Aller au contenu
publicité

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'allegations'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Projets immobiliers
    • Propositions
    • En Construction
    • Complétés
    • Transports en commun
    • Infrastructures
    • Lieux de culture, sport et divertissement
  • Discussions générales
    • Urbanisme, architecture et technologies urbaines
    • Photographie urbaine
    • Discussions générales
    • Divertissement, Bouffe et Culture
    • L'actualité
    • Hors Sujet
  • Aviation MTLYUL
    • YUL Discussions générales
    • Spotting à YUL
  • Ici et ailleurs
    • Ville de Québec et le reste du Québec
    • Toronto et le reste du Canada
    • États-Unis d'Amérique
    • Projets ailleurs dans le monde.

Blogs

  • Blog MTLURB

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Location


Intérêts


Occupation


Type d’habitation

3 résultats trouvés

  1. Ça va pas ben pour Aubut... http://journalmetro.com/sports/851393/le-coc-elargit-lenquete-sur-marcel-aubut/ Le COC élargit l’enquête sur Marcel Aubut MONTRÉAL – L’enquête sur les allégations de harcèlement sexuel visant Marcel Aubut sera étendue à «toute plainte, formelle ou non», qui sera portée à l’attention du Comité olympique canadien. Le Comité a diffusé un communiqué, vendredi, dans lequel il dit trouver «extrêmement troublantes» les nouvelles allégations de même nature visant son président qui ont fait surface dans les médias au cours des derniers jours. L’organisme a donc décidé de mettre sur pied un deuxième mécanisme dont le travail sera dirigé par un tiers indépendant qui reste à identifier et qui procédera à un «examen détaillé» de toute plainte additionnelle. Le Comité olympique encourage toute personne qui aurait des informations à cet effet à lui faire part de ses préoccupations et affirme qu’il est régi par des politiques claires en matière de harcèlement. Il s’engage à prendre toutes les mesures requises à la suite de ces enquêtes. Le nouveau mécanisme d’enquête s’ajoute à celui mis sur pied sous l’égide de l’ancien juge en chef de la Cour supérieure du Québec François Rolland, qui se penche sur la seule plainte formelle déposée jusqu’ici dont l’auteur et la nature demeurent confidentiels. Marcel Aubut s’est temporairement retiré de ses fonctions, mercredi, en attendant la conclusion de cette enquête. Dans un communiqué qu’il a publié lui-même mercredi soir, M. Aubut décrit les allégations comme étant «une remarque qu’il aurait faite à une collègue». Il dit offrir son soutien «inconditionnel» aux enquêteurs. Ce communiqué ne visait toutefois que la première plaignante, les autres incidents n’ayant pas encore été rapportés au moment où il a été diffusé. Depuis, d’autres femmes ont publiquement partagé des allégations contre le président du Comité olympique canadien et de la Fondation olympique canadienne. Vendredi, le quotidien La Presse révélait que le Comité olympique canadien était au courant de certains comportements déplacés de son président depuis plusieurs années. En 2011, le secrétaire général et chef de la direction du COC à l’époque, Jean R. Dupré, avait écrit une lettre à son président — dont La Presse a obtenu copie — dans laquelle il demandait à ce dernier de cesser une série de comportements spécifiques auprès des femmes et acceptait de ne pas porter plainte contre lui parce qu’il avait donné l’assurance que de tels comportements cesseraient sur le champ. L’avocate montréalaise Amélia Salehabadi-Fouques a accordé plusieurs entrevues aux médias, jeudi, dans lesquelles elle a détaillé ses interactions avec M. Aubut. Le réseau TVA et la station de radio 98,5 FM ont également diffusé des entrevues avec une femme qui dit avoir travaillé avec Marcel Aubut et avoir subi du harcèlement sexuel. Amélia Salehabadi-Fouques, une avocate spécialisée dans le droit du sport et membre de l’Association canadienne de soccer depuis 2013, a dit avoir été victime de harcèlement de la part du président du COC à trois reprises dans les quatre dernières années. Mme Salehabadi-Fouques a notamment soutenu que M. Aubut l’a embrassée de force et lui a fait des commentaires sexuels. Ses allégations n’ont pas été prouvées devant un tribunal. Dans les entrevues accordées à des journaux et des stations de radio, Mme Salehabadi-Fouques raconte être entrée en contact avec Marcel Aubut il y a quatre ans, pour s’impliquer dans le COC. Il lui aurait donné rendez-vous dans un chic restaurant de Montréal, mais à