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Messages posté(e)s par IluvMTL

  1. Esplanade Cartier: Vue sur le pont gâchis

    Je trouve que l'auvent qu'ils ont installé sur la placette est trop dominant. Pourquoi l'avoir faire si imposant? Ce n'est pas l'entrée d'un centre commercial? Il compétitionne avec la superbe vue sur le pont Jacques-Cartier à partir de la rue Sainte-Catherine. Trés désolant.

    Entrée des condo, pas un hotel

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    Temp_Image_EC-placette.jpg

     

    Temp_Image_2_EC-placette.jpg

  2. Redonner accès au fleuve dans le Centre-Sud

    Réorientation de l’embranchement des chemins de fer du CP et la relocalisation du cours de triage du Port devant Molson et le parc du Pied-du-Courant

    Les AmiEs du courant Sainte-Marie ont récemment publié 3 vidéos qui promouvait  accès au fleuve dans le Centre-Sud et devant le site de Molson suite à une réorientation du branchement du CP avec le Port. C’est un concept de Jean Décarie urbaniste de renom qui est décédé en 2020.  

    Jacques Côté, qui a travaillé chez CP pendant 30 ans. Il est un ancien président du CP et un ancien Directeur du Havre de Montréal. M. Côté  a aussi promouvait l’idée de relocaliser les cours du triage du Port à l’est, près de conteneurs. Il a publié deux scénarios lors d’une conférence URBA en 2015. Mais je me demande si d’autres scénarios sont possibles, à l’est du terminal de Racine, dans la zone industrielle des pétrochimiques par exemple?

    Dans le PDF, j’ai pris la partie de conférence de Jacques Côté pertinent à cette proposition et j’ai ajouté une carte avec les terminaux de conteneur  un peu à l’est pour donner une meilleure vue globale des opérations du Port.

    Chaine YouTube des ACSM

    https://www.youtube.com/channel/UCGwlR8DHZnBH_rZ_7j-5XPQ

    Triage_Port_Cote_2015.pdf

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  3. Registre des lobbyistes

    La Corporation Bertone

    Période couverte par le mandat : du2021-03-30 au 2021-12-31

    Contrepartie reçue ou à recevoir : de 10 000 $ à 50 000 $

    Objet des activités : Proposition législative ou réglementaire, résolution, orientation, programme ou plan d'action

    Renseignements utiles :

    Démarches auprès des autorités municipales concernant le projet de redéveloppement de l’ancienne savonnerie Barsalou, situé au 1 600 de Lorimier dans le cadre de l’élaboration du Projet Particulier Urbanisme des Faubourgs et en lien avec le rapport de consultation de l’Office de Consultation Publique de Montréal. L’objectif est de définir l’application des règlementations en ce qui a trait à la hauteur du bâtiment, le périmètre de développement, et l’intégration urbaine du projet de redéveloppement d’un point de vue social et communautaire. Plus précisément, les règlements municipaux actuel permettent une hauteur de 25 m et nous demandons une hauteur de 91m pour un nouveau bâtiment à usage résidentiel (condos, logements locatifs) et/ou commerciale (commerces de proximité comme par exemple, restaurant, dépanneur, etc.)

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  4. Comité de bon voisinage | Travaux au pont Jacques-Cartier

    Rencontre du comité de bon voisinage, le mercredi 26 mai prochain, à compter de 19 h en mode virtuel sur la plateforme Zoom est ouverte à tous les résidents et commerçants du secteur. Inscrivez-vous dans le lien.

    Au cours de cette rencontre, nous échangerons sur les divers travaux réalisés dans votre secteur. Il sera également question des projets et travaux que PJCCI prévoit accomplir dans la prochaine année sur et sous le pont Jacques-Cartier, dans le secteur de Montréal.

    https://mailchi.mp/pjcci.ca/avis-aux-rsidents-ebcer1uhre-1312474?e=84a1c0dd07

     

  5. Je dirai aussi que d'avoir des résidences locatives en non seulement des condos ajoutera à la mixité du site.  À part des résidences et des commerces de proximité, nous allons voir dans le Lot 3, des espaces de bureaux, une épicerie puis le Y des Femmes. Tous ces éléments contribuent à la diversité d'un quartier, contrairement à une sorte de 'ghetto' monofonctionnel. La mixité/variété  fait la force. 

     

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  6. image.png.1451065a6d91abf83561dae2d746de4f.png

    https://blog.heritagemontreal.org/reportage-photo-edifice-dominique-ducharme/

    HISTOIRE ET PATRIMOINE

    Reportage photo : restauration de l’Edifice Dominique-Ducharme – 105, rue McGill

    HÉRITAGE MONTRÉAL

    5 NOVEMBRE 2020

    Avez-vous remarqué les grands échafaudages qui bordent la rue McGill dans le Vieux-Montréal? L’édifice Dominique-Ducharme (anciennement appelé édifice des douanes) est en effet en restauration depuis le début du printemps 2019. Après un retour sur son histoire, retrouvez notre reportage photo dans la deuxième partie de l’article!

