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Normand Hamel

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Tout ce qui a été posté par Normand Hamel

  1. The height of the new HEC building is identical to the height of the cathedral, and this is no accident. As for the angularity of the building you will notice that the HEC triangle on the corner of La Gauchetière is very similar to the shape of the adjacent building on Beaver Hall. Personally, I love to see a spectacular building like the HEC right beside an equally imposing, but more classic, building like Saint Patrick's Basilica. I find the contrast lovely and it's actually a trademark of Montréal.
  2. Merci pour l'article. J'avais complètement oublié cette histoire. En lisant l'article je n'ai pas pu m'empêcher de penser aux compteurs d'eau. Faudrait aller voir de plus près car l'entêtement manifeste de l'administration Tremblay à vouloir aller de l'avant avec ce projet mal ficelé me laisse supposer que ses collaborateurs pourraient s'en être mis plein les poches encore une fois. Ce n'est cependant qu'une supposition, possiblement non fondée. C'est pourquoi Coderre me rappelle Drapeau. Il faut parfois être téméraire pour réaliser de grandes choses. Mais comme je le disais dans un commentaire précédent cela a ses bons et ses mauvais côtés. Les trottoirs chauffants, comme pour les poubelles électriques, c'est courir après le trouble. Par contre en ce qui concerne la Formule E j'étais tout à fait d'accord avec ce projet et je souhaite ardemment que la Formule E revienne à Montréal un jour, sous une forme ou une autre. Je crois d'ailleurs que les critiques concernaient davantage la manière forte de Coderre que le projet lui-même. Lors de l'élection de Denis Coderre j'ai immédiatement reconnu un politicien des années 50. Et sa célèbre phrase "There is a new shérif in town" en était une preuve éloquente. C'est pourquoi j'ai trouvé le règne de Valérie Plante très rafraîchissant malgré ses nombreux faux-pas. Je me souviens d'une entrevue avec François Cardinal de La Presse pendant la campagne électorale. Il s'était montré en faveur de la réélection de Denis Coderre tout en disant qu'advenant l'élection de Valérie Plante si elle mettait en application son programme électoral elle pourrait avoir un impact majeur sur le développement de la ville pour les 20 prochaines années. Et c'est ce que je constate aujourd'hui: une ville plus sécuritaire pour les piétons et les cyclistes, et aussi une ville plus inclusive, notamment envers les moins nantis et les familles. Ce qui en fait une femme de son époque alors que Coderre appartient à une époque révolue, du moins lors de son premier mandat. La question sur toutes les lèvres: Denis Coderre a-t-il vraiment changé? Physiquement très certainement. On peut également penser qu'il a gagné en maturité. C'est pourquoi je serais prêt à lui donner une seconde chance. Mais je ne serais cependant pas malheureux si Valérie Plante était réélue. Ce sont deux personnes très différentes avec leurs qualités et leurs défauts. Et il faut reconnaître que Montréal a pris un essor remarquable depuis huit ans, et cette période couvre les deux mandats.
  3. En juin Les ventes de maisons en recul de 30 % à Montréal Les ventes de maisons et le nombre de nouvelles inscriptions ont chuté d’environ 30 % le mois dernier, par rapport à juillet 2020, a indiqué mercredi l’Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ). LA PRESSE CANADIENNE La tendance substantielle à la baisse entamée en mai s’est poursuivie et semble signaler que le marché revient à ses niveaux d’avant la pandémie, a observé l’association. Un total de 3799 maisons ont été vendues dans la grande région montréalaise en juillet, contre 5324 lors du même mois l’année dernière, a précisé l’APCIQ. Les nouvelles inscriptions se sont chiffrées à 4118 le mois dernier, une baisse par rapport aux 5918 du mois de juillet précédent. Le prix médian d’une maison unifamiliale a augmenté de 18 % par rapport à juillet 2020 pour atteindre 500 500 $ le mois dernier, tandis que les prix des copropriétés ont augmenté de 16 % pour atteindre une médiane de 360 000 $. Selon le directeur du service de l’analyse du marché de l’APCIQ, Charles Brant, les chiffres sont un changement par rapport à juillet dernier, lorsque la région a connu un niveau de ventes « spectaculaire ». « Si ce ralentissement est en partie issu d’une baisse des inscriptions en vigueur des propriétés unifamiliales à un niveau historique, il s’explique aussi par le rétrécissement du bassin d’acheteurs en mesure de s’offrir une propriété aux prix qui se transigent sur le marché », a-t-il affirmé dans un communiqué. « On observe effectivement un ralentissement de la hausse des prix et un plafonnement de leur évolution depuis le printemps, toutes catégories confondues. » https://www.lapresse.ca/affaires/economie/2021-08-04/en-juin/les-ventes-de-maisons-en-recul-de-30-a-montreal.php
  4. Ils ont été remplacés par une technologie plus avancée et beaucoup plus efficace. 😛
  5. Pas vraiment. Coderre est un peu du même genre. Drapeau était un personnage ambitieux et volontaire. On pourrait dire la même chose de Coderre. Cela a ses bons et ses mauvais côtés.
