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Normand Hamel

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Messages posté(e)s par Normand Hamel

  1. il y a 42 minutes, Mtlarch a dit :

    Une place publique où?

    Il n'y a pas d'accès car la tranchée de la bretelle de sortie existe toujours mais a double voie cette fois-ci!. On est obligé de passer par un vieux stationnement à ciel ouvert, sur un vieux trottoir de la rue Hotel de Ville pour l'atteindre. Et encore, il n'y a rien à voir. On a aménagée cette place avec un peu de gazon et quelques arbustes. Totalement inutile dans l'état actuel des choses. En coutera-il un autre 70 millions pour recouvrir la bretelle et faire un lien réel vers le Vieux Montréal? Pour l'instant ce projet n'atteint pas son objectif. Le marketing de ce projet est passé bien en avant de la réalité pour se retrouver avec un demi-projet... à moitié prix.

    Il y a déjà un fil d'ouvert sur ce sujet. C'est donc l'endroit pour en discuter. Je me contenterai donc de dire que tu critiques un projet qui n'a même pas encore été présenté publiquement sauf à un petit groupe qui a assisté à la présentation des cinq finalistes mais qui sont tenus de ne pas révéler ce qu'ils ont vu et entendu.

    Nous ne connaîtrons le gagnant du concours qu'u mois de septembre prochain.

     

  2. Marché Jean-Talon : à la recherche d'un équilibre entre piétons, automobilistes et marchands

    Le maire de Rosemont-La Petite-Patrie, François Croteau, assure que les environs du marché Jean-Talon ne seront pas entièrement piétonnisés, pas plus que ne disparaîtront les places de stationnement situées aux abords du marché public.

    Un texte de Hugo Prévost

    Dans une lettre ouverte publiée jeudi dans Le Devoir, le maire Croteau dit prendre acte de l'opposition de certains marchands au projet de réaménagement d'une partie du stationnement du marché, aux abords de la rue Casgrain, afin d'en faire une place publique.

    Le projet en question, qui entraînerait la disparition d'une dizaine de places de stationnement installées près de la boulangerie Première Moisson et de la succursale de la Société des alcools du Québec (SAQ), a entraîné une levée de boucliers de la part de certains commerçants.

    Ceux-ci affirment que la circulation automobile est déjà suffisamment difficile aux alentours du marché, y compris en raison de la piétonnisation de la rue Shamrock, entre l'avenue Casgrain et le boulevard Saint-Laurent.

    Ils soutiennent que réduire davantage les possibilités de stationner dans le secteur fera non seulement fuir les clients, mais compliquera également la livraison par camion.

    Ces commerçants ont par ailleurs lancé une pétition pour réclamer le retour des cases de stationnement et l'abandon du projet de place publique. Baptisée « Sauvons le marché », cette pétition aurait recueilli plusieurs miliiers de noms.

    François Croteau répond aux détracteurs en affirmant « comprendre leurs craintes, sans toutefois les partager ».

    Comme il le rappelle, deux espaces de livraison seront ajoutés aux abords de la future place publique, ainsi que 10 espaces où il sera possible de se stationner gratuitement pour une durée de 15 minutes.

    « Rappelons qu’il y a, sur le site du marché, plus de 410 stationnements souterrains payants en plus des parcomètres sur rue », écrit encore le maire de l'arrondissement.

    Du côté des marchands opposés au projet, on déplore toutefois que ce stationnement souterrain, installé sous la SAQ, ne soit pas accessible par un ascenseur, ce qui pose selon eux un problème pour les gens à mobilité réduite et ceux transportant de grandes quantité d'aliments.

    Le maire s'engage pour sa part à ce qu'une « solution rapide » soit trouvée pour la construction de l'ascenseur en question.

    Vers un plan directeur

    Toujours selon M. Croteau, l'administration de l'arrondissement a rejeté l'idée d'une piétonnisation complète du marché : « Nous croyons que cela viendrait nuire à plusieurs activités commerciales du marché », mentionne-t-on.

    Le maire souligne par ailleurs qu'« il faut conserver un équilibre entre les deux types d'activités », soit les clients qui se déplacent à pied et ceux qui viennent en voiture, mais qu'il importe également de « mieux planifier l'avenir du marché ».

    L'arrondissement entend donc mettre au point un plan directeur du marché, qui comprendra une étude de marché, une autre sur les besoins d'aménagement à des fins d'activités commerciales et une troisième portant sur le stationnement.

