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Normand Hamel
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il y a 6 minutes, Ousb a dit :
Cest a dire que je ne peux plus posseder plusieurs appartements dédiés à faire du Airbnb ?
Non, et si j'étais toi je les vendrais pendant qu'ils valent encore quelque chose. ?
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Il y a 10 heures, Normand Hamel a dit :
« Je suis ces données depuis une quinzaine d'années, et Montréal est généralement dans le milieu ou le bas du classement », note l'économiste en chef de Montréal International, Christian Bernard.
Moi j'ai commencé à les suivre attentivement à partir de 2007. Et depuis ce temp-là je note une tendance positive pour l'ensemble de l'économie du Québec, qui jusqu'à récemment n'était malheureusement pas reflétée dans l'économie de Montréal.
Cependant, depuis au moins deux ans maintenant il se passe quelque chose d'étonnant à Montréal, et l'ascension de la ville est tout simplement fulgurante. On dirait que tout arrive en même temps.
Malgré un taux de chômage très bas au Québec le taux de chômage restait quand même élevé à Montréal jusqu'à récemment. Puis soudainement il est tombé en chute libre. Toutes les données, non seulement celles concernant le chômage, pointent présentement dans la même direction: vers le haut.
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il y a 1 minute, nephersir7 a dit :
Okay d'abord! Je rends les armes. Merci quand même de ta patience. ?
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il y a 4 minutes, nephersir7 a dit :
Merci @nephersir7
En fait j'aurais dû dire qu'ils n'en parlent pas sur leur site espagnol. Ce qui est tout de même étrange.
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Il y a 6 heures, franktko a dit :
Bien sûr, à cause du zoom sur ta capture d'écran, tout semble se rapprocher. Mais tous les éléments de ta capture sont sur les photos de cprail.
L'angle presque identique de ta capture est la même que la 2e photo de cprail, là où la passerelle est cachée par le montant de la voiture
Excellente analyse! Merci.
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à l’instant, nephersir7 a dit :
Montreal’s Champlain Bridge is one of North America’s busiest spans, with 50 million cars, buses and trucks crossing it each year. Dragados along with its Joint-Venture partners was chosen to carry out the design, construction, operations, maintenance & rehabilitation for the New Champlain Bridge Corridor Project.
http://www.dragados-canada.com/exp_tinnel_projet.php?pid=144
Oui mais le site international n'en parle pas alors qu'il mentionne ses autres projets dans le monde.
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il y a une heure, andre md a dit :
Megusa quand meme bizarre qui ne parlent pas de ce projet sur leur site web.
C'est peut-être eux justement qui ont éprouvé des difficultés.
Je crois comprendre aussi que Dragados fait partie du groupe ACS, mais ce n'est pas tout-à-fait clair encore pour moi. Ce que je trouve étrange c'est que ni l'un (ACS) ni l'autre (Dragados) ne parle du Pont Champlain sur leur site respectif.
1- ACS: https://www.grupoacs.com/activities/construction/awarded-contracts/civil-works/
2- Dragados: http://www.dragados.com/bridges.php
il y a une heure, andre md a dit :Dragados en problèmes financiers?
Les problèmes ne sont peut-être pas uniquement d'ordre financier. Il peut s'agir également de problèmes contractuels, genre d'exécution.
il y a une heure, andre md a dit :Pour ce qui est de dire d'avoir un souvenir vif ce n'est pas aussi flagrant que cela sinon habituellement on se rappelle des choses non?
Non. Si je l'ai dit c'est que je le ressens de cette manière. J'ai bel et bien gardé un souvenir vif d'un problème quelconque avec l'Espagne et qu'il y aurait eu un certain rapatriement vers le Québec.
Mais comme l'histoire remonte à plusieurs mois en arrière je n'ai pas de souvenir bien précis, et donc je me méfie de ma mémoire pour les détails de cette histoire. Il est d'ailleurs possible qu'au moment où j'ai pris connaissance des faits que j'aie mal interprété ce qui se passait.