  6. Alors que Jean Drapeau arrive à son bureau de l’hôtel de ville, il reçoit un télégramme de son ami et contact parisien, Georges Marchais (pas le ministre français, mais un vendeur de vins fins). Celui-ci avertit le maire que Moscou va se désister dans quelques jours et que, si la Ville de Montréal agit rapidement, elle devrait pouvoir tenir l’Expo en 1967, comme elle l’avait prévu deux ans plus tôt. Marchais est un personnage très informé à Paris, et, lorsque la nouvelle informelle du désistement de l’URSS a commencé à circuler, il a vérifié rapidement auprès de plusieurs des membres influents du Bureau International des Expositions (BIE), situé à Paris, si la candidature de Montréal serait acceptable… Elle semble l’être. Lorsqu’il apprend la nouvelle, Jean Drapeau demande immédiatement à Marchais de lui envoyer tous les formulaires nécessaires par un vol Paris-Montréal. Quelques jours plus tard, le 13 avril, la Ville de Moscou annonce effectivement qu’elle renonce à tenir l’exposition de 1967, alléguant des difficultés financières. Drapeau est prêt et, sans même demander l’avis du premier ministre Diefenbaker, il entreprend les démarches pour déposer la candidature de Montréal au BIE. Sans le savoir, le septième maire montréalais à travailler pour avoir une exposition à caractère universel et international tenue sur l’île, va transformer Montréal et le Québec d’une façon spectaculaire. https://ville.montreal.qc.ca/memoiresdesmontrealais/expo-67-cette-fois-ci-cest-la-bonne
  7. https://plus.lapresse.ca/screens/c64a1a65-f6a2-46c2-b705-5a6cab46c53a__7C___0.html
  8. Je croyais que c'était une photo du Faubourg à m'lasse! 😛 C'est incroyable comment Montréal a changé malgré une longue stagnation économique. Faut dire qu'il y a quand même 52 années entre les deux photos.
  9. Merci pour ces précisions. Ce n'était certes pas son initiative mais il a néanmoins su en faire la promotion auprès de la population, si bien qu'on a l'impression que c'est "son" projet. Et plan directeur ou non, le maire peut jouer un rôle déterminant dans la mise en avant de certains projets. Prenons pour exemple la rue Sainte-Catherine. Peu importe qui aurait été au pouvoir la réfection se serait quand même réalisée car c'était dans les cartons. Cependant la touche finale peut différer sensiblement selon les aspirations de la personne au pouvoir. Il y a aussi une question de timing. Si la mairesse était réélue elle pourrait ainsi se réapproprier ce projet, surtout si elle s'y rendait souvent pour y patiner par exemple (c'est une sportive). Un autre exemple serait l'aménagement du parc Bonaventure qui à ce que je sache était un projet déjà avancé avant l'arrivée de Denis Coderre mais dont il a encore une fois su en faire la promotion et même s'en approprier le mérite en marchant fièrement sur l'autoroute Bonaventure comme l'avait fait Jean Drapeau avant lui. C'est pourquoi j'ai toujours admiré René Lévesque d'avoir invité Robert Bourassa à l'inauguration de la Baie James car tout le monde savait que c'était "son" projet. Cela aurait été la même chose pour Expo 67 si Jean Drapeau avait été battu aux élections car encore une fois tout le monde savait que c'était "son" projet et qu'il avait travaillé très fort pour l'amener à Montréal après le désistement de Moscou.
