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Véhicules/Voitures Électriques


mtlurb

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Il y a 4 heures, mtlurb a dit :

Y’a pas juste market place pour indiquer une récession🤣

 

The shoe shine boy!

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Il y a 10 heures, mtlurb a dit :

Y’a pas juste market place pour indiquer une récession🤣

 

Onlyfan in trouble hahaha.  Je vais commencer a consulter le stripper index pour savoir comment va l'économie. Au diable statistique Canada.

 

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Just so people understand a bit more about the Tesla Supercharger network expansion being essentially halted, one of the driving reasons behind it is grid bottlenecks, especially in certain locations south of the border.  

It boils down to simple math: the grid hasn't been expanded as quickly as EV fast charging stations consume electricity.  

A Tesla Supercharger station with 20 stalls installed, needs a minimum of 5.5 MEGAWATTS of electricity (250kW x 20 plus ~10% efficiency loss) which is the equivalent of about 1,000 homes in the USA.   There aren't many locations with the local electrical infrastructure and of those, many are already tapped out with the various other charging networks, including Tesla.  

The other issue is Tesla opening the NACS to other vendors, ending the exclusivity for Tesla owners at Superchargers.  This allows them to effectively put the onus on others to build out parallel networks instead of spending their own money which can no longer be used to incentivize people to buy Tesla cars for access to a superior charging network.    

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  • Administrateur

Ça doit être la panique au secrétariat central du C40. Les Valeries plantes de ce monde doivent capoter en voyant une auto à 11k usd et électrique en bonus. 🤣 Leur objectif ambitieux de 0 autos privés en 2030 viens de prendre une taloche si ces autos sont permis dans l’ouest.

 

 

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  • 2 semaines plus tard...
  • Administrateur

Effectivement, il y aura un tariff de 100% par l'administration Biden sur les autos électriques... 

 

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  • 3 mois plus tard...
  • Administrateur

Québec songe à interdire complètement les automobiles à gas graduellement d'ici 2035... commencent dès l'an prochain s'il les constructeurs ne vendent un certain quota (quand même assez agressif).

Bref, un sondage viens d'être publié, et la majorité des québécois sont contre, sauf ceux votant pour le parti de l'extrême gauche Québec solidaire.

Même les caquistes n'en veulent pas... pourquoi est-ce que Legault et la CAQ s'acharnent là dessus?

 

===========

 

Fin des véhicules à essence et hybrides: les Québécois s’y opposent

Patrick Bellerose
 

Une majorité de Québécois s’oppose à la fin de la vente des véhicules à essence et hybrides d’ici 2035, révèle un sondage Pallas Data commandé par les conservateurs d’Éric Duhaime. 

En effet, 59% des répondants se disent fortement ou plutôt opposés au règlement décrété par le gouvernement Legault cet été.

Seuls 30% sont en faveur, tandis que 10% refusent de répondre (les chiffres ont été arrondis).

Le Parti conservateur du Québec (PCQ) a révélé ces données à la veille de la rentrée parlementaire, mardi. Pallas Data a sondé 1191 personnes âgées de 18 ans et plus et vivant au Québec*.

Fait étonnant, une majorité d’électeurs caquistes (63%) s’opposent à la mesure.

«Même chez les électeurs de la CAQ, le rejet est encore plus fort, ça prouve que le gouvernement est complètement déconnecté de sa propre base», affirme le chef conservateur, Éric Duhaime, par voie de communiqué.

Enjeu polarisant

En fait, seuls les partisans de Québec solidaires ont répondu majoritairement de façon positive, quoique dans une proportion limitée: 54% se disent favorables.

Les électeurs conservateurs, eux, se rangent fermement dans le camp des opposants, avec 90% d’opposants à l’interdiction des véhicules à essence et hybrides d’ici 2035.

Préférences

Selon le sondage, les voitures à essence demeurent le choix préféré des répondants pour une prochaine voiture (33%), même si les véhicules hybrides et 100% électriques sont le choix cumulé d’une majorité, avec 49%.

