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  1. https://www.index-design.ca/article/david-deschenes-la-synergie-entre-les-equipes-est-essentielle-a-la-reussite-du-projet?fbclid=IwAR0FSAwknF99-O-HDXWa7b1jH4pqd0-caN0UK3LwlLUmWnWHt72qf-YZV5k

    David Deschênes: “La synergie entre les équipes est essentielle à la réussite du projet”

    ENTREVUE

    • 22 JUIN 2021

    PAR ÉQUIPE DE RÉDACTION

    COMMENT LES PROMOTEURS SÉLECTIONNENT-ILS LES PROFESSIONNELS EN ARCHITECTURE ET DESIGN AVEC LESQUELS ILS COLLABORENT ET AVEC QUELLES ATTENTES? QUELLES TENDANCES LES CONCEPTEURS DOIVENT-ILS SURVEILLER? CETTE SEMAINE, DAVID DESCHÊNES, DIRECTEUR, CONCEPTION ET INNOVATION CHEZ PRÉVEL, RÉPOND À NOS QUESTIONS. 

    David Deschênes, Directeur, Conception et Innovation chez Prével, une firme de promoteurs immobilier basée à Montréal, discute de la transparence que doivent avoir les promoteurs envers les architectes et designers, ainsi que du projet Esplanade Cartier fait en collaboration avec la firme d’architectes NOS. 

    ID/ Lorsque vient le temps de travailler sur l’architecture et le design de vos projets, comment procédez-vous ? 

     Nous avons une équipe de gestionnaires de projets à l’interne, alors que les architectes et les designers sont toujours des firmes externes. Ceci étant dit, nous croyons énormément aux bénéfices des relations à long terme, autant pour l’efficacité, la créativité, que pour les relations humaines. Nous sommes donc entourés d’un réseau de collaborateurs avec qui nous travaillons depuis de nombreuses années – c’est une approche qui fonctionne très bien pour nous.

    ID/ À partir de quelle étape du projet avez-vous l'habitude d'impliquer l’architecte ?

    Les architectes sont des collaborateurs importants. Leur implication peut commencer dès le début des projets, soit à l’étude de faisabilité, avant l’acquisition d’un site. Ils participent ensuite à l’élaboration de la vision des projets, une étape stratégique dans notre processus de conception.

    ID / Quelles sont les nouvelles tendances dans le marché de l'habitation neuve que les architectes et designers doivent surveiller?

    La pandémie a permis de mettre en relief l’importance de notre « chez-soi » et au-delà des impacts sur l’habitation comme la création d’espaces à bureau pour le télétravail, où l’aménagement d’espaces privés extérieurs, les concepteurs, surtout en milieu urbain, ont un rôle important à jouer dans la création d’espaces communs et d’espaces publics résilients et durables. Par exemple, nous avons tous été témoin de l’importance des espaces verts et des parcs au cours des derniers mois. Les projections prédisent que d’ici 2050, 68 % de la population vivra en milieu urbain. Il est essentiel de concevoir des milieux de vie complets qui seront capables d’offrir une qualité de vie à court terme, mais aussi à long terme. Il faut réfléchir à l’habitation comme un élément qui participe à un écosystème composé d’espaces de travail, d’espaces sociaux, de commerces, de services et d’espaces publics.

    ID/ Quelles sont les embûches que devront surmonter l’architecte ou le designer généralement lors d’une telle association ? Avez-vous un projet en particulier que vous pouvez donner en exemple?

    Un des enjeux très actuels qui touche l’ensemble de nos projets et de notre industrie est celui de l’augmentation des coûts de construction, qui met en péril l’abordabilité et l’accès à la propriété. La collaboration, la communication et la transparence entre le développeur, les designers, les architectes, les ingénieurs et les équipes de construction sont essentielles pour nous permettre de trouver des solutions créatives qui permettent de contrôler les coûts de construction tout en préservant la qualité de nos projets.

    Projet Esplanade Cartier

    ID/ Quels sont les critères privilégiés dans le but de respecter l’architecture du quartier, son environnement et ses résidents?

    Dans tous nos projets, l’intégration à l’environnement et à la communauté est fondamentale. Par exemple, dans le cadre du projet Esplanade Cartier dans le Centre-Sud, fait en collaboration avec la firme d’architectes NOS, nous avons élaboré une démarche qui s’inspire des principes de « placemaking ». Elle nous a permis d’acquérir une compréhension profonde de l’environnement et de connecter avec la communauté. De cette façon, elle a alimenté l’élaboration de nos principes directeurs. Parmi ceux-ci, il était essentiel de respecter le contexte environnemental, ainsi que certains acquis du quartier. C’est pourquoi le projet propose une gradation de la densité et des hauteurs (plus faible sur Sainte-Catherine et plus élevé sur René-Lévesque), une placette centrale qui s’ouvre sur un parc qui permet de cadrer une vue sur l’emblématique structure du pont Jacques-Cartier et finalement des basilaires qui créent une expérience à échelle humaine grâce à une architecture verticale et éclectique et à l’intégration de détails comme des escaliers en colimaçons.

    Projet Esplanade Cartier, placette

    PROJET ESPLANADE CARTIER, vue centrale

    ID/ Avez-vous un projet en tête dont la collaboration avec l'architecte s'est particulièrement bien passée ? Si oui, lequel et pourquoi ?

