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Simon-Alexandre Rivière

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Tout ce qui a été posté par Simon-Alexandre Rivière

  1. Où sur Facebook? Jerry, un peu de rigueur! Citez vos sources! Surtout quand c'est souvent la même source qui alimente directement ou indirectement presque tout ce qui est publié dans la section Griffintown de MtlUrb... Merci!
  2. Voici la réponse du bureau de projet REM sur la page Facebook J'aime Griffintown. https://www.facebook.com/jaimegriffintown/posts/2152001398356580
  3. Exemples des étages comportant une mixité d'usages.
  4. Paru dans le journal Metro, quelqu'un sait de quoi il s'agit? "...la firme a récemment été contactée par un important promoteur immobilier, qui désire bâtir, après un concours d’architecture privé, une tour de 20 étages dans Griffintown comprenant un hôtel et des copropriétés." http://journalmetro.com/opinions/paysages-fabriques/955197/sky-is-the-limit/
  5. Il est où le nouveau fil de discussion?
  6. Un Troll? Sérieusement vous vous rendez compte de ça seulement maintenant? Absolument zéro contribution en information sur les sujets du forum, jamais aucun commentaire constructif, que du chialage de matante grincheuse: Gnan gnan gnan... grrr grrr grrr... pfff pfff pfff... jamais content de rien. Avez-vous déjà fait l'exercice d'aller sur son profil et de lire l'ensemble de son oeuvre? Il faut rester zen et le voir avec humour, pour moi c'est devenu un peu comme la mascotte de MtlUrb.
  7. Pour avoir une idée du développement de Griffintown en un demi-siècle, voici d'autres photos comparables de 1966, Labelle, Archives de Montréal, VM94-B2-042 et VM94-B2-043.
  8. Premier pieu d'enfoncé. Bonne nouvelle j'imagine, mais pas super agréable quand tu habites juste en face... Je crois que je préférais la tranquilité du lac Griffintown, je m'étais habitué à ce grand espace ouvert.
  9. Assemblage cet avant-midi de l'équipement pour pieuter, et à l'instant justement les pieux arrivent.
  10. Via VIVRE LE PATRIMOINE - MONTRÉAL HERITAGE FEST Griffintown JUIN 24, 2015 Un ancien quartier industriel à l’identité singulière au coeur de l’actualité Aux abords du canal Lachine, le quartier de Griffintown se trouve ceinturé par l’autoroute Bonaventure et le chemin de fer du Canadien National, deux ruptures avec le reste de la ville montréalaise. Aujourd’hui en perpétuelle mouvance, la question de son devenir est sur toutes les lèvres. Pourquoi avons-nous choisi d’en faire le point de rassemblement de ce festival, abordant par des conférences, des visites guidées ou encore des marches urbaines ses multiples enjeux ? Notre réponse est la suivante : Jalon avant la modernité, cet ancien quartier industriel à l’identité singulière est à lui seul le catalyseur des enjeux patrimoniaux : aux vestiges industriels et archéologiques et aux habitations ouvrières se juxtaposent des tours de condominium et des espaces vacants nés de démolitions massives et de restructurations brutales. Spéculations immobilières et embourgeoisement sont synonymes de la nouvelle réalité que semble dessiner aujourd’hui ce secteur, résultat d’un zèle de la part de la municipalité et d’une règlementation trop laxiste. Notons à cet égard la prochaine tour à condo, architecture signature, dont le prestige repose davantage sur la renommée de l’architecte Philippe Starck que sur une intégration contextuelle. Mais les prochaines années annoncent une tournure d’envergure ! En effet, la municipalité a revu son Programme Particulier d’Urbanisme de 2007 (PPU, Secteur de Griffintown, mai 2013). Celui-ci est ainsi davantage soucieux des enjeux patrimoniaux, et a gagné en cohérence dans les structures mise en place pour assurer la valorisation de l’existant. Mais c’est essentiellement à l’implication citoyenne, culturelle et artistique que nous devons une telle prise de conscience et le début d’un renouveau pour le quartier : dressée contre les nouvelles constructions et les aménagements urbains malheureux, celle-ci a su voir dès les années 1990 le potentiel du quartier, de ses espaces et de ses vestiges industriels, développant de nombreux projets qui cherchent à redorer la valeur sociale et communautaire de ses rues autrefois très actives. Griffintown serait-il donc un quartier en renaissance grâce aux initiatives culturelles ? Par cet article, nous vous invitons à découvrir le Griffintown d’hier et d’aujourd’hui. Focus sur l’histoire du quartier et de ses lieux / projets / espaces urbains à surveiller ! Quelques moments clefs de son histoire Du religieux rural à la prédominance industrielle [1800 – 1960] À l’aube du 19e siècle, le territoire n’est que terres de pâturage pour le bétail. Connu sous le nom du « fief de Nazareth », celui-ci est alors la propriété de Jeanne-Mance et des futures Sœurs hospitalières de l’Hôtel-Dieu. Un paysage de villégiature qui est profondément transformé par l’événement du creusement du canal de Lachine (1819-1826), porte ouverte au développement économique, commercial et industriel de ce territoire. Élargissement du canal, développement du port et création des écluses (années 1950), construction du chemin de fer (1847) et du Pont Victoria (1954-1959), immigration d’une population ouvrière essentiellement irlandaise, etc., sont autant de facteurs qui engendrent l’arrivée d’un grand nombre d’usines, et ce jusqu’en 1961. Si la période qui suit témoigne de crises économiques, de pauvreté et d’insalubrité, le quartier conserve toutefois ses attraits industriels. La désindustrialisation, la fin brutale d’une période d’effervescence [1960-1990] En souhaitant faire de Griffintown un parc industriel, la ville initie le saccage identitaire et urbain du territoire. Le nouveau zonage mis en place fait du quartier un espace exclusivement industriel et empêche toute rénovation du vernaculaire, favorisant les démolitions des institutions et des habitations qui se dégradent progressivement. La trame urbaine, vidée de sa cohérence et de sa continuité, perd ses repères sociaux. Griffintown est parsemé d’espaces vides en quête de sens et d’aires de stationnement. La construction de l’autoroute Bonaventure ajoute une autre fracture mémorable à ce paysage chaotique : la rupture avec le Vieux-Montréal et le reste de la ville est clairement amorcée ! Un présent qui se cherche et lutte entre des visions dichotomiques [1990-2015] Entre fractures et vestiges, le quartier est devenu le terrain de jeux de nombreux projets mêlant enjeux de conservation et perspectives de revitalisation économique, confrontant pour le meilleur ou pour le pire promoteurs, citoyens, artistes et professionnels en patrimoine. Aujourd’hui, si les traces anciennes se comptent sur le bout des doigts sur ce territoire fondateur de l’identité industrielle de Montréal, il est d’importance de faire plus que jamais preuve de vigilance ! Voici donc, par la présentation de quelques lieux / projets / espaces urbains, un aperçu de sa richesse, de son potentiel et de son ambivalence : Les lieux / projets / espaces urbains à retenir … … pour leur audace : sauver de la démolitions par des initiatives contemporaines Le Horse Palace et la New City Gas Company : l’implication de promoteurs. Tout comme l’ancien complexe industriel fut préservé suite à l’arrivée du promoteur Harvey Lev, favorisant sa réhabilitation à des fins évènementielles (voir l’article La New City Gas Company), le Horse Palace, « une des plus anciennes écurie urbaine encore en usage en Amérique du Nord », a fait l’objet d’une grande campagne de financement pour permettre sa conservation et le maintien de sa fonction. La Fonderie Darling et la Tour Wellington : l’implication artistique Quartier Éphémère, un collectif artistique, fut l’initiateur du développement artistique dans ce quartier industriel suite à la réhabilitation de l’ancienne Fonderie des Darling Brothers à des fins de création, de production et de diffusion artistique. Depuis, le collectif s’implique dans plusieurs projets de sauvegarde du cadre bâti de l’ancien secteur industriel. Notons son implication dans le projet en cours de requalification de notre prochain exemple : la Tour Wellington. C’est tout récemment que cette tour a fait parler d’elle dans les actualités : investi par le collectif Points de vues à l’automne dernier, cette édifice de béton blanc à la forme mystérieuse est une des portes d’entrée du quartier. Bordant le Canal Lachine, l’ancienne tour d’aiguillage des trains et des bateaux, (une fonction non des moindres !) est laissée à l’abandon depuis une dizaine d’années, tombant dans un état de décrépitude. Confrontés à cette malheureuse réalité, quatre laboratoires ont été menés en 2014 pour redessiner l’avenir de ce bâtiment iconique. Une variété de publics fut alors invité à discuter, à offrir leur regard et à s’investir, afin d’identifier ce qui se doit d’être préservé et mis en valeur pour dessiner les lignes directrices d’un nouveau projet, se voulant significatif pour la majorité. Le projet de réhabilitation devrait être prochainement annoncé. Affaire à suivre .. ! Le Griffintown Café : l’implication citoyenne Situé sur la rue Notre-Dame Ouest, ce lieu à l’apparence fragile et modeste est un témoin de l’identité architecturale du quartier mais aussi de son identité sociale et communautaire autrefois très active. Il conserve une affluence quotidienne et continue depuis 135 ans. … pour leur devenir incertain : en attente d’une nouvelle vocation, d’un regard ou d’une démolition La Forge