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  1. Attention tout le monde. C'est maintenant à 6 étages que l'on parle de "tours" à Montréal. Je suis d'accord avec eux par contre de convertir le terrain en parc sur le bord du canal Lachine, préserver l'accès au canal et rendre l'accès plus convivial aussi avec des parcs. Par contre, de dire que à 6 étage, on a une tour...un gratte-ciel un coup parti !? ***************************** Sud-Ouest Un parc ou des condos? Agence QMI Jean-Louis Fortin 16/02/2010 21h45 Le nouveau maire d’arrondissement Sud-Ouest, Benoît Dorais, a décidé de maintenir sur la glace un important projet de condos pour relancer le débat sur l’usage qui sera fait des terrains en bordure du canal de Lachine. Le porte-couleurs de Vision-Montréal a annoncé qu’un forum de consultations publiques se tiendrait d’ici juin sur le redéveloppement controversé du site de l’ancien entrepôt Seracon, situé au 2985 sur la rue Saint-Patrick. Jusqu’à la mi-2009, l’ancienne mairesse de l’Arrondissement et membre d’Union Montréal, Jacqueline Montpetit, caressait l’idée d’y autoriser la construction de deux édifices à logements résidentiels de six étages, qui auraient abrité 150 condos. Puis, le 22 septembre, l’arrondissement a refusé de donner le feu vert à la première étape, soit la démolition de l’entrepôt actuel construit en 1956. Depuis, le projet du promoteur AXXYS fait du surplace. Plusieurs groupes de citoyens, comme Action-Gardien, craignent que des tours à condo de 20 mètres de haut ne viennent «ériger un mur entre le quartier et le canal Lachine», et créent «des problèmes de circulation automobile». Ils ont proposé qu’un parc soit aménagé plutôt que des immeubles. «Relancer le débat public» «Nous avons décidé de relancer le débat public sur des bases plus larges», a expliqué Benoît Dorais en début de semaine. Mardi soir, lors d’une séance spéciale du conseil d’arrondissement, les trois conseillers de Vision Montréal, qui disposent de la majorité des voix, devaient voter afin de permettre la démolition du bâtiment actuel, pour que le propriétaire puisse décontaminer le terrain. «Le propriétaire a toujours agi de bonne foi dans ce dossier et nous devons faire de même», a dit le maire, qui veut que la décontamination soit effectuée alors que des programmes de subventions sont disponibles pour le faire. Les élus devaient aussi établir un zonage résidentiel et commercial dans ce terrain auparavant classé comme industriel.
  2. La Presse Le dimanche 09 septembre 2007 Après avoir ordonné une enquête administrative dans Outremont pour vérifier des allégations concernant la direction de l’arrondissement, la Ville de Montréal a décidé de scruter les frais de représentation réclamés par tous les directeurs d’arrondissement, un contrôle qui aura lieu dorénavant chaque année pour éviter le gaspillage et les dépenses exagérées, a appris La Presse. À la demande du directeur général de la Ville, Claude Léger, le greffier par intérim Yves Saindon a été mandaté pour obtenir les pièces justificatives des notes de frais des 19 directeurs d’arrondissement de la Ville pour 2006. Ils avaient jusqu’à mercredi pour envoyer leurs documents. En entretien avec La Presse, Claude Léger explique qu’il a voulu implanter à Montréal une procédure qu’il a appliquée à Longueuil, où il a été directeur général de 2001 à 2005. «Je suis très préoccupé par des questions de contrôle interne, dit-il. La Ville de Montréal est une grande organisation où il y a beaucoup de centres de décision. Je veux m’assurer que des principes de saine gestion soient appliqués de façon uniforme partout.» M. Léger considère qu’il est normal qu’une administration comme celle de Montréal vérifie, autant à la ville-centre que dans les arrondissements, quels types de demandes de remboursement sont faits. C’est pourquoi les directeurs généraux adjoints et les directeurs principaux de la Ville sont aussi visés par une telle vérification. Quand il s’agit de reddition de comptes, les règles sont les mêmes dans chaque arrondissement. Toutefois, certains d’entre eux étaient auparavant des villes indépendantes et n’avaient pas tous la même façon de considérer les notes de frais de la direction générale. «Depuis la fusion, il y a un encadrement administratif qui prévoit ce qui est admissible et ce qui ne l’est pas, dit M. Léger. Je vais donc contrôler quelle interprétation chacun fait de cet encadrement administratif, même si la façon de l’appliquer est différente d’un endroit à l’autre.» Un directeur d’arrondissement a droit à 4000 $ de frais de représentation dans l’exercice de ses fonctions. M. Léger veut savoir quelle est la nature des remboursements demandés. «Le contrôle là-dessus doit normalement se faire à l’arrondissement mais moi, je veux vérifier si on a respecté cette somme», dit-il. Le directeur de l’arrondissement de Saint-Laurent, Serge Lamontagne, est très à l’aise avec l’initiative de la ville centre. «On doit viser la transparence dans nos façons de faire», dit-il. «Il y aura d’autres contrôles, prévient M. Léger. C’est conforme à ce que dit le vérificateur général de la Ville, qui trouve que le contrôle interne est très important et qu’on n’en a peut-être pas assez fait. Même si financièrement cela ne représente pas beaucoup d’argent, symboliquement, c’est important pour le contribuable et le citoyen de s’assurer qu’il n’y ait pas de dépenses excessives faites à cet égard.» Les directeurs d’arrondissement ont été avisés que Claude Léger désirait qu’ils traitent «cet exercice comme s’il s’agissait d’une demande d’accès à l’information».
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