    Sans aucune hésitation Esplanade Cartier avec la firme NOS. De la démarche « placemaking », à la conception du plan d’ensemble, à la réalisation des premières phases, le résultat final est le fruit d’une relation qui va bien au-delà de celle d’un client et d’un fournisseur de service – la synergie entre les équipes, autant en conception qu’en exécution, est essentielle à la réussite du projet. Le fait que nous soyons synchronisés sur une vision commune pour le développement de l'Esplanade Cartier et que nous avons mobilisé l’ensemble des équipes autour de celle-ci, fait en sorte que nous travaillons tous pour un même objectif, un même but commun.

    --

     

    Pour en savoir davantage sur la relation entre promoteurs et les architectes, lisez notre entrevue avec Marilou Hudon-Hudot, vice-présidente, location commerciale et développement résidentiel chez société de développement Angus. 

    • Like 1
  2. Système de déplacement des glissières mobiles

    Piste à étudier pour promouvoir la mobilité active sur le pont Jacques-Cartier les weekends et pour faciliter accès au parc Jean-Drapeau

    L’enlèvement d’une des cinq voies (celle de l'extrême ouest) entre les Faubourgs et le parc Jean-Drapeau les fins de semaine afin de créer une voie élargie (avec la piste multifonctionnelle) pour les piétons et cyclistes (puis les véhicules d'urgence si besoin). Ceci deviendra notre 'pont Brooklyn' à temps partiel.

    https://qmb.ca/produits/barriere-mobile-permanente/

    https://www.i5exitguide.com/roadnews/i-5-interstate-bridge-work-continues-with-help-of-the-zipper-barrier-truck/

    ''Twice a day, every day, the machine moves the concrete barriers that separate traffic on the southbound span, picking up the barriers from one lane and setting them out in their new alignment on the other.''

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    Fin de la voie réservée à l'entrée du parc Jean-Drapeau

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  3. https://www.lapresse.ca/affaires/2021-06-22/immobilier/la-solution-passe-par-la-densification.php

    Immobilier « La solution passe par la densification »

    PHOTO HUGO-SÉBASTIEN AUBERT, ARCHIVES LA PRESSE

    « Le développement d’un Montréal fort et d’une économie forte doit passer par une notion de densification », estime Roger Plamondon, président du conseil d’administration de l’Institut de développement urbain du Québec.

    Le nouveau patron du lobby des promoteurs dit partager l’objectif de la Ville de favoriser la mixité sociale dans les futurs projets d’habitation

    Publié le 22 juin 2021 à 9h00

     

     

     

    ANDRÉ DUBUCLA PRESSE

    Le nouveau président du conseil d’administration de l’Institut de développement urbain du Québec (IDU) veut faire de l’acceptation de la densification la priorité de son mandat à la tête de la principale organisation de défense des intérêts des promoteurs.

    « La plus grande priorité pour l’IDU, ça doit demeurer de parler de la densification. Le développement d’un Montréal fort et d’une économie forte doit passer par une notion de densification », a dit lors d’un entretien Roger Plamondon, officiellement entré en fonction le 17 juin.

    Dans la vie de tous les jours, Roger Plamondon est président, immobilier, de Broccolini, un des plus importants promoteurs de Montréal. C’est cette société qui bâtit le nouveau siège social de la Banque Nationale au coin de la rue Saint-Jacques et du boulevard Robert-Bourassa. Il remplace Jean Laramée, de la société Cominar, dont le mandat arrivait à terme.

    PHOTO DAVID BOILY, ARCHIVES LA PRESSE

    Roger Plamondon, président du conseil d’administration de l’Institut de développement urbain du Québec

    L’IDU, assure-t-il, partage l’objectif de la Ville de favoriser la mixité sociale dans les futurs projets d’habitation, même si son organisme a exprimé ses divergences face aux moyens retenus par la Ville avec son règlement qui impose 20 % d’habitations sociales, 20 % d’unités abordables et 20 % de familiales dans tout nouveau projet résidentiel.

    La solution [à la mixité] passe par la densification. Associer automatiquement la densification à un développement sauvage, c’est une erreur. Nous sommes rendus où la densification est une partie intégrante de la solution.

    Roger Plamondon, nouveau président du C.A. d’IDU Québec

    L’idée étant que le promoteur qui construit 100 logements sur un terrain au lieu de 20 réussit à rentabiliser son terrain tout en vendant ses unités à un coût unitaire plus bas, ce qui favorise l’accessibilité du logement.

    Pour M. Plamondon, la densification a d’autres vertus, comme la rentabilisation des services de transport collectif ou l’aménagement de services publics comme une école. Dans ce cas, le modus operandi consiste à permettre la construction en hauteur pour limiter l’empreinte du bâtiment au sol et ainsi dégager l’espace requis pour l’aménagement des services exigés.

    « C’est aussi, ajoute-t-il, une façon efficace de proposer une solution à l’étalement urbain. » Effectivement, si le site de l’ancienne Maison de Radio-Canada, par exemple, loge à terme 500 ménages au lieu de 2000, les 1500 ménages laissés en plan devront aller se loger ailleurs, plus loin du centre-ville et des stations de métro.