Car lorsque ce genre de choses se produisent tout le monde se tait rapidement afin d'éviter les problèmes légaux que cela pourrait engendrer. Or la mémoire a besoin de répétitions afin de consolider ses acquis. Et répétitions il n'y a pas eu car je n'ai plus jamais entendu parler de cette histoire par la suite, comme si on avait voulu l'étouffer.
il y a une heure, andre md a dit :Reste que les chevetres on tous été fabriqué en Espagne et les correctifs on été apporté au Quebec.
C'est vrai en partie seulement. Car les correctifs apportés au Québec l'ont été uniquement au tout début, compte tenu de la nécessité de lancer le projet le plus rapidement possible et de ne pas retarder les premières livraisons.
il y a une heure, andre md a dit :Pour les poutres Canam avait gagné l'appel d'offres.
Effectivement. Mais il est bien possible que l'on ait ajouter de nouvelles responsabilités dans leur assiette.
Par exemple, j'ai cru comprendre que les supports du tablier étaient sensés être fabriqués par Megusa. L'ont-ils été effectivement? Ce pourrait-il que Canam ait ajouté ces pièces à son carnet de commande? Je ne sais pas vraiment et je ne fais que poser la question.
Si je peux me permettre de spéculer:
Ce pourrai-il qu'une entreprise québécoise comme Pomerleau ait remplacé Dragados et que Canam ait remplacé Megusa?
On jase là...
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il y a 46 minutes, andre md a dit :
Sur les sites de Dizmar et Meguza nulle part il n'est mention qu'elles ont fabriquer des pieces pour le pont Champlain.
Pourtant, moi qui ne parle pas un mot d'espagnol, j'ai trouvé ceci dans mes recherches:
Algunas de las piezas que darán forma al nuevo puente se están fabricando ya en la empresa gallega Talleres Dizmar S.L. y TÜV SÜD España llevará a cabo la inspección de las soldaduras allí realizadas.
Corrige-moi si je me trompe, mais je crois comprendre que TÜV SÜD a procédé à l'inspection de pièces fabriquées par Dizmar.
Et ceci:
Las últimas piezas construidas por Grupo Dizmar para el mayor puente de Canadá, el nuevo Champlain, ya están en la explanada del muelle comercial de Areal, donde un equipo de sus operarios se afana en los preparativos para embarcarlas, previsiblemente el próximo martes, en el buque que las conducirá directamente a Montreal.
Plus ceci:
La empresa Megusa busca soldadores y caldereros para afrontar su nuevo proyecto de puente en Montreal. La empresa metalúrgica Megusa (Metalúrgica del Guadalquivir) está buscando y seleccionando soldadores y caldereros para participar en su proyecto de construcción del megapuente New Champlain de Montreal, donde tiene que fabricar 24 grandes cabeceros de acero que soporten el tablero de un nuevo viaducto que sustituirá al construido en los años 60.
http://www.europapress.es/andalucia/sevilla-00357/noticia-empresa-megusa-busca-soldadores-caldereros-afrontar-nuevo-proyecto-puente-montreal-20170520103034.html
il y a 46 minutes, andre md a dit :Laquelle a fait faillite au juste?
Je ne le sais pas. Et, comme je l'ai mentionné avant, il se pourrait qu'il ne s'agisse que de difficultés financières assez graves pour se mettre sous la protection des tribunaux tout en continuant d'opérer. Pour l'instant mon feeling irait vers Dragados ou Megusa.
Je garde cependant un souvenir vif, même s'il demeure très imprécis, d'un rapatriement quelconque de l'Espagne vers le Québec. Cela pourrait être aussi bien au niveau de la gestion que de la fabrication, et peut-être même les deux. Encore une fois, je dis cela sous toutes réserves.
