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  1. https://www.lapresse.ca/actualites/2022-05-02/quebec-reprend-le-controle-du-rem-de-l-est.php Semblerait que la bureaucrassie l'ait encore emportée.
  2. La Ville de Montréal dévoile sa programmation hivernale 26 novembre 2020 | mise à jour le: 26 novembre 2020 à 17:14 temps de lecture: 5 minutesPar: Zacharie GoudreaultMétro De nouvelles places publiques, des sentiers mieux entretenus dans les parcs, des patinoires: la Ville de Montréal a présenté jeudi sa programmation hivernale. Elle espère ainsi inciter les Montréalais à «bouger en sécurité» au cours des prochains mois, tout en stimulant l’achat local. La pandémie, combinée aux journées plus courtes et grises qui marquent l’arrivée de l’hiver, ont affecté le moral des citoyens, constate la mairesse de Montréal, Valérie Plante. «Il y a cette fatigue qui s’installe et qui est plus difficile pour certaines personnes. C’est un climat qui est assez anxiogène», a-t-elle souligné jeudi après-midi lors d’une conférence de presse à l’hôtel de ville. Elle a alors présenté la programmation hivernale 2020-2021 de la Ville de Montréal. ... Des stations hivernales Ce plan prévoit notamment l’aménagement de 25 stations hivernales dans 17 arrondissements de la métropole au cours des prochaines semaines. Celles-ci prendront forme près d’artères commerciales, voire sur celles-ci, afin d’inciter les Montréalais à aller faire leurs emplettes dans les commerces locaux. Ces petites places publiques seront lumineuses afin d’attirer le regard. ... Pas pour se réchauffer Afin d’éviter que ces petites places publiques deviennent des lieux de rassemblements, aucune programmation d’activités culturelles ou ludiques ne sera mise en place pour ces lieux. Par ailleurs, les stations hivernales ne seront pas chauffées. ... Plus d’activités dans les grands parcs Le programme prévoit par ailleurs la création de nouvelles patinoires, dont une au square Cabot et une seconde au parc Jean-Drapeau. Ce dernier accueillera également une glissade, de même que de nouveaux kilomètres de sentiers pédestres et d’autres dédiés aux fat bike et au ski de fond, entre autres. Par ailleurs, bien que la Fête des neiges n’aura pas lieu cette année au parc Jean-Drapeau, plusieurs activités gratuites y seront offertes à partir du 19 décembre, assure la Ville. Cette programmation proposera notamment la découverte d’un sentier historique en raquettes et une exposition extérieure baptisée «Océans». ... Contrôler l’achalandage La Ville entend d’ailleurs s’assurer de surveiller les grands parcs cet hiver pour en limiter l’achalandage. Cet été, l’administration municipale a notamment dû fermer le stationnement du parc du Mont-Royal à plusieurs reprises parce que trop de personnes s’y sont rendues les jours de beau temps. «Il y a le mont Royal, mais il y a d’autres endroits. C’est ce que je veux dire aux Montréalais.» -Valérie Plante, mairesse de Montréal https://journalmetro.com/actualites/montreal/2583376/la-ville-de-montreal-devoile-sa-programmation-hivernale/
  3. Travaux à venir à la station Place Saint-Henri Durée des travaux : 17 novembre 2020 à l'automne 2023 Nature des travaux : installation d'ascenseurs, construction de deux édicules et réaménagement de la place Saint-Henri. Impacts métro : à partir du mardi 17 novembre à 21 heures, les deux accès souterrains, situés des côtés nord et sud de la rue Saint-Jacques, seront fermés pour la durée complète des travaux. L’accès principal, situé sur la rue Saint-Ferdinand, restera ouvert. Impacts bus : non Le projet en bref Des travaux commenceront bientôt, afin d’installer des ascenseurs à la station Place-Saint-Henri. Deux édicules vont également être construits pour remplacer les deux accès secondaires à la station et la place Saint-Henri sera réaménagée. Lorsque les travaux seront terminés, l'accès à la station par ascenseurs se fera par l'édicule situé sur la place Saint-Henri. http://www.stm.info/fr/infos/etat-du-service/travaux/place-saint-henri-0?utm_campaign=carrousel&utm_source=TravauxPSH&utm_medium=carrousel
  4. Discussion générale sur l'illumination des édifices et infrastructures de Montréal En passant, Montréal n'a pas de plan lumière à l'exception du Quartier des spectacles et du Vieux-Montréal Voir ici un reportage au Téléjournal 18h de Nabi-Alexandre Chartier (Ça fait toujours drôle de voir à Radio-Canada depuis ses débuts à Musique Plus!!)
