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  1. Vaste plan d'aménagement pour le grand Montréal La Communauté métropolitaine de Montréal a dévoilé jeudi la première version de son premier Plan d'aménagement et de développement JENNIFER GUTHRIE MÉTRO Publié: 28 avril 2011 19:55 La Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) a présenté, jeudi, son projet de Plan d’aménagement et de développement (PMAD). Ce projet, qui sera soumis à la consultation publique à l’automne, vise à densifier la région métropolitaine, à mettre en place un réseau métropolitain de transport performant et à développer un réseau récréotouristique. Le premier PMAD doit être adopté au plus tard le 31 décembre, en vertu de la loi. La CMM prévoit qu’il faudra deux ans à ses membres pour conformer leurs schémas d’aménagement régionaux aux critères du PMAD. Elle se donne ensuite jusqu’en 2031 pour réaliser tous les objectifs de son plan. Selon les évaluations de la CMM, 320 000 nouveaux ménages s’établiront à Montréal, Laval, Longueuil, dans la couronne Nord ou dans la couronne Sud d’ici 20 ans. Puisque ces territoires sont déjà relativement denses, la CMM se donne comme objectif de «canaliser 40% de la croissance future à proximité des points d'accès aux réseaux de transport en commun en favorisant la réalisation de quartiers de type TOD (Transit-Oriented Development)». Les quartiers de type TOD s’articulent autour des stations de transport en commun (train, métro, service rapide par bus) et favorisent les transports actifs, sans toutefois exclure l’automobile. Ils pourront se greffer aux projets de transports qui attendent la région, dont le prolongement du métro vers l’est et la mise en place d’un système léger sur rail (SLR) sur le nouveau pont Champlain. Au chapitre de l’environnement, la CMM «propose de mettre en place un réseau récréotouristique qui s'appuie sur les atouts naturels et culturels de la région». Elle rappelle que la région «dispose d'un riche patrimoine naturel et bâti ainsi que de paysages emblématiques qui méritent d'être mieux protégés et mis en valeur dans une approche intégrée». http://www.journalmetro.com/linfo/article/845598--vaste-plan-d-amenagement-pour-le-grand-montreal
  2. Développement urbain à Montréal Vers une pénurie de terrains, selon l’APCHQ Première publication 21 septembre 2011 à 17h23 Vers une pénurie de terrains, selon l’APCHQ Par Laurent Dionne | Agence QMI La grande région de Montréal fera bientôt face à une pénurie de terrains pour de nouvelles constructions résidentielles, a prévenu mercredi l'Association provinciale des constructeurs d'habitations du Québec (APCHQ), qui estime par ailleurs que 110 000 ménages auront de la difficulté à se trouver un logement durant les 20 prochaines années. L'APCHQ espère que cet avertissement sera pris en compte par la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) dans le cadre de son Plan métropolitain d'aménagement et développement (PMAD), qui prévoit la façon dont le développement urbain de la région montréalaise se fera au cours des deux prochaines décennies et qui fera l'objet de consultations publiques cet automne. «Actuellement, près de 60% des territoires de la CMM sont zonés agricoles. De cette superficie, l'équivalent de deux fois et demie l'île de Montréal représente des terrains inutilisés», a avancé Marc Savard, directeur général de l'APCHQ, en point de presse. Le plan d'aménagement du CMM propose de surcroît un gel du territoire pour les cinq prochaines années. Selon l'Association, les MRC de l'Assomption et Thérèse-de-Blainville souffrent déjà d'une pénurie de terrains résidentiels, et d'ici 2019, quatre territoires supplémentaires connaîtront le même problème. Afin de pallier cette situation, l'APCHQ propose d'utiliser progressivement le territoire non utilisé à hauteur de 5%. La densification, un autre problème Toujours selon l'APCHQ, il existe un autre effet néfaste du PMAD s'il est accepté tel qu'il est conçu actuellement, soit une densification abrupte et arbitraire de la population. Les prix des logements poursuivraient sur leur lancée et les maisons unifamiliales ne seraient réservées qu'aux plus nantis. Tous ces enjeux seront évalués cet automne et le PMAD doit être adopté dans sa forme finale au plus tard le 31 décembre.