son arrivée, elle a été surprise de voir qu’il était assis au bar. En discutant, il est devenu clair pour elle qu’il était davantage intéressé par son physique que par son expérience professionnelle. Il lui aurait posé des questions de nature privée et aurait fait des commentaires personnels. Plus tard dans la soirée, il l’aurait embrassée «avec la langue». Elle dit avoir pris un taxi seule pour rentrer chez elle. Dans diverses entrevues, elle se remémore aussi un incident survenu l’an dernier, à Québec. Il l’aurait invitée à assister à une rencontre d’affaires avec une foule d’autres personnes, mais une fois à l’hôtel, elle était seule. Il n’y avait qu’une seule chambre d’hôtel réservée au nom de M. Aubut, aucune pour elle, a-t-elle affirmé. «Il me dit: « quand est-ce que je vais venir dans ta chambre? J’ai demandé des clés pour ta chambre »», a-t-elle confié à La Presse. Encore l’an dernier, lors d’un match de la Coupe du monde de soccer féminin U-20, devant son fils de 15 ans, il l’aurait interpellée dans un couloir et lui aurait demandé: «Quand est-ce qu’on couche ensemble?» En entrevue au 98,5 FM, l’avocate a affirmé ne pas savoir si elle porterait plainte formellement. Lorsqu’elle a appris qu’une autre personne avait porté plainte, cette mère de trois enfants s’est sentie concernée et a décidé de ne plus rester silencieuse. «En tant que mère, je vais toujours me lever pour les jeunes femmes harcelées», a-t-elle écrit sur Twitter mercredi. Plus tard jeudi, TVA a diffusé une entrevue avec une femme soutenant avoir été victime de plusieurs gestes de M. Aubut en 2011, lorsqu’elle travaillait dans un bureau d’avocats de Montréal. La femme n’a pas été identifiée, mais TVA a indiqué qu’elle était une de ses anciennes adjointes exécutives. Selon ce qu’elle raconte au réseau d’information, Marcel Aubut mettait ses mains autour de sa taille, et elles étaient un peu plus basses chaque nouvelle fois. Elle a également soutenu qu’il plaçait ses mains sur ses épaules et touchait sa poitrine. Elle l’aurait également vu en caleçons à une occasion, lorsqu’il l’a appelée dans sa salle de conférence. Après ces incidents, a-t-elle raconté, elle a dû quitter pour des raisons de santé. Selon TVA, elle n’a pas porté plainte car le cabinet lui a proposé une entente lui donnant l’équivalent de 10 000 $ contre son renoncement à tout recours. Âgé de 67 ans, Marcel Aubut est membre du COC depuis 2000, et président depuis avril 2010. Par le passé, il a occupé le poste de président des Nordiques de Québec, jusqu’au déménagement de l’équipe au Colorado en 1995. Il a notamment aidé à faire venir au Canada les frères Stastny, en 1980, pour jouer pour les Nordiques. Il a été nommé officier de l’Ordre du Canada en 1993, officier de l’Ordre national du Québec en 2006, et avocat émérite du Barreau du Québec en 2008. Il a été intronisé au Panthéon des sports canadiens en 1999. Il exerce le droit et est partenaire, avocat et vice-président du conseil d’administration de la firme montréalaise BCF. Mercredi, BCF a fait savoir qu’elle ne commenterait pas l’enquête et a ajouté que le rôle de M. Aubut dans la firme n’était pas à risque puisque les allégations ne concernaient pas directement ses activités professionnelles.
  2. Première page de Bloomberg ce matin. Oct. 31 (Bloomberg) -- Montreal got the nickname Sin City during Prohibition, when Americans crossed the border into Canada to drink, gamble and buy sex. The epithet is making a comeback this month. Allegations of price fixing, kickbacks and ties to organized crime are marring tomorrow’s election for mayor of Canada’s second-biggest city. Almost two-thirds of respondents in an Angus Reid poll released yesterday said the scandals will influence their vote. “This is Sin City all over again,” said Harold Chorney, a political science professor at Concordia University in Montreal. “Corruption is part of the history here.” Gerald Tremblay, the mayor since 2001, in September canceled a C$356 million ($330 million) pact to install water meters after La Presse newspaper reported that a city councilor vacationed on a yacht owned by the contractor who led the winning bid. Challenger Louise Harel, who leads in the polls, ousted her deputy this month after he admitted that his staff took improper cash donations. The corruption allegations are diverting attention from economic challenges facing the city of about 1.7 million people. The winner of the election faces rising costs for mass transit, policing and