  5. Les juristes de la Ville de Montréal votent pour la grève AGENCE QMI Lundi, 2 décembre 2019 08:41MISE À JOUR Lundi, 2 décembre 2019 08:41 MONTRÉAL | Déplorant que les négociations avec leur employeur piétinent, les juristes de la Ville de Montréal ont donné un mandat de grève à leur exécutif et prévoient une première journée de débrayage le 11 décembre. Le vote a eu lieu jeudi dernier. Les quelque 120 juristes, des procureurs pour la plupart, ont voté pour la grève comme moyen de pression à hauteur de 99 %. «Les négociations achoppent depuis plusieurs mois notamment sur les salaires», a expliqué leur syndicat – le Syndicat des employés et employées professionnels et de bureau (SEPB-571), affiliés à la FTQ -, lundi par communiqué, ajoutant qu’un rattrapage salarial de 3,6 % avec les procureurs provinciaux et une indexation des salaires raisonnable est demandé. «Nos demandes sont raisonnables puisque notre travail est équivalent à celui des procureurs et juristes provinciaux, notre expertise est la même, je ne vois pas pourquoi nous devrions accepter un salaire moindre», a déclaré Jean-Nicolas Loiselle, le président du syndicat des juristes de Montréal. Une médiatrice a été nommée par le Tribunal administratif du travail dans ce dossier la semaine dernière à la demande de l’employeur, a souligné le syndicat, lundi, déplorant que ce développement ait eu lieu après que la Ville eut annulé trois jours de négociations prévus par les parties. «Nous allons nous asseoir avec la médiatrice pour discuter de bonne foi comme nous le faisons depuis le début du processus de négociation, a affirmé M. Loiselle. Toutefois, force est d'admettre que l'employeur ne semble pas vouloir bouger.» https://www.journaldemontreal.com/2019/12/02/les-juristes-de-la-ville-de-montreal-votent-pour-la-greve
  6. Article dans la Gazette concernant l'achalandage dans les autobus Voir l'article pour l'achalandage par ligne de 2012 à 2018 https://montrealgazette.com/news/local-news/despite-problems-bus-ridership-in-montreal-up-slightly-in-2018 Despite problems, bus ridership in Montreal up slightly in 2018 Passenger numbers are still far short of those from 2012 as complaints soar and punctuality hits its lowest mark since 2001. JASON MAGDER, MONTREAL GAZETTE Updated: September 30, 2019 Punctuality plunged, a record number of vehicles were parked for repairs and complaints soared to record levels — and yet, Montreal’s transit authority saw a slight increase in bus ridership last year. There were 637,908 more trips taken on city buses in 2018 compared with the year before — an increase of 0.28 per cent. It was the first time since 2013 that bus ridership grew. The figures, obtained through an access-to-information request, show 142 of 220 bus lines saw an increase in passengers. And yet, 2018 was a trying one for the Société de transport de Montréal. Because of a labour crisis in the maintenance department, an average of 1,341 buses out of a fleet of 1,807 were available for morning and afternoon peak periods. That represents the lowest number in a decade, and far less than the 1,424 required to deliver full service. The number of complaints soared by 32 per cent, and the on-time rate of buses was a meagre 79.5 per cent — the lowest since 2001, according to statistics from the STM’s website. The year was also marked by buses running out of fuel in record numbers while on the road. Despite the uptick in ridership, the numbers fall short of those from 2012. Since that time, 33.9 million fewer annual trips were recorded, accounting for a 13-per-cent overall decline. The increase in ridership for 2018 was surprising to Nick Chaloux, a transportation planner and former researcher at TRAM — Transportation Research at McGill. “The fact there is a slight growth is positive,” said Chaloux, who published a paper last year that highlighted concerns about the decline in the STM’s bus service. “The STM was operating with 100 fewer buses on average, with all the side effects that come with that. When you take that into consideration and you see that ridership was stagnant overall, that’s kind of impressive.” Sarah V. Doyon, the director of the transit lobby Trajectoire Québec, said her group was not surprised. “We’re finding that people are making more sustainable choices, both for the environment and because congestion is so heavy that public transit is seen as an efficient mode of transportation,” she said. It helps that the STM has been working to add more reserved bus lanes throughout its network, Doyon added. As for the record number of complaints and high number of late buses, Doyon speculated congestion played a role as buses get stuck in traffic just like cars. STM spokesperson Philippe Déry concurred, saying the agency is happy more Montrealers chose to take the bus during a trying year marked by major roadwork and traffic congestion. Déry said several measures were put in place to improve performance, including creating two new bus lines to serve the Rivière-des-Prairies and Griffintown sectors, and the merging of bus lines No. 19 with and 53 in the Ahuntsic-Cartierville borough. Altogether, the STM offered 68.9 million hours of service in 2018 — a 0.5 per cent increase from the year before, Déry said. Last spring, STM chairperson Philippe Schnobb admitted 2018 had been a difficult year and said the bus network was plagued by a deliberate slowdown by unionized employees during a labour conflict. In February, during a hearing of Quebec’s workplace tribunal, the STM blamed the union for a record number of buses parked in the garage for repairs. Breaking down the STM data by bus line, nine out of the 10 most-travelled routes continued to see ridership declines in 2018. Only the 51 Édouard-Montpetit line saw a 1.98 per cent increase in its ridership. That increase was enough to make it the only route in the top 10 to gain riders in the period covered by the data, from 2012 to 2018. Over that time, five of the 10 most-travelled buses saw declines of 20 per cent or more: the 69 Gouin, 139 Pie-IX, 121 Sauvé/Côte-Vertu, 165 Côte-des-Neiges and 67 Saint-Michel. The most-travelled bus is the 141 Jean-Talon Est, with 8.2 million trips recorded in 2018. The 51 Édouard-Montpetit was the second-most travelled bus with 7.7 million trips. The 161 Van Horne, the 18 Beaubien and the 24 Sherbrooke round out the top 10, and all saw declines of between one and 13 per cent.