    Pas dans ma cour

    Cependant, cette vision salvatrice de la densification est loin d’être partagée par tous, à commencer par les voisins immédiats du secteur qui fait l’objet de la densification. Personne n’aime voir sa vue obstruée par une tour format géant ou encore de se faire envahir par des milliers de nouveaux voisins.

    Le rapport de l’Office de consultation publique de Montréal (OCPM) portant sur le programme particulier d’urbanisme (PPU) des Faubourgs est un exemple de l’argumentaire des opposants aux constructions en hauteur. Ce secteur couvre le sud-est du centre-ville, incluant le site de la Molson, Radio-Canada et les abords du pont Jacques-Cartier.

    « Afin de respecter la silhouette de Montréal, d’éviter un effet de cuvette entre le front fluvial et la montagne et pour créer une densité douce et conviviale, la commission recommande de revoir les paramètres de hauteur pour toute la partie sud du territoire et de ne pas les rehausser au-delà de 45 mètres », écrivaient les commissaires en 2019.

    Dans le résidentiel, il faut compter 3 mètres par étage. Un bâtiment de 45 mètres compte donc 15 étages. Dans le sud du secteur des Faubourgs, la tour de Radio-Canada culmine à 100 mètres depuis 1973. L’enseigne Molson et son horloge emblématique sont à 65 mètres.

    Cette proposition de l’OCPM allait à l’encontre du projet de PPU soumis à la consultation publique qui suggérait une limite de 65 mètres avec des exceptions à 80 mètres pour certains terrains.

    Finalement, la Ville n’a pas retenu la recommandation de l’OCPM. « La densité proposée avec une hauteur maximale de 45 m, tel que préconisé par l’OCPM, risque de rendre les bâtiments trop massifs, alors que l’objectif est de minimiser l’impact des bâtiments en répartissant une même surface constructible sur plus d’étages, ce qui en réduit la masse », explique la Ville dans son suivi au rapport de l’OCPM.

    Montréal a préféré y aller avec une hauteur maximale de 65 mètres, mais en éliminant les exceptions à 80 mètres.

  4. https://www.lapresse.ca/affaires/2021-06-22/laurence-vincent-pdg-de-prevel/un-capital-immobilier-riche-a-developper-a-montreal.php

    Laurence Vincent, PDG de Prével Un capital immobilier riche à développer à Montréal

    PHOTO KARENE-ISABELLE JEAN-BAPTISTE, LA PRESSE

    Laurence Vincent, PDG du Groupe Prével

    Le groupe Prével a entrepris la construction de la première phase de l’Esplanade Cartier, tout juste à l’est du pont Jacques-Cartier, un projet audacieux de 2000 unités d’habitation réalisé dans un environnement mixte de condos, logements locatifs, bureaux, commerces de proximité et places verdoyantes. Il s’agit aussi du plus important projet que met en branle Laurence Vincent, présidente et cheffe de la direction depuis le 1er janvier du groupe de développement immobilier fondé par son père Jacques Vincent. La PDG nous raconte son cheminement et sa vision du développement.

    Publié le 22 juin 2021 à 8h00

    JEAN-PHILIPPE DÉCARIELA PRESSE

    Vous étiez depuis trois ans la coprésidente de Prével avec Jonathan Sigler, un associé de longue date de votre père. Comment s’est déroulée la transition ?

    J’ai succédé à mon père en 2018 comme coprésidente de Prével. Depuis quelques années, mon père souhaitait progressivement se retirer, et on a été accompagnés durant deux ans par une firme spécialisée en transfert d’entreprise.

    Jonathan, qui s’est joint à mon père au début des années 1990, n’était pas prêt à quitter tout de suite et c’est pour ça qu’on a codirigé. Autant il était complémentaire à mon père, autant il l’a été avec moi. Graduellement, Jonathan a pris un peu de recul. C’est un grand sportif et il voulait en profiter un peu plus. Disons que la pandémie m’a mise en pleine responsabilité.

    Était-ce une ambition de longue date de vouloir succéder à votre père et de diriger cette entreprise qui a réalisé plus d’une quarantaine de projets immobiliers dans la grande région de Montréal ?

    Non, pas du tout. Après avoir décroché mon bac en histoire à l’Université de Colombie-Britannique, en 2004, je suis revenue à Montréal et mon père m’a demandé si je voulais m’occuper du service après-vente d’un projet de construction de maison de retraite qui arrivait à terme. Je prévoyais aller travailler pour des organisations internationales ou devenir journaliste.

    J’ai commencé comme ça, sur une base temporaire, puis de projet en projet, j’ai fait toutes sortes de mandats : sur les chantiers, aux ventes, au marketing, en conception, aux communications. J’ai pris une pause pour compléter un MBA à HEC et je suis revenue en 2009 comme vice-présidente aux ventes.

    Qu’est-ce qui vous a convaincue de poursuivre dans le domaine du développement immobilier ?

    J’ai été très impressionnée par la réputation qu’avait acquise Prével dans le marché. Mon père était reconnu comme un homme de parole, droit, et nos projets immobiliers amélioraient la vie des gens et des quartiers. On pouvait faire une différence et revitaliser des lieux négligés dans le passé. On n’a qu’à penser au projet Lowney, dans Griffintown. Ça a commencé par la conversion de deux petites usines abandonnées pour se terminer avec un projet en 15 phases et 1700 condos qui ont réanimé tout un quartier.