    D'ici là, l'engagement du maire semble clair : pas question de piétonniser davantage, de retirer d'autres places de stationnement ou de fermer la rue Casgrain à la circulation.

    Contacté par Radio-Canada, François Croteau n'a pas voulu commenter davantage sa lettre ouverte.

    Habitudes changeantes

    Avec davantage d'espace offert aux piétons, le marché Jean-Talon reflète une certaine transformation des habitudes des consommateurs, estime Josée Tétrault, directrice des opérations à la Corporation des marchés publics de Montréal.

    « Il y a plusieurs années, les gens venaient au marché ou allaient à l'épicerie en général une fois par semaine; aujourd'hui, [certains consommateurs] vont au marché plusieurs fois par semaine », indique-t-elle.

    Cependant, dit-elle, on compte toujours une partie de la clientèle qui vient acheter de grandes quantités de produits, et qui a donc besoin d'y stationner un véhicule.

    « Je crois que le marché répond bien aux deux réalités; il y a quand même 420 places [de stationnement] au marché Jean-Talon 12 mois par année, voire davantage de places l'hiver. Avec la piétonnisation des ruelles, on favorise peut-être aussi les gens qui veulent passer davantage de temps au marché, se promener et faire leurs courses tranquillement », ajoute Mme Tétreault.

    https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1111023/economie-montreal-marche-jean-talon-reamenagement

  3. il y a 23 minutes, vincethewipet a dit :

    J'ai pris l'initiative de corriger la faute dans le document de la ville

    Beau travail! Ton intervention pourrait facilement passer inaperçue.

    Dans le document de la ville l'erreur ne semble apparaître que sur un seul rendu. Sur le rendu ci-joint du même document, qui nous montre le plan d'ensemble, l'information est correcte.

    Plan d'ensemble.jpg

  4. il y a 7 minutes, UrbMtl a dit :

    Je n'y crois pas. Il faut se fier avant tout au permis affiché sur l'édifice.

    J'avais vu passer six rendus il y a quelques semaines (dont les trois ci-haut) et je les avais gardés en filière parce que j'étais incapable d'en apprécier la validité. Ci-joint les trois autres rendus. 

    Sixty1.jpg

    Sixty2.jpg

    Syxty3.jpg

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  5. Les 7 doigts de la main a enfin un toit

    Après trois ans de travaux, Les 7 doigts de la main a enfin inauguré ce matin son nouveau Centre de création et de production dans l'immeuble occupé par l'ancien Musée Juste pour rire jusqu'en 2010.

    JEAN SIAG, La Presse

    L'édifice de 7 étages, érigé par la brasserie Eckers en 1894, est situé en plein coeur du Quartier des spectacles, au ‪2111, boulevard Saint-Laurent, juste au sud de la rue Sherbrooke.

    L'inauguration du nouveau «toit» de la troupe de cirque montréalaise a été faite en présence de la ministre de la Culture et des Communications, Marie Montpetit, qui s'est réjouie de voir la Ville s'imposer comme "métropole culturelle".

    Le gouvernement québécois s'était déjà engagé à investir 9,4 millions dans ce projet de transformation évalué à 20 millions. La ministre a annoncé ce matin un investissement additionnel de près de 2 millions pour l'achat d'équipements. Une somme de 1 million sera également versée à l'École nationale de cirque de Montréal dans le but de soutenir les arts du cirque au Québec.

     

    L'édifice de 7 étages maintenant occupé par Les 7 doigts comprend quatre espaces importants, dont un grand studio de création, deux studios d'entraînement et une salle de danse.

    Les 7 doigts de la main ont déboursé 2,5 millions il y a cinq ans pour acquérir le bâtiment de la Société d'habitation et de développement de Montréal (SHDM), qui l'avait elle-même repris du Groupe Juste pour rire après la fermeture du musée.

    http://www.lapresse.ca/arts/spectacles-et-theatre/cirque/201807/05/01-5188368-les-7-doigts-de-la-main-a-enfin-un-toit.php

  6. Foreign buyers taxes in Vancouver, Toronto may be cooling interest, report says

    Ross Marowits · The Canadian Press

    Montreal was the hot Canadian real estate market for Chinese nationals last year as interest slipped in Toronto and Vancouver, following the introduction of foreign buyers taxes, says a report from a website for buyers of overseas properties. Juwai.com said Chinese buyers inquired about $1.45 billion US worth of Canadian properties in 2017. Interest in Montreal grew by 84.5 per cent in 2017 and 43.3 per cent a year earlier. Consideration of properties in Canada's largest city dropped by 25 per cent in 2017 after nearly doubling between 2015 and 2016.

