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Euro Disney cherche des partenaires au Québec

 

 

Christophe Giral croit dur comme fer que les...

 

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Christophe Giral croit dur comme fer que les entreprises québécoises ont leur place dans l'univers d'Euro Disney - dont le chiffre d'affaires s'élève à 1,7 milliard $ - et qu'elles pourraient profiter d'une «vitrine incroyable» pour développer de nouveaux marchés en sol européen.

 

 

 

Gilbert Leduc

Le Soleil

 

(Québec) Venu directement de Disneyland Paris, Mickey Mouse cherche des entreprises québécoises spécialisées dans le bâtiment vert et intelligent et dans les arts numériques afin d'établir de nouveaux partenariats d'affaires.

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De l'avis de Christophe Giral, le Québec s'est bâti «un savoir-faire reconnu internationalement» dans les domaines du bâtiment vert intelligent et de l'image appliquée sous toutes ses formes.

 

Le Soleil, Patrice Laroche

 

Trêve de plaisanterie. Mickey Mouse n'était pas à Québec mercredi. Il avait plutôt délégué Christophe Giral, le directeur immobilier d'Euro Disney.

 

Celui-ci était l'invité de la section Québec de la Chambre de commerce française au Canada, qui tient, ces jours-ci, sa semaine d'excellence en affaires Québec-France.

 

En matinée, mercredi, M. Giral et la délégation du Val d'Europe - une ville située à une trentaine de kilomètres à l'est de Paris et qui est le royaume des deux parcs thématiques de Disneyland Paris, Disneyland et Walt Disney Studios - ont discuté avec des représentants économiques régionaux pour exprimer leurs besoins.

 

En après-midi, ils ont rencontré huit entreprises québécoises pour explorer les possibilités d'établir des collaborations d'affaires. Parmi ces entreprises, il y avait des firmes d'architectes (Hudon et Julien Associés, Tergos), le fabricant de maisons préfabriquées Modulex et des sociétés évoluant dans les nouvelles technologies, comme Exact Modus, Frima Studio et Saga Film.

 

Savoir-faire

 

De l'avis de Christophe Giral, le Québec s'est bâti «un savoir-faire reconnu internationalement» dans les domaines du bâtiment vert intelligent et de l'image appliquée sous toutes ses formes.

 

Il croit dur comme fer que les entreprises québécoises ont leur place dans l'univers d'Euro Disney - dont le chiffre d'affaires s'élève à 1,7 milliard $ - et qu'elles pourraient profiter d'une «vitrine incroyable» pour développer de nouveaux marchés en sol européen.

 

Au cours d'une allocution, le dirigeant d'Euro Disney s'est attardé à expliquer que Disneyland Paris est bien plus que deux parcs thématiques qui attirent 15 millions de visiteurs par année, «soit plus que le musée du Louvre et la tour Eiffel réunis».

 

Dans les faits, Euro Disney est au coeur d'un partenariat public-privé inusité. Avec le gouvernement fran*çais et les collectivités territoriales régionales, Euro Disney fait du développement urbain sur tout le territoire du Val d'Europe.

 

Ce «triangle de décision» a littéralement transformé cette communauté. De 5000 habitants et quel*ques dizaines d'emplois agrico*les en 1989, la «nouvelle ville» qui carbure à partir des principes du développement durable et de la saine qualité de vie de ses citoyens compte aujourd'hui 28 000 habitants et plus de 20 000 emplois. D'ici 2030, Val d'Europe comptera 60 000 habitants.

 

Pour chaque euro investi par les pouvoirs publics, le secteur privé a mis 10 euros sur la table. En tout et partout, pas moins de 9 milliards $ ont été investis jusqu'à ce jour.

 

Partenariat

 

Récemment, les pouvoirs publics français et Euro Disney ont con*venu de prolonger jusqu'en 2030 leur entente de partenariat. L'espace à développer passe de 1934 à 2230 hectares.

 

Pas moins de 11 milliards $ pourraient y être investis au cours des 20 prochaines années.

 

Depuis déjà quelque temps, Euro Disney songe à créer un troisième parc thématique qui mettrait en valeur le plein air, la santé et le bien-être.

 

«Les Villages Nature de Val d'Europe vont devenir le plus grand champ d'interprétation du développement durable au monde», a indiqué M. Giral, qui compte sur l'expertise développée en ces matières au Québec pour collaborer à ce projet de 2,5 milliards $.

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Un bon exemple qu'il y a espoir de percer le marché europpéen, un premier pas dans la direction du libre-échange Canada-Europe

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