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The Société is so organised (almost military-like) I wouldn't be surprised it they stipulated in the contract that the firm responsible for the maintenance of the planting pass by on a frequent regular basis.
I'm no expert, but most of the plants seem to need little maintenance. Don't forget, they are placed in areas delineated by retaining walls, or surrounded by pavement blocks.
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Près de l'Olympia.
Très petite façade le 930. Pas de grande terasse là. Il va surement incorporer un ou plusieurs bâtiments adjacents et conserver l'adresse.
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Plantations à venir sous le pont Jacques-Cartier d’ici octobre
J'ai demandé à la Société des ponts de me fournir une liste des plantations prévues sous le pont. Ensuite j'ai fait une petite recherche pour trouver les images les espèces. Il est possible que certains changements aient été apportés par le paysagiste au moment de la plantation. Mais quelle amélioration pour la porte d’entrée de la métropole!
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Appel à la participation à l’œuvre collective Les Visages de Montréal !
Call for participation in the collective work, Les Visages de Montréal!
(In English)
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- C’est un message populaire.
- C’est un message populaire.
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L’ancienne station de pompage Craig, bientôt démantelée... et reconstruite
Publié le 19 juillet 2021
L’ancienne station de pompage CraigPHOTO : Radio-Canada / Philippe-Antoine Saulnier
La station de pompage Craig a été construite en 1887. Elle est située presque sous le pont Jacques-Cartier, entre les voies de l'autoroute Ville-Marie. Son histoire est intimement liée à la grande époque industrielle de Montréal, à la fin du 19e siècle. Le bâtiment est aujourd'hui en mauvais état et devra être démantelé en grande partie pour sécuriser les lieux. La Ville de Montréal souhaite toutefois qu'elle soit reconstruite dans le contexte du réaménagement de l'autoroute, comme l'explique le journaliste Philippe-Antoine Saulnier.
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59 minutes ago, Rocco said:
Les maisons de ville ont tellement pas rapport. Quelle erreur urbanistique. Une autre!
On peut remercier le Maire Tremblay.
Il aura pu empêcher ceci. Des citoyens ont essayé de lui convaincre de ne pas donner l'autorisation de départir du terrain et construire ici. Ils ont même fait des interventions au conseil. Tremblay ne voulait rien savoir.
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https://www.journaldemontreal.com/2021/07/17/legout-comme-attraction-touristique
ACTUALITÉ SOCIÉTÉ
L’égout comme attraction touristique
C’est ce que suggèrent des passionnés de spéléologie urbaine pour un conduit datant du 19e siècle
PHOTO LOUIS-PHILIPPE MESSIERLes tunnels sont plongés dans le noir total, mais une lumière s’allume et… magie !
LOUIS-PHILIPPE MESSIER
Samedi, 17 juillet 2021 01:00MISE À JOUR Samedi, 17 juillet 2021 01:00
À l’intérieur de Montréal, le journaliste Louis-Philippe Messier se déplace surtout à la course, son bureau dans son sac à dos, à l’affût de sujets et de gens fascinants. Il parle à tout le monde et s’intéresse à tous les milieux dans cette chronique urbaine.
En passant sous le pont Jacques-Cartier, vers l’autoroute Ville-Marie, vous ne pouvez pas vous douter que, 10 mètres sous vos pieds, se déploie un labyrinthe de briques datant des années 1800.
Ce tunnel suit le tracé d’une rivière de l’époque à Montréal : le ruisseau Saint-Martin.
Allumez-y une torche électrique et le spectacle est pittoresque.
PHOTO LOUIS-PHILIPPE MESSIER
Danielle Plamondon se tient devant l’écluse qui empêchait jadis les eaux de refluer vers la ville lors des embâcles printaniers.
« Quand je dis égouts, les gens grimacent, mais dès que je montre une photo, ils s’exclament : “Je veux y aller !” » raconte Danielle Plamondon.
Cette professeure de flamenco et pianiste de ballet visite des édifices abandonnés et des souterrains dans le monde depuis près de 20 ans.
« Je suis petite, je me faufile partout. »
PHOTO COURTOISIE, PIERRE-LUC RIVEST
Autoportrait de Pierre-Luc Rivest au loin dans la portion d’égout à laquelle il aimerait que le public montréalais ait accès à des fins pédagogiques et touristiques.