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Je peux confirmer que Tecade n'était pas la seule entreprise espagnole impliquée dans le projet, du moins à ses débuts. Il y en avait au moins trois selon ce que rapportait le 16 avril 2017 le site officiel de Signature sur le Saint-Laurent:
Signature sur le Saint-Laurent est fière de réaliser une autre étape importante dans la construction du nouveau pont Champlain en accueillant le premier navire transportant les premiers chevêtres, en provenance de l’Espagne. Fabriquées dans trois usines espagnoles, Megusa, Tecade et Dizmar, ces pièces hors-normes ont quitté le port de Séville à la fin mars et ont traversé l’océan Atlantique pour arriver au port de Montréal le samedi 8 avril. Les chevêtres sont les énormes poutres latérales en acier et en forme de W, sur lesquelles les trois corridors de circulation viendront se poser.
http://www.nouveauchamplain.ca/2017/04/arrivee-des-premiers-chevetres-au-port-de-montreal/
Selon le même site officiel, il semble que Megusa participait elle aussi à la fabrication de chevêtres en acier:
- l'espagnole Megusa (fabrication de chevêtres en acier)
- l'espagnole Tecade (fabrication de chevêtres en acier et de la superstructure des travées de la partie haubanée du pont)
Par contre Dizmar n'apparaît pas sur la liste actuelle. Je ne peux donc dire quelles sont, ou quelles étaient, ses responsabilités.
http://www.nouveauchamplain.ca/projet/apport-economique/
Aussi, d'après ce que rapportait Le Devoir du 28 mars 2017 il semble que deux firmes se sont depuis ajoutées à la première, sans toutefois préciser laquelle était la première. Cependant selon mon interprétation c'est Megusa qui serait la première, tandis que Tecade et Dizmar seraient venues s'jouter plus tard:
Un autre imprévu, attribuable au consortium SSL, contribue au retard du chantier. La construction des 37 chevêtres du pont, sur lesquels s’appuiera la superstructure, progresse moins vite que prévu.
Ces pièces sont fabriquées en Espagne. Le consortium a fait appel à deux autres fournisseurs, de sorte qu’ils sont désormais trois — les firmes Megusa, Tecade et Dizmar.
https://www.ledevoir.com/societe/495000/dispute-de-124-millions-pour-le-pont-champlain
De plus, aux trois compagnies espagnoles mentionnées ci-haut, il faut en ajouter deux autres qui ont été sélectionnées au tout début du projet et qui, selon mon interprétation, pourraient avoir accordé des sous-contrats aux trois manufacturiers espagnols déjà mentionnés.
Suivent deux articles qui mentionnent ces deux autres compagnies espagnoles:
Outre SNC-Lavalin, le consortium Groupe Signature est composé de deux filiales d'entreprises espagnoles, soit ACS Infrastructures et Dragados Canada, ainsi qu'un groupe américain, Flatiron Construction.
Le consortium Signature sur le Saint-Laurent, l’un des groupes à avoir proposé de réaliser ce pont, est composé d’ACS, de SNC-Lavalin et d’Hochtief, qui ont confié à Dragados Canada, à Flatiron Constructors Canada et à SNC-Lavalin d’en réaliser la construction, et ce avec des équipes de conception provenant également de TY Lin International, d’International Bridge Technologies, en plus de MMM Group et de SNC-Lavalin pour les autoroutes.
Il y aurait donc un total d'au moins cinq compagnies espagnoles qui seraient impliquées, à un niveau ou un autre, dans le projet du Pont Champlain.
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Il y a 4 heures, andre md a dit :
Tecade a recu le contrat en bonne partie parcequ'ella a le savoir faire.
Elle a nécessairement le savoir-faire sinon elle n'aurait jamais obtenu le contrat.
Il y a 4 heures, andre md a dit :Pour ce qui est des defauts dans les chevetres je crois que c'est des erreurs au départ mais finalement réglés.
Voici ce que Le Journal de Montréal rapportait à cet égard:
Un an avant la fin des travaux du nouveau pont Champlain, les travailleurs ont déjà dû faire plus de 2000 réparations sur des pièces maîtresses de sa structure. Une situation anormale, qui fait craindre «un nouveau Stade olympique», selon plusieurs sources impliquées dans le projet depuis le tout début.