  7. Et ça continue, on improvise parce que les limites de vitesse arbitraires ne sont simplement pas respectées.... alors on force les gens à faire ce qui contredit le code de la route et le bon sens. https://www.tvanouvelles.ca/2019/09/10/interdit-de-se-garer-a-moins-de-13-metre-du-trottoir
  8. Communiqué de la Ville http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=5798,42657625&_dad=portal&_schema=PORTAL&id=31903 Accélérer Montréal: La Ville de Montréal se penche sur la problématique des locaux commerciaux vacants 19 août 2019 Montréal, le 19 août 2019 - La Ville de Montréal mandate la Commission sur le développement économique et urbain et l'habitation afin de mener des consultations publiques sur les locaux vacants sur les artères commerciales. « Les artères commerciales jouent un rôle fondamental dans la vitalité des quartiers et dans le développement économique de la métropole. Elles sont au coeur des préoccupations de notre administration. Montréal, comme plusieurs autres métropoles, doit toutefois faire face à un enjeu des locaux vacants. La consultation que mènera la Commission sur le développement économique et urbain et l'habitation permettra d'entendre les parties prenantes du monde du commerce et la population sur les principaux enjeux reliés au taux de vacance sur les artères commerciales. Elle mènera à une série de recommandations et de solutions innovantes qui nous permettront de redynamiser ce secteur névralgique de l'économie de Montréal », a affirmé la mairesse de Montréal, Valérie Plante. Malgré une conjoncture économique favorable, de nombreuses artères commerciales montréalaises présentent des taux de vacances qui se situent entre 10 % et 15 %. Plusieurs éléments peuvent expliquer ce phénomène, notamment la hausse des loyers, la spéculation immobilière, l'adéquation entre l'offre et la demande commerciale et l'essor du commerce électronique. Ces espaces vacants ont un impact sur la vitalité des artères, sur l'image de Montréal comme destination commerciale régionale et sur la qualité de vie dans les quartiers. « Les artères commerciales et le commerce sont au cœur des préoccupations de la Ville de Montréal. C'est pour cela que nous avons dévoilé un plan d'action dédié au commerce en juin 2018. Au cours de la dernière année, nous avons mis en place plusieurs mesures pour soutenir le commerce, dont un programme d'aide financière dédié aux commerces sur des artères en chantier, qui constitue une première au Canada. Nous nous attaquons maintenant avec force à la problématique des locaux vacants », a souligné Robert Beaudry, responsable du développement économique et commercial et de l'habitation au comité exécutif. La consultation de la Commission du développement économique sur les locaux vacants se déroulera comme suit : Septembre à novembre 2019 : Diagnostic de la situation actuelle et analyse des meilleures pratiques pour répondre à l'enjeu des locaux vacants; Décembre 2019: Présentation du document de consultation en séance de consultation publique; Janvier 2020 : Déroulement des consultations publiques. « Les membres de la Commission se pencheront avec sérieux sur cette problématique et travailleront afin d'obtenir un portrait clair de la situation, d'identifier des pistes de solutions efficaces pour préserver la mixité et d'assurer le dynamisme de nos commerces locaux », a conclu Richard Ryan, président de la la Commission sur le développement économique et urbain et l'habitation et conseiller de ville du Mile-End, dans l'arrondissement du Plateau Mont-Royal. Montréal agit pour soutenir le commerce Rappelons qu'au cours de la dernière année, la Ville de Montréal, par le biais de sa stratégie de développement économique 2018-2022, a adopté une série de mesures fortes pour soutenir le commerce: Dévoilement du plan commerce, « Vivre Montréal » en juin 2018; Mise en place d'un comité consultatif sur l'élaboration du Plan d'action en commerce, dont le rapport a été déposé en juin 2018 https://blogues.desjardins.com/communiques-de-presse/VilleMtl_RapportCom_PlanCommerce_vFinal.pdf; Diminution du fardeau fiscal des commerçants par la réduction de la taxe foncière pour la première tranche de 500 000 $ d'évaluation foncière; Programme d'aide financière aux établissements situés dans un secteur affecté par des travaux majeurs, premier programme du genre au Canada. Investissement de 25 M$ d'ici 2021; Programme Artère en transformation, visant à contribuer au maintien et au développement des affaires ainsi qu'à la mise en valeur et à la dynamisation de l'offre commerciale des artères sélectionnées pendant des travaux majeurs d'infrastructure et une fois que ceux-ci seront réalisés. Investissement de 16,8 M$ jusqu'en 2028. Consultez Accélérer Montréal, la stratégie de développement économique 2018-2022 : https://ville.montreal.qc.ca/affaires/
  9. 14:23 14 août 2019Par: Henri Ouellette VézinaMétro Tous les tunnels et passages inférieurs de Montréal seront éclairés aux DEL d’ici 2021 https://journalmetro.com/actualites/montreal/2361619/tous-les-tunnels-et-passages-inferieurs-de-montreal-seront-eclaires-aux-del-dici-2021/ Photo: Josie Desmarais/MétroLes ampoules DEL ont un meilleur rendement énergétique et produisent moins de chaleur que les produits d’éclairage à incandescence. L’ensemble des 143 passages inférieurs et des tunnels de la métropole passeront à l’éclairage aux diodes électroluminescentes (DEL) d’ici 2021, a annoncé la Ville mercredi. Montréal a ainsi ratifié deux contrats pour la fourniture et l’installation totalisant près de 5,5 M$. Par cette décision, l’administration Plante vise «une réduction de sa consommation électrique» tout en engendrant «des économies substantielles», lit-on dans un document du comité exécutif, qui a signé les deux ententes avec Schréder Inc et Bruneau Électrique mercredi. «Avec l’utilisation des ces luminaires DEL, les usagers pourront bénéficier d’une meilleure visibilité dans les passages inférieurs et ainsi, la Ville augmente la sécurité des déplacements sur son réseau», particulièrement la nuit, ajoute-t-on. L’administration municipale estime qu’elle baissera sa consommation énergétique «de plus de 50%» et la valeur de ses coûts d’entretien de 55% avec ces nouvelles façons de faire qui rejoignent certains objectifs du plan d’action Vision Zéro de la Ville. Celui-ci a pour but de réduire au maximum les décès et les blessures graves dans les rues de Montréal. «Les femmes qui circulent seules, et qui nous ont souvent fait part de leurs craintes, devraient se sentir plus en sécurité et en confiance grâce à ces améliorations», a insisté le responsable de l’urbanisme et de la mobilité, Éric Alan Caldwell, dans un communiqué mercredi. «La lumière sera plus adéquate, ce qui permettra aux usagères et usagers qui se partagent la route de mieux se voir», a-t-il illustré. D’ici 2021, quelque 130 000 luminaire «souvent vulnérables» auront été remplacés «au bénéfice de la visibilité des usagers», promet la Ville de Montréal.