  3. Pour se faire connaître à l'étranger comme un endroit propice pour investir, travailler et vivre agréablement, les 82 municipalités du Grand Montréal se sont dotées d'une nouvelle image de marque qui va faire le tour du monde. «Le Grand Montréal : l'espace pour se réaliser». Tel est le slogan choisi, surmonté d'un M multicolore. La Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) a payé pour cela près d'un demi-million. «Ça correspond à 10 sous par habitant de la CMM», précise le directeur général de l'organisme, Massimo Iezzoni. La CMM voulait trouver un fil conducteur pour ses 82 villes et leurs organismes, comme les chambres de commerce, les centres locaux de développement ou les sociétés de développement commercial. Les villes ont mis du temps à s'entendre sur le fait que, sur la scène internationale, il faut être uni. «C'est la première fois que je vois nos membres fiers de vouloir parler d'une seule voix», dit M. Iezzoni. Toutes les grandes communautés urbaines du monde ont ou sont en train de se créer une signature pour «exister» sur les marchés extérieurs, dans le but d'attirer de la richesse, que ce soit des talents, des investisseurs ou des touristes. «À Amsterdam, ils ont 'I am sterdam', dit M. Iezzoni. Depuis quelques mois, la région de Berlin a 'Be Berlin' et en 2007, la communauté urbaine de Lyon a créé 'ONLY LYON' en inversant le nom de la ville.» National, Léger Marketing et des entreprises de graphisme ont travaillé deux ans pour aboutir à la signature choisie, résultat d'un consensus, de nombreuses rencontres et d'un sondage. «Ce logo, c'est Montréal le 'nouveau' nouveau monde, dit M. Iezzoni. On peut tout y faire. On y trouve une ouverture d'esprit et... l'espace pour se réaliser.» Pour Frédéric Metz, professeur de design graphique à l'UQAM, le graphisme «pur» de ce logo «est très beau» mais il trouve que «cinq couleurs pour un logo, c'est très difficile à reproduire». Par ailleurs, il pense que cette nouvelle image ne sera «jamais assez connue mondialement» par rapport au logo déjà connu de Montréal. Mais la CMM veut le faire connaître partout. «Alain Dubuc disait l'an dernier que Montréal est un secret bien gardé et que ce n'est pas une bonne nouvelle, dit-il. Nous allons donc travailler durant la prochaine année à faire en sorte que les villes et les organismes de la CMM s'approprient cette signature et qu'elle voyage. Nous allons engager une firme pour trouver des marchés. Aujourd'hui, les villes du monde font de la pub sur CNN pour attirer des gens.» M. Iezzoni dit que lorsqu'une nouvelle ligne aérienne New-York-Lyon a été créée, le logo 'ONLY LYON' flottait au-dessus de l'aéroport newyorkais et non les armoiries lyonnaises. Il ajoute que le Grand Montréal devait créer une image pour améliorer son potentiel attractif, tant décrié l'an dernier par le gourou de l'image Simon Anholt qui avait comparé la 20, entre l'aéroport et le centre-ville, aux routes du Kazakhstan... Mais Frédéric Metz a des réserves sur l'adoption du logo par les villes de la région. «Est-ce que Laval est prêt à laisser tomber son petit L pour ce M?, demande-t-il. Si l'on ne voit que ce M, je n'ai aucun problème mais j'ai des doutes. Pour beaucoup de gens, leur logo local est comme un drapeau national. Si le bureau qui contrôle le logo du Grand Montréal réussit à faire fonctionner ce logo seul, alors bravo!» Pour Isabelle Hudon, présidente de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain et bientôt présidente de la boîte de pub Marketel, le geste de la CMM est exemplaire. «Un exercice de branding, c'est une réflexion, ce n'est pas seulement un logo, dit-elle. C'est la définition d'une mission, de ce qu'on est, et d'une vision, soit ce qu'on veut devenir. Quand l'exercice est bien fait, cela peut être très mobilisant. Créer un consensus sur un slogan et un logo, ce n'est pas rien. La CMM a compris que pour avoir de l'influence, il faut se rassembler. Je leur tire mon chapeau.» lien