    Canada is the second most popular emigration destination for high net-worth Chinese, with 64 per cent having already migrated or planning to move overseas. Nearly 90 per cent of Chinese interest came from 153 cities in China, led by Beijing and Shanghai. Almost seven per cent lived in Canada. Ontario attracted the most interest with inquiries for $500 million US worth of properties. The top four cities were Toronto, Ottawa, Waterloo and London.

    That was followed by British Columbia at $328 million US with Vancouver leading, followed by Victoria, Richmond and Kelowna. Quebec attracted views of $112 million US of properties. The largest interest was in Montreal and then Lachenaie northeast of Montreal, Laval and Westmount. Inquiries in Alberta increased almost nine per cent last year, worth $56 million US, after increasing by 223 per cent in 2016.

    http://www.cbc.ca/news/canada/british-columbia/foreign-real-estate-hotspots-1.4734117

  7. Voici ce qu'a à dire le PPU du Quartier des gares concernant le Parc Ville-Marie:

    L’AMÉNAGEMENT DU PARC VILLE-MARIE

    Le Quartier des gares offre de grandes surfaces non-constructibles, qui correspondent à l’emprise de l’autoroute Ville-Marie, recouverte sur l’ensemble du territoire d’intervention.

    C’est notamment sur ces terrains, qui appartiennent au Ministère des Transports du Québec, que la Ville entend aménager de nouveaux espaces verts, sous le nom de « parc Ville-Marie », dans une diagonale bornée au nord-ouest par la rue Guy, entre la rue Saint-Antoine et les voies ferrées de la gare Lucien-L’Allier, et au sud-est par l’intersection des rues Saint-Jacques et Jean-D’Estrées.

    La surface totale de ces espaces verts sera pratiquement équivalente à celle du Square Dorchester et de la Place du Canada. L’aménagement du parc Ville-Marie, qui exploite le potentiel offert par la dénivellation existante entre les rues Saint-Antoine et Saint-Jacques, contribuera à unifier le Quartier, à procurer, à un milieu densément bâti, verdure, oxygène, espaces d’exercice et de détente, et son pourtour deviendra plus attractif pour les promoteurs immobiliers.

    Le parc Ville-Marie sera aménagé sur cinq îlots, dont trois donnant sur la rue Saint-Antoine, à l’ouest de la rue Lucien- L’Allier, dans le quartier de la Petite Bourgogne. Ces trois îlots sont déjà occupés par des espaces verts et un jardin communautaire, de sorte que l’intervention se limitera, dans ce cas, à améliorer les plantations et les parcours, sentiers et ruelles, pour préserver l’atmosphère intimiste du quartier et rendre plus facile et attrayant à ses résidents l’accès à l’ensemble du parc. L’espace vert situé à l’angle nord-est des rues Guy et Saint- Antoine, sera dégarni des grands panneaux commerciaux qui l’occupent actuellement et fera l’objet d’un travail de plantation et d’art public qui en rehaussera l’attrait.

    À l’est, dans un environnement d’intensité urbaine et d’édifices en hauteur, deux îlots situés entre les rues Saint-Antoine, Saint-Jacques, Lucien-L’Allier et Jean-D’Estrées feront l’objet d’interventions plus importantes, sans toutefois relocaliser le jardin communautaire ni l’aire d’exercice canin existants. Une passerelle surélevée reliera ces îlots de part et d’autre de la rue de la Montagne, proposant au promeneur, sur son parcours, des vues diversifiées et inédites de la ville, notamment depuis un belvédère à l’extrémité sud.

    Les promoteurs de projets immobiliers sur les terrains adjacents au parc seront appelés à localiser les espaces techniques (stationnement, débarcadère, collecte des déchets, etc.) de façon à assurer la meilleure interface possible entre le parc et les nouvelles constructions. Une vaste esplanade, en partie végétale et en partie minérale, située immédiatement au sud des tours d’habitation projetées en bordure de la rue Saint-Antoine, permettra de relier le Centre Bell via un sentier longeant la rue Jean-D’Estrées. Afin d’assurer l’animation du parc, un ou deux cafés-terrasses seront aménagés, où les usagers des édifices résidentiels et commerciaux environnants pourront se détendre au soleil, particulièrement à l’heure du dîner.

