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Javabien

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Tout ce qui a été posté par Javabien

  1. Je crois qu'ils devraient plutôt inclure une école secondaire dans leur projet, car ce sera le prochain problème du quartier dans 6-7 ans te de toute manière l'école primaire de la Petite Bourgogne est trop près de Legado pour avoir une 2e école primaire à un coin de rue.
  2. Le quartier est effectivement saturé de travaux, tout particulièrement avant l'hiver, on dirait bien que c'est un sprint. Par contre, je me demandais si ce n'étais pas parce que Quo Vadis avait dans l'idée d'y intégrer une école et que la CSDM avance à pas de tortue dans ce dossier. Il vient d'y avoir un avis d'appel d'intérêt qui a été lancé, alors ils vont probablement pouvoir faire une proposition "dans les règles de l'art" et enfin faire avancer le projet de Legado. http://seao.ca/OpportunityPublication/ConsulterAvis/Recherche?ItemId=63aa41de-a663-42a5-9af7-4c8403192513&callingPage=2&searchId=5d46022c-38e8-42ca-830e-a98b010231e6&VPos=52&fbclid=IwAR1m-_T4Sa04wfKp_g67HVtUsHS5PpQyizTQ63sreHpIB1kh2eg7o2yLZR0
  3. Le maire M. Dorais m'a confirmé aujourd'hui que ce projet est mort, ils ont fait une demande d'évaluation à l'arrondissement, car ils souhaitaient déroger au plan d'urbanisme et l'arrondissement s'est montré défavorable à ce projet, donc plus rien de ce côté alors King's Transfer Van Lines vont continuer leurs activités pour le moment.
  4. Par curiosité, est-ce qu'on sait ce qui bloque pour ce projet, pourquoi il tarde autant?
  5. J'ai effectivement voulu poser la question sur Facebook à Sophie Thiébaut, conseillère de l'arrondissement, car il me semble plus logique de modifier la zone plutôt que le règlement de zonage au complet. Après tout, suite à cette modification, est-ce que certains édifices deviendront non-conforme ou ils ont une sorte de privilège de clause "grand-père". Je n'ai pas vraiment eu la réponse, car elle pensait que je demandais si le promoteur souhaitait rendre son projet conforme alors que je voulais plutôt connaître les recours possibles afin que l'arrondissement bloque le projet.
  6. @ScarletCoral J'ai bien peur d'avoir de mauvaises nouvelles, le maire a probablement parlé trop rapidement, car j'ai fait plus de recherches et voici ce que ça donne: (désolé, j'avais des pris des screenshots, mais l'upload ne fonctionne pas, peut-être plus tard...) Sur le site d'infolot j'ai pu retrouver le lot en question: 2 160 275 (matricule: 0038-19-5702-6-000-0000), dont le propriétaire est CENTRE TCHEQUE INC (Emphytéote). Petit détail intéressant, la taxe foncière s'élève à plus de 23 000$/an alors comme ça fait plus de 10 ans que ça traîne, on parle de plus de 230 000 en taxes foncières et ce sans compter les frais d'avocat. Enfin, le lot chevauche effectivement deux zones selon le règlement d'urbanisme 01-280 du Sud-Ouest: http://www1.ville.montreal.qc.ca/CartesInteractives/sud-ouest/doc/Zone0552_ArrSO.pdf http://www1.ville.montreal.qc.ca/CartesInteractives/sud-ouest/doc/Zone0584_ArrSO.pdf Pour ceux qui souhaiteraient refaire l'exercice, il suffit d'aller sur la page de la Carte interractive de l'arrondissement: http://www1.ville.montreal.qc.ca/CartesInteractives/sud-ouest/CI_SO.html ... puis cliquer dans la barre de menu de gauche sur "Zonage et unité de paysage" et cliquer sur la zone qui vous intéresse. Numéro de la zone: 0552 (zone sud, longeant la piste cyclable) Catégorie 1: C.4B Catégorie 2: I.3 Catégorie 3: H Entre 14 et 25 mètres Il semble y avoir une erreur à moins qu'il s'agisse d'une pratique afin d'empêcher le développement (?!), mais il est exigé un minimum et maximum de 99 étages. Numéro de la zone: 0584 (zone nord, longeant la rue Olier) Catégorie 1: C.2C Catégorie 2: I.3 Catégorie 3: H Entre 9 et 44 mètres Le C.4B de la zone 0552 autorise l'activité socioculturelle: Page 55, point 210. Dans un secteur où est autorisée la catégorie C.4, les usages suivants sont également autorisés : 1º de la famille équipements collectifs et institutionnels : a) activité communautaire ou socioculturelle Le C.2C de la zone 0584 autorise l'activité socioculturelle: Page 52, au point 200 Dans un secteur où est autorisé la catégorie C.2, les usages suivants sont également autorisés : 1º de la famille équipements collectifs et institutionnels : a) activité communautaire ou socioculturelle Avertissement ... je ne suis