Soudures incomplètes, voire inexistantes, trous mal faits ou mal alignés dans l’acier, plaques de métal fissurées ou poreuses, boulons non conformes... Les pièces qui présentent le plus de défaillances sont des poutres-caissons qui proviennent de la firme Tecade, en Espagne, selon des dizaines de rapports, de photos et de vidéos que nous avons obtenus.
Ces pièces de 30 mètres de long supporteront les trois travées de circulation du pont. Certaines d’entre elles, situées tout près du pylône principal, comportaient chacune plus de 300 défauts à réparer. En mai 2017, le caisson BS2S présentait à lui seul 366 défauts, selon les documents consultés.
Il n’est pas étonnant qu’un chantier de 4,2 milliards de dollars connaisse des problèmes. Ce qui est anormal, c’est l’étendue des correctifs à apporter. C’est du moins l’opinion de six sources parmi la direction, les travailleurs et les sous-traitants.
«Qu’il y ait autant de problèmes et qu’on passe autant de temps au chantier à réparer tout ça, non, ce n’est vraiment pas normal», assure un ingénieur impliqué dans le chantier, qui a requis l’anonymat.
Le consortium Signature sur le Saint-Laurent, responsable de la construction, reconnaît de son côté que des pièces expédiées d’Espagne à la hâte nécessitent des correctifs.
C’est à l'automne 2016 que des responsables du chantier ont remarqué des problèmes sur les pièces venues d’Europe. Des tests aux ultrasons ont donc été commandés à des entreprises spécialisées.
«C’est là qu’on a découvert des centaines d’anomalies. Des déficiences multiples. Puis là, je te parle de réparations de soudures critiques», dit une source qui, impliquée de près dans la construction du pont, a requis l’anonymat pour protéger sa carrière.
Des équipes de soudeurs ont donc dû passer des journées entières à faire des réparations. Selon nos sources, les poutres font toujours, en ce moment, l’objet d’inspections.
«Si les soudures ne sont pas corrigées, à la longue, dans 15 ans, dans 20 ans, c’est là que les problèmes vont commencer à sortir, dit une autre de nos sources, un ingénieur. Il faut se rappeler qu’on construit ici un pont pour 125 ans!»
http://www.journaldemontreal.com/2017/12/04/des-milliers-de-defauts-sur-le-nouveau-pont-champlain
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il y a une heure, cprail a dit :
Peut-être que Patrice Roy s'est fourvoyé, ou qu'il tient compte des voussoirs qui devraient être installés depuis l'Île de la Couvée (à un moment donné on a entendu le nombre de 3 circuler, peut-être ont-ils été en mesure de plutôt y aller avec 4).
Je crois en effet qu'il prenait sûrement en compte les voussoirs installés depuis l'Île de la Couvée et c'est ce que je voulais dire lorsque j'écrivais qu'il faut cependant tenir compte du fait que les voussoirs sont maintenant installés à partir de la rive sud également.
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il y a 14 minutes, franktko a dit :
Ça semble être le même angle que cprail, avec la passerelle qui abouti nul part et les bâtiments en construction derrière...
Il n'y a cependant aucun rapport, du moins en apparence, entre la capture d'écran et la photo ci-jointe (qui vient de Mtlurb). C'est pourquoi je suis maintenant convaincu qu'il s'agit d'une illusion d'optique, vraisemblablement causée par un effet de lentille, associé à l'angle de visée.
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il y a une heure, cprail a dit :
En date d'hier, rien n'était en construction du côté nord des voies. Entre le 950 et le 1100 Beaumont, c'est un désert.
Merci beaucoup cprail. J'attendais ces photos depuis fort longtemps.
Maintenant, est-ce que quelqu'un peut m'expliquer ce que l'on voit sur ma capure d'écran du reportage de Radio-Canada? Est-ce une illusion d'optique? Un effet de lentille? Voir photo ci-jointe.
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il y a 31 minutes, Miska a dit :
Il resterait 5 chevêtres à installer.