  10. J'aime bien voir Montréal bien performer dans certains classements surtout quand on bat Toronto ! Hehe Voici le dernier classement des meilleurea villes universitaires selon QS. Montréal est #1 dans les Amériques et #6 au monde. Voici ce que dit QS sur notre belle ville: Montréal is multicultural, multilingual and is widely referred to as Canada’s “cultural capital”. It performs well across five of the six indicators assessed, ranking within the top 50 for all of them except affordability. Montréal is home to several of Canada's highest-ranking institutions, including McGill University (currently ranked 35th in the world and second in Canada) and the Université de Montréal (137th in the world, fifth in Canada). The city is also a regular contender in lists of the world’s best places to live – and it seems students agree. While it might no longer be number one overall in the ranking, Montréal is 12 places higher in the student rank indicator than fellow Canadian city, Toronto, and is celebrated by students for its arts and culture, as well as for its friendliness and diversity. None of this is likely to come as a surprise. As a French-speaking city in a largely English-speaking nation that has experienced mass immigration from across the world, Montréal is known for its multicultural makeup and inclusive ethos. It’s also renowned for its laidback yet lively lifestyle, attractive boulevards, thriving creative industries, café culture, and eclectic range of arts venues, live performances and nightlife. https://www.topuniversities.com/city-rankings/2019
  11. Dans la Gazette : https://montrealgazette.com/news/local-news/montreal-hybrid-buses-outperformed-by-those-in-laval-longueuil-outaouais Montreal hybrid buses outperformed by those in Laval, Longueuil, Outaouais With the same buses and the same climate, transit agencies in Laval, Longueuil and Outaouais are able to achieve far greater fuel economy JASON MAGDER, MONTREAL GAZETTE Updated: July 31, 2019 An STM hybrid bus makes it's way along St-Michel on Wednesday July 31, 2019. Montreal's hybrid buses are not achieving the savings that had been originally promised. PIERRE OBENDRAUF / MONTREAL GAZETTE The city’s transit agency can’t blame harsh winters or its supplier for the poor fuel economy of its hybrid buses, because other Montreal-area transit agencies save far more fuel using the same buses. Société de transport de Montréal documents have revealed that the agency’s diesel-electric hybrid buses don’t deliver the promised fuel savings of 30 per cent compared with conventional diesel buses. Instead, the actual savings is between 11 and 15 per cent. However, with the same buses and the same climate, transit agencies in Laval, Longueuil and the Outaouais are able to achieve far greater fuel economy. STM figures show that its newest Series 7 hybrid buses consume 47.5 litres to travel 100 kilometres on average for a year, compared with its most efficient diesel buses that consumed 53.5 L/100 km — an 11.2-per-cent savings. Figures obtained from Longueuil show its hybrid buses consume 37.8 L/ 100 km, compared with its conventional diesel buses that consume 49.1 L/100 km — a savings of 23 per cent. In Laval, hybrid buses consume 39.85 L/ 100 km, compared with its diesel buses that consume 52.9 L/ 100 km — a savings of about 25 per cent. Speaking for the agency, Société de transport de Laval’s Estelle Lacroix said it’s difficult to compare data from different agencies in the Montreal region, because routes and passenger numbers vary. However, Laval, Longueuil and Montreal all rely on hybrid buses built by St-Eustache-based Nova Bus. So, too, does the Société de transport de l’Outaouais. That agency’s standard-sized Nova Bus hybrids achieve a fuel consumption of 40.5 L/ 100 km. The STM has been criticized from many corners for not revealing the doubts about fuel efficiency before a historic purchase of hybrid buses last year. In June 2018, the agency ordered 830 new hybrid buses at the cost of nearly $1 billion, to be delivered over five years starting in 2020. By the time the delivery is complete, hybrids will make up about half the city’s fleet. Included in that figure are 300 additional buses Montreal Mayor Valérie Plante promised during the last election campaign to boost the agency’s overall fleet by 15 per cent. While the Plante administration has stood by the major purchase, the opposition in Montreal city hall has called for the order to be put on pause until the city can be sure that the technology is the best choice available. Lionel Perez, the interim leader of the opposition Ensemble Montréal, told the Montreal Gazette recently he’s alarmed that the STM’s experts appear to have lied to board members in order to ram through the purchase. “It’s very disconcerting that the STM has been hiding this information from the public, from the board and from elected officials,” Perez said. “If they fudged the numbers because of political pressure (from the Plante administration), then someone has to be accountable.” This week, Marvin Rotrand, an opposition councillor for Snowdon, and the former vice-chairperson of the STM, said the agency owes the public an explanation. “How can it be that Laval and Longueuil (get far better fuel consumption)?” Rotrand said. “We bought the buses because of their promised fuel savings; we were told the extra charge for the buses would be recuperated through fuel savings. I think the STM has to tell the public what the problem is.” The STM has said the low average speed of its buses, and the short distance between stops makes hybrid technology ideal for the city, because of regenerative braking technology that converts the vehicle’s kinetic energy to electric energy, essentially charging its battery. The battery also takes over for the diesel engine when the bus is idling or stopped, which is supposed to further reduce fuel consumption. However, several studies have cast doubt over the actual savings of hybrid buses in urban settings. In one, commissioned by the environmental protection department of Hong Kong, double-decker hybrid buses achieved a fuel savings of only six per cent in that city. Surprisingly, the buses scored the worst performances on routes with a lot of hills and in congestion when the average speed was low — around eight kilometres per hour. The hybrids also performed poorly when their air-conditioning units were turned on. STM documents show air conditioning reduces the efficiency of its hybrid engines by 15 per cent. “They saw that in real conditions in Hong Kong, it