« C’est absurde qu’à Montréal, une magnifique construction comme celle-ci existe depuis 1887 et que les Montréalais en soient privés », déplore l’ingénieur en bâtiment Pierre-Luc Rivest.
Il partage la passion de Mme Plamondon pour l’exploration urbaine.
M. Rivest m’a prêté des cuissardes imperméables de fabrication russe. Je patauge jusqu’aux genoux en bas de l’échelle du puisard par lequel nous descendons.
Chose étonnante : l’odeur prédominante de l’égout est celle du savon. « L’essentiel de l’eau domestique qu’on utilise l’est à des fins de nettoyage et contient du détergent », explique Mme Plamondon.
Mes guides et moi parvenons à une section semée de petits cailloux sédimentaires. On y marche presque normalement.
De grands fracas métalliques résonnent comme le tonnerre : les poids lourds roulent sur les grilles de fer.
PHOTO LOUIS-PHILIPPE MESSIER
Est-ce que je parais particulièrement sale après une heure et demie dans l’égout ? Pas vraiment.
Un peu d’histoire
Une rumeur assourdissante de chute d’eau enterre nos paroles. Vers le bout du tunnel, juste avant que ça tombe, de longues chaînes pendantes avertissent l’éventuel marcheur égaré dans le noir total.
« Tout ce torrent aboutit à l’usine de traitement de Rivière-des-Prairies », dit M. Rivest.
À la fin du 19e siècle, ces tunnels que nous parcourons servaient à évacuer l’excédent d’eau lorsque des embâcles se formaient sur le fleuve.
Trônant au-dessus de ce labyrinthe, la station de pompage Craig protégeait la métropole des inondations printanières qui l’éprouvaient depuis sa fondation.
Cette station, c’est le bâtiment délabré lugubre entre Notre-Dame et Viger au pied du pont. M. Rivest et Mme Plamondon ont signé un mémoire qui recommande à l’arrondissement Ville-Marie qu’y soit aménagé un centre d’interprétation des égouts avec, bien sûr, la possibilité d’y descendre.
« À Bruxelles et à Paris, les musées des égouts sont des attractions populaires qui attirent les touristes et les écoles », me dit Mme Plamondon.
Avec la collaboration de l’historienne Éliane Bélec, ils présentent jusqu’au 5 septembre à l’Écomusée du Fier Monde une exposition intitulée Les mystères de la Craig où vous pouvez vous aussi « visiter » grâce à de magnifiques photos les tunnels que je suis allé explorer.
Aux fins de ce reportage, j’ai pu visiter ces tunnels. N’essayez surtout pas de vous y aventurer. En attendant l’éventuelle reconversion, la station a été placardée, pour sa protection.
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A bridge climb would not be an experience not for the faint of heart...
They would have to adapt a portion of the bridge to support this activity, install tall guard railings plus steps, harnesses and other security elements. The portion closer to parc Jean-Drapeau would be the easiest portion to do I assume.
Since it is a tourist activity, the Sociétét des ponts could enter into a public/private partnership, maybe with Six Flags or the the Societe parc Jean-Drapeau...
https://www.flickr.com/photos/pjcci/albums
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Sur FB
Eli Condos
Toute l'équipe du ELI CONDOS est fière d'avoir inauguré le lancement officiel des travaux de construction.
Le projet suscite déjà beaucoup d'enthousiasme avec déjà 60% des unités vendues!
Rappelons que le projet est situé en plein coeur du Quartier des spectacles et propose un toit-terrasse, un espace de coworking et une salle d'entrainement, entre autres, à ses résidents.
Prenez rendez-vous pour nous rencontrer au bureau des ventes (rencontres virtuelles aussi disponibles):
214 Sainte-Catherine Est, Montréal
info@elicondos.ca
(514) 581-5221
www.elicondos.ca
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4 hours ago, SameGuy said:
In Sydney, the adventure leaves a tourist centre staging area inside the a building under the access ramp, and joins the superstructure from underneath at the south shore abutment and then climbs up through service ladders and access points, past the road and rail deck and up onto the superstructure. Once it reaches the zenith at ~124 metres above the harbour, the tour crosses to the other side and descends.
So a back and forth in Sydney. The multipurpose path is quite narrow (2.5m) and shared (cyclists/pedestrians). Descending on the north side and proceeding to the parc des Faubourgs is much too long...But i suppose they could go back south like in the video.