    Historique de l’édifice

    En 1910, le gouvernement canadien fait l’acquisition du terrain à l’est de la rue McGill entre la Place d’Youville et la rue Marguerite-d’Youville afin d’y construite un nouvel édifice des douanes, celui sur place Royale étant devenu trop petit. Entre 1911 et 1914, on procède à la démolition des bâtiments se trouvant sur le lot. Le terrain était alors utilisé par des commerçants pour y entreposer des grains et du charbon. Certains des bâtiments s’y trouvant avaient été construits dans les années 1840, notamment le lavoir de l’ancien Hôpital général de Montréal – jadis situé juste à côté.

    L’édifice des douanes est bâti en deux phases. La première phase, entre 1912 et 1916, consiste en la construction du bâtiment occupant le sud de l’îlot. Edgar Lewis Hardwood et David Ewart, architectes du Ministère des Travaux publics, aidés de Alfred Hector Lapierre, architecte associé, conçoivent le bâtiment. À son inauguration, en 1915, l’édifice est principalement utilisé à des fins d’entreposage de marchandise à examiner par les contrôleurs douaniers. On y trouve quelques guichets et bureaux, mais en nombre insuffisant. Ainsi, dès 1914, Hardwood prépare déjà les plans pour la seconde aile du bâtiment, qui devait occuper la partie restante du lot, au nord. Malheureusement, les travaux, entrepris dès 1919, sont interrompus rapidement pour ne reprendre qu’une quinzaine d’années plus tard. Entre temps, le terrain demeure vacant. 

    ÉDIFICE DES DOUANES, MONTRÉAL, ENTRE 1920 ET 1948, FONDS LA PRESSE, BANQ.

    La seconde phase, entre 1934 et 1936, voit la complétion du complexe. Les architectes Thomas W. Fuller et Dalbé Viau conçoivent l’aile nord à partir des plans de Hardwood afin d’assurer l’harmonisation des deux ailes. S’ils conservent sa vision pour les murs extérieurs, ils adaptent de façon importante les plans pour l’intérieur du bâtiment – les besoins ayant changé au cours des dernières décennies. Un puit de lumière est notamment intégré au bâtiment permettant d’éclairer le hall intérieur où on retrouve des guichets et des bureaux. 

    Architecture de l’édifice des Douanes 

    Si le bâtiment est composé de deux ailes distinctes, la façade principale, sur la rue McGill, donne l’apparence d’un édifice monolithique et majestueux. Plusieurs éléments rappellent le style Beaux-Arts, dont l’horizontalité – caractérisée notamment par une base imposante en granit gris de Stanstead – et l’enfilade de colonnes ceinturant le bâtiment, qui sont en grès chamois de la Nouvelle-Écosse. 

    Le choix des matériaux – canadiens – n’est d’ailleurs pas anodin. En effet, pour plusieurs, l’édifice des Douanes est érigé à l’honneur du Canada. Soulignons aussi la localisation du bâtiment, sur la prestigieuse avenue McGill, qui reliait à l’époque le port de Montréal – porte d’entrée du Canada – au centre-ville. 

    En 1977, une première rénovation modifie de façon importante l’intérieur du bâtiment. Les salles d’entrepôt et d’examen sont majoritairement transformées en bureaux. À cette occasion, le puits de lumière est démoli.  

    Le chantier de restauration

    Réalisé par St-Denis Thompson, le chantier se concentre présentement sur l’enveloppe de la partie sud de l’édifice, la partie nord ayant fait l’objet d’un précédente restauration afin d’être réhabilitée en 2021. “Les façades ont subi des détériorations importantes par endroits dues au vieillissement, à une certaine exposition extrême aux intempéries et à des campagnes de réparation antérieure utilisant des techniques qui ont depuis évolué” précise Fournier Gersovitz Moss Drolet – St-Gelais Montminy Architectes en consortium.
    Ici, les artisans et employés de la construction réalisent un travail de précision. L’objectif est de restaurer à l’identique, pour que les générations suivantes héritent d’un bâtiment pérenne, qui respectera les qualités esthétiques et structurelles du bâtiment d’origine.

    STEPHAN RIVET NOUS FAIT VISITER LE CHANTIER, À PLUSIEURS PIEDS DE HAUTEUR.

    On est surpris en arrivant de constater la superficie du chantier et la quantité impressionnante d’interventions à réaliser. On y retrouve d’ailleurs tout type de métiers : maçons, journaliers, ferblantiers, couvreurs, scellants, plombiers, électriciens, peintres, menuisiers, vitriers, etc.