    C’est la marque de commerce de Prével de revitaliser et de développer des quartiers mal aimés et c’est ce que vous faites actuellement avec l’Esplanade Cartier. Comment est née cette vision de la revitalisation urbaine ?

    À la fin des années 1990, l’industrie immobilière a été en crise. Durant cinq-six ans, il ne se vendait pas et ne se construisait pas de maisons neuves. Prével avait 17 projets de front, ç’a été une période très difficile. Mon père s’est lancé dans le projet du Quai de la Commune, puis s’est toujours limité à un certain nombre de projets menés simultanément.

    C’est encore votre modèle. Combien de projets gérez-vous actuellement ?

    Idéalement, on souhaite mener quatre projets de front. C’est la meilleure façon d’optimiser nos ressources. On est une petite équipe d’une centaine de personnes, et chaque groupe, que ce soit les ventes et le marketing, les acquisitions, le développement, la gestion de chantiers, les services après-vente, est pleinement occupé.

    Aujourd’hui, on construit la première des six phases de l’Esplanade Cartier. On a 400 000 pieds carrés à développer au centre-ville de Montréal. Il y aura 2000 unités d’habitation, dont le tiers sera en location, des espaces de bureaux aux premiers étages, un supermarché et des commerces de proximité au rez-de-chaussée.

    On a aussi le projet Quartier Général dans Griffintown, où on construit 300 condos aux abords du canal de Lachine, et le Bellerive, à Tétreaultville, avec 600 condos et maisons de ville.

    Vous avez fait l’acquisition de terrains à Brossard. Vous souhaitez sortir un peu de Montréal ?

    Ça fait partie de notre stratégie. Aujourd’hui, notre vision est de nous implanter en milieu urbain à revitaliser et autour des grands pôles de transport en commun. On a fait deux acquisitions REM, dont celle de Brossard à proximité de la station Panama.

    Vous avez dû payer la plus-value foncière qu’exige la Caisse de dépôt. Est-ce que ce sera le cas à l’Esplanade Cartier, où la Caisse souhaite faire circuler le REM sur le boulevard René-Lévesque ?

    On a fait les acquisitions REM en sachant qu’on devait payer une prime, mais notre projet Esplanade, ce n’est pas un projet REM. Il a été développé et entrepris avant qu’on annonce la possibilité d’y faire circuler le REM, et je ne pense pas que ce soit une bonne idée d’installer cette infrastructure en hauteur. Ce n’est pas un mode de transport urbain. Partout, on a réduit les infrastructures en hauteur, que ce soit l’échangeur Turcot ou celui de l’avenue des Pins. La station de métro Papineau est à 150 mètres de l’Esplanade. À la rigueur, un tramway serait beaucoup plus approprié.

    Est-ce que vous appréhendez la crise immobilière que de plus en plus d’experts évoquent avec la flambée des prix qu’on a connue l’an dernier ?

    On n’est pas dans la situation de Toronto ou de Vancouver. On offre des unités d’habitation qui se détaillent entre 250 000 $ et 600 000-700 000 $, ce qui est encore abordable. Les prix des terrains sont en hausse, les coûts de construction augmentent, mais on a été moins affectés que les rénovateurs par la hausse des prix du bois. On vit présentement un enjeu avec la pénurie de béton, attribuable, selon moi, à la multiplication des travaux d’infrastructures.

    Est-ce que vous voyez encore un potentiel de nouveaux développements immobiliers à Montréal ou est-on arrivé à un point de saturation ?

    Vous ne pouvez pas savoir tout le potentiel de développement qu’il reste à Montréal. On irait marcher et vous verriez que rue Saint-Catherine Est, il faut densifier en construisant en hauteur pour ramener un peu de vie dans le quartier.

    Il n’y a pas de commerces parce qu’il n’y a pas la densité de population nécessaire. Beaucoup de petits centres commerciaux pourraient être transformés en incorporant une mixité verticale. On peut observer la même situation dans une multitude de quartiers à Montréal.

  5. 58 minutes ago, SameGuy said:

    CP and CN won, over a hundred years ago, having been given millions of hectares of real estate via eminent domain. Much of that land is now some of the most valuable property in Canada, and lots of it is out-of-service or under-utilized, with the railways retaining full rights to it. This is why you’ll see tracks that haven’t been used in decades, even at crossings; if the tracks are removed, petitioners can request a declaration of adverse abandonment.

    I agree. They are sitting very pretty. That is why the deal would have to mighty sweet for them to consider giving up any territory.  The other aspect is PR. As these areas become very urbanized, the public pressure will mount. At some point the government will have to listen to the people and find the means to get this done, whatever the cost. Better sooner than later I say.  

    • Like 1
  6. 8 hours ago, Mtlarch said:

    Pour l’accès à l’eau, je me demande bien comment on va résoudre le problème d’obstruction par les voies ferrées?ADE97C2B-7169-40A3-8518-3F186CBD78E7.thumb.jpeg.58302a5ab88ef1e67a8892c80ccb4270.jpeg

    Voies ferrées du Port devant Molson

    Très souvent la Ville est trop libérale dans son usage des mots quand elle parle de donner accès au fleuve. Elle veut plutôt dire s'approcher du fleuve, ou avoir une meilleure vue sur le fleuve.

