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Simon-Alexandre Rivière

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Tout ce qui a été posté par Simon-Alexandre Rivière

  1. Où sur Facebook? Jerry, un peu de rigueur! Citez vos sources! Surtout quand c'est souvent la même source qui alimente directement ou indirectement presque tout ce qui est publié dans la section Griffintown de MtlUrb... Merci!
  2. Voici la réponse du bureau de projet REM sur la page Facebook J'aime Griffintown. https://www.facebook.com/jaimegriffintown/posts/2152001398356580
  3. Exemples des étages comportant une mixité d'usages.
  4. Il est où le nouveau fil de discussion?
  5. Premier pieu d'enfoncé. Bonne nouvelle j'imagine, mais pas super agréable quand tu habites juste en face... Je crois que je préférais la tranquilité du lac Griffintown, je m'étais habitué à ce grand espace ouvert.
  6. Assemblage cet avant-midi de l'équipement pour pieuter, et à l'instant justement les pieux arrivent.
  7. Via Epoch Times Le Murray a le vent en poupe Ashvin Rajarai, Collaboration spéciale 24/06/2015 La construction des phases 1 et 2 du Murray, situé à Griffintown, sera complétée à la fin du mois de juin. Ce projet immobilier aura nécessité un investissement de 76 millions et comprend 284 unités. Déjà, 95% des unités ont trouvé preneurs. Son PDG, Claude Lachance, pense déjà aux prochaines étapes. Depuis son commencement, ce projet envisage d’offrir un total de 1000 unités sur 5 phases. Selon M. Lachance, 186 millions supplémentaires seront nécessaires pour terminer les trois autres phases. Le projet Les ouvriers du Murray mettent les bouchées doubles afin de terminer les travaux dans les délais. Et pour cause, le projet doit être livré officiellement à la fin du mois de juin. Tout doit être parfait avant le lancement qui sera fait en toute simplicité, à l’image de son PDG, Claude Lachance. Le Murray, dont le projet a été lancé en 2012, est une belle réussite en ce qui concerne l’architecture et le marketing. Situé à Griffintown, le Murray offre une vue imprenable sur le centre-ville. D’une superficie variant de 575 à 1392 pieds carrés, les penthouses outrageusement fenêtrés du 15e étage proposent 1, 2 ou 3 chambres. Certains possèdent un bureau, deux salles de bain complètes, dont une dans la chambre principale, un walk-in et deux terrasses. Aux étages inférieurs, les condominiums de deux chambres sont situés au coin des tours, doublant du coup la superficie de leur fenêtrage. Ils offrent beaucoup d’espace, un walk-in dans la chambre principale, une grande terrasse privée et une finition impeccable. Le succès du Murray Sur les 284 unités conçues, il n’en reste que 12 à vendre. Pendant une certaine période, le Murray a enregistré le plus de ventes au trimestre avec près de neuf unités vendues mensuellement. Alors que d’autres projets immobiliers peinent à trouver des acheteurs, le Murray n’a pas eu cette difficulté. Le secret? Il réside dans une stratégie marketing bien rodée et un certain flair de son PDG. «Nous ne voulions pas faire la même chose que tout le monde. Nous voulions nous différencier dans notre approche, et cela a porté ses fruits», résume Claude Lachance. Le PDG a été à l’écoute du besoin de sa clientèle. «Il n’y a rien de pire que d’ouvrir quelque chose d’inadapté à la clientèle. Il faut un produit adapté avec un prix très abordable, couplé d’une finition exceptionnelle. Ce n’est pas plus compliqué que cela.» Il se remémore encore l’approche de son père. «Fais des habitations comme si tu allais l’habiter toi-même.» Cette approche est restée gravée dans sa tête. Claude Lachance l’a appliquée à la lettre, le résultat ne s’est pas fait attendre. Toutefois, le PDG a aussi su s’entourer d’une équipe dynamique pour s’assurer de son marketing. La stratégie est très simple. Comment dépenser le moins d’argent possible tout en s’assurant d’un maximum de visibilité? «Nous avons misé sur Facebook, dès le départ, et cela a fini par payer. L’impact a été considérable.» Alors que d’autres misent sur des cocktails et des campagnes de publicité à plusieurs centaines de milliers de dollars, le PDG a préféré miser sur la communication numérique. L’argent qui, au début, devait être mis sur la publicité traditionnelle a été investi dans les condos. «Finalement, c’est le client qui sort gagnant», lance Claude Lachance. S’il laisse le soin à son équipe de s’occuper de la communication numérique, il préfère la bonne vieille méthode. C’est-à-dire le contact avec les gens. «J’aime ça le contact personnel, tâter le pouls des gens, voir ce qu’ils