pas urbaniste et j'ai une connaissance très limitée en terme de règlement d'urbanisme, alors je pourrais me tromper, d'ailleur j'ai bien vu qu'il y a 4 familles de catégories: Habitation (H), Commerce (C), Industrie (I), puis Équipements collectifs et institutionnels (E). Vraisemblablement, un centre culturel devrait être dans la dernière famille, mais aucune des deux zones autorise du E, par contre le commercial (après tout il y aura bien un hôtel) permet de l'activité socioculturel. À suivre! Pour le détail complet: http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/docs/PAGE/ARROND_SOU_FR/MEDIA/DOCUMENTS/REGLEMENT_URBANISME_SO.PDF Sinon j'ai extrait les passages importants: H = HABITATION, rien de bien surprenant, les zones permettent du logement sous toutes ses formes: 1 logement H.1 2 logements H.2 3 logements H.3 4 à 8 logements H.4 8 à 12 logements H.5 12 à 36 logements H.6 36 logements et plus H.7 Fait à noter, le H.7 parle d'hôtels-appartements avec des usages complémentaires si jamais c'est ce type d'hôtel qui est prévu: I.3 C.1 C.2 qui regroupe aussi C.1(1) C.4 qui regroupe aussi C.1(1) et C.2 Zone0584_ArrSO.pdf Zone0552_ArrSO.pdf REGLEMENT_URBANISME_SO.PDF
  7. C'est moi ou il y a vraiment quelque chose qui cloche avec Parc Canada ... ça sent la fraude: « À l'époque, Thierry St-Cyr, ancien élu du Bloc québécois, avait signalé dans les médias que M. Lavigne avait usé avec succès de son influence à Ottawa pour faire avancer ce projet. » La Cour supérieur aurait dû demander à ce que 100% des profits soient versés au supposé centre culturel et lancer une enquête pour savoir pourquoi une location de 1$ pour un terrain public à une compagnie privée! Considérant que le terrain était déjà utilisé par la communauté locale, c'est vraiment louche. « L'an dernier, la Cour supérieure du Québec lui a donné partiellement raison, affirmant que «l'exploitation d'un hôtel était prévue par les parties pour financer les activités du centre culturel» au moment de la signature de l'entente avec Parcs Canada. Toutefois, la cour a statué que la partie hôtel du projet devait rester fidèle aux termes du bail emphytéotique, soit se limiter à un bâtiment de quatre étages et de 36 chambres. » Plus loin: « 30% de l'immeuble seront dédiés à la vocation culturelle de l'édifice et 70% seront consacrés à un volet commercial destiné, notamment, à financer le volet culturel. » A-t-il vraiment besoin d'autant de chambres pour financer ce projet? Pourquoi la communauté tchèque ne le connaît pas lui, ni son projet?! https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/201810/08/01-5199478-griffintown-un-mysterieux-projet-dhotel-souleve-la-grogne.php À titre de référence, l'article complet: Griffintown: un mystérieux projet d'hôtel soulève la grogne Un mystérieux projet d'hôtel de luxe accompagné d'un centre culturel tchèque mené par l'ex-petit ami d'Ivana Trump pourrait bientôt voir le jour dans un terrain patrimonial du canal de Lachine, semant la perplexité dans la communauté tchèque et la grogne dans Griffintown. Des voisins s'opposent à l'érection d'un hôtel comprenant des dizaines de chambres, des boutiques et un restaurant dans un quartier résidentiel sur un terrain de plus de 1000 mètres carrés appartenant au gouvernement fédéral et dont la gestion est assurée par Parcs Canada, qui a approuvé le projet l'été dernier. «On transforme un lieu public en un lieu privé. Tout ça pour générer des revenus pour un promoteur. Ça va carrément à l'encontre de la mission de Parcs Canada», déplore Ariane Cloutier, résidante de Griffintown et membre du conseil d'administration des lofts Gallery. Le promoteur à l'origine du projet, George Syrovatka, un ingénieur montréalais, ancien propriétaire d'une boutique de ski et ex-petit ami d'Ivana Zelníčková, qui allait épouser Donald Trump, a refusé notre demande d'entrevue. Joint par La Presse, M. Syrovatka a dit : «Là, je suis vraiment occupé, et je n'ai pas de commentaires à faire», avant de mettre fin à la conversation téléphonique. Bail signé en 2002 Cette histoire a pris naissance en août 2002, quand George Syrovatka, président de l'organisation Centre tchèque inc., a signé un bail emphytéotique de 99 ans avec Parcs Canada pour la somme symbolique d'un dollar afin de louer un vaste terrain situé aux abords du canal de Lachine dans le but d'y construire un centre consacré à la culture tchèque, auquel se grefferaient 36 chambres. Trois ans plus