    Quant au passage au-dessus des voies ferrés au niveau de la rue de la Visitation, cela peut sembler anodin, mais c'est une grande percée dans la cohabitation avec le Port, cette configuration ferroviaire date de l'époque ou le Port était le Vieux-Porté (L'ouverture de la Voie Maritime et la fermeture de la canal Lachine ont tout changé).  La passerelle de la Visitation pourrait faire des petits au fil des ans, possiblement à l'est du pont, autour du parc du Pied-du-Courant... Un accès vers une barge-piscine?

    Dans dix ans il va avoir autour de 15K nouvelles personnes qui vont habiter, vivre et divertir dans les Faubourgs, adjacent à ces voies ferrées. Comme @acpnc a mentionné, il y a des solutions qui pourront être envisagées pour supprimer les voies ferrées entre la rue Frontenac et la rue Atateken, notamment par la réorientation de l'embranchement du CP.

    La réorientation de embranchement du CP avec le Port

    Ce n'est pas une nouvelle idée.  L'urbaniste de renom et professeure à UdM Jean Décarie a proposé l'idée depuis un bout. Puis il n'était pas le seul. Jacques Coté, employé de CP pendant 30 ans, et un ancien président d'une filiale ferroviaire du CP l"a fait aussi. Monsieur Côté a également été  ancien directeur du Havre de Montréal. Il a lui-même proposé la réorientation en 2012, lors d'une conférence à URBA à UQAM. 

     15 mai 2012 Le réseau ferré de la région de Montréal et le développement urbain Par Jacques Coté, président du conseil d’administration, Société du Havre, ancien président, Compagnie de chemins de fer Saint Laurent et Hudson.

    Voir son Powerpoint en annexe

    https://www.newswire.ca/news-releases/jacques-cote-returns-temporarily-as-ceo-of-the-societe-du-havre-de-montreal-539356831.html

    From Wikipedia, the free encyclopedia

    St. Lawrence and Hudson Railway The St. Lawrence and Hudson Railway (reporting mark STLH) was a wholly owned subsidiary of the Canadian Pacific Railway.

    The SL&H arose out of a corporate reorganization at CPR that was announced on November 21, 1995. CPR wished to spin off its "eastern operating unit" into an operating railway company as a means to control poor financial performance of its assets in eastern North America.

    Mais le Port ne cédera pas ces terres facilement. Puis je ne crois pas qu’une compagnie privée comme le CP voudra payer des millions au simple bénéfice des riverains. Il faut qu'ils soient gagnants.  Par exemple, si les gouvernements finançaient la réorientation, puis si elles dédommageraient/recomposaient  le Port et le CP avec des nouveaux terrains stratégiques pour leur développement, je pense qu'il pourrait avoir un dialogue.

    Mais avant tout cela il faudra faire une étude de faisabilité indépendante pour connaître les enjeux, solutions et coûts.  Avec le départ de Molson, le dernier vestige du passé industriel du secteur sera chose du passé. Avec la revitalisation des Faubourgs, la demande populaire pour avoir accès au fleuve va juste accélérer avec le temps. Mieux le faire maintenant avec la modernisation de la rue Notre-Dame et la REM de l'Est. 

    Pour terminer, la réorientation de l'embranchement du CP est une des revendications du groupe citoyen, les  AmiEs du courant Sainte-Marie.  Voir la vidéo sur leur chaîne YouTube.

    https://www.youtube.com/channel/UCGwlR8DHZnBH_rZ_7j-5XPQ

    Courbe_CP_Jacques_Cote_Urba2015_2012-05-15_PowerPoint.pdf

    • Like 2
  7. Registre des lobbyistes

    Brivia

    Mandat :

    Période couverte par le mandat :du 2021-05-01 au 2021-08-01

    Objet des activités :

    Proposition législative ou réglementaire, résolution, orientation, programme ou plan d'action

    Permis, licence, certificat ou autre autorisation

    Renseignements utiles :

    Communications dans le cadre d’un projet de développement immobilier multi phasé à usage mixte avec des composantes résidentielles (copropriétés et locatives), commerciales et institutionnelles. Actuellement, les détails du projet (tels que le nombre d’étages et le type de commerces) ne sont pas encore finalisés. Le projet se situe aux adresses 355 rue Guy, 1459 rue William, 1499 rue William, 1303-1409 rue William, 390 rue de la Montage et 1380-1410 rue Barré à Montréal dans l’arrondissement du Sud-Ouest (lots 6 085 125 et 6 085 126 du Cadastre du Québec). Les communications sont destinées à satisfaire toute exigence afin se conformer aux lois et règlements applicables, incluant les procédures d’urbanisme de la Ville de Montréal, telles que les demandes d’approbation du Comité Jacques-Viger et du Comité consultatif d’urbanisme en vertu du Règlement d’urbanisme de l’arrondissement du Sud-Ouest (01-280) et du Règlement sur les plans d’implantation et d’intégration architecturale (RCA07 22019), les demandes de permis de construction conformément au Règlement d’urbanisme de l’arrondissement du Sud-Ouest (01-280) et les demandes d’approbation du conseil (sous forme de résolution ou autrement), afin de permettre la réalisation du projet immobilier. Des demandes de modification de zonage en vertu du Règlement sur les projets particuliers de construction, de modification ou d'occupation (PPCMOI - RCA04 22003) pour modifier le Programme de développement en vigueur et/ou certaines dispositions des résolutions CA18 220029, CA19 220016 et CA21 220019, autorisant le redéveloppement de l’îlot formé des rues Guy, William, Barré et du prolongement de la rue Lusignan (dossier 1176347023) pourraient être envisagées dans le cadre du projet afin de s’assurer que les différentes composantes du projet y soient prévues. À ce stade-ci, les détails de ces demandes potentielles restent à déterminer.

