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  1. https://www.ledevoir.com/societe/598181/langue-un-francais-qui-a-echoue-a-un-test-de-francais-pour-immigrer-au-quebec-denonce-un-processus-trop-selectif

    Un Français qui a échoué à un test de français pour immigrer au Québec dénonce un processus «trop sélectif»

    [Société]

    Photo: Courtoisie Yohan Flaman trouve dommage que «Québec se mette autant de bâtons dans les roues» pour la sélection des immigrants permanents.

    Sarah R. Champagne

    Initiative de journalisme local

    3 avril 2021

    Société

    Yohan Flaman est français et a fait toute sa scolarité en français. Arrivé au Québec en 2018, il a pourtant échoué à une partie du test de français pour obtenir sa résidence permanente. Il dénonce « un processus beaucoup trop sélectif », trop cher et « contre-productif », symptomatique selon lui des autres cafouillages récents du système d’immigration dans la province.

    « Sincèrement, on dirait que c’est un examen qui est fait pour être raté », lance-t-il aujourd’hui après avoir réussi le test à son deuxième essai et déposé sa demande de résidence permanente. « Je m’étais dit que c’était dans la poche, mais les consignes sont tellement longues et certaines questions sont tirées par les cheveux. » Chaque section du test est également minutée de manière très serrée, ajoute-t-il.

    Pour être sélectionné comme immigrant permanent à travers le Programme de l’expérience québécoise (PEQ), un candidat doit en effet démontrer sa maîtrise du français. Il y a plusieurs façons de le faire : en ayant une scolarité de trois ans en français de niveau équivalent au secondaire, en prouvant la réussite d’un cours de francisation de niveau 7 ou encore en passant l’un des tests reconnus par le ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration (MIFI).

    Pressé par le temps

    Le niveau 7 (sur un total de 12) est considéré par le MIFI comme un niveau intermédiaire. Il implique de pouvoir communiquer à l’oral dans des situations partiellement prévisibles à propos de besoins courants. Quant au test, le niveau à atteindre est « B2 », soit intermédiaire avancé, ce qui implique de pouvoir donner « des avis argumentés » et de converser ou de comprendre un discours « de façon claire et détaillée ».

    La section mesurant la compréhension orale du français a particulièrement donné du fil à retordre à Yohan Flaman : il faut répondre à 60 questions en 40 minutes (y compris les consignes données à l’oral), ce qui équivaut à moins de 40 secondes par question. « Je n’imagine pas combien ça peut être difficile pour quelqu’un qui apprend le français en plus de son travail à temps plein, dit-il. Je comprends qu’il faut un minimum, mais la barre est trop haute. »

    L’homme de 39 ans se porte ainsi à la défense d’autres collègues qui ne sont pas francophones. Si même un Français peut échouer, alors le Québec se met clairement « les bâtons dans les roues », dit-il. Il va sans dire qu’un échec à ce test, qui coûte 240 $, a un effet domino sur le reste du dossier.

    Maintenant que sa demande est déposée, M. Flaman n’est tout de même pas au bout de ses peines. Le Devoir révélait la semaine dernière qu’il faut actuellement compter entre 27 et 33 mois pour obtenir sa résidence permanente. « Beaucoup d’amis et de collègues sont dégoûtés et retournent en France », raconte celui qui admet avoir lui-même songé à repartir avec sa femme québécoise.

    Il déplore surtout le fait de n’avoir « aucun interlocuteur » pour faire le suivi de son dossier d’immigration. « La seule chose que l’agent d’immigration peut te dire, c’est que ton dossier est en traitement. Toi, tu as juste le droit de fermer ta gueule », laisse-t-il tomber.

    Une question délicate

    Le jeune homme met au défi les Québécois d’essayer de passer ce genre d’épreuve, tout en soulignant l’ironie que ces tests soient envoyés en France pour être corrigés. Les deux entités qui administrent la passation de ces examens sont en effet enregistrées de l’autre côté de l’océan, soit France Éducation internationale et la Chambre de commerce et d’industrie de Paris.

    Camionneur de longue distance depuis son arrivée avec un permis de travail temporaire, Yohan Flaman fait régulièrement des voyages du Centre-du-Québec vers les États-Unis. « Je me débrouille en anglais et, même si c’est parfois limité, l’important est de se comprendre », explique-t-il.

    Comme plusieurs autres travailleurs temporaires, il considère donc que de nombreux secteurs d’emploi ne nécessitent pas une connaissance aussi élevée du français pour fonctionner et s’intégrer.

    En effet, Le Devoir rapportait jeudi que plusieurs travailleurs temporaires et associations d’employeurs demandent à Québec d’assouplir les exigences de français pour certains programmes d’immigration économique dans la province. « Ce n’est vraiment pas l’ouvrage qui manque », dit M. Flaman.