Méthodologie: Pallas Data a sondé 1191 personnes âgées de 18 ans ou plus et vivant au Québec. Le sondage a été réalisé par l’intermédiaire de réponses vocales interactives lors d’appels par lignes terrestres et cellulaires. Les réponses ont été pondérées et la marge d’erreur est de ± 2,8, à un niveau de confiance de 95%.

 

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  • Administrateur

En passant, je ne suis pas anti-voiture électrique, je suis anti interdiction et réduction de choix. Personnellement j'ai regardé pour une hybride pour une prochaine voiture, et même essayé quelques autos électriques.

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  • 2 semaines plus tard...
  • Administrateur

Suspension d’Écocamionnage

Un virage électrique stoppé net

 

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PHOTO MARTIN TREMBLAY, ARCHIVES LA PRESSE

La suspension surprise du programme gouvernemental Écocamionnage surprend l’industrie du camionnage, qui anticipe un coup de frein dans son virage électrique.

Encore à ses balbutiements, le virage électrique se retrouve au point mort dans l’industrie du camionnage. La suspension sans préavis d’un programme du gouvernement Legault a aussitôt provoqué des annulations de commandes, prenant au dépourvu l’industrie et les concessionnaires – qui craignent une facture salée imprévue.

 

« Quand l’annonce est sortie, nous avions dix camions en commande et en stock à livrer à des clients, explique Guillaume Chénard, vice-président des ventes du réseau de concessionnaires Globocam. Là, il y a un gros point d’interrogation. Tous ces camions-là ont été vendus avec la subvention. »

Le changement en question concerne le programme Écocamionnage, dont la mouture actuelle devait venir à échéance le 31 mars prochain. En invoquant un « engouement exceptionnel », le ministère des Transports et de la Mobilité durable (MTMD) a récemment annoncé, sur son site web, qu’il cessait d’accepter les nouvelles demandes d’aide financière en date du 6 septembre. Cette « suspension temporaire » est en vigueur jusqu’à « nouvel ordre ».

Écocamionnage consiste à stimuler l’électrification et l’utilisation de technologies visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES) dans le transport de marchandises.

À titre d’exemple, pour la version électrique d’un poids lourd (classe 8), il était possible d’obtenir jusqu’à 175 000 $ en vertu d’Écocamionnage. L’acheteur d’un poids lourd électrique pouvait absorber plus de la moitié du coût d’acquisition en combinant l’aide avec le soutien fédéral – un maximum de 150 000 $.

 

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PHOTO FOURNIE PAR GLOBOCAM

Globocam craint des annulations de commandes pour le poids lourd électrique eCascadia du constructeur Freighliner.

Le hic ? Le client doit solliciter la subvention du programme provincial après la réception de son achat, tandis que l’aide fédérale prend la forme d’un rabais à l’achat. Dans l’industrie du camionnage, on craint de voir la clientèle refuser des livraisons de véhicules déjà commandés puisqu’elle n’a plus la garantie que l’argent de Québec sera au rendez-vous.

« Il y a une très grande part de risque pour le client de commander un camion électrique ne sachant pas s’il va être subventionné », dit M. Chénard.

Poids financier

Le message du MTMD a provoqué une vive secousse dans l’industrie, le magazine spécialisé Transport routier l’a récemment évoqué. Propriétaire des marques Peterbilt et Kenworth, Paccar, qui exploite également une usine d’assemblage à Sainte-Thérèse, dans les Laurentides, a même senti le besoin d’y aller d’une tentative de rappel à l’ordre auprès du gouvernement Legault.

Dans une lettre adressée au premier ministre François Legault et à trois de ses ministres, que La Presse a pu consulter, la multinationale américaine souligne qu’il est « difficile de comprendre pourquoi cette situation n’a pas été signalée à l’avance ».

« L’achat, la construction et la livraison d’un camion électrique peuvent prendre plusieurs mois, souligne le directeur des ventes nationales, énergies alternatives de Peterbilt du Canada, Martin Blanchet. Il est donc raisonnable de conclure que si la situation n’est pas résolue, les commandes clients confirmées que nous pensions livrer cette année et en 2025 seront tout simplement annulées et deviendront un inventaire coûteux. »

Dans une lettre envoyée également au gouvernement Legault, l’Association du camionnage du Québec (ACQ) estime qu’un coup de barre est nécessaire pour « limiter les dommages ».