  10. Graitec prend de l’expansion pour servir l’industrie de la construction dans le Grand Montréal Graitec Inc., filiale canadienne de la société internationale Graitec dont les solutions technologiques permettent d’améliorer les processus de conception de bâtiments et d’infrastructures, s’enracine davantage à Montréal avec la création d’une quarantaine de postes au cours de la prochaine année afin de répondre à la demande grandissante de ses clients en Amérique du Nord. Établi dans le Grand Montréal depuis 2001, Graitec est au cœur de la transformation numérique qui s’opère dans le domaine de la construction. L’équipe montréalaise de Graitec développe et déploie des solutions numériques qui aident les clients au niveau de la conception (par exemple, des architectes) et dans la réalisation de projets d’infrastructures et de bâtiments afin d’implanter les logiciels innovants BIM (Buliding Information Modeling). Ce portefeuille de logiciels permet une conception 3D détaillée des projets, ce qui facilite l’échange d’information et la collaboration entre les différents professionnels et travailleurs impliqués. Ainsi, les logiciels BIM ont le potentiel d’accélérer considérablement les projets de construction et ainsi réduire les coûts reliés. « Dans le contexte de la crise sanitaire mondiale, les technologies et la maîtrise de celles-ci ont pris encore plus d’importance. Nos logiciels permettent notamment d’optimiser la quantité de ressources utilisées pour un projet. Il s’agit d’un avantage de taille compte tenu de l’augmentation du prix des matériaux de construction, tels que le bois d’œuvre », a déclaré Hugo Michaud, directeur général, Graitec. « Nous sommes très fiers du travail accompli par notre équipe au cours de la dernière année et du succès obtenu auprès des clients qui ont fait confiance à nos logiciels et services. » La première série d’embauches servira à appuyer les intervenants du secteur de la construction au Québec dans leurs démarches de transformation numérique, tant dans les bureaux que sur les chantiers. L’entreprise offre des services de consultation et techniques spécialisés, en plus d’une formation pouvant rendre les clients parfaitement autonomes dans l’utilisation et la gestion des technologies BIM. Ce projet s’inscrit dans la foulée des acquisitions de StrucSoft Solutions et de Redcage par le Groupe Graitec. Depuis 2001, l’équipe du Grand Montréal a plus que triplé en passant d’une trentaine d’employés à une centaine, et continue de grandir malgré la pandémie. D’ici 2023, l’entreprise prévoit doubler la taille de son équipe technique qui inclut des consultants BIM, des spécialistes d’application et des programmeurs, afin de répondre aux besoins du marché local et étendre ses activités dans l’ensemble du Canada ainsi qu’aux États-Unis. Cet investissement est d’autant plus important pour la filiale montréalaise puisqu’il permet de hisser au 2e rang des plus grands bureaux du groupe, déjà présent au sein de 13 pays. « Les secteurs de la construction, de l’ingénierie et de l’architecture sont en demande dans notre métropole. Nous sommes heureux d’accompagner un acteur qui propose des solutions innovantes tant pour répondre aux besoins locaux que ceux de clients ailleurs en Amérique du Nord. Voilà un autre exemple de la force et de la diversité de notre économie métropolitaine», a déclaré Stéphane Paquet, président-directeur général, Montréal International. « L’innovation est l’affaire de tous et les milieux de la construction et des infrastructures ne font pas exception. Ce nouvel investissement de Graitec menant à la création de son plus important centre de développement à l’extérieur de la France est un autre exemple de la force de notre écosystème. Notre équipe continuera à mettre de l’avant les avantages d’investir à long terme en sol québécois pour bâtir les technologies qui contribueront à transformer de manière durable des secteurs névralgiques du développement économique à l’échelle nationale et internationale », a souligné Hubert Bolduc, président d’Investissement Québec International. https://www.montrealinternational.com/fr/actualites/graitec-prend-de-lexpansion-pour-servir-lindustrie-de-la-construction-dans-le-grand-montreal/
  11. iWeb, de Montréal, passe en mains hollandaises L’entreprise montréalaise de centres de données informatiques iWeb passe aux mains de l’entreprise néerlandaise Leaseweb Global. Martin Vallières - La Presse La transaction annoncée lundi sur un fil de presse d’affaires aux États-Unis comprend les quatre centres de données d’iWeb dans la région de Montréal, qui regroupent 92 employés. Aussi, cette transaction survient un peu plus d’un an après que la société propriétaire d’iWeb depuis 2013, soit l’américaine Internap (INAP), a émergé d’un processus de restructuration financière en protection de ses créanciers, ou « Chapitre 11 » dans la législation d’affaires aux États-Unis. La vente d’iWeb à l’un de ses principaux concurrents, Leaseweb Global, s’inscrit dans une série de revente d’actifs et de filiales par Internap au cours des derniers mois. Présence au Canada Selon le communiqué diffusé par Leaseweb Global, l’achat de la montréalaise iWeb, qu’elle décrit comme un « meneur des services d’hébergement de données