Je disais justement hier qu'il en restait moins de 6 (5<6) à installer, compte tenu du décalage entre le reportage et sa diffusion.
il y a 35 minutes, Miska a dit :La cadence du pylone principale semble avoir ralenti beaucoup ces dernières semaine. Toujours juste 10 «coches» de monté.
Cela ne m'inquiète pas outre mesure car il est déjà complété à environ 80%. Mais quand même, il serait plus rassurant de le voir progresser.
il y a 37 minutes, Miska a dit :Les grues ce matin n'avaient pas l'air en fonction encore, comme hier...
Je n'aime pas qu'un groupe syndical prenne en otage un chantier d'une aussi grande importance. Cela évoque pour moi le mauvais souvenir de la construction du Stade olympique. D'autant plus qu'il n'y a aucun lien direct entre la construction du pont Champlain et ce conflit syndical.
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il y a 1 minute, Miska a dit :
Toujours juste 3 voussoirs d'installés en date d'aujourdhui.
Dans le reportage de Radio-Canada on disait que l'on avait commencé à installer le quatrième. Par contre après la diffusion du reportage hier, Patrice Roy a dit qu'il restait 7 voussoirs à installer.
Le fait qu'il ne restait que 7 voussoirs à installer me paraissait surprenant, mais plausible, compte tenu de l'échéancier. C'est que dans le reportage on prévoyait que l'installation des voussoirs serait complétée à la fin du mois d'octobre.
Or dans le même reportage on disait que cela prenait 20 jours pour en installer un seul. Donc il restait 140 jours (7 X 20) avant d'avoir terminé. Ce qui nous amènerait au mois de novembre. Il faut cependant tenir compte du fait que les voussoirs sont maintenant installés à partir de la rive sud également. Ce qui devrait en principe doubler la cadence.
Mais si ce que tu dis est vrai, et je n'ai aucune raison d'en douter, il resterait donc 12 voussoirs à installer, et non pas 7 comme le rapportait hier Patrice Roy. Cela voudrait également dire 240 jours plutôt que 140. Mais si je divise par deux, puisqu'il y a maintenant deux équipes, j'arrive à 120 jours. Ce qui correspond effectivement à la fin du mois d'octobre, tel qu'il est dit dans le reportage.
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il y a une heure, andre md a dit :
Tecade a recu le contrat en bonne partie parcequ'ella a le savoir faire.
Dans mon commentaire je n'ai pas parlé de Tecade en particulier, sauf pour dire que le seul manufacturier espagnol à avoir gardé son contrat est le fabricant des chevêtres. Les autres composantes métalliques qui devaient être fabriqués en Espagne ont été rapatriées ici et attribuées à une entreprise locale. Et ce, dans le contexte que j'ai expliqué ci-haut.
Je devrai cependant effectuer des recherches pour confirmer (ou infirmer) mes dires car cela remonte déjà à plusieurs mois et j'en ai gardé un souvenir imprécis. En attendant tout ce que je peux dire avec un certain degré de certitude c'est qu'une des compagnies espagnoles impliquées dans le projet a éprouvé des difficultés financière assez graves pour nécessiter le rapatriement du reste de la charpente métallique du pont.
De ce que j'avais compris à l'époque cela était dû au fait que le compagnie espagnole qui a remporté le contrat pour la construction du pont était victime du syndrome du lowest bidder. Maintenant reste à savoir si c'est seulement un de ses sous-contractants qui a éprouvé des difficultés financières ou si c'est le contracteur du pont lui-même. C'est à cet égard que mon doute est le plus élevé.
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La Presse en a fait un article écrit par Jean-François Codère:
Montréal est la grande agglomération nord-américaine où la croissance de l'emploi a été la plus forte en 2017, selon des données compilées par Montréal International.
On savait déjà depuis quelques mois que l'augmentation de 3,6 % du nombre moyen d'emplois à Montréal de 2016 à 2017 était la meilleure performance de la métropole depuis 1998.
La publication la semaine dernière aux États-Unis de données comparables sur les agglomérations américaines a permis de constater qu'elle était aussi la plus forte parmi les 20 plus grandes villes en Amérique du Nord.