    Cet espace se poursuivra vers l’est, par l’implantation de bandes vertes occupant le flanc sud de la rue Saint-Jacques, entre la rue Jean-D’Estrées et le boulevard Robert-Bourassa, et notamment la portion nord du Square Chaboillez.

  8. Il y a 2 heures, UrbMtl a dit :

    On pourrait se mettre à faire ça dorénavant, déconstruire ce qu'on ne juge pas "original" ou authentique sur un bâtiment donné, puis le reconstruire à neuf selon l'apparence qu'il avait à l'époque qu'on glorifie le plus!

    Je ne suis certain de rien car je ne retrouve plus la référence. Cependant je suis resté sur l'impression que la toiture était différente à l'époque où Lafontaine habitait la maison. J'ai cru comprendre que l'intention était de ramener une certaine vraisemblance par rapport à l'originale qui correspondrait mieux avec l'époque. À l'entreprise de rénovation est donc associée une certaine démarche de restauration, ne serais-ce qu'au niveau de l'apparence extérieure.

    Voici ce que dit le document de la ville:

    Le parti retenu vise à ne conserver que les composantes d’origine du bâtiment remontant à 1845 (façade avant, empreinte au sol, fondations), en y greffant des éléments nouveaux d’une composition qui se veut résolument contemporaine. Il prévoit la restauration de la maçonnerie de la façade avant, qui fera également l’objet de certaines modifications, dont le surhaussement de la porte d’entrée au niveau du sol et l’élimination de la fausse-mansarde.

    Voici ce que dit le PPU du Quartier des Gares:

    Cette maison d’intérêt historique et architectural, construite vers 1835, n’a été sauvée de la disparition complète qu’en 1987, lorsque la Ville l’a citée à titre de monument historique. Après être restée abandonnée pendant des décennies, il ne subsiste plus de la maison originale qu’une partie de mur en pierre, en façade.

    La Ville a fait de la préservation de ce monument une condition à la reconstruction de l’îlot Overdale, qui comprendra aussi une rangée de maisons de ville reprenant l’implantation du bâti du XXe siècle, rue Overdale, ainsi qu’une tour d’habitation et un hôtel avec appartements en bordure du boulevard René-Lévesque, le tout pour une valeur de construction de quelque 125M $. Au cœur de cet ensemble, la Maison La Fontaine redeviendra pavillonnaire, avec deux étages et un toit en pavillon à quatre versants. Les parties toujours existantes seront restaurées dans les règles de l’art et les parties manquantes fidèlement reconstituées.

  9. Il y a 5 heures, UrbMtl a dit :

    Les deux rendus que tu apprécies montrent essentiellement des volumes peu détaillés et leur contexte (Quad Windsor), alors que le rendu que tu rejettes est plus spécifique et détaillé. Je crois qu'on peut accepter les 2 à la fois.

    Non, personnellement je ne peux définitivement pas accepter les deux. Car même s'il s'agit en effet de la même mouture, ce que je n'ai jamais contesté (on s'est simplement mal compris), il s'agit de deux présentations différentes qui n'ont pas du tout le même objectif.

    L'un n'est qu'une simple évocation qui, comme le nom l'indique, ne fait qu'évoquer ce que pourrait avoir l'air le projet. Comme je l'ai expliqué précédemment ce n'est que du marketing et la qualité est tellement mauvaise que la profondeur est pratiquement inexistante alors qu'il s'agit d'un assez vaste terrain. Ce type d'évocation me fait vomir parce qu'il n'y a aucun souci de vérité derrière la démarche et ce genre de présentation n'a pour seul but que d'impressionner la clientèle.

    Pour ce qui est des deux autres ce sont de véritables rendus qui, comme le nom l'indique, restituent les véritables intentions des architectes. Ces deux rendus ne sont peut-être pas très détaillés mais ils sont infiniment plus précis et fidèles à la proposition architecturale de base.

    Cela ne veut cependant pas dire que le projet tel qu'il est rendu ici est maintenant arrêté. Il y a en effet de fortes chances qu'il continue d'évoluer jusqu'à l'étape de la construction. Il faut donc s'attendre à d'autres surprises.

  10. il y a 23 minutes, Mtlarch a dit :

    on a l’impression que ça va tourner court comme l’illusoire recouvrement de l’autoroute Ville-Marie près du CHUM. Beau concept ayant coûté 150 millions mais qui a accouché d’un résultat qui ressemble en presque tout point à ce qui existait déjà et sans aucun recouvrement vers le palais des congrès.