Another option
The city is planning a park just north of the Craig Pumping Station. They could build stairs or an elevator there.
If they start at one end and go the full length of the structure, that would probably be about a kilometre of climbs and descents. Is that too much? They could organize tours going either north or south.
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1 hour ago, acpnc said:
Une vie ferrata serait un attrait de plus pour le pont Jacques-Cartier et l'est de Montréal. D'ailleurs je ne vois pas pourquoi (si le trajet est totalement sécurisé et bien encadré) on ne pourrait pas convaincre la Société fédérale d'aller de l'avant avec ce projet. Je pense notamment aux revenus que cela engendrerait pour l'entretien du pont et de ses nouvelles infrastructures publiques. En fait ce serait un excellent complément pour l'ascenseur proposé, dont l'attrait potentiel est indéniable, autant pour les touristes, les cyclistes que pour les transports actifs.
Il faudrait approcher la Ville pour qu'elle appuie ces propositions qui généreraient des revenus supplémentaires, tout en contribuant à l'économie de l'est et du Village. À noter que plus l'offre est généreuse dans un secteur donné, plus il y a rétention de visiteurs et de retombées locales pour l'ensemble des commerces et des services environnants. Bien sûr on parle ici d'une activité saisonnière (via ferrata pour une question de sécurité), mais pour le reste on peut très bien adapter les infrastructures à l'hiver montréalais.
Je me demande ou un 'Bridge Climb' pourrai commencer, purique, pour le moment il y a une petite piste de 2.5 mètres.
J'imagine que la plus facile serait de rejoindre la structure en acier du côté du parc Jean-Drapeau. Je n'ai jamais participé à une activité semblable. Comment cela pourrait fonctionner ici? On monte des escaliers (comme dans mon image) où on doit entrer à un point existant de la piste multifonctionnelle (parc Jean-Drapeau).
Qui organisera? Six Flags?
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20 hours ago, Monsieur_MA said:
J'ai vu récemment dans un documentaire, «D'une rive à l'autre, un monde de ponts», que le pont du Havre à Sidney offrait de grimper sa structure en via ferrata. Tous ceux qui participent à cette activité son sécurisés par des harnais et des mousquetons.
Le pont Jacques-Cartier pourrait s'apprêter à cette activité. Le pont de Québec serait également un bon candidat.Excellente idée!
Malheureusement, je pense que le concept de récréotouristique n'est pas dans l'ADN de la Société de ponts...
Il faudra partager les propositions des AmiEs du courant Sainte-Marie pour le pont (ascenseur, 5e voie pour la mobilité active...) avec Tourisme Montréal et Mélanie Joly. En plus de suggérer l'idée de faire un 'bridge climb' comme ils font dans plusieurs villes.
https://www.papillesetpupilles.fr/2015/01/bridge-climb-sydney-une-experience-inoubliable.html/
cc @acpnc
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Belvédère du pont Jacques-Cartier
Une autre piste à explorer dans l'éventualité que la proposition d'utiliser la 5e voie pour les cyclistes les fins de semaine est retenue à plus long terme.
Si possible, créez un accès direct au belvédère pour les cyclistes (+ touristes en Bixi...) à partir de la 5e voie pour les personnes qui veulent faire une halte.
Ceci pour ne pas être obligé de partager la piste piétonne pour s'y rendre. Malgré le fait que c'est assez prés du côté sud (plus près du parc Jean-Drapeau). C'est environ 100 mètres.
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J'ai ajouté le lien dans entête.
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Aperçu des AmiEs du courant Sainte-Marie d'une voie réservée pour la mobilité active sur le pont
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- C’est un message populaire.
- C’est un message populaire.
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UNE CITÉ UNIVERSITAIRE SUR LE MONT ROYAL
FRÉDÉRIC MÉRAND, JÉRÔME LUSSIER ET NICOLAS-DOMINIC AUDET*
Année après année, Montréal figure au palmarès des meilleures villes étudiantes du monde. Les raisons sont notoires : quatre grandes universités qui rayonnent dans deux langues, un corps professoral et étudiant venu des quatre coins de la planète, une riche vie urbaine, culturelle et sociale, des droits de scolarité raisonnables et des perspectives de carrière appréciables.
