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Pour M. Soros, l'ancien gouverneur de la Réserve fédérale américaine, Alan Greenspan, est largement «responsable» de la crise. Pour en lire plus...
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La crise financière actuelle est la plus grave depuis un siècle
un sujet a posté mtlurb dans L'actualité
La crise financière actuelle est la plus grave depuis 50 ans et probablement depuis un siècle, a estimé dimanche Alan Greenspan, l'ancien président de la Réserve fédérale américaine (Fed), jugeant que la tourmente était encore loin d'être terminée. Pour en lire plus... -
L'ancien président de la banque centrale américaine Alan Greenspan a apporté son soutien mardi au plan de sauvetage de Fannie Mae et Freddie Mac. Pour en lire plus...
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Les prix de l'immobilier vont se stabiliser, croit Greenspan
un sujet a posté ErickMontreal dans L'actualité
Les prix de l'immobilier vont se stabiliser, croit Greenspan 13 août 2008 - 21h18 Agence France-Presse New York L'ancien président de la Réserve fédérale américaine, Alan Greenspan Photo Patrick Sanfaçon, La Presse Les prix de l'immobilier américain, à l'origine de la crise financière, vont se stabiliser dans la première moitié de l'année 2009, estime l'ancien président de la Réserve fédérale (Fed), Alan Greenspan, dans un entretien mercredi au Wall Street Journal. «Les prix de l'immobilier aux États-Unis vont probablement commencer à se stabiliser ou toucher le fond dans la première moitié de 2009», affirme M. Greenspan. L'effondrement du secteur immobilier américain, provoqué par la crise des crédits immobiliers à risque dits «subprime», a causé un durcissement des conditions du crédit, préjudiciable à l'activité économique. Économistes et analystes estiment en conséquence qu'une reprise du marché de l'immobilier donnerait un signal positif aux marchés financiers et offrirait de meilleures perspectives pour la croissance américaine. La fin du déclin des prix de l'immobilier est «une condition sine qua non pour l'issue de la crise financière mondiale actuelle», avance M. Greenspan, qui reste très écouté par la planète financière. Revenant sur les solutions gouvernementales pour sauver les deux géants du refinancement hypothécaire américain Fannie Mae et Freddie Mac, plombés par la débâcle des «subprime», M. Greenspan juge qu'elles sont «mauvaises». «Ils (l'administration Bush) auraient dû faire fi des actionnaires (et) nationaliser les institutions avec une législation adaptée les scindant en 5 ou 10 unités (...) bénéficiant du soutien nécessaire des contribuables pour qu'elles soient financièrement viables», suggère M. Greenspan. Victimes de la détérioration du marché de l'immobilier et de l'effondrement de leurs cours de Bourse, Freddie Mac et sa soeur jumelle Fannie Mae ont connu, début juillet, une crise qui a nécessité l'intervention du département du Trésor, équivalent du ministère français de l'économie et des Finances. Les autorités ont ainsi mis en place un plan de sauvetage, validé par le Congrès et signé par le président George W. Bush, qui permet notamment au Trésor d'acheter des actions des deux organismes ou de leur prêter plus d'argent, jusqu'à fin 2009. Les prix de l'immobilier américain, à l'origine de la crise financière, vont se stabiliser dans la première moitié de l'année 2009, estime l'ancien président de la Réserve fédérale (Fed), Alan Greenspan, dans un entretien mercredi au Wall Street Journal. «Les prix de l'immobilier aux États-Unis vont probablement commencer à se stabiliser ou toucher le fond dans la première moitié de 2009», affirme M. Greenspan. L'effondrement du secteur immobilier américain, provoqué par la crise des crédits immobiliers à risque dits «subprime», a causé un durcissement des conditions du crédit, préjudiciable à l'activité économique. Économistes et analystes estiment en conséquence qu'une reprise du marché de l'immobilier donnerait un signal positif aux marchés financiers et offrirait de meilleures perspectives pour la croissance américaine. La fin du déclin des prix de l'immobilier est «une condition sine qua non pour l'issue de la crise financière mondiale actuelle», avance M. Greenspan, qui reste très écouté par la planète financière. Revenant sur les solutions gouvernementales pour sauver les deux géants du refinancement hypothécaire américain Fannie Mae et Freddie Mac, plombés par la débâcle des «subprime», M. Greenspan juge qu'elles sont «mauvaises». «Ils (l'administration Bush) auraient dû faire fi des actionnaires (et) nationaliser les institutions avec une législation adaptée les scindant en 5 ou 10 unités (...) bénéficiant du soutien nécessaire des contribuables pour qu'elles soient financièrement viables», suggère M. Greenspan. Victimes de la détérioration du marché de l'immobilier et de l'effondrement de leurs cours de Bourse, Freddie Mac et sa soeur jumelle Fannie Mae ont connu, début juillet, une crise qui a nécessité l'intervention du département du Trésor, équivalent du ministère français de l'économie et des Finances. Les autorités ont ainsi mis en place un plan de sauvetage, validé par le Congrès et signé par le président George W. Bush, qui permet notamment au Trésor d'acheter des actions des deux organismes ou de leur prêter plus d'argent, jusqu'à fin 2009.-
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