tard, le projet présenté à la Ville de Montréal par George Syrovatka faisait désormais état d'un imposant hôtel de luxe de 71 chambres avec un restaurant, une piscine sur le toit et des espaces consacrés à la culture tchèque à construire sur le terrain en question, situé à l'angle des rues Olier et du Séminaire. La direction de Parcs Canada s'était alors publiquement opposée à ces transformations, affirmant que le promoteur ne respectait plus les modalités de l'entente. M. Syrovatka a poursuivi Parcs Canada en justice. L'an dernier, la Cour supérieure du Québec lui a donné partiellement raison, affirmant que «l'exploitation d'un hôtel était prévue par les parties pour financer les activités du centre culturel» au moment de la signature de l'entente avec Parcs Canada. Toutefois, la cour a statué que la partie hôtel du projet devait rester fidèle aux termes du bail emphytéotique, soit se limiter à un bâtiment de quatre étages et de 36 chambres. Les documents présentés à la cour ont montré que Henry Kallan, un homme d'affaires qui exploite le groupe HK Hotels, a participé à l'élaboration du projet hôtelier. Dans un communiqué cité par le tribunal l'an dernier, le groupe HK note : «La [...] propriété - un hôtel et un spa - est actuellement en développement sur le canal de Lachine à Montréal, au Québec. La propriété a été conçue par l'architecte Stephen B. Jacobs et l'architecte d'intérieur Andi Pepper.» Limites strictes Virginie Michel, porte-parole de Parcs Canada, note que les plans soumis par M. Syrovatka ont été approuvés par Parcs Canada en août dernier. «Les plans du centre comprennent des espaces administratifs, des salles de conférence, un hall d'exposition, un espace restauration et 36 chambres, note-t-elle. [Aussi], 30% de l'immeuble seront dédiés à la vocation culturelle de l'édifice et 70% seront consacrés à un volet commercial destiné, notamment, à financer le volet culturel.» Parcs Canada ajoute que «l'immeuble doit être un centre culturel où les étages, les espaces, les salles et les événements [sont] accessibles au public en général». Depuis 2009, le terrain en question est sous-loué par Centre tchèque inc. à l'Association Montréal Beach (AMB), qui y a aménagé des terrains de volleyball extérieur. Rachelle Salamon, présidente d'AMB, signale avoir reçu un avis indiquant que Centre tchèque inc. désirait mettre fin à cette sous-location. «On aime beaucoup cet endroit, mais malheureusement, les promoteurs nous ont signalé leur intention de reprendre le terrain à partir de 2019», dit-elle. Denise Paré, chargée des communications à l'arrondissement du Sud-Ouest à la Ville de Montréal, note qu'aucune demande de permis de construction n'a été déposée à l'arrondissement pour ce terrain. La communauté tchèque perplexe Selon un article publié dans le Boston Globe en 2007, George Syrovatka est né en Tchécoslovaquie (aujourd'hui scindée en deux pays : la République tchèque et la Slovaquie) et a quitté l'oppression communiste pour le Canada en compagnie de sa copine de l'époque, Ivana Zelníčková. Le couple a possédé une boutique de ski à Montréal, et Ivana a fini par faire carrière dans le mannequinat à New York, ce qui l'a amenée à rencontrer son futur mari, Donald Trump. Skieur, George Syrovatka organise chaque année une course de ski caritative au centre de ski Jay Peak. En 2005, l'ancien élu libéral et sénateur Raymond Lavigne était apparu à plusieurs reprises aux côtés de M. Syrovatka, vantant le projet de centre culturel tchèque. À l'époque, Thierry St-Cyr, ancien élu du Bloc québécois, avait signalé dans les médias que M. Lavigne avait usé avec succès de son influence à Ottawa pour faire avancer ce projet. Prévu depuis maintenant plus de 15 ans, le projet de centre culturel tchèque est toujours un mystère aux yeux de la communauté tchèque montréalaise. Selon le recensement de 2016, la population d'origine tchèque s'élève à 5035 personnes à Montréal. Alena Martinů, rédactrice en chef du bulletin Montrealský věstník qui porte sur les activités au sein de la communauté, note que l'idée d'avoir un centre culturel voué à la culture tchèque est intéressante. Or, ni elle ni d'autres membres de sa communauté n'ont été contactés par Centre tchèque inc. «Les gens qui sont très actifs dans la communauté ne savent rien de ce projet ni de M. Syrovatka, dit-elle. Nous tenons des réunions, des événements, mais il n'est jamais venu nous parler ou nous demander notre avis.»