et d’infonuagique », lui permettra d’établir une « présence significative au Canada, qui devient son troisième plus gros marché national selon les revenus, après les Pays-Bas et les États-Unis ». « Nous suivons le développement d’iWeb avec beaucoup d’intérêt depuis plusieurs années. Et en tant qu’entreprise avec un ADN d’affaires très semblable au nôtre, nous savons qu’iWeb nous apportera un large éventail de services et de compétences complémentaires à notre présence au Canada », a affirmé le président de Leaseweb Global, Con Zwinkels. À la direction d’iWeb à Montréal, après quelques années de décroissance et d’insécurité financière dans le giron d’Internap, on semble plutôt réconforté de passer dans le giron de Leaseweb Global. « Cette transaction est excitante pour les employés, les clients et les partenaires d’iWeb. Nous rejoignons une équipe qui se concentre sur le produit, la croissance et l’expérience client », indique Roberto Montesi, PDG d’iWeb, dans le communiqué diffusé par Leaseweb Global. Il s’agit d’une étape passionnante de notre parcours. Ça garantit que le Canada deviendra une partie importante de la future histoire à succès de Leaseweb Global. - Roberto Montesi, PDG d’iWeb D’ailleurs, dans la description de son intérêt envers iWeb, la direction de Leaseweb Global souligne que ses centres de données à Montréal sont « alimentés à 99 % par de l’hydroélectricité renouvelable » et qu’ils hébergent déjà « des milliers de serveurs pour des clients dans un large éventail de secteurs industriels ». Aussi, Leaseweb Global souligne que « le Grand Montréal est un pôle de croissance rapide pour les organisations qui s’appuient sur une infrastructure “cloud” [infonuagique] et de centres de données qui soit puissante, fiable et sécurisée ». À l’échelle internationale, Leaseweb Global exploite une vingtaine de centres de données d’envergure – plus de 80 000 serveurs informatiques servant 18 000 clients – qui sont localisés en Europe, en Asie, en Australie et en Amérique du Nord. Le nom d’iWeb était apparu en avril dernier dans une enquête de La Presse parce que ses serveurs hébergeaient des images de pornographie juvénile. https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/2021-08-03/centres-de-donnees-informatiques/iweb-de-montreal-passe-en-mains-hollandaises.php
  12. Indeed it is. I have to mention that it comes from the Facebook page of Hôtel Saint-Germain where other nice pictures can be found.
  13. Il est très dispendieux d'aménager un bâtiment pour une telle vocation. De plus le Musée désire regrouper ses diverses collections sous un même toit, entre autres pour qu'elles soient facilement accessibles aux chercheurs et c'est également plus facile à gérer. Aussi bien mettre tout l'argent sur un seul bâtiment qui soit à la hauteur de la mission du McCord.
  14. Le même boulevard sous un autre angle, avec l'Architect Building en construction si je ne m'abuse.
  15. Boulevard Dorchester (René-Lévesque) vers 1930.
  16. Il ne faudrait pas oublier le Parcours lumières qui oriente les visiteurs sur le sentier des spectacles.
  17. L'un des plus beaux coins de Montréal.
  18. La vue à partir de la terrasse du Germain.
  19. On pourrait rajouter à la liste l'îlot Voyageur sud. Mon souhait est qu'une institution culturelle d'envergure s'installe en face de la Grande Bibliothèque qui aurait une vocation semblable, ou complémentaire, à BaNQ. C'est pourquoi malgré la difficulté sociale que cela pose j'ai toujours vu un musée comme le McCord à cet endroit. Je suis certes sensible à l'aspect architectural mais encore davantage à la vocation du bâtiment qui sera rénové ou bâtit à un endroit hyper stratégique de ce secteur de la ville. Photo @J-F Savaria
  20. Je crois que le premier ministre François Legault appuie le projet de Monique Giroux et Luc Plamondon d'y créer une Maison de la chanson. Et Denis Coderre abonde dans le même sens.
  21. On pourrait rajouter le théâtre Saint-Denis mais ce n'est pas un musée, le TNM non plus d'ailleurs. Par contre on pourrait faire un musée avec la bibliothèque Saint-Sulpice.
  22. Merci de tes commentaires. Ce sont en effet de très bons points à prendre en considération.
  23. Dans les circonstances actuelles liées au report du projet je me demandais si l'un des quatre anciens pavillons de l'hôpital Royal Victoria ne pourrait pas être utilisé pour y reloger le Musée McCord. Parmi le Ravenscrag, le Hersey, le Ross et le Women's il doit bien y avoir un pavillon qui correspondrait aux besoins du Musée, non? Cela permettrait au McCord de demeurer dans le giron de l'Université McGill et offrirait un cadre architectural on ne peut plus approprié pour un musée de cette nature. Premièrement, il est difficile de dissocier le McCord de McGill. Deuxièmement, il est encore plus difficile de dissocier McGill du Royal Vic, surtout de par leur architecture respective. Troisièmement, les besoins du McCord ne cessent de grandir car ce musée a un pouvoir d'attraction de plus en plus grand sur les diverses collections qui n'y ont pas encore trouvé refuge et il est ainsi devenu au fil du temps un lieu magnifique de préservation de notre histoire qui n'a aucun équivalent ailleurs au Canada.
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