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  1. http://journalmetro.com/actualites/montreal/945895/une-grue-seffondre-au-centre-ville-de-montreal/ Une grue s’est effondrée dimanche matin devant un pavillon de l’UQAM au croisement de la rue Saint-Denis et le boulevard René-Lévesque. Une personne est décédée et une autre repose dans un état critique, selon le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM). Toujours selon le SPVM, deux travailleurs se retrouvaient dans la nacelle quand le camion a basculé vers l’arrière pour une raison inconnue. Il s’agirait de laveurs de vitres. Des témoins de la scène ont aussi été rencontrés par les ambulanciers pour choc nerveux. La circulation est interrompue sur la rue Saint-Denis, ainsi que sur le boulevard René-Lévesque, entre les rues Berri et Saint-Laurent en direction ouest.
  2. La manifestation pacifique des enfants de coeur de montréal a lieu ce soir, en espérant pas trop de grabuge de la part des manifestants, et un bon contrôle policier pour arrêter tout ces fauteurs de trouble Brutalité policière: une manifestation attendue de pied ferme Les policiers montréalais se disent fin prêts pour la manifestation annuelle contre la brutalité policière, un événement en soi paradoxal qui se termine presque chaque fois par des affrontements entre forces de l'ordre et protestataires. La marche doit débuter ce mardi vers 17 h à l'angle du boulevard de Maisonneuve et de la rue Jeanne-Mance, à deux pas du quartier général du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM). L'an dernier, des vitrines de commerces avaient encore été fracassées, des incendies avaient été allumés et des policiers avaient été la cible de tirs de projectiles divers. Une centaine de personnes avaient été appréhendées. L'inspecteur-chef Sylvain Lemay, qui doit assurer la coordination de la surveillance policière lors de cette manifestation, rencontrait déjà la presse mardi afin de tracer les grandes lignes de la stratégie adoptée par le SPVM. En entrevue, il a affirmé que les forces de l'ordre veulent utiliser plusieurs unités du SPVM: cavalerie, maîtres-chiens et groupes d'intervention seront notamment mis à contribution. La semaine dernière, la porte-parole de la Coalition opposée à la brutalité policière, Sophie Sénécal, assurait que la manifestation serait dynamique et festive. Cependant, dans le passé, des casseurs se sont joints aux manifestants et ont perpétré des gestes violents. «Il y a des gens qui vont se joindre à cette manifestation-là et qui veulent la faire déraper», a estimé l'inspecteur-chef Lemay. «Sa réputation, c'est que c'est un événement qui se termine par de la casse. Il y a une perception négative autant de la part des médias et des policiers que de la population en général.» Autre élément qui ajoute à l'irritation des forces de l'ordre: les organisateurs de la manifestation refusent systématiquement de fournir leur itinéraire au SPVM, ce qui rend l'opération difficile à planifier. L'inspecteur-chef Lemay a demandé aux automobilistes et aux usagers des transports en commun d'adapter leur comportement aux événements, en tentant par exemple d'éviter certaines zones. «Le quadrilatère du centre-ville va être occupé, il y a des rues qui seront bloquées», a-t-il averti, ajoutant que la manifestation se transportait parfois dans le réseau du métro. «On va encore être présents pour assurer la sécurité des participants, mais aussi de la population, des gens qui vont prendre leur auto, qui vont prendre le métro», a affirmé l'inspecteur-chef Lemay. «Dès qu'il y a de la casse, le service de police ne tolérera pas ça et va intervenir.» Des manifestations d'opposition aux policiers auront aussi lieu dans plusieurs autres villes canadiennes mardi, notamment à Toronto et à Ottawa. La police d'Ottawa a récemment fait les manchettes à quelques reprises pour des interventions musclées à l'endroit de citoyens. Quant à Toronto, des groupes militants et des citoyens dénoncent le comportement des policiers lors des manifestations en marge des sommets du G8 et du G20 en juin dernier. http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/201103/15/01-4379326-brutalite-policiere-une-manifestation-attendue-de-pied-ferme.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B4_manchettes_231_accueil_POS3
  3. La Presse Le dimanche 16 septembre 2007 L’administration Tremblay-Zampino a demandé au Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) de réduire son budget de 20 millions de dollars l’an prochain. Tous les services centraux ont d’ailleurs reçu l’ordre de couper dans le gras en 2008 pour réduire leurs dépenses de 70 millions, a appris La Presse. Montréal poursuit l’exercice de rationalisation entrepris l’année dernière. Objectif : économiser 300 millions et éliminer 1000 postes d’ici 2009. Le président du comité exécutif, Frank Zampino, précise que les contraintes budgétaires sont cette année de 30 millions pour les arrondissements et de 70 millions pour les services centraux. L’année dernière, le budget des arrondissements était de 870 millions et celui des services centraux, de 1,85 milliard. Le responsable des finances au comité exécutif précise que plus le budget d’un service est imposant, plus les restrictions le sont. « C’est un exercice exigeant. C’est encore plus exigeant en 2008 parce que, une fois qu’on a réalisé 100 millions d’économies en 2007, ça devient plus compliqué la deuxième année et encore plus compliqué en 2009 », explique M. Zampino. Chaque année, les services établissent un budget qui tient compte des augmentations de salaire des employés, de l’inflation et de la croissance du coût des contrats. Pour la deuxième année consécutive, l’administration Tremblay-Zampino leur accorde toutefois moins d’argent que ce qu’ils prévoient. « Ils doivent proposer des mesures de rationalisation », insiste M. Zampino. Il ajoute que l’abolition de postes par attrition donne tout de même de l’oxygène aux services. Avec son budget de 506 millions en 2007, le SPVM est l’un des services les plus touchés par les compressions budgétaires. La Ville lui demande de réduire ses dépenses de 20 millions en 2008. M. Zampino soutient que le budget de la police atteindra tout de même environ 550 millions. Le directeur du SPVM, Yvan Delorme, tente quant à lui d’échapper à ces compressions, a-t-on appris. Il fait valoir que le service de police rapporte davantage de revenus qu’auparavant. L’affectation d’une escouade de policiers à la sécurité routière a fait grimper le nombre de contraventions à Montréal. En 2006, les policiers en ont distribué près de 550 000, une augmentation de 62 % par rapport à l’année précédente. Les revenus ont ainsi bondi de 41 à 71 millions de dollars. Avec les contraventions distribuées par les agents de stationnement, les revenus se sont chiffrés à 124 millions en 2006, soit 3 % du budget de la Ville. Les données pour 2007 ne sont pas encore connues. Le SPVM propose en outre d’augmenter ses revenus en commercialisant ses services. Dans le budget 2007, les revenus liés à la commercialisation se chiffraient à environ 1,6 million. Depuis son arrivée au pouvoir, en 2002, l’administration Tremblay-Zampino a toujours prévu des hausses de 2 à 5 % des dépenses globales dans ses budgets. En 2007, la Ville a toutefois fait face à un déficit appréhendé de 394 millions. Elle avait équilibré son budget notamment en gelant les salaires des employés et les budgets accordés aux arrondissements. La croissance des dépenses avait ainsi été stoppée à un peu moins de 2 %. Plusieurs arrondissement ont toutefois adopté des taxes locales pour compenser. Depuis sa réélection, le maire Gérald Tremblay peine à équilibrer son budget sans augmenter les taxes. Il s’était engagé à geler le fardeau fiscal global des Montréalais durant tout son mandat. Montréal pourrait obtenir de nouveaux pouvoirs de taxation si le projet de loi 22 est adopté cet automne.
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