  8. Il faudrait donc renommer ce thread "URB William" pour "Will & Rich Appartements", non?
  9. D'ici la fin du mois, la CSDM lancera un avis d'appel d'intérêt concernant une d'école sur son petit lot, à ce moment on devrait voir si ce projet d'un mystérieux promoteur annoncera finalement son intention de partenariat avec la CSDM, dossier à suivre... @steve_36 Votre source n'aurait pas mentionné un partenariat avec la CSDM par hasard?
  10. @steve_36 Après vérificaton auprès du registre foncier du Québec, il n'y a aucune vente enregistrée pour le terrain de King’s Transfer Van Lines (1 852 845), ni pour le terrain loué par cette compagnie à la CSDM (1 853 526). Pourriez-vous vérifier à nouveau avec votre source? 1_852_845.pdf 1_853_526.pdf
  11. Il y a des frais pour s'inscrire au niveau de l'Office du tourisme et le zonage doit être respecté ainsi que le règlement d'immeuble etc. Bref, la majorité des gens contournent la loi.
  12. Théoriquement, ils ne sout tout de même pas autorisés à louer pour moins de 30 jours... en pratique, ils le font quand même.
  13. Personnellement, j'ai plutôt l'impression que l'emplacement a déjà été choisi il y a de ça plusieurs mois, fort probablement près de la rue Dalhousie (je peux me tromper), mais du moment que l'emplacement est annoncé publiquement, alors la ville a l'obligation de collecter la nouvelle taxe spécial et ceci toucherait beaucoup de nouveaux projets à Griffintown. Si on considère que la taxe s'appliquera à tous les projets de 750K$ et plus, forcément toute demande de permis de construction dans le quartier s'en suivrait d'une collecte de la nouvelle taxe, ce qui représente des sommes relativement élevées. Or, les promoteurs qui ont fait des planifications dans Griffintown n'avaient probablement anticipé ces frais supplémentaires, alors ils ont possiblement prévenu l'arrondissement qu'ils pourraient retarder ou même suspendre certains projets s'ils doivent payer cette taxe. Du côté de la ville, ils souhaitent forcément pouvoir collecter la taxe foncière initiale le plus tôt possible pour ces nouveaux projets alors si d'un seul coup, de multiples projets de plusieurs millions sont retardés ou en péril alors ils ont intérêt faire des pressions sur la CDPQ Infra afin d'être "consulté" avant d'annoncer l'emplacement final. En étirant la sauce ainsi, la ville laisserait les promoteurs faire encore des demandes de permis pour plusieurs mois/années sans devoir payer cette nouvelle taxe. Je tiens à préciser que je n'ai aucune preuve et qu'il s'agit là d'une simple hypothèse, mais elle me semble relativement plausible. Petit rappel, le projet devait initialement être livré en 2021 et seulement quelques semaines après les pressions de la ville pour avoir une station supplémentaire près du centreville, CDPQ Infra avait tout de même rapidement trouvé le premier emplacement de la station. Je veux bien croire qu'ils ne peuvent pas se permettre de changer sans arrêt l'emplacement, mais il me semble que l'analyse s'éternise étrangement. De plus, lorsque les élus abordent cette question, ils en discutent toujours en des termes "d'information publique" ... en voulant nous laisser sous-entendre qu'il y a déjà plusieurs décisions de prises et non divulguées. Opinions, commentaires?
  14. En même temps, je ne suis pas archéologue, mais à Sainte-Julie, il doit quand même y avoir beaucoup moins de chances de tomber sur quelque chose d'intéressant qu'à Griffintown lorsqu'on creuse le sol ? Enfin, tous les projets ont une phase archéologique, je ne vois rien de choquant à cela, un peu de respect pour le passé avant de l'écraser une fois pour toute...
  15. Merci beaucoup, par contre je suis plutôt surpris et confus d'apprendre qu'il y a un lien entre ce projet et celui du REM, puisque le tracé du REM est plutôt loin de ce terrain ?
  16. @steve_36 Concernant le terrain de King’s Transfer Van Lines, vous parliez d'une annonce par rapport à un promoteur (GI Quo Vadis?) ayant un projet sur ce terrain, est-ce qu'il y a du nouveau? ... ou auriez-vous d'autres détails à partager? Merci!
  17. Ça me semble une très mauvaise idée d'avoir partagé les stationnements ?
  18. Le pub/restaurant initialement annoncé par Devimco au coin Ottawa/Shannon ... il s'est magiquement transformé en un centre de fitness Plutôt étrange étant donné que la licence d'alcool avait déjà été approuvée par l'arrondissement. À moins qu'on assistera bientôt au premier Beer Yoga de Griffintown
  19. Est-ce que quelqu'un aurait encore le pdf promotionnel du projet avec la fiche des unités?
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