Jusqu’à tout récemment, un loyer abordable faisait aussi partie des facteurs d’attraction de la métropole. La donne a malheureusement changé ces dernières années, et le besoin de résidences universitaires est aujourd’hui criant.
Un modèle idéal pour Montréal : la cité universitaire internationale
À l’heure actuelle, chaque université planifie et gère ses résidences sur son campus et selon ses besoins propres, sans concertation ni tentative réelle d’offrir aux étudiants une expérience typiquement montréalaise : le brassage des langues et des cultures.
Il existe pourtant un autre modèle : celui de la « maison internationale ». De Berkeley, à New York, en passant par Chicago, de nombreuses villes se sont dotées, au début du XXe siècle, de résidences universitaires affiliées à plusieurs institutions, destinées aux étudiants locaux et étrangers. À Paris, c’est tout un campus – la cité universitaire internationale de Paris – qui accueille 40 maisons hissant le drapeau de presque autant de pays, dont la Maison des étudiants canadiens, fondée en 1926 avec le concours du Québécois Joseph-Marcelin Wilson.
Une cité universitaire internationale de Montréal enrichirait la vie étudiante de la métropole à la fois par son caractère bilingue, unique au monde, et par le renforcement de la coopération interuniversitaire.
Basée sur un principe de mixité sociale, culturelle et disciplinaire, la cité serait un véritable bien collectif au bénéfice des étudiants internationaux venus découvrir Montréal, mais aussi des étudiants québécois qui partageront leur quotidien avec ces visiteurs de l’étranger. Elle encouragerait les rencontres et le vivre-ensemble, tout en réduisant un peu la pression sur le marché locatif.
Finalement, la cité constituerait un puissant levier d’attraction, devenant un symbole fort de la vie universitaire montréalaise et contribuant au rayonnement universitaire et culturel du Québec sur les cinq continents.
UN SITE TOUT DÉSIGNÉ
Si l’idée d’une cité universitaire internationale de Montréal circule depuis quelques années, nous avons aujourd’hui une formidable occasion de la mettre en œuvre : la nécessaire reconversion du terrain de l’ancien hôpital Royal Victoria. Situé dans un écrin de verdure sur le mont Royal, l’hôpital désaffecté inclut de nombreux pavillons composés de chambres et d’espaces collectifs, notamment le Pavillon des femmes, qui seraient particulièrement adaptés aux usages d’une résidence étudiante.
L’établissement se trouve à quatre kilomètres de l’Université de Montréal, à deux kilomètres de l’UQAM et de Concordia, et à quelques centaines de mètres de McGill. On pourrait aisément y loger 500 étudiants, soit 100 places pour les quatre universités et une centaine de places pour d’autres établissements (Polytechnique, ETS, Conservatoire, etc.). Les étudiants auraient accès à leur campus d’attache à pied, à vélo ou par transports collectifs, y compris le futur REM.
Les usages possibles du Royal Victoria ne sont pas si nombreux, surtout si l’on souhaite éviter la privatisation du lieu ou son appropriation institutionnelle exclusive. La cité universitaire cohabiterait à merveille avec les plans de l’Université McGill, dont le pavillon de développement durable occuperait moins de 15 % du site. Le projet d’une cité universitaire internationale de Montréal pourrait par ailleurs faire l’objet d’un large consensus en préservant le caractère public du site, en évitant les clivages linguistiques et en y associant la vitalité propre à une communauté étudiante.
COMMENT FINANCER LE PROJET ?
Il reste la question du financement. À l’origine, les maisons internationales des États-Unis et de Paris ont été créées par des philanthropes. Elles sont aujourd’hui largement autonomes sur le plan financier, grâce aux loyers payés par les étudiants, aux services de cafétéria, etc.
À Montréal, il n’est pas difficile d’imaginer un partenariat initial entre les universités, la Ville de Montréal, le gouvernement du Québec et le gouvernement fédéral. Parions également qu’il serait possible d’intéresser quelques entreprises, mécènes et donateurs privés, qui se réjouiraient de soutenir un projet phare pour l’avenir de l’éducation supérieure et le rayonnement international de Montréal et du Québec tout entier.
* Les auteurs ont séjourné, respectivement, à l’International House de Berkeley, à l’International House de New York et à la Cité universitaire de Paris. Ils en gardent un bon souvenir.
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