doesn’t make sense, cost-wise at least, because the cost of the buses is about 40 per cent higher, and they would not be able to make that up with fuel consumption benefits,” said Leonidas Ntziachristos, an associate professor in mechanical engineering at the Aristotle University of Thessaloniki in Greece. He explained that because they have smaller diesel engines, hybrids generally need more fuel to achieve the same power as conventional buses. “Because they accelerate much faster, the hybrid buses consume more fuel than the conventional ones,” he said. Nigel Clark, a professor of mechanical and aerospace engineering at West Virginia University, who has studied hybrid bus technology, said the battery life appears to be their main disadvantage. He said batteries on hybrids tend to be replaced more often than on conventional diesel buses and at a very high cost that can wipe out any cost savings from fuel economy. A 2015 STM report obtained by the Montreal Gazette through an access-to-information request recommends hybrid buses be configured to limit the number of times electric batteries take over for the diesel engines. The recommendation is for the engines to be automatically shut off only when the onboard electric batteries are charged at 100 per cent, when the bus is stationary, and when its doors are open. Entrevue avec Marvin Rotrand à ce sujet ce matin à Radio-Canada Autobus hybrides de la STM économies en-deçà des objectifs : Le point de M Rotrand https://ici.radio-canada.ca/premiere/emissions/matinale-ete/episodes/439477/audio-fil-du-jeudi-1-aout-2019/32
  12. Lien: https://www.journaldemontreal.com/2019/05/13/la-stm-annonce-des-mesures-pour-alleger-la-ligne-orange?fbclid=IwAR2kbOQ77sTHUrXySYLsz45d5INyb1BderhI8APQcQoZD8TRFWmzzsIdTXg
  13. À compter du 25 mars 2019, l'horaire des trains exo5 et exo6 sera modifié pour permettre la construction du REM dans le tunnel du Mont-Royal. La voie sera alors simple de la jonction de l'est jusque dans le tunnel (j'imagine à la Gare Centrale car je ne pense pas qu'il y a d'autres aiguillages dans le tunnel). Plus de détails : https://exo.quebec/fr/service-clientele/avis#36294469 - https://rem.info/fr/actualites/ligne-deux-montagnes-hiver-2019 exo5 - Modification 6 départs exo6 - Modification de presque tous les départs exo6 - Annulation d'un départ direction Montréal en PM exo6 - Vendredi - Annulation d'un départ supplémentaire direction Montréal en PM, annulation d'un départ en PM vers Deux-Montagnes. exo6 - Changement des numéros des trains Les gares Mont-Royal et Canora deviendront une seule gare, entre les deux! Les trains rouleront aussi sur la voie qui était enfouie, du côte ouest, pour permettre la construction du côté est. Les mesures d'atténuations de janvier 2020 seront annoncés bientôt.
  14. https://www.tvanouvelles.ca/2019/01/04/en-route-vers-une-prochaine-station Quelques erreurs dans le texte mais ça résume bien les projets STM en 2019.
  15. The reason of this new subect is in english is that it concerns a company not from France . One of the top 10 ten Europen IT companies will build a new IT megacenter for North America in, notre belle ville de Montréal, annonce debut 2019. 1600 empois sur 5 ans .Ils construrions une centre de donnéesNord Americain de plus de 400 millions , oui dans lz region de Montréal.
  16. 2019 reserve une autre surprise pour nous , une annonce de nouveau bureau Québec est du Canada pour un des Big 5 banques canadien. Oui Montréal monte la côte .
  17. Publié le 22 novembre 2018 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/201811/21/01-5205170-hausse-marquee-de-la-frequentation-dans-le-metro.php Hausse marquée de la fréquentation dans le métro Pierre-André Normandin La Presse Non, vous n'avez pas la berlue : le métro est nettement plus bondé que d'habitude. La Société de transport de Montréal observe une hausse de 5,5% de la fréquentation sur les lignes orange et bleue, une augmentation attribuée à la vigueur économique... et à l'arrivée précoce du froid. Seulement en octobre dernier, la STM a connu sept journées avec plus de 1 million d'entrées dans son réseau de métro. C'est beaucoup pour un seul mois, alors qu'on a recensé seulement deux autres journées «millionnaires» depuis le début de 2018. La fréquentation accrue se fait particulièrement sentir sur la ligne orange, où les trains Azur sont souvent pleins aux heures de pointe. De nombreux usagers doivent rester sur les quais pour attendre la prochaine rame. Ou la suivante. De janvier à octobre, l'achalandage a crû de 5,5% sur la ligne orange. La ligne bleue n'y échappe pas, affichant quant à elle une hausse de 5,6%. «Cela est dû principalement à la vigueur économique, à la présence de chantiers et, aussi, à la météo», explique Amélie Régis, porte-parole de la STM. L'économie de Montréal roule en effet à plein régime depuis deux ans, la métropole ayant d'ailleurs affiché en 2018 la plus forte croissance au pays. Le taux de chômage a chuté à 6,9% dans l'île, le plus bas taux observé depuis plus de 30 ans. En octobre, on recensait 1 063 300 Montréalais en emploi, soit 25 000 de plus qu'à pareille date l'an dernier. Le nombre de chantiers dans les rues de Montréal a aussi considérablement augmenté en 2018, alors que la métropole avait fait une (légère) pause en 2017 à l'occasion des célébrations de son 375e anniversaire de fondation. La météo pourrait aussi y être pour beaucoup. Le temps froid s'est installé nettement plus tôt que d'habitude. Beaucoup de Montréalais ont rangé leur vélo ou délaissé la marche et ont ainsi décidé de miser sur les transports en commun pour se rendre au travail ou aux études. «Historiquement, l'automne est toujours une période plus achalandée», souligne Amélie Régis. Croissance généralisée L'ensemble du réseau de la STM connaît de plus une forte croissance en 2018. Le transporteur s'attend à faire 447,7 millions de déplacements d'ici la fin de l'année, en hausse de 4% par rapport à 2017. Cette augmentation fait suite à la forte augmentation de 3,2% déjà observée en 2017. Et tout indique que la croissance du nombre d'usagers devrait se maintenir, alors que la STM prévoit faire 453 millions de déplacements l'an prochain. Pour faire tous ces déplacements, la STM prévoit augmenter de 2,2% le service dans le métro en 2019. À partir de mars prochain, le transporteur offrira un service toutes les 5 minutes en semaine sur les lignes orange et verte. De plus, le déploiement de ses 54 trains Azur, qui peuvent accueillir 8% plus de passagers que les MR-63 et MR-73, devrait être terminé au début de 2019.