pensent. C’est important pour les affaires», lance-t-il. Selon lui, il n’y a rien de mieux que de voir les gens en face, les yeux dans les yeux et écouter leurs besoins. Le projet a mis trois ans avant d’être concrétisé. Les ventes se sont faites au fur et à mesure. Les premières unités construites ont rapidement trouvé preneurs. Ce qui a permis de mettre en chantier les étages supérieurs, évitant par la même occasion les problèmes d’autofinancement. Côté prix, l’équipe de direction y est allée pour un prix incitatif. En effet, les prix de départ commençaient à 170 000 $ pour atteindre les 1,3 million. Actuellement, les unités restantes commencent à 270 000 $. Parmi la clientèle qui a été séduite par le projet se trouvent les jeunes professionnels, ceux qui ont fait un premier achat ou encore des investisseurs potentiels. Tiré à quatre épingles, Claude Lachance, PDG de GCA Immobilier, est un redoutable homme d’affaires. Ce fils d’entrepreneur ne veut rien laisser au hasard. Tout doit être planifié si l’on veut réussir dans la vie. «Il est partout, il vérifie chaque détail afin que les choses se déroulent dans de meilleures conditions», confient ses plus proches collaborateurs. Marché immobilier Pour ce qui est du développement immobilier, Claude Lachance déplore le fait que les lois actuellement en place n’encouragent pas l’esprit entrepreneurial. Selon lui, il y a certaines législations qui ralentissent les initiatives, ce qui peut nuire au développement économique du Québec à long terme. Évoquant le marché immobilier résidentiel du Québec, Claude Lachance estime qu’il devrait connaître un regain d’activité l’année prochaine. Cette analyse corrobore l’estimation de la Fédération des chambres immobilières du Québec (FCIQ). Ainsi, après deux années de recul, le nombre de ventes devrait grimper de 2 par rapport à 2014. La FCIQ attribue ce retour à la croissance à une légère amélioration du marché du travail, à un solde migratoire positif et aux taux d’intérêt encore très bas. Les hausses de prix sont cependant «plutôt timides» en 2015, pour une troisième année de suite, a précisé la FCIQ. Quant au nombre d’inscriptions de propriétés à vendre, il devrait grimper pour une cinquième année consécutive en 2015, mais plus lentement. Le marché devrait être équilibré ou à l’avantage des acheteurs, «comme c’est le cas actuellement», note la FCIQ.
  8. Montréal 1896. Rue William >Est / Griffintown. Archives du Musée McCord / Studio Notman. D'une série panoramique prise depuis le haut de la cheminée de la Montreal Street Railway qui était située au coin des rues William et de la Montagne. Une intéressante plongée en plein coeur d'un Griffintown vivant. Beaucoup de bâtiments très anciens à découvrir sur ce détail de l'axe Est de la rue William.
  9. Le Maire Dorais répond à la question sur la page Facebook J'aime Griffintown.
  10. Consultation publique sur le projet ce soir.
  11. Voici une entrevue sur ce projet avec Hugo Girard-Beauchamp, président de Maitre Carré. http://argent.canoe.ca/videos/video-questions-dargent-finances-personnelles-2-fevrier-2015
  12. Espaces résidentiels, espaces bureaux, et espace commercial. http://www.brickfields.ca
  13. Voici la vidéo de présentation du projet:
  14. Voici une image nocturne montrant l'emplacement de choix avec une vue imprenable que représente ce site.
  15. J'ai aussi pu sentir une forte odeur d'hydrocarbure qui se dégageait de la terre fraîchement creusée. En fait je sais de source sûre que l'entreprise de recyclage de ferraille Golden Metal qui occupait une partie de ce terrain, à déversée pendant des décennies directement dans le sol: de l'huile, du mazout, de l'essence et tout ce qu'on peut imaginer que pouvaient contenir des réservoirs, des citernes, des bidons, etc., c'est clair que la contamination doit être assez profonde...
  16. J'aime beaucoup les idées proposées dans ce rendu, ce serait certainement une des plus belles adresses de Griffintown. Ce projet est encore conditionnel à l'approbation du conseil d'arrondissement de la Ville, la première proposition de Maître Carré avait été mal accueillie et sanctionnée par le refus du permis de démolition. Celle-ci me semble sur la bonne voie et plus aboutie, j'ai hâte de voir la suite.
  17. Non ça c'est au Sud de la rue Ottawa, quadrilatère Murray/Wellington/De La Montagne/Ottawa. Celui-ci est au Nord, quadrilatère Ottawa/Eleanor/William/De La Montagne.
  18. Je déplore qu'ils aient coupé l'arbre mature qui s'élevait aussi haut que les résidences de l'ÉTS près de la rue William.
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