    Le recouvrement de l'autoroute Ville-Marie a coûté 68M$ et non pas 150 millions. Et le résultat n'a absolument rien à voir avec ce qu'il y avait avant car il y aura bientôt une place publique là où il y avait une autoroute!

    68 M$.jpg

  11. Il y a 3 heures, MontréalMartin a dit :

    Mais là la maison ne ressemblera plus beaucoup à quoi elle avait l'air avant les rénovations.

    Non mais dans ma compréhension des choses elle ressemblera davantage à l'original qui avait été lourdement modifiée au fil des ans. Particulièrement au niveau de la toiture.

  12. il y a une heure, UrbMtl a dit :

    Bon d'accord, on se comprend. Première illustration, deuxième illustration, évocation rejetée... pas facile de s'y retrouver. 

    Je ne suis pas absolument certain que l'on se comprenne même si je sens que l'on y arrive progressivement. Pour être sûr que l'on parle de la même chose je vais ajouter quelques précisions.

    Première illustration: celle où l'on voit l'adresse 750 Peel en bas à gauche. C'est précisément celle-là que je rejette car il s'agit à mes yeux d'une pure fantaisie. Ce n'est pas de l'architecture mais du marketing.

    Deuxième illustration: c'est l'une de mes deux préférées parce qu'elle montre la plaza sur une portion de sa longueur et dans un contexte très réaliste. Par contre celle qui accompagne ton dernier message est encore mieux parce qu'elle montre la plaza sur toute sa longueur.  

    Évocation rejetée: la même que celle que j'ai nommée première illustration ci-haut.

    il y a une heure, UrbMtl a dit :

    J'en profite pour te souligner que la première mouture était très sérieuse et n'avait rien d'irréaliste. Une autre firme d'architecture avait été mandatée pour la réaliser. On a réalisé plusieurs rendus détaillés et des vidéos.

    Là je ne te suis plus du tout. Qu'entends-tu par première mouture? Moi lorsque je parle de première mouture je fais référence à l'ancien 750 Peel avec deux superbes tours d'une géométrie complexe et avec des coins arrondis: un chef-d'oeuvre absolu!

    Si on avait été de l'avant avec ce projet j'aurais été très enthousiaste, comme je l'ai toujours été. On n'avait pas proposé quelque chose d'aussi intéressant à Montréal depuis fort longtemps, incluant le 600 Peel.

    Certains me demanderont: mais comment peut-on aimer deux projets aussi différents? En principe si j'aime l'un je devrais haïr l'autre, et je comprends très bien la réaction de ce qui semble être la très grande majorité des membres de MTLurb. La déception est d'autant plus grande que cet emplacement est un endroit absolument stratégique.

    Si sur le plan architectural il n'y a aucune comparaison possible il en va autrement d'un point de vue urbanistique, et je me suis déjà expliqué à ce sujet. Je vais cependant ajouter quelques précisions sur ma démarche.

    Je me suis rapidement fait à l'idée de l'abandon de la première mouture. Ce qui n'est quand même pas normal car je capotais totalement sur la proposition initiale. Ce qui s'est produit c'est que mon esprit a été immédiatement accaparé par la nouvelle proposition, ce qui m'a fait rapidement oublié la précédente. Je n'ai même pas eu le temps d'avoir de la peine.

    J'ai tout-de-suite vu que ce projet-là s'intégrait admirablement bien à son milieu et allait dynamiser ce secteur de la ville. On entre ici dans le domaine de l'alchimie urbaine. Il n'y a peut-être plus d'effet WOW! comme pour la mouture précédente, mais à mon avis la nouvelle proposition aura un impact plus positif à l'échelle humaine.

    Le moins que l'on puisse dire est que l'on ne se sentira pas écrasé par cette nouvelle présence sur la rue Peel. Et on laissera la gloire à ceux à qui elle revient: Les Canadiens de Montréal. Pour ce qui est du 600 Peel n'y pensez même pas!

  13. il y a une heure, UrbMtl a dit :

    le premier rendu et le deuxième montre la même mouture du projet tel que présenté sur le site du Quad Windsor mis à jour il y a quelques semaines seulement.

    Oui en effet et je n'ai jamais dit le contraire. En fait je n'ai jamais parlé de l'ancienne version, et d'ailleurs j'avais au préalable cité ton commentaire concernant la nouvelle version La nouvelle version offre un dégagement plus intéressant au coin de la rue.