  18. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1136958/parc-automobile-agglomeration-voitures-vehicules?fbclid=IwAR1o1mYJdYbsfGoomVM14xorfEMiTzviEr1O11iNk3Oa5hTX4A43c05_w98 En route vers le million de véhicules immatriculés sur l'île de Montréal Publié aujourd'hui à 11 h 53Mis à jour à 12 h 24 Congestion routière sur le pont Jacques-Cartier, à l'heure de pointe matinale à Montréal. Photo : Radio-Canada/Simon-Marc Charron L'île de Montréal comptera bientôt plus d'un million de voitures, à en croire les plus récentes statistiques de la Société de l'assurance automobile du Québec (SAAQ). Un texte de Jérôme Labbé Les chiffres relayés lundi par le bulletin Montréal en statistiques indiquent que le parc automobile de la métropole continue de croître, et non l'inverse. Ainsi, l'île de Montréal comptait 968 466 véhicules immatriculés en 2017, en hausse de 1,64 % par rapport à 2016. C'est la plus forte augmentation enregistrée depuis 2004, alors que le même territoire comptait 115 000 véhicules en moins. Depuis 13 ans, près de 9000 véhicules s'ajoutent au parc automobile montréalais chaque année, calcule la SAAQ. Cette hausse provient surtout des véhicules de promenade. Car si le nombre d'automobiles décroît un peu chaque année depuis le début des années 2010, celui des camions légers – une catégorie qui englobe notamment les véhicules utilitaires sport (VUS) – a plus que doublé depuis 2004. En fait, il y a maintenant un camion léger pour deux automobiles à Montréal. Quant aux véhicules institutionnels, professionnels ou commerciaux, ils connaissent sensiblement le même phénomène – réduction des automobiles et augmentation des camions légers – avec comme résultat un nombre total relativement stable, autour de 150 000. À noter que le nombre de taxis, lui, a légèrement diminué au fil des ans, passant de 3489 en 2004 à 3190 l'an dernier. La faute à la croissance La SAAQ remarque que la fluctuation du prix de l'essence influence généralement le nombre de véhicules immatriculés à Montréal : plus les prix à la pompe augmentent, plus la croissance du parc automobile ralentit. « Par contre, après 2016, la conjoncture économique favorable à Montréal fait en sorte que même avec une hausse des prix de l'essence, peu d'impacts sont ressentis sur l'achat de véhicules », observe-t-elle. Et la croissance démographique n'explique pas à elle seule la croissance du parc automobile, puisque le nombre de véhicules de promenade par habitant a augmenté, passant de 0,365 à 0,392 entre 2004 et 2017. Enfin, la Société affirme que 5323 véhicules électriques étaient enregistrés sur l'île de Montréal en septembre dernier, alors qu'elle n'en comptait que 652 en août 2004. Ces nouvelles données sont publiées alors que le conseil municipal de Montréal, à l'instar de la Communauté métropolitaine, a adopté lundi une « déclaration citoyenne universelle d'urgence climatique » sur la nécessité de réduire rapidement les émissions de gaz à effet de serre. Avec la collaboration de Benoît Chapdelaine
  19. Montréal change de stratégie pour la réfection de ses rues L'administration de Valérie Plante compte maintenir le rythme de mises en chantier dans les rues de Montréal, et non plus l'accélérer, afin d'investir davantage dans leur aménagement et de les rendre plus durables, plus belles et plus sécuritaires. Les Montréalais sont déjà habitués de circuler parmi des milliers de cônes orange, mais la situation aurait pu empirer si la Ville n’avait pas changé de stratégie, soutient le responsable de l'urbanisme et du transport au comité exécutif, Éric Alan Caldwell. Alors que l’administration de Denis Coderre prévoyait effectivement augmenter la cadence des travaux d’entretien et de reconstruction à quelque 500 kilomètres de chaussée par an, celle de Valérie Plante souhaite limiter cette croissance à 300 kilomètres par an. La Ville entend donc consacrer à la reconstruction et à l'aménagement – plantation d'arbres et saillies de trottoir, par exemple – des sommes consacrées jusqu’ici à simplement prolonger de 15 ans la durée de vie utile des rues avec un nouveau pavage. Alors que 71 % du budget au Programme triennal d'immobilisations était auparavant consacré au maintien des actifs de la voirie et que 17 % étaient dédiés aux projets et programmes d’aménagement, c’est dorénavant 46 % des investissements qui seront consacrés au maintien et 40 % à l’aménagement, précise la Ville. Pour illustrer son propos, M. Caldwell compare les rues à des murs qu’on va dorénavant dénuder complètement et reconstruire plutôt que simplement repeindre. De son côté, l’opposition estime que c’est une erreur de remettre en état moins de kilomètres de chaussée par année. L’administration Plante bloque l’« élan » qu’avait pris la Ville, alors qu’elle était sur le point d’atteindre sa « vitesse de croisière », regrette le chef de l'opposition officielle, Lionel Perez. « Tout le monde a malheureusement eu des problèmes avec leursamortisseurs sur les voitures pendant l'hiver et pendant le printemps avec les nids-de-poule », fait-il valoir. Un réseau à améliorer Presque la moitié du réseau routier de la ville était en mauvais état en 2015. Dans la moyenne des grandes villes canadiennes, c’est le quart des rues qui sont en mauvais état. Montréal ne devrait plus atteindre cette moyenne qu’en 2028 plutôt que dès 2022, comme l’avait prévu l’administration Coderre. La Ville reconnaît toutefois que les efforts de l’équipe de Denis Coderre ont porté fruit. Il n'est donc pas question de ralentir la cadence. « Après quatre ans et des centaines de millions de dollars d’investissement, on perçoit une amélioration de la qualité de la chaussée et nous devons maintenir cette cadence acquise afin de résorber le déficit d’entretien qui gruge notre réseau », souligne Éric Alan Caldwell. Avec des informations de Benoît Chapdelaine et de Julie Marceau https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1136138/montreal-refection-amenagement-rues-strategie