Cadieux : un propriétaire qui n’attend que sa démolition Bordant Bonaventure, cette ancienne forge se dresse encore fragilement sur son îlot d’accueil, prête à tomber sous les coups des bulldozeurs. Pourtant, elle recèle encore en son intérieur un espace préservé tel depuis sa fermeture en 1987: le mobilier, les outils, les machines, les stylos et carnets, tout est demeuré à sa place, dotant l’édifice d’une intégrité et d’une valeur patrimoniale rares ! Le viaduc ferroviaire : conservation ou démolition ? Si, après la suspicion de sa démolition, la municipalité semble avoir pour projet d’investir ces lieux à des fins culturelle, il n’en demeure pas moins qu’aucune communication n’est présentement faite. Son devenir reste donc incertain pour le grand public. Pourtant le potentiel est présent comme peuvent en témoigner un grand nombre de projets internationaux. L’abaissement de l’autoroute Bonaventure : incohérences et fractures Le projet qui vise à faire de l’autoroute un boulevard urbain par son abaissement s’oppose dans les faits à la volonté de relier Griffintown avec le reste de la ville. Barrière visuelle, circulation pédestre difficile, la rupture avec le Vieux-Port encore belle et bien présente ! (voir le Mémoire présenté par Quartier Éphémère à la Consultation de l’OCPM sur l’avenir de Griffintown, 2012). Qu’en est-il de l’architecture vernaculaire dans tout cela ? Des maisons parsèment encore le paysage, bien fragiles par leur taille modeste et leur manque de rendement spatial. Notons la rue McGill qui préserve encore quelques vestiges, comme au numéro 470 avec cette ancienne maison d’affaire et résidence du grossiste Mathewson construite en 1850. Plus loin, la maison Keegan (1863), qui s’avère être la plus vieille habitation de Griffintown, sera quant à elle réhabilitée en hall d’entrée du nouveau complexe de co-propriétés Brickfields conçu par Maître Carré : vernaculaire intégré ou vestige effacé dans cette masse moderne ? Comment les intérieurs ont-ils été transformés pour répondre à cette nouvelle fonction ? Que lire et comprendre de cette ancienne maison ouvrière une fois réhabilitée ? La discussion est ouverte !
  11. Via Epoch Times Le Murray a le vent en poupe Ashvin Rajarai, Collaboration spéciale 24/06/2015 La construction des phases 1 et 2 du Murray, situé à Griffintown, sera complétée à la fin du mois de juin. Ce projet immobilier aura nécessité un investissement de 76 millions et comprend 284 unités. Déjà, 95% des unités ont trouvé preneurs. Son PDG, Claude Lachance, pense déjà aux prochaines étapes. Depuis son commencement, ce projet envisage d’offrir un total de 1000 unités sur 5 phases. Selon M. Lachance, 186 millions supplémentaires seront nécessaires pour terminer les trois autres phases. Le projet Les ouvriers du Murray mettent les bouchées doubles afin de terminer les travaux dans les délais. Et pour cause, le projet doit être livré officiellement à la fin du mois de juin. Tout doit être parfait avant le lancement qui sera fait en toute simplicité, à l’image de son PDG, Claude Lachance. Le Murray, dont le projet a été lancé en 2012, est une belle réussite en ce qui concerne l’architecture et le marketing. Situé à Griffintown, le Murray offre une vue imprenable sur le centre-ville. D’une superficie variant de 575 à 1392 pieds carrés, les penthouses outrageusement fenêtrés du 15e étage proposent 1, 2 ou 3 chambres. Certains possèdent un bureau, deux salles de bain complètes, dont une dans la chambre principale, un walk-in et deux terrasses. Aux étages inférieurs, les condominiums de deux chambres sont situés au coin des tours, doublant du coup la superficie de leur fenêtrage. Ils offrent beaucoup d’espace, un walk-in dans la chambre principale, une grande terrasse privée et une finition impeccable. Le succès du Murray Sur les 284 unités conçues, il n’en reste que 12 à vendre. Pendant une certaine période, le Murray a enregistré le plus de ventes au trimestre avec près de neuf unités vendues mensuellement. Alors que d’autres projets immobiliers peinent à trouver des acheteurs, le Murray n’a pas eu cette difficulté. Le secret? Il réside dans une stratégie marketing bien rodée et un certain flair de son PDG. «Nous ne voulions pas faire la même chose que tout le monde. Nous voulions nous différencier dans notre approche, et cela a porté ses fruits», résume Claude Lachance. Le PDG a été à l’écoute du besoin de sa clientèle. «Il n’y a rien de pire que d’ouvrir quelque chose d’inadapté à la clientèle. Il faut un produit adapté avec un prix très abordable, couplé d’une finition exceptionnelle. Ce n’est pas plus compliqué que cela.» Il se remémore encore l’approche de son père. «Fais des habitations comme si tu allais l’habiter toi-même.» Cette approche est restée