    Institutions visées :

    Ministère de l'Éducation

    Ministère de la Culture et des Communications

    Montréal

    Société d'habitation et de développement de Montréal

    • Like 1
  8. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1802189/stade-olympique-contrat-passerelle-suspendue-tourisme-montreal

    L'AMP oblige le Parc olympique à revoir son projet de passerelle suspendue

    PHOTO : LA PRESSE CANADIENNE / PAUL CHIASSON

    CommentairesDaniel Boily (accéder à la page de l'auteur)Daniel Boily

    hier à 4 h 00

    Le Parc olympique devra refaire ses devoirs avant de réaliser son projet de passerelle suspendue au sommet du mât du stade olympique. L’Autorité des marchés publics (AMP) lui a interdit mercredi d’aller de l’avant avec un contrat de gré à gré.

    La Société de développement et de mise en valeur du Parc olympique devait octroyer ces dernières semaines un contrat de gré à gré à une firme ontarienne pour la conception et la construction d’un système de protection contre les chutes à la future passerelle suspendue de la Tour de Montréal.

    Seule la firme Highwork de Val Caron en Ontario a déjà réalisé ce type de projet, en l’occurrence la passerelle “EdgeWalk” de la Tour du CN de Toronto, selon des documents publics du Parc olympique.

    Le document insiste aussi sur l’assurance de transiger avec une entreprise ayant une garantie de sécurité d’usagers sans aucun incident significatif au cours des dix dernières années.

    Or, l’AMP a ordonné au Parc olympique de ne pas donner suite à son intention de conclure le contrat de gré à gré.

    Le Parc olympique n’a pas démontré qu’un appel d’offres n’était pas justifié dans les circonstances et qu’il lui était nécessaire de recourir à l’exception que constitue l’octroi de contrat de gré à gré.

    Une citation de :Autorité des marchés publics

    L’AMP s’est penchée sur le dossier à la suite d’une plainte déposée par une société concurrente.

    Dans sa décision, l’AMP précise que le plaignant, ainsi que l’entreprise visée par Parc olympique dans son avis d’intention, sont toutes deux des entreprises spécialisées dans le domaine des structures en hauteur et en protection contre les chutes; la différence entre le plaignant et l’entreprise visée par l’avis d’intention se limiterait donc au fait que cette dernière aurait complété un seul projet destiné au grand public et similaire à celui que veut faire réaliser le Parc olympique.

    Au Parc olympique, un porte-parole indique par courriel que le Parc prend actuellement connaissance de cette décision et fera connaître ses intentions prochainement.

    Un attrait touristique

    Le Parc olympique mijote depuis quelque temps l’installation d’une passerelle suspendue en périphérie du haut de la Tour de Montréal au stade olympique.

    Ce projet est considéré au Parc olympique comme une attraction pour les amateurs de sensations fortes, où les visiteurs, sans expérience, de tous âges et de toutes conditions physiques et mentales, circuleront sur une plate-forme métallique sans garde-corps et suspendue à environ 160 mètres du sol.

    Les participants seraient retenus à un rail de sécurité aérien à l’aide de câbles et de harnais.

    D’autres contrats de gré à gré

    L’Autorité des marchés publics a diffusé ces derniers mois d’autres ordonnances et recommandations dans le cadre de contrats à gré à gré.

    Fin mars, par exemple, l’AMP a recommandé au dirigeant du CIUSSS de la Capitale-Nationale de cesser l’exécution du contrat attribué de gré à gré pour l’hébergement d’usagers par une ressource intermédiaire. Le fournisseur ne détenait pas d’autorisation de contracter avec le gouvernement.

    Plus tôt en mai, le Centre de services scolaire des Draveurs (CSSD) s’est vu recommander de revoir ses procédures d'octroi des contrats. Le Centre avait conclu un contrat de gré à gré pour l’achat d’ordinateurs portables infonuagiques pour la somme de 2 millions de dollars sans avoir publié d’avis d’intention.

     

  9.  

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    Dernières nouvelles du projet

    Esplanade Cartier <esplanadecartier@solutions-emailing.com>15 June 2021 at 10:53

    Comme il y a un certain temps depuis notre dernière communication avec vous, nous nous sommes dit qu'une petite mise à jour du projet vous intéressera sans doute. D'autant plus que ce sont d'excellentes nouvelles!

    UNE IMAGE VAUT MILLE MOTS

    Vous constaterez par cette vue aérienne du projet que la construction des 2 phases de l'ilôt 1 avance très bien. L'arrivée du beau temps nous donne hâte de voir la piscine de 112pi s'installer sur le toit!

