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  1. Archambault quitte le Complexe Les Ailes 13 janvier 2009 - 06h02 La Presse Laurier Cloutier La chaîne Archambault a vidé ses locaux du Complexe Les Ailes, le 31 décembre dernier, mais pas du tout à cause de difficultés financières. C'est ce qu'assure la directrice du marketing du Groupe Archambault, Diane Langlois. Par contre, elle reconnaît que la chaîne a demandé une baisse de loyer aux Ailes, il y a déjà plus de deux ans, et que, faute d'un accord, les deux parties ont conclu une entente pour mettre fin au bail. Ivanhoé Cambridge n'a pas mis Archambault dehors, assure de son côté la directrice du Complexe Les Ailes, Johanne Marcotte, sans donner de détails sur le dossier «confidentiel» et la pénalité éventuelle de fin de bail. Le propriétaire ne sait pas encore qui va prendre les locaux d'Archambault. «Ce n'est pas attaché encore. C'est quand même des locaux rares sur la rue Sainte-Catherine, qu'on n'aime pas voir vides», selon Johanne Marcotte. Le Complexe Les Ailes a profité d'une hausse de son affluence en 2008 et a renouvelé des baux, souligne la directrice, sans préciser si des locataires ont exigé des baisses de loyers. Par ailleurs, Diane Langlois indique qu'Archambault a investi 8 millions de dollars l'an dernier dans l'ouverture d'un magasin à Sainte-Dorothée et la rénovation de quatre autres (Anjou, Laval, Saint-Georges, Saguenay). À Montréal, les clients peuvent faire leurs achats dans les deux autres Archambault de la rue Sainte-Catherine, dit-elle.
  2. Je crois que quelqu'un a poste un document sur ce gars recement: Vincent Chiara André Dubuc, les affaires 11:34 Pour en savoir plus Autres textes : Groupe Mach Articles de l'industrie Envoyer à un ami Imprimer cet article Écrire à l'auteur Le locateur est le Groupe Mach, appartenant à Vincent Chiara. Photo : Groupe Mach La Ville de Montréal a conclu une entente de 10 M$ avec un propriétaire immobilier, Vincent Chiara, qui a organisé une activité de financement pour le parti de Gérald Tremblay en 2005. En août 2007, la mairie de l’arrondissement Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension signait de gré à gré un bail d’une durée de dix ans au 405, rue Ogilvy, à l’extrémité ouest de l’arrondissement, dans le quartier Parc-Extension. La mairie locale y occupe autour de 45 000 pieds carrés. Les engagements financiers frisent les 10 millions de dollars sur la durée du contrat. Le locateur est le Groupe Mach, appartenant à Vincent Chiara. Avocat, partenaire des familles Saputo et Lieberman, M. Chiara est devenu un acteur incontournable de la scène immobilière à Montréal. Il est aussi un ami du parti du maire Gérald Tremblay. Il a organisé une activité de financement à Laval ayant rapporté 54 000 $ à Union Montréal en 2005. Le propriétaire a payé l’immeuble 8 millions en juin 2006. « Avec notre bail, on paie son bâtiment », fait remarquer Anie Samson, mairesse de l’arrondissement. Membre de l’opposition, minoritaire dans son propre conseil, Mme Samson s’est opposé au déménagement parce que, pour elle, la priorité allait au réinvestissement dans les infrastructures. Elle critique aussi la situation géographique du 405, Ogilvy, trop excentrique par rapport au centre de l’arrondissement. Une décision légale Le ministère des Affaires municipales et des régions a confirmé la légalité du contrat dans une lettre dont nous avons obtenu copie. Cette décision coûtera plus cher aux contribuables de l’arrondissement. Les élus locaux ont en effet demandé sans succès à la ville centre des crédits additionnels récurrents de 271 443 $ à compter de 2009 pour absorber la différence dans les coûts de location. À la suite de ce refus, l’arrondissement devra éponger seul la facture. Pas de surcoût, selon l’arrondissement Le directeur de l’arrondissement soutient à l’opposé que le nouveau bail n’entraînera pas de déboursés additionnels. Du même souffle, il défend le bien-fondé du contrat avec M. Chiara. « Si vous faites une analyse comparative du coût payé au pied carré du bâtiment qu’on occupe versus toutes les autres mairies d’arrondissement qui se sont implantées, vous allez voir que le prix qu’on paie est nettement inférieur », dit Stéphane Chénier, directeur d’arrondissement, dans un entretien. Le directeur affirme que les économies découlant de la centralisation des activités en un lieu unique viendront en bonne partie compenser le surcoût à titre de loyer. De plus, la Ville peut revendre les immeubles municipaux devenus excédentaires avec le départ du personnel de l’arrondissement. La vente du 2525 Jarry Est et d’un terrain voisin permet ainsi