« Je suis ces données depuis une quinzaine d'années, et Montréal est généralement dans le milieu ou le bas du classement », note l'économiste en chef de Montréal International, Christian Bernard.
« Nous profitons d'une conjoncture économique favorable, mais dans cette conjoncture, Montréal arrive à se démarquer, ce qui n'était pas nécessairement le cas dans le passé. » - Christian Bernard
« Normalement, la croissance est de 1,5 % ou 2 %, ajoute-t-il. À 2 %, c'est une bonne année. »
En chiffres absolus, le nombre moyen d'emplois dans la région métropolitaine de recensement de Montréal est passé de 2,071 millions en 2016 à 2,146 millions en 2017, soit une augmentation d'environ 75 000 postes. Il s'est ajouté environ deux fois plus d'emplois dans la région de New York, mais cela représente un plus faible pourcentage.
En revanche, Montréal a créé un peu plus d'emplois que la seule autre agglomération canadienne membre du palmarès, celle de Toronto. La capitale ontarienne a créé 70 000 postes, pour un taux de croissance de 2,32 %, et vient au 6e rang.
DEUXIÈME BONNE NOUVELLE
Sa présence au sommet du classement n'est par ailleurs pas la seule raison de se réjouir pour Montréal, selon M. Bernard.
« L'autre bonne nouvelle, c'est que ce ne sont pas des emplois peu rémunérés. Les secteurs qui créent ces emplois sont à haute valeur ajoutée. »
Ce sont en effet des secteurs traditionnellement forts de l'économie québécoise, comme le jeu vidéo, les effets visuels, l'industrie pharmaceutique, l'aérospatiale, les technologies financières et l'intelligence artificielle, qui ont mené la charge, avec des taux de croissance bien supérieurs à la moyenne locale de 3,6 %.
En 2015 et 2016, l'augmentation montréalaise n'avait été que de 1,1 % et 1,5 % respectivement.
« Est-ce que nous serons capables de maintenir le rythme en 2018, 2019 ou 2020 dans un contexte démographique changeant ? C'est la grande question », reconnaît M. Bernard.
Sous l'impulsion de cette croissance de l'emploi, le taux de chômage moyen est passé de 7,7 % à 6,4 % entre 2016 et 2017 dans la région de Montréal, selon des données du Conference Board. Il était à 8,4 % en 2015. Le mois dernier, il est descendu à 6,0 %.
« BOOM TECHNO »
Le Conference Board expliquait la forte croissance de l'économie montréalaise en 2017 par « une croissance démographique décente, des développements positifs dans le secteur aérospatial, une forte construction non résidentielle et de forts niveaux de confiance des consommateurs ».
« C'est le boom techno », avance pour sa part M. Bernard, qui explique principalement cet essor. « Le téléphone sonne sans arrêt à Montréal International. Le Canada a bonne réputation et les fondamentaux économiques du pays sont bons. »
À cela s'ajoutent selon lui les avantages traditionnels de Montréal : main-d'oeuvre talentueuse, forte présence universitaire, masses critiques dans certains secteurs, aides gouvernementales et faible coût de la vie.
L'administration Plante s'est réjouie de ces données positives pour Montréal, une tendance qui continue à ce jour.
« C'est une bonne nouvelle et même actuellement on voit encore que les indicateurs de mai 2018 sont très positifs : on a un taux de chômage qui est très, très bas, on a une progression hyper intéressante de l'emploi et surtout des emplois à temps plein et dans des domaines intéressants », a affirmé Robert Beaudry, responsable du développement économique au comité exécutif.
Le conseiller a plaidé que la hausse de taxes municipales annoncée en début d'année n'avait pas changé le fait que Montréal demeure l'une des villes les plus économiques pour brasser des affaires.
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il y a 59 minutes, BilMo a dit :
How tall is the central pylon?
Le pylône central mesure 173 mètres de haut. Il est plus haut que la tour du stade olympique, qui mesure 165 mètres.