    La protection du français fait l’objet d’un large consensus au Québec, mais les emplois occupés par les travailleurs temporaires ne nécessitent pas toujours un français avancé. « C’est presque tabou. Selon moi, c’est une forme d’aveuglement puisque les Québécois eux-mêmes tombent vite dans l’anglais dans certains milieux de travail », observe quant à lui Stephan Reichhold, directeur de la Table de concertation des organismes au service des personnes réfugiées et immigrantes.

    Dans le cas où des immigrants temporaires ne parviendraient pas au niveau 7 en français, seul le ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration a le pouvoir de contourner cette règle.

    Pour l’instant, seul un programme pilote pour les travailleurs en intelligence artificielle qui gagnent plus de 100 000 $ par année permet de déroger à cette règle du français.

  2. https://www.theguardian.com/world/2021/apr/06/quebec-language-requirement-test-residency

    Pardon my French: dismay in Quebec as francophones fail language test

    Exam once again draws attention to province’s notoriously difficult language requirements to gain permanent residency

    Leyland Cecco in Toronto

    Tue 6 Apr 2021 14.35 EDT

    Language exams have long struck fear in unprepared students as they nervously stumble over verb conjugation and struggle to get their tenses right.

    Yohan Flaman, a long-haul truck driver from Limoges, France, however, was confident that proficiency in his native tongue would be enough to satisfy officials in the Canadian province of Quebec.

    But after taking a French proficiency exam required for permanent residency, Flaman was dismayed to learn he had failed.

    “I was shocked,” he told the Guardian. Despite apprehensions over taking the test by computer, he had anticipated a far better result. “It’s not great to be French and to fail an exam like this.”

    Flaman’s fumble has once again drawn attention to Quebec’s notoriously difficult language requirements.

    Quebec denies Frenchwoman residency for failing to show command of French

    In 2019, Emilie Dubois, a French doctoral student was denied residency in Quebec after officials ruled that she had an inadequate command of her mother tongue. The decision was later reviewed and reversed.

    Both Dubois and Flaman, were required to demonstrate their knowledge of French as part of the programme d’expérience québécoise, a program that gives foreign students and workers a quick path to permanent residency. A key component of the exam is demonstrating proficiency in French.

    The governing Coalition Avenir Québec, which has increasingly pushed for immigrants to the province to demonstrate a strong proficiency in the French language, has previously come under fire for its language and residency requirements.

    A previous version of the program would have potentially forced hundreds of temporary workers and foreign students to return home because of strict work and study requirements. Last year, the government amended the program amid outcry from those affected by the changes.

    Quebec’s French language policy is nothing to rebel against | Letter

    Quebec, the only Canadian province which is majority French-speaking, has at times taken provocative steps to preserve French as its official language. In October 2019, the government proposed banning the popular greeting “Bonjour-hi”.

    Flaman asked if the province had set too high a bar for new immigrants.

    “A person who hasn’t yet mastered French will find it far harder to succeed with the system in place,” he said. “Especially someone coming from a country where French isn’t spoken, but still has to pass the test to be able to live here.”

    While Flaman retook the test in July and passed, he says the initial failure has slowed the status of his permanent residency application, which has languished for months within the province’s bureaucracy.

    “There’s a slowness to the immigration process and a lack of follow-up,” he said. “I don’t want to criticize the system, but everything is done over the internet. It feels like Canada [and Quebec] are victims of their own success. The pipes are clogged and this seems to be the result.”

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  3. https://www.realisonsmtl.ca/patrimoineindustriel?fbclid=IwAR2I2DU6AgjjxSSzlwRZ-jSyAYF56akT9cz-CVUkFIdp6k76udYaZdVKSIQ

     

    Patrimoine industriel

    Conserver et mettre en valeur les ensembles industriels d'intérêt patrimonial

    Le patrimoine industriel vous intéresse? Aidez la Commission sur la culture, le patrimoine et les sports à réfléchir aux meilleurs outils pour mieux conserver et mettre en valeur les ensembles industriels d’intérêt de Montréal.

    Planification concertée, usages transitoires, participation citoyenne… la Ville propose une vision et diverses orientations à mettre en œuvre dans le cadre du nouveau Plan d’urbanisme et de mobilité.

    Certaines propositions visent plus particulièrement les 46 ensembles industriels exceptionnels qui ont été identifiés sur le territoire montréalais.

    Apprenez-en plus sur ces ensembles en consultant leurs fiches de présentation et repérez-les sur la carte(Liens externes)!

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  4.  

    https://www.realisonsmtl.ca/patrimoineindustriel?fbclid=IwAR2I2DU6AgjjxSSzlwRZ-jSyAYF56akT9cz-CVUkFIdp6k76udYaZdVKSIQ

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    Certaines propositions visent plus particulièrement les 46 ensembles industriels exceptionnels qui ont été identifiés sur le territoire montréalais.