    Comment restaure t-on une telle enveloppe de pierres? Plusieurs techniques sont utilisées. Tout d’abord, le flipot. Ce bloc de pierre est travaillé à l’identique du morceau prélevé. Il est ensuite scellé avec de la chaux sur le mur ou la colonne.

    STEPHAN RIVET NOUS MONTRE LA POSE D’UN FLIPOT SUR UNE COLONNE.

    Chaque morceau prélevé de l’édifice possède un “code”, qui apparaît sur un plan du bâtiment. Ainsi pas d’erreurs et pas de panique! Chaque pierre reprendra sa place sans problème. D’abord inscrit au marqueur, le code sera ensuite gravé et attaché à la pierre sur un médaillon.

    Outre le flipot, on peut aussi utiliser un mortier de restauration, qui est façonné pour imiter la pierre, faire des injections dans la fissure, remplacer la pierre entièrement ou refaire les joints du mortier.

    D’ailleurs, pour remplacer les pierres trop abîmées, et afin de gagner du temps, un atelier de taillage de pierres est installé sur place, en plein Montréal! Les deux types de pierres, la Wallace et le granite Stanstead, proviennent du Canada.

    Le taillage de pierre est un travail d’extrême précision. Il faut reproduire à l’exactitude les rainures pour qu’elles correspondent à la colonne où elle a été prélevée.

    “Parfois on nous dit : “Mais on ne voit pas ce que vous avez fait”. C’est le but ultime, notre passage doit être le moins visible possible!” 

    STEPHAN RIVET, RESPONSABLE DU CHANTIER POUR ST DENIS-THOMPSON

    Le chantier consiste aussi à reconstruire ce qu’on appelle les arrières mur, soit près de 300 000 briques qui seront remplacées et qui portent l’édifice en arrière de la pierre grise.

    UN SYSTÈME DE POULIE EST INSTALLÉ POUR DESCENDRE OU REMONTER LES PIERRES.

    “Les réparations effectuées sont très durables. Il y a évidemment une bonne évolution des techniques et et des produits, mais avec les années nous essayons de plus en plus de revenir à des produit plus traditionnels, nous utilisons les époxys* de façon plus ponctuelle.”

    Non seulement le chantier est conséquent, mais en plus, il est situé en plein Vieux-Montréal. Le bruit, la circulation, les personnes qui vivent à proximité du chantier, tout cela ne facilite pas le quotidien de Stephan Rivet et de ses équipes. Mais dans quelques mois, les échafaudages laisseront place à un édifice en santé. Espérons que le regard des Montréalais en soit lui aussi renouvelé.

    *époxys : La résine époxy est un produit composé de deux ingrédients à mélanger pour obtenir une solution dure et solide. C’est un produit facile à travailler et colorable. Source.

    Toutes les photos sont de Vivien Gaumand, sauf précisé.

    Pour en savoir plus, consultez l’inventaire du Vieux-Montréal en cliquant ici.

    Remerciements : John Diodati, Fournier Gersovitz Moss Drolet – St-Gelais Montminy Architectes en consortium, Services publics et approvisionnement Canada, Pierre-Hugues Mathieu, St-Denis Thompson et particulièrement Stephan Rivet et Jonathan Mainville qui nous ont accueilli sur le chantier.

    JONATHAN MAINVILLE, DE ST-DENIS THOMPSON

    PIN

    2021.05.09

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  7. Sommaire de l'inscription no E21-LC01469 du lobbyiste Francois Rioux

    2021-05-06

    Groupe Hazout 

    Mandat :

    Période couverte par le mandat :du 2021-04-15 au 2021-11-30

    Contrepartie reçue ou à recevoir :de 10 000 $ à 50 000 $ 

    Objet des activités :

    Permis, licence, certificat ou autre autorisation

    Renseignements utiles :

    La demande vise l’approbation d’un projet visant le redéveloppement du site localisé à l’intersection des rues Viger et Saint-Hubert à Montréal, au 1001 - 1005 Rue Saint-Hubert sur le lot 1 182 107. Le bâtiment en place présente des conditions physiques dangereuses dans son état actuel et a été évacué suivant les recommandations de la Ville de Montréal et des mesures de protection ont été mise en place pour protéger les lieux. A la suite de plusieurs expertises réalisées par le propriétaire et une contre-expertise réalisée par la Ville de Montréal, il est suggéré au propriétaire de présenter une demande d’autorisation de démolir avec projet de remplacement. La première phase du mandat consiste à accompagner le propriétaire auprès de l’arrondissement Ville-Marie afin de déterminer la procédure et les exigences nécessaires au démantèlement du bâtiment et la construction d’un projet de remplacement. La deuxième phase permettra de déterminer si le projet de remplacement nécessite une modification au cadre règlementaire applicable et définir la procédure de modification s’il y a lieu.

    Institutions visées :

    Montréal

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