    La confusion vient sans doute de la phrase suivante: la première n'a pas grand chose à voir avec le projet tel qu'il nous est présenté aujourd'hui. Voici maintenant la même chose que j'avais écrit, mais modifié légèrement pour enlever la confusion qu'elle pourrait engendrer:

    Des deux illustrations que tu nous montres la première n'a pas grand chose à voir avec le projet tel qu'il nous est présenté aujourd'hui, même si elle accompagne les plus récents rendus. Il s'agit d'une évocation au sens large du terme, et qui de surcroit est totalement irréaliste. Je la perçois donc comme une anomalie et c'est pourquoi je l'avais écartée dès que je l'ai vue la première fois.

    il y a une heure, UrbMtl a dit :

    Le premier montre le coin Nord-Est de l'îlot, alors que le second montre le coin Sud-Ouest. 

    Un autre rendu du coin Nord-Est, mais avec le même niveau de détail que le deuxième rendu (le basilaire est une masse plutôt que d'être texturé). Tu reconnaîtras les volumes et l'entrée.

    C'est exactement ce que je voyais. Mais si géographiquement on parle effectivement du même endroit il en va tout autrement d'un point de vue architectural. Je trouve étrange que tu me montres l'illustration sur laquelle repose essentiellement mon analyse tout en me précisant qu'elle nous montre la même chose que celle que j'ai rejetée d'emblée.

    L'ironie c'est que cette dernière illustration est la seule qui nous montre sur toute sa longueur la plaza naturelle qui sera créée par l'implantation des deux bâtiments sur le site. Or, l'illustration que j'ai rejetée n'a aucune profondeur. La plaza étant devenue un simple débarcadère. Elle nie donc le sens, et même l'essence, de ce projet.

    Je vais maintenant profiter de l'occasion pour répondre à @Ju HG.

    Il y a 7 heures, Ju HG a dit :

    regardons limpact au niveau du sol, aucune place publique ou square d'envergure n'est représenté sur le rendu. Le petit coin en bas à gauche ne me créer pas grande impression.

    Tu parles de quel rendu au juste? S'il s'agit de celui en haut de page on ne voit pas grand chose en effet et cela est essentiellement dû aux deux couvertures qui ont été rajoutées par dessus l'espace public et qui pourront faire office d'esplanades. Pour bien prendre la mesure de ce projet et en comprendre le sens il faut étudier le rendu joint au dernier commentaire de @UrbMtl.

  14. Il y a 4 heures, UrbMtl a dit :

    La nouvelle version offre un dégagement plus intéressant au coin de la rue.

    Des deux illustrations que tu nous montres la première n'a pas grand chose à voir avec le projet tel qu'il nous est présenté aujourd'hui. Il s'agit d'une évocation au sens large du terme et qui de surcroit est totalement irréaliste. Je la perçois donc comme une anomalie et c'est pourquoi je l'avais écartée dès que je l'ai vue la première fois.

    Par contre en ce qui concerne la deuxième illustration il s'agit d'un des deux rendus sur lesquels je me base pour faire mon appréciation. En plus d'être réaliste ce rendu a énormément de sens à mes yeux car on y voit déjà une portion de la plaza naturelle créée par l'implantation des tours sur le terrain. Du simple débarcadère avec un minuscule îlot central de la proposition précédente on passe maintenant à une véritable place publique. Le rendu le plus pertinent demeure cependant celui avec vue en direction sud-ouest.

    • Confused 1
  15. il y a 34 minutes, Rocco a dit :

    On gage combien que ces sapins chétifs seront orange brûlé d'ici un an?

    Ils sont certes petits (ce qui est normal au moment de la plantation) mais à mes yeux ils n'ont rien de chétifs ces sapins. Ils ont plutôt l'air en bonne santé.

    Port de Montréal en a planté 375 en 2017 seulement. Cela fait partie d'une initiative de L'Alliance forêt urbaine. Le projet vise à planter 300,000 arbres à Montréal d'ici 2025, dont 180,000 proviendront du privé ou d'institutions. Le reste viendra de la Ville.

  16. il y a une heure, Davidbourque a dit :

    L'eau va absorber la chaleur créant un tampon.

    Il serait plus juste de dire qu'en s'évaporant l'eau abaisse la température des environs. Et ce peu importe où elle se trouve au départ: dans les feuilles des arbres, la pelouse, une piscine, un cours d'eau ou un lac. Sans oublier le corps humain qui se rafraîchi de lui-même lorsque la sueur s'évapore à la surface de notre peau.

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