    Ensuite, les ventes du projet progressent bien: la 2e phase a franchi le cap du 75%! La livraison de la phase 1 est quant à elle prévue pour le début de l'année 2022. Rencontrez notre équipe pour tout savoir sur les unités encore disponibles.

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    Vous pourriez aimer...

    Jetez un oeil sur ces belles unités donnant sur une rue calme. Elles offrent un vaste espace de vie à aire ouverte avec une cuisine en U et un comptoir lunch. La chambre dispose quant à elle d'un grand walk-in. À partir de 314,000$.

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    Qu'est-ce qu'une juliette ?

    Vous avez remarqué que certaines de nos unités disposent d'une ''juliette''. Il s'agit d'un espace extérieur accessible où faire pousser vos plantes ou prendre une pause pour vous désaltérer. Vous devinerez sans doute que ce nom est tiré de la fameuse histoire de Roméo et Juliette.

    N'hésitez pas à nous contacter pour découvrir ces unités.

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  10. CE du 9 juin 2021

     

    30.032 Administration - Accord de principe / Mandat régulier CM Service de la gestion et de la planification immobilière , Direction - Transactions immobilières - 1219117001


    (AJOUT) Approuver la prorogation pour une période supplémentaire du 17 juillet 2021 jusqu'au 31 août 2021, de l'option d'achat par laquelle la Ville réserve au bénéfice de l'Université du Québec à Montréal, aux fins de développement institutionnel, un immeuble situé au quadrant sud-est des boulevards Saint-Laurent et De Maisonneuve Est, dans l'arrondissement de Ville-Marie, connu et désigné comme étant le lot 2 160 639 du cadastre du Québec, d'une superficie de 1 887,2 m²

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  11. https://www.newswire.ca/fr/news-releases/devoilement-de-la-version-finale-du-ppu-des-faubourgs-la-ville-de-montreal-adopte-le-ppu-des-faubourgs-de-ville-marie-816067333.html

    Dévoilement de la version finale du PPU des Faubourgs - La Ville de Montréal adopte le PPU des Faubourgs de Ville-Marie

    NOUVELLES FOURNIES PAR

    Ville de Montréal - Arrondissement de Ville-Marie 

    Juin 10, 2021, 15:39 ET

    Une planification urbaine audacieuse et à l'image des besoins du milieu

    MONTRÉAL, le 10 juin 2021 /CNW Telbec/ - Mme Valérie Plante, mairesse de l'arrondissement de Ville-Marie et de Montréal, a procédé aujourd'hui à l'annonce du Programme particulier d'urbanisme (PPU) des Faubourgs qui sera soumis pour adoption au prochain conseil municipal. Fruit d'une rigoureuse démarche de consultation publique, la concrétisation de cette importante planification urbaine représente le début d'un nouveau chapitre pour ce secteur névralgique qui se verra, dans un futur proche, transformé en des milieux de vie à échelle humaine, conviviaux, inclusifs, durables et ouverts sur le fleuve Saint-Laurent.

    Perspective du parc Sohmer - PPU des Faubourgs (Groupe CNW/Ville de Montréal - Arrondissement de Ville-Marie)

    Valérie Plante, mairesse de l’arrondissement de Ville-Marie et de Montréal, accompagnée de Robert Beaudry, conseiller de la Ville du district de Saint-Jacques dans l’arrondissement de Ville-Marie et responsable de l'habitation, du service de la gestion et de la planification immobilière, des grands parcs et du parc Jean-Drapeau au sein du comité exécutif de la Ville de Montréal et de Sophie Mauzerolle, conseillère de la Ville du district de Sainte-Marie dans l’arrondissement de Ville-Marie et responsable de l'urbanisme, de l'Office de consultation publique de Montréal (OCPM) et de la stratégie d’électrification au sein du comité exécutif de la Ville de Montréal, lors du dévoilement du Programme particulier d’urbanisme (PPU) des Faubourgs; Crédit photo : Charles-Olivier Bourque (Groupe CNW/Ville de Montréal - Arrondissement de Ville-Marie)

    « Avec l'adoption du PPU des Faubourgs, on arrive à un carrefour historique pour l'avenir du secteur qui est à la fois un quartier tissé serré, aux identités fortes et à l'histoire riche, mais aussi une entrée de ville de la métropole. Dès notre arrivée en mandat, nous avons tenu à lancer ce grand chantier pour planifier l'avenir des faubourgs et alimenter l'essor de la métropole. Nous sommes fiers d'annoncer le fruit de ce travail, véritable tremplin pour développer des quartiers inclusifs, plus verts, dynamiques et propices aux déplacements actifs et collectifs, qui attirera un bassin de population diversifié et des milliers de nouveaux emplois », a affirmé la mairesse de Montréal et de Ville-Marie, Valérie Plante. »

    Accueillir de nouveaux milieux de vie complets et diversifiés comprenant des logements pour tous, incluant les familles, des espaces verts, des écoles, des centres communautaires, des commerces et des bureaux, tels sont quelques-uns des objectifs visés par l'adoption du PPU. Le Règlement sur la métropole mixte et les ententes prises avec certains promoteurs en amont permettront d'assurer une mixité dans l'offre de logement. Déjà, plus de 800 logements sociaux et abordables ont été sécurisés, avec la construction de certaines unités qui commencera au cours de la prochaine année.