    Apprenez-en plus sur ces ensembles en consultant leurs fiches de présentation et repérez-les sur la carte(Liens externes)!

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    Registre des lobbyistes

    9247-7829 

    Mandat : Période couverte par le mandat :du 2021-03-30 au 2022-03-30

    Contrepartie reçue ou à recevoir :plus de 100 000 $ 

    Objet des activités : Permis, licence, certificat ou autre autorisation

    Renseignements utiles :

    Démarche en vue d'obtenir un permis de rénovation et d’agrandissement de l’arrondissement Ville-Marie en vertu du règlement d’urbanisme 01-282 au 104-110 rue St-Paul est, lot 1181776. Obtenir pour le client des options de développement pour la transformation du bâtiment en hôtel et aire de restauration. La rémunération inclus le suivi des étapes avec la Ville de Montréal et des rencontres avec des contractuels jusqu'à l'obtention du permis.

    Institutions visées :

    Ministère de la Culture et des Communications

    Montréal

  6.  

    https://www.journaldemontreal.com/2021/03/29/retour-des-expos-fitzgibbon-ouvert-a-un-projet-de-baseball-au-stade-olympique

    ARGENT

    Retour des Expos: Fitzgibbon ouvert à un projet de baseball au stade Olympique

    PHOTO D'ARCHIVES, AGENCE QMI

    FRANCIS HALIN

     Lundi, 29 mars 2021 16:18MISE À JOUR Lundi, 29 mars 2021 16:18

    Le ministre de l’Économie, Pierre Fitzgibbon, promet d’étudier tout projet d’équipe au stade Olympique, même s’il a entamé des discussions avec le clan Bronfman, qui veut plutôt un stade au centre-ville de Montréal. 

    • À lire aussi: Nouveau stade: un projet «indécent»

    • À lire aussi: Une équipe du baseball majeur coûte encore plus cher, même avec la pandémie

    • À lire aussi: Garde partagée: les Rays encouragés par les progrès réalisés à Montréal

    « On n’a aucune idée préconçue géographique », a assuré Pierre Fitzgibbon, ministre de l’Économie et de l’Innovation (MEI), en marge d’une annonce quand on lui a demandé s’il était tout aussi ouvert à un projet dans l’Est, lundi.

    La semaine dernière, lui et le premier ministre, François Legault, se sont dits prêts à aider financièrement la famille Bronfman, qui veut bâtir un stade de plusieurs centaines de millions de dollars au bassin Peel.

    Or, lundi, le ministre de l’Économie a ajouté qu’il regardait tous les projets, «sans exception», en se montrant ouvert à discuter avec de projets dans l'Est de la ville.

    « Je vais analyser tous les projets. À ce moment-ci, il y en a un sur la table, mais si quelqu’un arrivait avec un autre projet, je pense que c’est notre devoir au ministère de faire les recommandations », a-t-il poursuivi.

    Prêt à l’accueillir

    Lundi, le PDG du Parc Olympique, Michel Labrecque, a décliné notre demande d’entrevue parce qu’il a dit en avoir déjà accordé sur le sujet il y a quelques jours.

    «Les dernières années ont démontré à plusieurs reprises que le Stade olympique est en mesure d’accueillir des matchs de baseball et tout autre événement sportif, en travaillant en partenariat avec des promoteurs de tous les milieux», a déclaré par courriel son porte-parole Cédric Essiminy.

    Jeudi dernier, Michel Labrecque avait lancé au micro de Benoît Dutrizac qu’il était prêt à accueillir le projet sous son toit.

    Écoutez Michel Labrecque avec Benoit Dutrizac sur QUB Radio:

    «Le baseball, on est prêt à l'accueillir, avant, pendant, après, si jamais ils ont une équipe et ils n’ont pas de stade, on va être heureux de l'accueillir», avait-il dit.

    Plus de 4000 places de stationnement, deux stations de métro et bientôt trois stations du Réseau express métropolitain (REM)... le site du Parc Olymique en est un de choix, avait-il illustré.

    «La Caisse de dépôt et placement Infra, ils disent qu’on est à 10 minutes du centre-ville, 15 minutes de la station Peel, alors on n’est pas si loin que ça», avait-il insisté. 

    « Ils vont en avoir besoin même une fois qu’ils auront leur stade. Imaginez qu’ils font les finales et qu’ils veulent remplir à 65 000 personnes, ça rentre chez nous ça », avait-il laissé tomber, en ouvrant la porte à une garde partagée.

    LA SAGA DU NOUVEAU STADE DE BASEBALL À MONTRÉAL EN BREF  

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