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il y a une heure, andre md a dit :
TECADE la compagnie espagnole qui fabrique les chevetres a fait faillite????? Pourtant selon leur site web elle existe encore au dernieres nouvelles.
Voici ma compréhension des choses selon les informations que j'ai recueillies ici et là au cours des derniers mois. Compte tenu de ma propre incertitude je vais donc parler au conditionnel.
J'ai oublié le nom de la compagnie espagnole qui a remporté le contrat pour la construction du pont. Je sais cependant que d'énormes problèmes de contrôle de qualité sont survenus très tôt et on s'en serait rendu compte dès les premières livraisons. Il semble que ces problèmes de qualité étaient liés au syndrome du sempiternel lowest bidder. En l'occurence la compagnie espagnole qui a remporté le contrat et qui par la suite éprouvera de sérieuses difficultés financières, possiblement une faillite, ou à tout le moins une mise sous protection.
Je ne sais pas ce qui s'est passé exactement par la suite, mais mon impression d'alors était que l'on avait retiré le contrat à la firme espagnole chargée du projet pour le confier à un entrepreneur québécois comme Pomerleau.
Puis une partie de la commande aurait alors été attribuée en sous-contrat à Canam plutôt qu'au fabricant espagnol (vraisemblablement un sous-contractant de la firme espagnole chargée de la construction du pont) qui s'était avéré incapable d'exécuter le travail selon les exigences de qualité inscrites au contrat.
Selon ce que j'ai compris, finalement seuls les chevêtres seront fabriqués en Espagne, plutôt que l'ensemble des éléments métalliques, comme l'entendait au départ la firme qui a remporté le contrat pour la construction du pont.
J'espère que ceux qui en savent plus que moi à ce propos seront indulgents car tout ce que je viens de dire n'est basé que sur de vagues souvenirs qui remontent à plusieurs mois en arrière et demandent donc à être vérifiés.
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il y a 46 minutes, franktko a dit :
J'aurais dit plutôt qu'il en reste exactement six à installer d'après cette phrase.
Un élément important de mon commentaire semble t'avoir échappé. Comme je l'ai noté pour le nombre de voussoirs à installer, il y a un décalage temporel entre le reportage et le jour d'aujourd'hui.
Le fait est que je ne sais pas combien de chevêtres ont été installés depuis le reportage. D'où l'expression moins de suivi de au moment où j'écris ces lignes. Car il y a de fortes chances que d'autres chevêtres aient été installés depuis le reportage. Par contre, pour les voussoirs, au moment du reportage on commençait à installer le quatrième, alors qu'à la fin de la diffusion on a précisé qu'il n'en restait maintenant plus que 7 à installer (sur un total de 15).
En voulant être le plus rigoureux possible dans mon commentaire cela ouvre la porte à ceux qui ne prennent pas le temps de lire correctement mes messages avant de les commenter.
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J'ai beaucoup apprécié l'article du Journal de Montréal posté par nephersir7. Je vous encourage fortement à le lire, si ce n'est déjà fait. Pour ceux qui l'auraient manqué voici quelques extraits (avec ma propres emphase):
La construction du projet Royalmount, qui promet de réinventer le magasinage en développant un nouveau pôle urbain axé sur le divertissement, l’art et l’hébergement, se mettra en branle à compter de cet automne.
Parmi les fonds de LCRE, on retrouve des investissements de la prestigieuse entreprise LVMH Moët Hennessy-Louis Vuitton, ce qui, croit-on, fera de Royalmount une destination prisée par les Montréalais et les touristes.
Carbonleo et LCRE voudraient répéter au Royalmount l’expérience du Miami Design District, qui allie art et magasinage, notamment en regroupant des bannières de luxe dans un quartier branché.
«Nos nouveaux partenaires sont commis à l’art, c’est très important pour eux. Il y aura donc beaucoup d’art à Royalmount, mais même l’architecture des bâtisses sera recherchée. Il ne faut pas se fier aux maquettes et images qui ont circulé jusqu’ici», a indiqué M. Lufty, conscient d’avoir «beaucoup d’ouvrage» devant lui pour réaliser l’immense complexe qui ne sera pas un autre quartier DIX30, propriété également de Carbonleo.