water, according to a May 21 Moody’s Investors Service report. Montreal has the highest debt load of any Canadian city, and ran a deficit of about C$330 million in 2008, compared with a surplus the previous year, said Ryan Domsy, senior financial analyst in Toronto at DBRS Ltd., a debt-rating company. Close Race The mayoral race is too close to call, according to an Angus Reid poll published yesterday in La Presse. Tremblay, 67, a Harvard Business School graduate, trails with 30 percent support. Harel, 63, a non-English-speaking lawyer and former minister in the separatist Parti Quebecois provincial government, leads with 34 percent. Richard Bergeron, 54, an architect who says the Sept. 11 attacks were carried out by the U.S. government and wants to ban cars from Rue Saint Catherine, the city’s busiest shopping street, is second at 32 percent. About 25 percent of respondents in the Angus Reid poll singled out transparency and the fight against corruption as the city’s No. 1 priority. Angus Reid polled 804 Montreal residents Oct. 28 and 29, with a margin of error of plus or minus 3.5 percentage points. “It’s one of the first really open races for years in Montreal,” Julie Belanger, 32, a Montreal office worker, said after an Oct. 27 candidates’ debate. “Usually you can guess who’s going to win, but this time it could be anybody.” Yacht Trips Tremblay canceled the water-meter contract, won by a group of local engineering firms, and fired two top bureaucrats after a report from Montreal’s auditor general found that elected officials lacked the necessary information before approving the project. The probe was sparked this year by a La Presse report that Frank Zampino, formerly head of the city’s executive committee, vacationed in January 2007 and February 2008 on a yacht owned by Tony Accurso, who led the group that won the water-meter order, the city’s biggest contract. Zampino retired from politics last year. Accurso’s lawyer, Louis Demers at De Grandpre Chait, didn’t return a call seeking comment. According to the auditor general’s report, the water-meter project was estimated in 2004 to cost C$36 million, about a 10th of the final contract’s price. “All of these allegations of corruption certainly don’t help Montreal’s reputation,” said David Love, a trader of interest-rate derivatives at Le Group Jitney Inc., a Montreal brokerage. “The city looks bad right now.” Sweeping Clean Harel’s Vision Montreal party based its platform on ridding city hall of its “culture of secrecy and collusion” and restoring trust in the municipal administration. Harel has called for public inquiries into the allegations of corruption at city hall, as has Bergeron’s Project Montreal party. “At first I thought a broom would be useful to clean this mess, but now I think I will need a very large vacuum cleaner,” Harel said in a television interview Oct. 28. Harel’s credibility was undermined after she forced the resignation on Oct. 18 of the head of her executive committee, Benoit Labonte, for ties to Accurso. Three days later, Labonte told Radio-Canada television in an interview that people close to him took money from Accurso, owner of Simard-Beaudry Construction Inc. Labonte said kickbacks and corruption are rampant in city hall. Maclean’s, Canada’s weekly news magazine, ran this headline on its cover this week: “Montreal is a corrupt, crumbling, mob-ridden disgrace.” “There’s an underground system,” Alex Dion, economic development officer for the borough of Montreal, said after a candidates’ debate. He said the allegations hurt Montreal’s reputation in the rest of Canada. Home of Ponzi Still, Howard Silverman, chief executive officer of CAI Global Inc., a consulting firm that helps foreign companies invest in Quebec, doesn’t think the allegations will deter investors from Montreal, the city that Charles Ponzi called home for almost a decade a century ago. Ponzi was charged in 1920 for using new funds from investors to pay redemptions by other investors, a type of fraud that now bears his name. “It’s not good for the city, it looks bad, but it won’t have much of an impact,” said Silverman, who counts investors such as London-based miner Rio Tinto Group among his clients. “Every North American or global city has its scandals or its problems.”
  3. Deux conseillers financiers devront se défendre contre diverses allégations dans le dossier Mount Real devant le tribunal disciplinaire des valeurs mobilières. Pour en lire plus...
×
×
  • Créer...