  20. Publié le 11 octobre 2018 à 00h00 | Mis à jour à 00h10 https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/201810/10/01-5199801-la-stm-songe-a-devancer-lachat-de-bus-electriques.php La STM songe à devancer l'achat de bus électriques Bruno Bisson La Presse La Société de transport de Montréal (STM) songe à devancer à 2023 ses acquisitions de bus exclusivement électriques en raison des progrès actuels de la technologie et des résultats «étonnamment intéressants» des expériences en cours. Dans une entrevue à La Presse, la directrice exécutive du réseau de bus à la STM, Renée Amilcar, a affirmé que la STM allait multiplier les essais avec d'autres technologies et d'autres modèles de bus afin de déterminer quels types de véhicules sont les mieux adaptés pour assurer les services sur ses circuits, qui ont des exigences différentes. Le futur parc d'autobus électriques de la société pourrait ainsi intégrer plusieurs types de véhicules différents, à recharge lente ou rapide, plutôt qu'un seul type d'autobus ou une seule technologie. «À la STM, dit Mme Amilcar, nous faisons du balisage et tout le monde, actuellement, s'en va dans la même direction, en faisant plus d'essais que moins afin d'être prêt à temps et de pouvoir aller vers l'électrification.» «Devant les progrès et les résultats plus qu'intéressants qu'on a vécus avec nos trois bus actuels, nous pensons qu'on doit étendre ce projet-là.» «Avec nos partenaires, à l'interne, on s'est dit que nous serions peut-être même en mesure de nous en aller vers l'électrification dès 2023», au lieu de 2025, comme le prévoit actuellement le Plan stratégique de la STM, ajoute Mme Amilcar. La STM serait ainsi la deuxième société de transport du Québec à devancer l'achat de véhicules électriques seulement, après la Société de transport de Laval, qui en a déjà pris l'engagement. Souplesse et voisinage Cette volonté d'expérimentation explique pourquoi la STM a annoncé, à quelques semaines d'intervalle, l'acquisition de 30 bus à recharge lente du constructeur manitobain New Flyer, et de quatre véhicules à recharge rapide de Nova Bus similaires aux trois bus qui circulent déjà, en service ordinaire, entre le terminus Angrignon et le square Victoria sur la ligne 36-Monk. La STM a de plus fait l'acquisition de quatre «midibus» de 30 pi (9 m) construits par la société chinoise BYD, et explore le marché pour acquérir deux minibus qui seront affectés au transport adapté. Ces véhicules utilisent des technologies différentes et imposent aussi des conditions d'exploitation différentes. La directrice exécutive du réseau de bus de la STM affirme qu'elle a une préférence pour les bus à recharge lente «en raison de la flexibilité qu'ils permettront». «Je peux l'envoyer n'importe où [sur le réseau]», parce que le bus n'a pas besoin de recharge en cours de service. Son autonomie théorique est toutefois limitée à 200 km, sans tenir compte de la consommation liée à la climatisation, en été, ou du chauffage, en hiver. Les autobus à recharge rapide, dit Mme Amilcar, sont mieux adaptés aux exigences des «grosses lignes» de la STM, comme la 121 du boulevard Côte-Vertu, la ligne 139 du boulevard Pie-IX ou l'Express 467 du boulevard Saint-Michel, pourvu qu'on puisse aménager des pantographes sur leur parcours pour les recharger. «Mais on sait qu'on ne peut pas installer des pantographes partout», ajoute-t-elle, en soulignant que des résidants ou des commerçants exprimeront souvent des réticences à la présence de ces structures de recharge faisant plus de 5 m de hauteur en bordure du trottoir. Des coûts d'intégration élevés La possibilité de recharger le bus en trois ou quatre minutes grâce au pantographe permet aux véhicules de demeurer en service continu, à la manière d'un bus au diesel actuel qui peut faire jusqu'à 600 km, de 5h30 du matin jusqu'en fin de soirée, sans avoir à refaire le plein de carburant. Après un an d'exploitation des trois autobus à recharge rapide sur la ligne Monk, la technologie de recharge a montré une fiabilité élevée, avec une disponibilité de recharge dans 96% des branchements. Les quatre nouveaux Nova Bus acquis par la STM, au coût de près de 5,6 millions, seront aussi mis en service sur la ligne 36, de sorte que les services sur ce circuit de bus seront entièrement assurés par des bus électriques après la livraison des autobus, prévue pour 2020. Quant aux bus à recharge lente, qu'on branche le soir, au garage, comme un véhicule électrique ordinaire, leur autonomie est plus limitée, mais peut satisfaire aux exigences d'un «petit bus», pour assurer les services sur une ligne plus courte, ou roulant strictement à l'heure de pointe. L'avantage de ces véhicules, dit Mme Amilcar, «c'est qu'on peut les opérationnaliser comme des bus diesel, sans dépendre d'une logistique de pantographes, à l'extérieur». Ces autobus pourront être mis en service sur une grande variété de lignes de la STM, dont celle du mont Royal (ligne 11), de même que sur des lignes estivales à service restreint. Les autobus électriques New Flyer, attendus pour 2020, seront entretenus et garés au garage Stinson de la STM, dans l'arrondissement de Saint-Laurent. Mme Amilcar souligne que les coûts des installations électriques, des bornes de chargement et des installations propres à ces véhicules seront élevés. Elle les estime à environ 500 000 $ par véhicule, soit une facture d'environ 15 millions pour l'adaptation du garage Stinson.