Le Royalmount tentera pour sa part de réinventer le magasinage en créant un site expérientiel et immersif, qui comprendra une grande place publique animée à l’année, deux salles de spectacles, un cinéma, un parc aquatique, un bar sportif, des toits verts, des stationnements intelligents, un marché public reposant sur l’agriculture locale, des services de bien-être, de santé et d’entraînement, des ateliers éducatifs ainsi qu’une aire vouée à la gastronomique, à l'intérieur et à l'extérieur.
Trente millions de visiteurs devraient converger chaque année à Royalmount, dont beaucoup d’étrangers, car «Montréal est sur le radar des touristes», selon M. Lufty, qui a bien noté que Montréal-Trudeau est en pleine croissance. Royalmount offrira d’ailleurs une navette pour relier l’aéroport et une station du futur Réseau express métropolitain.
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J'ai pris des notes en écoutant le reportage de Radio-Canada. Voici les principaux points que j'ai retenus du reportage:
1- Il y a environ 1400 travailleurs sur le chantier.
2- 80% des travaux sont complétés, à six mois de l'échéancier, pour un projet d'une durée totale de 42 mois.
3- Une armature en acier inoxydable pour les composantes en ciment. Ce qui est une première au Québec. C'est plus dispendieux mais cela augmente la durée de vie du béton armé.
4- Sur un total de 37 chevêtres 31 étaient déjà installés au moment du reportage. Il en reste donc moins de 6 à installer au moment où j'écris ces lignes (un certain temps s'étant écoulé depuis le reportage). Ce sont d'ailleurs les seules pièces métalliques à avoir été fabriquées en Espagne. Tout le reste a été rapatrié au Québec (Canam) suite à la faillite de la compagnie espagnole.
5- Il y a 600 poutres de caisson à installer (complété à 50%), plus 9600 dalles de tablier (travail simple et répétitif).
6- Le plus grand défi reste le pont à hauban qui traverse la Voie maritime du Saint-Laurent.
7- La travée principale, suspendue au pont à hauban, est composée de 15 voussoirs. Au moment du reportage 3 seulement avaient été installées mais aujourd'hui il en restait seulement 7 à installer. Pour accélérer les travaux on travail des deux bouts à la fois; soit du pylône central vers la rive sud, et inversement, de la rive sud vers le pylône central (voir photo). Cela prend 20 jours pour en installer un seul et on prévoit avoir terminé de tous les installés vers la fin du mois d'octobre.
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Il y a 1 heure, Né entre les rapides a dit :
Pourquoi pas des calèches tirées par des chevaux électriques (robots) «made in Québec»?
Je me posais justement la même question. Cela coûterait sans doute cher à développer, mais selon moi la calèche est une composante tellement importante du tourisme à Montréal qu'il faudrait absolument trouver une solution de remplacement.
Si c'est bien fait, disons par l'entremise d'un habile habillage et d'une technologie adaptée, on pourrait offrir aux touristes une sensation similaire, et je crois que cela vaudrait bien les efforts qu'on mettrait pour obtenir la certification.
Dans le passé on a fait preuve de beaucoup de créativité et d'inventivité avec le Bixi et on pourrait probablement répéter l'exploit avec le eCalèche (je viens d'inventer le terme). D'ailleurs un modèle de calèche électrique a déjà été proposé à la ville de Montréal (voir photo).
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Il y a 2 heures, monctezuma a dit :
J'ai bien peur que la majorité d'entre eux se feront euthanasier.
D'après un sondage interne seule une minorité (20%) serait en faveur du maintien des calèches à Montréal. C'est pourquoi je n'ose pas dire publiquement que j'aimerais qu'on les garde, car moi aussi je pourrais me faire euthanasier. ?
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Intelligence Artificielle - AI Montréal Plaque Tournante
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Frontière IA, le premier festival grand public sur l'intelligence artificielle.
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