gravée dans sa tête. Claude Lachance l’a appliquée à la lettre, le résultat ne s’est pas fait attendre. Toutefois, le PDG a aussi su s’entourer d’une équipe dynamique pour s’assurer de son marketing. La stratégie est très simple. Comment dépenser le moins d’argent possible tout en s’assurant d’un maximum de visibilité? «Nous avons misé sur Facebook, dès le départ, et cela a fini par payer. L’impact a été considérable.» Alors que d’autres misent sur des cocktails et des campagnes de publicité à plusieurs centaines de milliers de dollars, le PDG a préféré miser sur la communication numérique. L’argent qui, au début, devait être mis sur la publicité traditionnelle a été investi dans les condos. «Finalement, c’est le client qui sort gagnant», lance Claude Lachance. S’il laisse le soin à son équipe de s’occuper de la communication numérique, il préfère la bonne vieille méthode. C’est-à-dire le contact avec les gens. «J’aime ça le contact personnel, tâter le pouls des gens, voir ce qu’ils pensent. C’est important pour les affaires», lance-t-il. Selon lui, il n’y a rien de mieux que de voir les gens en face, les yeux dans les yeux et écouter leurs besoins. Le projet a mis trois ans avant d’être concrétisé. Les ventes se sont faites au fur et à mesure. Les premières unités construites ont rapidement trouvé preneurs. Ce qui a permis de mettre en chantier les étages supérieurs, évitant par la même occasion les problèmes d’autofinancement. Côté prix, l’équipe de direction y est allée pour un prix incitatif. En effet, les prix de départ commençaient à 170 000 $ pour atteindre les 1,3 million. Actuellement, les unités restantes commencent à 270 000 $. Parmi la clientèle qui a été séduite par le projet se trouvent les jeunes professionnels, ceux qui ont fait un premier achat ou encore des investisseurs potentiels. Tiré à quatre épingles, Claude Lachance, PDG de GCA Immobilier, est un redoutable homme d’affaires. Ce fils d’entrepreneur ne veut rien laisser au hasard. Tout doit être planifié si l’on veut réussir dans la vie. «Il est partout, il vérifie chaque détail afin que les choses se déroulent dans de meilleures conditions», confient ses plus proches collaborateurs. Marché immobilier Pour ce qui est du développement immobilier, Claude Lachance déplore le fait que les lois actuellement en place n’encouragent pas l’esprit entrepreneurial. Selon lui, il y a certaines législations qui ralentissent les initiatives, ce qui peut nuire au développement économique du Québec à long terme. Évoquant le marché immobilier résidentiel du Québec, Claude Lachance estime qu’il devrait connaître un regain d’activité l’année prochaine. Cette analyse corrobore l’estimation de la Fédération des chambres immobilières du Québec (FCIQ). Ainsi, après deux années de recul, le nombre de ventes devrait grimper de 2 par rapport à 2014. La FCIQ attribue ce retour à la croissance à une légère amélioration du marché du travail, à un solde migratoire positif et aux taux d’intérêt encore très bas. Les hausses de prix sont cependant «plutôt timides» en 2015, pour une troisième année de suite, a précisé la FCIQ. Quant au nombre d’inscriptions de propriétés à vendre, il devrait grimper pour une cinquième année consécutive en 2015, mais plus lentement. Le marché devrait être équilibré ou à l’avantage des acheteurs, «comme c’est le cas actuellement», note la FCIQ.
  12. Montréal 1896. Rue William >Est / Griffintown. Archives du Musée McCord / Studio Notman. D'une série panoramique prise depuis le haut de la cheminée de la Montreal Street Railway qui était située au coin des rues William et de la Montagne. Une intéressante plongée en plein coeur d'un Griffintown vivant. Beaucoup de bâtiments très anciens à découvrir sur ce détail de l'axe Est de la rue William.
  13. Le Maire Dorais répond à la question sur la page Facebook J'aime Griffintown.
  14. Consultation publique sur le projet ce soir.
  15. Si vous suivez ce fil de discussion avec intérêt, vous connaissez déjà sans doute ma page Facebook J'aime Griffintown. C'est avec un grand plaisir que je souhaite la bienvenue à vôtre très chère Mtlurb Godfather ScarletCoral dans l'équipe! J'en profite pour lancer l'invitation à la communauté de Mtlurb, si vous aussi avez une passion pour ce quartier, si vous aimez ma page et que vous aimeriez vous impliquer, contactez-moi. https://www.facebook.com/jaimegriffintown
  16. Voici une entrevue sur ce projet avec Hugo Girard-Beauchamp, président de Maitre Carré. http://argent.canoe.ca/videos/video-questions-dargent-finances-personnelles-2-fevrier-2015
  17. Espaces résidentiels, espaces bureaux, et espace commercial. http://www.brickfields.ca
  18. Voici la vidéo de présentation du projet:
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