fait avec les données brutes trouvées sur le site de Stat Can. Ligne Rouge = Unités totales Ligne oranges = Multifamilial (condos) Ligne grise = Unifamiliale Chaque pic, est un mois entier. Si qqun a plus de "skills" que moi, svp levez la main 🤣
  21. Frais du four de statistiques Canada.... je pense pas que les médias ont eus le temps de le regarder. Permis de bâtir, décembre 2023 Diffusion : 2024-02-06 La valeur totale des permis de bâtir au Canada a reculé de 14,0 % par rapport à novembre pour s'établir à 9,2 milliards de dollars en décembre, ce qui représente le plus bas niveau atteint depuis octobre 2020. Des baisses ont été enregistrées dans les secteurs résidentiel et non résidentiel. En dollars constants (2017 = 100), la valeur totale des permis de bâtir a diminué de 14,2 % pour s'établir à 5,8 milliards de dollars en décembre. Malgré la diminution globale observée dans le secteur résidentiel, la valeur des permis pour les logements unifamiliaux maintient une faible croissance La valeur totale des permis de bâtir dans le secteur résidentiel a reculé de 17,9 % pour s'établir à 5,7 milliards de dollars en décembre, et le recul le plus marqué a été observé dans les intentions de construction de logements multifamiliaux, en baisse de 31,1 % (-1,3 milliard de dollars), ce qui représente la plus forte baisse mensuelle dans la série. La baisse de la valeur des permis pour les logements multifamiliaux en Ontario (-45,2 %; -816,8 millions de dollars) a largement contribué à la diminution mensuelle globale observée dans le secteur résidentiel en décembre. Parallèlement, les intentions de construction de logements unifamiliaux ont légèrement augmenté de 0,8 % pour atteindre 2,9 milliards de dollars en décembre. La hausse enregistrée en Alberta (+15,3 %; +84,4 millions de dollars) a plus que contrebalancé les diminutions observées dans sept provinces; les intentions de construction de logements unifamiliaux en Alberta ont affiché une cinquième augmentation mensuelle consécutive et il s'agit de la plus forte valeur mensuelle depuis janvier 2014. La baisse des nouvelles intentions de construction majeure dans la composante institutionnelle fait fléchir le secteur non résidentiel La valeur totale des permis de bâtir dans le secteur non résidentiel a reculé de 7,0 % pour s'établir à 3,6 milliards de dollars en décembre. La baisse observée dans la composante institutionnelle au Québec (-55,8 %; -313,9 millions de dollars) a plus que contrebalancé les hausses totales enregistrées dans les composantes commerciale (+4,1 %; +69,1 millions de dollars) et industrielle (+4,7 %; +39,3 millions de dollars) à l'échelle du Canada. La forte baisse mensuelle observée au Québec est attribuable à l'absence de nouveaux permis délivrés pour de grands projets dans la composante institutionnelle en décembre, après que des permis de bâtir pour deux projets estimés à plus de 150 millions de dollars chacun ont été délivrés en novembre. Le quatrième trimestre de 2023 affiche les plus faibles agrégats trimestriels depuis le troisième trimestre de 2021 La valeur totale des permis de bâtir s'est chiffrée à 31,3 milliards de dollars au quatrième trimestre de 2023, en baisse de 9,0 % par rapport au trimestre précédent et en baisse de 1,7 % par rapport au quatrième trimestre de 2022. Au quatrième trimestre de 2023, la valeur totale des permis de bâtir a atteint le plus faible niveau trimestriel enregistré depuis le troisième trimestre de 2021 (30,8 milliards de dollars). Au quatrième trimestre de 2023, la valeur des permis de bâtir non résidentiels (-13,3 % pour s'établir à 11,6 milliards de dollars) et résidentiels (-6,3 % pour s'établir à 19,7 milliards de dollars) a reculé par rapport au troisième trimestre. La composante des logements unifamiliaux est la seule à avoir affiché une hausse trimestrielle (+1,4 % pour atteindre 8,5 milliards de dollars) au quatrième trimestre, après avoir progressé de 9,8 % au cours du troisième trimestre. De même, les unités de logement autorisées dans la composante unifamiliale ont augmenté de 2,9 % à l'échelle du Canada au cours du quatrième trimestre. Plus particulièrement, la valeur des permis pour les logements unifamiliaux en Alberta a crû de 23,4 % pour atteindre 1,7 milliard de dollars au quatrième trimestre, ce qui représente une troisième hausse trimestrielle d'affilée. Au quatrième trimestre, la province a également affiché une troisième augmentation trimestrielle consécutive du nombre de permis délivrés pour la construction de nouvelles unités de logement, en hausse de 21,9 % pour se chiffrer à 4 000 nouvelles unités. Revue annuelle de 2023 : Les intentions de construction institutionnelle sont largement attribuables à des investissements dans les hôpitaux et les établissements de soins de longue durée D'une année à l'autre, la valeur totale en dollars courants des permis de bâtir a diminué de 3,2 % pour s'établir à 132,2 milliards de dollars en 2023. Cependant, l'augmentation des coûts des matériaux et de la main-d'œuvre a fait augmenter les évaluations nominales des permis de bâtir. En dollars constants (2017 = 100), la valeur totale annuelle des permis de bâtir a reculé de 8,9 % par rapport à 2022 pour s'établir à 84,2 milliards de dollars en 2023. Dans le reste du présent communiqué, les données seront présentées en dollars constants (2017 = 100) pour mettre l'accent sur les variations de la valeur réelle des permis au fil du temps. Le secteur résidentiel a enregistré un deuxième recul annuel consécutif de la valeur des permis de bâtir, en baisse de 15,5 % pour s'établir à 48,3 milliards de dollars en 2023, tandis que le secteur non résidentiel a affiché une troisième augmentation annuelle consécutive, en hausse de 1,7 % pour atteindre 35,9 milliards de dollars en 2023. Les intentions de