  4. Mardi 26 Juin 2007 La Communauté métropolitaine de Montréal est en quête d'une image de marque. " Cette volonté de doter le Grand Montréal de sa propre image de marque relève du besoin d'apporter davantage de cohérence au positionnement et aux efforts de promotion à l'international de la région ", de faire part Robert Charland, membre du comité exécutif de la Ville de Longueuil et président de la commission du développement économique, des équipements métropolitains et des finances de la CMM. L'image de marque qui sera retenue devra communiquer un message clair, homogène et distinctif pour tous les intervenants qui ont des activités à l'international. " Le positionnement et la promotion de la métropole montréalaise à l'étranger sont des enjeux qui touchent l'ensemble de la région métropolitaine ". d'ajouter Benoît Labonté, maire de l'arrondissement de Ville-Marie. Cette recherche d'une image distinctive durera un an. Durant cette période, la CMM recueillera les suggestions et les commentaires de la population, des élus municipaux et des intervenants socio-économiques et culturels de la région. Les citoyens peuvent faire parvenir leurs suggestions en visitant le site web : http://www.legrandmontrealfaitsamarque.com
  5. lundi 28 mai 2007 L'étalement urbain menace le territoire agricole du Québec, particulièrement dans la grande région de Montréal, selon la Coalition pour la protection du territoire agricole (CPTAQ). L'organisme, piloté par l'Union des producteurs agricoles (UPA), regroupe aussi des syndicats, des scientifiques et des groupes environnementalistes. Il lance un cri d'alarme au gouvernement du Québec pour calmer la frénésie du dézonage agricole. Près de 3000 hectares de terres agricoles ont fait l'objet de demandes de dézonage dans la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) durant la seule année 2003. La superficie visée est égale aux demandes des 10 années précédentes. La CPTAQ précise que 50 000 hectares ont été dézonés au Québec depuis 1994. Les experts estiment que c'est l'équivalent de l'île de Montréal - quelque 4000 hectares - qui est dézoné chaque décennie au Québec. Or, seulement 2 % du territoire québécois est cultivable. Les meilleures terres se retrouvent dans la plaine du Saint-Laurent à l'intérieur de laquelle se situe la CMM. La CPTAQ s'explique mal la frénésie du dézonage puisque 30 000 hectares du territoire de la CMM ne sont pas en zone agricole et sont disponibles pour la construction. Le potentiel résidentiel oscille entre 800 000 et 1 million de personnes. Les municipalités périphériques, qui n'ont plus d'espaces, seraient tentées de mettre la main sur les terres agricoles pour augmenter leurs revenus fiscaux. Une terre cultivable sur laquelle on construit devient impropre à l'agriculture pour toujours. L'étalement urbain s'effectue au détriment de Montréal et des banlieues de la première couronne, selon le géographe de l'Université de Montréal, Claude Marois. Ce dernier souligne l'importance de protéger le territoire agricole. Il favorise le développement des terres non zonées, la revitalisation des vieux quartiers et la mise sur pied d'un plan de développement qui dépasse les cadres municipaux. La CPTAQ récupère ces recommandations qu'elle défendra lors des audiences publiques de la Commission sur l'avenir de l'agriculture et de l'agroalimentaire à Québec et Montréal.source http://www.radio-canada.ca/nouvelles/regional/modele.asp?page=/regions/Montreal/2007/05/28/004-CPTAQ-CMM-agricoles.shtml
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