« Nous recommandons très fortement d’utiliser toutes les sommes d’argent disponibles, notamment celles émanant du Fonds d’électrification et de changements climatiques et de réinstaurer, rétroactif au 6 septembre, le programme », écrit son président-directeur général, Marc Cadieux.

Écocamionnage, c’est quoi ?

Il s’agit d’un programme qui s’adresse aux propriétaires et exploitants de véhicules lourds. Son objectif : réduire les émissions de gaz à effet de serre dans l’industrie en finançant des initiatives d’efficacité énergétique ou l’électrification. Écocamionnage est financé par le Fonds d’électrification et de changements climatiques – autrefois appelé le Fonds vert. En avril dernier, ce Fonds était assis sur un surplus accumulé de 1,7 milliard. Selon la commissaire au développement durable, cette enveloppe a financé pour 3 milliards de projets de lutte contre les changements climatiques sans avoir d’indicateurs pour connaître leur effet.

Coûteux inventaire à financer

Un poids lourd électrique peut coûter jusqu’à 600 000 $, soit trois fois plus cher que sa version alimentée au diesel. Jusqu’à la livraison du véhicule, c’est le concessionnaire qui assume les coûts de financement. Chez Peterbilt, la facture mensuelle peut frôler les 65 000 $ pour 18 modèles électriques en stock ou commandés chez deux concessionnaires, selon la missive consultée par La Presse.

La situation est similaire chez Globocam, qui exploite un réseau de neuf concessionnaires dans la province ainsi qu’un centre de préparation pour camions neufs.

 

 

PHOTO MATHIEU DESLANDES, FOURNIE PAR GLOBOCAM

Guillaume Chénard, vice-président des ventes du réseau de concessionnaires Globocam.

« On peut supporter cette situation pendant environ trois ou quatre mois, prévient M. Chénard. Après cela, ça commence à faire mal dans nos livres. C’est plusieurs millions de dollars en stocks que nous devons supporter. »

Encore au début

Contrairement aux véhicules de promenade électriques, les poids lourds alimentés à l’électricité circulent depuis moins longtemps sur les routes de la province. Ce n’est donc pas demain la veille que l’écart de prix avec les modèles à combustion se rétrécira de façon marquée.

« Une transition comme celle-là, si on veut qu’elle fonctionne, il ne faut pas ébranler la confiance des gens qui investissent dedans, estime M. Blanchet. C’est ça qu’Écocamionnage vient faire. »

Au moment d’écrire ces lignes, lundi, il n’avait pas été possible de savoir pourquoi le programme québécois s’était retrouvé sur la voie de garage. Le MTMD n’avait pas répondu aux questions de La Presse envoyées par courriel. On ignore si Québec table sur une solution de rechange.

Dans son plan de mise en œuvre 2023-2028 entourant sa stratégie pour une économie verte, le gouvernement Legault avait prévu une enveloppe de 31 millions en 2023-2024 pour le programme Écocamionnage. Elle devait atteindre 56 millions cette année et grimper progressivement jusqu’à 95 millions en 2027-2028.

À l’ACQ, M. Cadieux a de la difficulté à croire que le gouvernement Legault a été surpris par un « engouement exceptionnel » envers son programme.

« On sait ce qu’un camion de classe 8 coûte et ce que la subvention coûte, dit-il. Ça ne prend pas un classeur Excel. On devrait être capable de faire de la planification et d’offrir de la prévisibilité. Là, on a mis quelque chose en ligne sans aucun avertissement. »

De manière prudente, Lion Électrique a également plaidé pour un redémarrage rapide d’Écocamionnage en soulignant que le programme devait être « adapté ». Selon le vice-président camion et affaires publiques Patrick Gervais, les mesures doivent « cibler particulièrement le remplacement des véhicules plus polluants, comme ceux des classes 5 à 8 ».

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