construction dans les composantes institutionnelle (+14,4 %; +1,4 milliard de dollars) et industrielle (+4,1 %; +290,8 millions de dollars) ont atteint des sommets inégalés dans la série, ce qui a donné lieu à une croissance globale dans le secteur non résidentiel. Cependant, la croissance observée dans le secteur non résidentiel a été atténuée par la diminution enregistrée dans la composante commerciale (-6,1 %; -1,1 milliard de dollars), qui a été à l'origine de près de la moitié de la valeur des intentions de construction dans le secteur non résidentiel. Les hausses observées dans la composante institutionnelle sont principalement attribuables à des intentions de construction d'importants projets d'hôpitaux et d'établissements de soins de longue durée. Au cours des dernières années, la demande à l'égard du système de santé canadien a été amplifiée en raison de la pandémie de COVID-19 et du vieillissement de la population canadienne. Diverses politiques publiques ont été annoncées pour répondre à la demande élevée à l'égard du système de santé, y compris des investissements de divers ordres de gouvernement, comme les suppléments au Transfert canadien en matière de santé, et des ententes bilatérales entre les gouvernements. En 2023, le permis de bâtir ayant la valeur la plus élevée (près de 1,0 milliard de dollars) a été délivré pour la construction d'un nouvel hôpital à Vaudreuil-Dorion (Québec). Des intentions de construction pour des permis d'hôpitaux dont le coût est supérieur à 100,0 millions de dollars ont été observées à Montréal, dans la région du Grand Toronto ainsi qu'en Colombie-Britannique, plus précisément à Dawson Creek, à North Cowichan, à Williams Lake et dans la région du Grand Vancouver. Les permis de bâtir pour des établissements de soins de longue durée ont également stimulé la croissance dans la composante institutionnelle, et les intentions de construction d'importants projets se sont concentrées en Ontario, au Québec et en Nouvelle-Écosse. En 2023, la composante institutionnelle en Nouvelle-Écosse (+197,0 %; +146,8 millions de dollars) a affiché sa plus forte croissance annuelle jamais enregistrée, et environ les trois quarts des intentions de construction dans la composante institutionnelle concernaient des foyers pour personnes âgées, et plus particulièrement des établissements de soins de longue durée, ce qui correspond à l'objectif du gouvernement de la Nouvelle-Écosse d'élargir l'accès aux soins de longue durée (lien en anglais seulement) dans la province. Pour examiner les données au moyen d'une interface utilisateur interactive, veuillez consulter la page Permis de bâtir : tableau de bord interactif. Pour obtenir plus de renseignements sur la construction, veuillez consulter le portail Statistiques sur la construction. Pour obtenir plus de renseignements sur le logement, veuillez consulter le portail Statistiques sur le logement. Saviez-vous que nous avons une application mobile? Accédez rapidement aux données du bout des doigts en téléchargeant l'application StatsCAN, accessible gratuitement à partir des boutiques d'applications App Store et Google Play. Tableau 1 Unités de logement, valeur des permis de bâtir résidentiels et non résidentiels, Canada — Données désaisonnalisées Tableau 2 Valeur des permis de bâtir, selon la province et le territoire — Données désaisonnalisées Tableau 3 Valeur des permis de bâtir, selon la région métropolitaine de recensement — Données désaisonnalisées Note aux lecteurs À moins d'avis contraire, les données figurant dans le présent communiqué sont désaisonnalisées en dollars courants, ce qui facilite la comparaison d'un mois à l'autre et d'un trimestre à l'autre, car les effets des variations saisonnières sont supprimés. Pour obtenir des renseignements sur la désaisonnalisation, veuillez consulter la page Web Données désaisonnalisées — Foire aux questions. Composantes des bâtiments Logement unifamilial : immeuble résidentiel comprenant un seul logement (p. ex. maison individuelle, bungalow ou maison siamoise [liée à une autre maison par la fondation]). Logement multifamilial : immeuble résidentiel comprenant plusieurs logements (p. ex. appartement, appartement en copropriété, maison en rangée ou maison jumelée). Bâtiment industriel : tout bâtiment utilisé dans la transformation ou la production de biens, ou lié aux domaines des transports et des communications. Bâtiment commercial : tout bâtiment utilisé dans le commerce ou la distribution de biens et de services, y compris les immeubles de bureaux. Bâtiment institutionnel et gouvernemental : tout bâtiment servant à abriter des services publics et parapublics, comme les bâtiments liés à la santé et au bien-être, à l'éducation ou à l'administration publique ainsi que les bâtiments utilisés pour les services religieux. Révision Les données peuvent faire l'objet d'une révision, selon les réponses reçues tardivement, les changements de méthodologie et les mises à jour de classification. Les données non désaisonnalisées du mois précédent ont été révisées. Les données désaisonnalisées des trois mois précédents ont été révisées. Pour obtenir des renseignements sur les données de la tendance-cycle, veuillez consulter la page Estimations de la tendance-cycle — Foire aux questions. Prochaine diffusion Les données de janvier 2024 sur les permis de bâtir seront diffusées le 7 mars 2024. Coordonnées des personnes-ressources Pour obtenir plus de renseignements ou pour en savoir davantage sur les concepts, les méthodes et la qualité des données, communiquez avec nous au 514-283-8300 ou composez sans frais le 1-800-263-1136(infostats@statcan.gc.ca), ou communiquez avec les Relations avec les médias (statcan.mediahotline-ligneinfomedias.statcan@statcan.gc.ca).
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