à l’arrondissement d’engranger environ un million de dollars dans ses coffres. Un coût en évolution Cependant, M. Chénier ne peut nous dire combien exactement la mairie va payer pour son nouveau bail. « Il reste encore des hypothèses de coûts d’aménagement qui ne sont pas complétées. C’est sûr qu’il y a eu une augmentation du prix des matières premières qui va se répercuter sûrement sur le coût du bail. » Qui plus est, l’arrondissement assumera toute augmentation de taxes et des frais d’exploitation pour la durée du bail. « Pour l’instant, le coût revient à un dollar de moins au pied carré que ce qu’on payait avant dans le locatif privé. Mais on loue dans le privé plus de pieds carrés qu’avant », ajoute-t-il. Avant le regroupement au 405, Ogilvy, l’effectif de 140 personnes était dispersé dans deux immeubles municipaux et dans bureaux privés. Le bureau des élus, par exemple, était situé au 529, rue Jarry Est, propriété de Pierre Kadijevic. Ce dernier avait obtenu le contrat par appel d’offres public en 2002. Il se dit outré par la façon de faire de l’arrondissement. Il croit qu’on s’est servi de lui pour justifier le contrat conclu avec le Groupe Mach. Pourquoi un contrat de gré à gré ? Au fait, pourquoi l’arrondissement n’a-t-il pas procédé par appel public pour ainsi s’assurer d’obtenir le meilleur prix ? M. Chénier rappelle que les élus de l’arrondissement lui ont donné le mandat en mars 2007 de trouver un local répondant à l’ensemble des besoins avant que les baux du privé n’arrivent à échéance le 31 décembre 2007. « On est allés à la solution optimale, qui était réalisable dans les délais qu’on avait, au meilleur coût possible. », se défend-il aujourd’hui.
  3. Tel qu'elle l'avait annoncé, la biopharmaceutique vend son édifice, récoltant 7,1 M$ comptant. Elle signe un bail à long terme pour y rester. Pour en lire plus...
  4. 21 août 2007 À partir de l'analyse d'un échantillon de locataires rencontrés ce printemps, le Regroupement des comités logement et associations de locataires du Québec (RCLALQ) constate que les locataires montréalais ont reçu des demandes moyennes d'augmentation de loyer de 4,4 %, lors de la dernière période de renouvellement des baux. Certains secteurs ou arrondissements de Montréal s'en tirent mieux. Ce qui n'est toutefois pas le cas pour l'arrondissement de Mercier – Hochelaga-Maisonneuve, où la hausse moyenne est de 4,7 %. Différents facteurs peuvent expliquer cette différence : la disponibilité des loyers dans le secteur, l'état des logements, les services de proximité, etc. À noter que dans la grande majorité des cas de l'échantillonnage étudié, le chauffage est à la charge des locataires et leurs logements n'ont pas subi de réparations majeures. Pour ces situations, en absence de variation des taxes foncières, l'indice d'ajustement des loyers, publié par la Régie du logement en janvier dernier, était de 0,8 %. Selon la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL), entre 2000 et 2006, le coût du loyer d'un logement de deux chambres à coucher a bondi de 25 % dans la région de Montréal. « Il ne fait pas de doute que la méthode actuelle de la Régie du logement ne protège pas adéquatement les locataires contre les hausses de loyer, précise André Trépanier, responsable des dossiers politiques du RCLALQ. La ministre des Affaires municipales et des Régions, Nathalie Normandeau, a en main diverses solutions pour corriger le travail de la Régie du logement. » En l'absence d'un registre des baux, certains propriétaires en auraient profité pour hausser considérablement le coût de leur loyer. Pour contrer cette situation, le RCLALQ encourage les locataires qui déménagent à « passer leur bail » à ceux qui emménagent afin de leur donner la possibilité d'exercer un recours très peu utilisé, celui de demander la révision du coût de leur loyer. Selon le dernier rapport annuel de la Régie du logement, ce recours n'avait été exercé que 436 fois en 2005-2006 pour l'ensemble du Québec. Pour ce faire, les locataires disposent de deux mois après le début du bail pour contester le coût du loyer si la section G du bail n'a pas été complétée. Cependant, si cette section est dûment remplie, les locataires ne disposent que de 10 jours à partir de la conclusion du bail. En cas de fausse déclaration de la part du locateur, les locataires ont deux mois à partir de la connaissance de la fraude pour déposer leur recours. « Comme souvent la section G demeure incomplète, l'entraide entre locataires est une des rares avenues pour suppléer à l'absence d'un registre des baux », conclut M. Trépanier.
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