  21. Publié le 24 septembre 2018 à 00h00 | Mis à jour à 06h25 http://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/201809/23/01-5197673-trottinettes-en-libre-service-des-projets-bloques-par-quebec.php Trottinettes en libre-service: des projets bloqués par Québec? Lime, filiale du géant Google qui exploite des trottinettes électriques en libre-service dans plus d'une centaine de villes, a récemment annoncé vouloir étendre ses activités au Canada. ARCHIVES REUTERS Pierre-André Normandin La Presse Roulera, roulera pas? L'arrivée des trottinettes électriques en libre-service au centre-ville de Montréal risque de se faire attendre. Les règles mises en place par Québec pour encadrer leur arrivée semblent leur fermer la porte jusqu'en 2021. Lime, filiale du géant Google qui exploite des trottinettes électriques en libre-service dans plus d'une centaine de villes, a récemment annoncé vouloir étendre ses activités au Canada. L'entreprise, qui espère lancer ses activités au centre-ville de Montréal cet automne, risque toutefois de se buter aux règles imposées par Québec. Le ministère des Transports a dévoilé cet été les règles qui encadreront un projet-pilote de trois ans afin d'évaluer ce nouveau mode de transport. Celles-ci prévoient notamment que les usagers devront obligatoirement avoir au moins 18 ans et porter un casque. Formation obligatoire Certains critères rendent difficile l'utilisation de trottinettes électroniques en libre-service, à l'instar de BIXI. Québec impose que tous les usagers suivent «une formation appropriée à la conduite d'une trottinette électrique». Les usagers devront d'ailleurs se promener en tout temps avec une attestation pour démontrer aux policiers qu'ils ont suivi cette formation, qui doit être tant théorique que pratique. Responsable de gérer le projet-pilote, la Société de l'assurance automobile du Québec (SAAQ) précise que les systèmes en libre-service ne sont pas interdits, mais que ceux-ci ne cadrent pas avec les objectifs. «L'objectif du projet-pilote est d'abord de recueillir de l'information en vue de mettre à jour la réglementation», affirme Sophie Roy, porte-parole de la SAAQ. Pour y arriver, la SAAQ dit vouloir retrouver tous les utilisateurs afin de les questionner sur leur expérience : manoeuvrabilité, sentiment de sécurité, pertinence des équipements imposés (comme le casque), utilité réelle de ce moyen de déplacement, etc. La SAAQ juge ainsi qu'une «expérience sporadique» n'est pas appropriée. «Une location ponctuelle à un touriste, par exemple, ne rencontre pas ces objectifs», poursuit Sophie Roy. Des critères sévères Les règles adoptées par Québec semblent également disqualifier la trottinette électrique utilisée par Lime, celle-ci ne respectant pas plusieurs critères édictés. Pour être autorisés, les véhicules doivent être dotés de roues ayant un diamètre d'un minimum de 25 cm. Celles de l'entreprise américaine font 20 cm. Les véhicules doivent être équipés de freins indépendants aux deux roues. Le bolide du géant américain mise sur un frein moteur et un sur roue. Les trottinettes doivent être munies de feux de changement de direction tant à l'avant (jaune ou blanc) qu'à l'arrière (jaune ou rouge). Le véhicule de Lime n'en a pas. Surprise par les critères imposés par Québec, Lime dit toujours espérer lancer son système en libre-service dans le centre-ville de Montréal cet automne. L'entreprise américaine compte répondre à l'appel de projets de la SAAQ et recevoir une réponse positive, même si sa trottinette ne respecte pas certains critères. Le dernier mot revient au ministre, qui peut autoriser une entreprise à mener un projet-pilote même s'il ne respecte pas tous les critères édictés cet été. Pour l'heure, aucune entreprise n'a reçu d'autorisation à mener un projet-pilote. Un fabricant québécois se lance Si l'incertitude plane sur les trottinettes électriques en libre-service à Montréal, un fabricant québécois de ce type de bolide doit annoncer sous peu comment il compte participer au projet-pilote de Québec. Plutôt que la location à court terme, la firme Concept GeeBee, de Sherbrooke, misera sur des entreprises qui fourniront des trottinettes électriques à leurs employés. L'entreprise avait été pressentie par des hôtels qui souhaitaient offrir des trottinettes en location à court terme à leurs clients, mais GeeBee constate que les règles de Québec ne permettent pas ce type de service pour le moment. «Ce n'est pas à 100% ce qu'on espérait, mais les contraintes ne sont pas insurmontables. On espère qu'après une année de projet-pilote, il y aura des adaptations», indique Sabine Le Névannau, présidente de GeeBee. «Ce qu'on désire, c'est démontrer que ce type de mobilité durable a sa place, que ça répond aux besoins de mobilité.» La trottinette de l'entreprise québécoise répond à pratiquement tous les critères imposés par Québec. Ses roues ont 43 cm de diamètre (58 cm en incluant le pneu) et sont dotées de freins indépendants à l'avant et à l'arrière. Son moteur de 500 watts lui permet de rouler jusqu'à 32 km/h. Ses 39 kg respectent aussi la limite de poids imposée par Québec. Seuls les clignotants manquent à GeeBee, mais l'entreprise dit travailler à une solution.
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