    « Redévelopper et dynamiser une zone aussi vaste en toute cohérence avec les aspirations de la communauté était toute une commande, mais néanmoins une priorité de tous les instants pour notre administration, a renchéri Sophie Mauzerolle, conseillère de la Ville du district de Sainte-Marie dans l'arrondissement de Ville-Marie et responsable de l'urbanisme, de l'Office de consultation publique de Montréal (OCPM) et de la stratégie d'électrification au sein du comité exécutif de la Ville de Montréal. Après les multiples consultations qui ont mené à cette ambitieuse planification, nous passons à l'action et ouvrons une nouvelle page de l'histoire des faubourgs. Mais la participation des résidentes et résidentes ne s'arrête pas ici : elle se poursuivra tout au long de sa mise en oeuvre, que ce soit dans la structure de gouvernance qui sera instaurée, dans l'idéation des nouveaux espaces publics à venir, ou dans les différents projets collectifs qui viendront mettre en valeur notre cher Centre-Sud. »

    Des changements prometteurs

    Le PPU des Faubourgs propose des transformations importantes, ancrées dans une vision audacieuse qui place l'humain au cœur des objectifs d'aménagement urbain. Parmi les avancées qui transformeront les faubourgs, citons par exemple :

    L'arrivée de milliers de nouveaux logements, incluant des logements sociaux, abordables et familiaux;

    Des aménagements favorisant la transition écologique et les mobilités actives, avec 7 nouveaux liens cyclables, 6 nouveaux parcs publics totalisant 9 hectares, et la création ou le réaménagement de rues verdies et apaisées;

    Un accès au fleuve redonné à la population de centre-sud, avec l'aménagement d'un parc central de 1,2 hectare bordant une nouvelle promenade riveraine et un lien bonifié d'Ouest en Est vers un parc du Pied-du-Courant agrandi;

    La consolidation des artères commerciales locales et du tissu commercial, la création de 3 pôles d'emploi et l'arrivée de 15 000 nouveaux emplois;

    La transformation de l'entrée de l'autoroute Ville-Marie en un boulevard urbain, à l'ouest du pont Jacques-Cartier;

    Des pôles civiques, avec des écoles et des installations sportives et communautaires;

    Une entrée du pont Jacques-Cartier mieux intégrée aux milieux de vie et un parc des Faubourgs réunifié; et

    La protection et la mise en valeur du patrimoine local.

    Un Programme particulier d'urbanisme qui tient compte des attentes des citoyennes et citoyens

    Présentées à la suite de deux étapes de consultation publique à l'OCPM en 2019 et 2020, les interventions proposées dans le projet de Programme particulier d'urbanisme pour le secteur des Faubourgs ont été analysées par la commission de l'Office de consultation publique de Montréal (OCPM). Cette dernière a aussi procédé à l'examen de toutes les opinions entendues et de tous les documents déposés par la population lors de la consultation. L'analyse ainsi que les recommandations contenues dans le rapport de consultation ont ensuite fait l'objet d'une révision par l'arrondissement de Ville-Marie, qui présente aujourd'hui une version adaptée qui tient compte des commentaires exprimés par la communauté.

    Par ailleurs, comme tout parc à réaménager ou à créer dans l'arrondissement, leur réalisation inclura un processus participatif. Ainsi, les projets qui feront l'objet d'une consultation publique seront publiés sur le site Web de Réalisons Montréal et seront largement diffusés par l'Arrondissement, notamment sur ses réseaux sociaux de ainsi que sur sa page web au www.montreal.ca/ville-marie.

    Les documents de la consultation publique se retrouvent en ligne sur la page web suivante de l'OCPM : https://ocpm.qc.ca/fr/ppu-faubourg.

    Le Programme particulier d'urbanisme des Faubourgs ainsi que les documents afférents peuvent être consultés en ligne à l'adresse Web suivante : montreal.ca/articles/programme-particulier-durbanisme-ppu-des-faubourgs.

    Suivi de la mise en œuvre  

    Plusieurs instances de gouvernance assureront le suivi de la mise en œuvre du PPU et de ses différents projets, dont un comité de suivi. Ainsi, chacun des grands projets du PPU sera suivi par les principales parties prenantes ainsi que par des représentants de la communauté concernés par leur réalisation.  De plus, le Comité d'accompagnement des grands projets de Centre-Sud (CAGPCS), soutenu financièrement par l'arrondissement, poursuivra son rôle de mobilisation, de concertation et de mise en relation des représentants du milieu avec les principaux porteurs de projets du PPU. Finalement, le partage d'informations avec le public sera assuré par une présentation publique annuelle et par le biais de la publication de contenus sur la page Web du projet.

    Lien vers le dossier de presse numérique : https://www.dropbox.com/sh/02a2bwx0k9k17h3/AAA1n54VAdr3b7f6-PTi2Lika?dl=0 

    SOURCE Ville de Montréal - Arrondissement de Ville-Marie

    Renseignements: Virginie Leblanc, Chargée de communication, Arrondissement de Ville-Marie ; Relations médias, Ville de Montréal, relationsmedias@montreal.ca

    Liens connexes

    https://montreal.ca/ville-marie

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